La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°943)
Selena au Château (suite de l'épisode N°917) -
Une fois Monsieur Le Marquis dEvans satisfait de la docilité et de lavilissement de Selena, Il fit appeler Walter son Majordome. Celui-ci arriva et se dirigea vers Selena qui lui tournait le dos car elle navait pas bougé depuis que le Noble eut terminé de soccuper delle. Sans dire un mot, le Majordome passa un collier en métal grossier relié à une laisse dont il en tenait lextrémité et dun geste sec, il donna un coup sur celle-ci pour entraîner Selena à le suivre. Elle chercha à se lever pour marcher mais une gifle tomba sans quelle ne sy attende. Selena fit un sursaut et, sans quelle sen rende compte, elle porta sa main à sa joue rougie par cette si surprenante claque, qui fut accompagnée dune seconde pour avoir osé bouger ses bras sans autorisation :
- Les chiennes comme toi marchent à quatre pattes !, ordonna-t-il dun ton autoritaire
Sans attendre, elle sagenouilla, tremblotante et hésitante mais docilement et silencieusement. Cette surprise, certes douloureuse, fit monter en elle une pulsion qui la fit vibrer et remonter des désirs tant enfouis. Monsieur Le Marquis avait tourné les talons mais le Majordome savait ce quil avait à faire et cest dun pas soutenu, Selena suivant comme elle le put, quils sortirent de la salle pour suivre de longs et interminables couloirs dabord luxueux, recouvert dimmenses tapis épais ou moquettes pour ensuite prendre dautres couloirs plus étroits dont le sol en pierre étaient de plus en plus sombre malgré les quelques éclairages particulièrement espacés. Lobscurité intimida de plus en plus la belle Selena, qui ralentit le pas et ce fut dun coup sur la laisse que le Walter insista pour la faire avancer. Il remarqua cette hésitation, ce trouble que lobscurité provoqua chez elle, alors il sourit et accéléra le pas, la tirant encore. Marchant derrière le Majordome, le nez vers le sol, elle savait quelle ne devait pas lever la tête et devait se contenter de suivre.
Le Majordome flatta la croupe de Selena, y déposa une claque appuyée :
- Cest bien, tu es une bonne chienne ! Le Maître sera content si tu es toujours aussi obéissante !
Puis il sortit en ricanant de la cellule, refermant la porte derrière lui, plongeant ainsi Selena dans le noir le plus total. Le bruit des pas de Walter disparaît au fur et à mesure que celui-ci séloigna et une fois loin, Selena se laissa emporter par le stresse du silence le plus complet. Elle sagitait sans bruit, elle avait peur mais cette sensation et cette situation paradoxalement lexcitait. Elle se retrouva dans le noir, sans plus aucuns repères, ça a toujours été sa plus grande appréhension. A tâtons, elle se déplaça, jaugeant ainsi le périmètre de liberté que la chaîne lui permit et chercha désespérément le coin le plus proche du mur sur lequel est fixée si solidement la chaîne
Mais cette chaîne ne lui permit pas datteindre le moindre coin et Selena fut obligée de rester là, au pied dun mur en pierres équarris contre lequel elle se blottit. Recroquevillée sur elle-même, elle fermait les yeux et sassoupit tentant de remettre de lordre dans ses esprits
Elle ne le savait pas mais tout le temps quelle cherchait un coin dans le noir, le Majordome était en fait revenu derrière la porte en bois bien discrètement dans le plus grand silence sur la pointe des pieds et il navait rien perdu de ses agissements, devinant ce quelle faisait.
Cest avec cela quIl établit un scénario pour elle. Il savait comment faire, Il savait trouver les contextes pour faire ressortir les instincts de soumission primaire de celles et ceux quIl a su juger, décrypter
Une soirée était prévue et Il avait bien lintention dy intégrer cette demoiselle qui savérait être une bonne chienne en devenir. Plusieurs heures sécoulaient, Selena sétait calmée et avait repris ses interrogations. Quallait-il lui arriver ? Quoique cela puisse être, en était-elle vraiment capable ? Et pourquoi était-elle plongée ainsi dans le noir ? Et puis ce collier si durement fixé à son cou, relié par une chaîne à cet anneau si solidement scellé au mur quelque part, la rabaissait à létat de ce quelle navait imaginé auparavant. Toutes ses questions linquiétaient autant que la situation lexcitait. Elle avait envie de se toucher, de se donner du plaisir, cela la faisait gémir, son ventre bouillonnait de mille désirs et dexcitation, elle sentait son intimité shumidifier et elle fermait les yeux pour tenter de se ressaisir. Quelque chose lui disait de se retenir, elle ne savait pas pourquoi mais comme par intuition, elle savait quelle ne devait pas céder à cette si frustrante tentation
Dun coup, on sapprochait de sa cellule. Son souffle se coupa lorsquelle comprit que cétait pour elle quand la puissante et grinçante serrure sactionnait puis la lourde porte souvrit. La lumière du couloir, pourtant faible, éblouissait Selena qui était plongé dans le noir depuis un long moment. Elle baissait les yeux et se levait devant la personne qui venait dentrer. Sans quelle ne sy attende, ayant les esprits encore brouillés par tant de questionnements, un coup de cravache sabattit, cinglant les cuisses nues de Selena.
- Cest comme cela que tu maccueille ? Je tai pourtant dit que les chiennes restent à quatre pattes ! sexclama le Majordome dun ton durement autoritaire.
Ce coup de cravache lui brûlait encore les cuisses mais elle aimait cette sensation. Walter lui décrocha la chaîne puis accrocha une laisse à la place. Selena sapprêtait à suivre le Majordome mais celui-ci larrêta net et lui passa un bandeau, serrée à larrière de sa tête, la plongeant de nouveau dans le noir.
- Le Maître a une surprise pour toi, je sens que cela va plaire à Ses Invités ! dit-il avec un large sourire pervers
A ces mots, Selena tressaillit. Mais quallait-il donc lui arriver ? Des Invités, elle allait donc être exposée ? Mais à qui et quallaient-ils lui faire ? Etre exposée, cela lexistait et elle le savait très bien ! Elle en a rêvée, elle savait quelle aimait être vue pendant ses ébats mais cela ne lui était jamais arrivé dans ce genre de situation. Surtout que là, tout était différent, elle allait être vue sans pouvoir voir qui la voyait. Cela lui faisait peur, elle qui aime par-dessus tout voir et observer, là elle serait aveugle et sans pouvoir rien contrôler. Elle eut une très forte pensée pour Le Châtelain, elle espérait quIl soit là. Elle ressentit détranges sensations lorsquelle pensait à cet Homme à fort charisme, Il limpressionnait tant et elle voudrait Lui plaire pour que jamais Il ne loublie
Elle se laissait guider, docilement, calmement, acceptant les attouchements vicieux de Walter qui la tirait de ses pensées pour la faire revenir à sa situation quelle avait tant redoutée mais qui animait le plus enfouit de ses fantasmes maintenant prêts à être révélé et assumé et son intimité exprimait cette situation par une humidité de plus en plus accrue. Le Majordome la menait toujours, tenant sa laisse courte et la tirant lorsquelle ralentissait puis ils arrivèrent tous les deux dans ce quelle supposait être une grande salle au son de la résonnance des pas de Walter sur le froid carrelage.
- Mes chers amis, voici une nouvelle chienne que je mets ici, à votre disposition. Elle est arrivée récemment mais elle sest avérée être une très bonne soumise docile jusquà présent, dit-Il dans un grand silence solennel qui inquiétait et excitait Selena. La voici prête à subir vos attouchements, vos envies duser et dr delle dans un total avilissement... Alors ne vous gênez pas ! Servez-vous ! Elle est à vous !...
Sur ces mots sans ambiguïté, le Noble claque des doigts et Walter détacha Selena toujours aveuglée par le bandeau et la laissait là, nue et debout au centre de la salle, devant tous les Invités de Monsieur le Marquis. Les plus pressés commençaient déjà à sapprocher avec des regards gourmands et pervers, dautres se masturbaient déjà tout en la matant ainsi offerte. Au bout dun moment, qui parut comme une éternité pour Selena, des mains, des doigts baladeurs se mirent à la toucher, la palper, la pénétrer, la fouiller, ce qui la faisait terriblement mouiller à lidée de ce qui allait lui arriver. On lui fit écarter les jambes, on lui fit croiser ses bras dans son dos et elle se laissa guider par ses mains inconnues et inquisitrices. Des doigts lui fouillaient son intimité, dautres jouaient sur son clitoris puis dautres encore soccupaient de sa poitrine en lui pinçant, étirant, vrillant les tétons, tout en lui malaxant les seins. Elle ne savait pas combien de personnes étaient autour delle, ni combien de mains la touchaient mais elle aimait ça et en voulait déjà plus encore car elle sentait sa cyprine couler. Elle simaginait déjà tout ce quelle allait sûrement subir. Son souffle saccéléra dun coup et eu du mal à retenir de discrets gémissements de plaisirs lorsquelle sentit une main sacharner sur son clitoris. Elle tentait tant bien que mal à se contenir et à rester immobile. Son excitation augmentait au fur et à mesure que la personne la masturbait de plus en plus frénétiquement. Elle gémissait encore et de plus en plus, tentait de contrôler sa respiration pour se retenir mais la personne qui lui faisait subir cela savait ce quelle faisait et ne faisait quaugmenter son envie de jouir. Soudain, elle ne tenait plus et se laissa envahir et aller dans de forts gémissements jouissifs quelle ne pouvait plus contenir.
Elle sentait que Monsieur Le Marquis observait la scène, peut-être était Il accompagné par un ou plusieurs soumis ou soumises qui faisaient tout pour Le satisfaire aussi. Elle voulait quIl soit fier delle et elle ferait tout pour Lhonorer. Soudain, une main se posa sur son épaule et lui indiquait quelle devait sagenouiller, ce quelle fit sans même se poser de question. Elle savait pourquoi elle devait sagenouiller, elle nattendait que ça ! Elle était prête, elle le voulait ! Elle sentit quelque chose appuyer sur ses lèvres buccales et elle ouvrit la bouche pour accueillir ce membre dur quelle ne connaissait pas et se mit à le sucer avec avidité. Elle ne se cachait plus, elle aimait tant ça. Elle suça, elle pompa, serra ses lèvres autour de ce pénis si fortement tendu, saliva beaucoup peinant à trouver sa respiration mais elle ne voulait pas sarrêter. Pendant ce temps, des doigts continuaient à la fouiller encore et encore, elle mouillait tellement, sa poitrine était devenue douloureuse par ses attouchements pervers mais elle ne bronchait pas et se contentait dobéir aux moindres exigences des Convives. Cela faisait déjà un bon moment quelle pompait cette verge gorgée de sang si raidie dans sa bouche quand elle entendit un long râle et sentit un long flot de sperme lui remplir la bouche, elle avalait tout docilement puis le membre se retira pour laisser place à un autre suivi par dautres qui imitaient le premier après chaque éjaculation
Tout dun coup, lagitation autour delle se stoppa. Pourquoi ? Que font-ils ? Elle était là, à attendre la suite mais ce soudain silence excitant la faisait appréhender ce qui allait suivre. Elle avait besoin dentendre et de voir, mais elle était privée de ces privilèges ce qui la faisait soudain frémir, trembler dimpatience et de désirs inassouvis.
Quelquun la saisit par la nuque et la guidait vers ce quelle devinait être une table en pierre. On la fit se pencher dessus, elle sentit la pierre froide sous sa poitrine lui écraser les seins. Delle-même, les bras toujours docilement croisés dans le dos, elle écarta les jambes et se cambra, soffrant ainsi à qui voudrait la posséder. Ce qui ne tarda pas, elle se faisait pénétrer, besogner profondément et sans ménagement par différent hommes de tailles différentes, certains lui firent arracher un cri de surprise tellement certaines verges étaient grosses mais elle ne bougeait pas et se laissait faire. Certaines femmes Dominas lui doigtaient le fondement ou lui masturbaient le clitoris pendant quelle se faisait prendre en saillie par une verge pendant que des claques sabattaient sur sa croupe rougissante. Selena étouffait ses gémissements avec peine, son esprit était brouillé, elle se retenait de jouir mais cétait trop pour elle et avait de plus en plus de mal à ne pas crier quon le lui permette. Elle criait de plaisir et de douleur, elle mouillait abondamment, elle suppliait quon lui permette de jouir
Tout dun coup, prise de violents spasmes jouissifs telles des décharges électriques lui parcourant toute son échine, elle explosa dans un puissant et mémorable orgasme dans de longs cris accompagnés par les râles de ceux qui la prenaient et jouissaient en même temps de puissants flots de semence en elle mais aussi sur elle. Elle sentit les liquides séminaux couler au creux de ses reins, le long de son dos et elle se cambra tant bien que mal malgré les spasmes pour tenter de tout garder sur son dos. Elle fut attrapé par une nouvelle main, qui la fit se mettre de nouveau à genoux puis se mit à sucer de nouveaux des verges qui, tendus par lexcitation, éjaculaient sur son visage souillé de foutres des mâles en rut, mais aussi sur sa poitrine, lui rappelant ainsi son statut de chienne soumise en recevant cette abondante douche de sperme.
Haletante, le corps toujours pris de spasmes incontrôlés, elle continuait à satisfaire les Invités de la meilleure façon quelle le pouvait. Selena ne cessait de penser à Monsieur le Marquis, pourvu quIl soit fier de la chienne quelle était devenue, pourvu quIl ait pris du plaisir à voir cette soumise soffrir de la meilleure façon dont elle pouvait ! Une fois encore, le silence fut rétablit. Chaque personne autour de Selena se tut puis sécarta. Une personne, certainement Walter le Majordome, attacha de nouveau une laisse au collier de Selena qui lincita à se lever et lui imposa limmobilité, bras croisés dans le dos, jambes écartées et tête baissée. Toujours ce silence pesant, Selena ne réfléchissait plus, elle se contentait dattendre et découter afin de percevoir le moindre son. Elle en perçut un, celui dune personne qui marcha calmement dun pas sûr et dune manière déterminée vers elle. Elle tremblait, frémissait, son souffle saccélérait et sentit des frissons dans son ventre. Elle Le sentait ! Il venait vers elle ! Elle mit tous ses sens aux aguets étant privée de celui de la vue. Monsieur Le Marquis sapprochait de Selena, se mit face à elle et lui saisit doucement le menton pour le lui faire relever. Elle se crispait, stoppait sa respiration, tentait de se calmer mais elle ne pouvait pas retenir cette larme de reconnaissance lui monter aux yeux quelle fermait malgré le bandeau. Il ne disait rien ! Pourquoi ? Elle ne tenait plus, lexcitation, lépuisement et ladoration pour ce Maître lui firent perdre le reste de forces qui lui restait et elle seffondra à genoux, aux pieds du Châtelain, la tête basse, les bras toujours croisés dans le dos. Elle voulait quIl lui parle, quIl lui dise quelque chose ! Ce silence était si pesant, elle voulait savoir ce quIl pensait delle !... Quand, dans ce long silence total et après avoir longuement jaugé Selena dun fier regard dominant, Monsieur le Marquis lui adressa enfin des mots qui resteront à jamais gravés dans la mémoire de la belle soumise :
- Petite chienne Selena, je suis fier de toi, très fier, même ! Tu as su me montrer ton fort potentiel à la véritable soumission. Te prêter à mes Invités navait quun seul but, tester de nouveau ta capacité à te soumettre à Mes moindres Exigences en être utilisée sans ménagement. Et tu as passé ce test avec brio. Jestime donc que tu as mérité pleinement que je te taccepte comme soumise en Ma Noble Demeure
Mais ceci dit et pour le moment, cest encore à lessai que tu resteras dans mon Château. En effet, il te faudra me montrer encore et encore ton obéissance totale dans une parfaite dévotion, motivation pour que Je daigne juger, le moment venu, à taccepter définitivement soumise sous Mon Joug et Ma protection pour acquérir un jour lhonneur suprême de porter Mes nobles Initiales et ainsi devenir définitivement soumise Selena MDE
Selena éclata en sanglot, mais des sanglots dun bonheur total. Trop émue par les mots du Châtelain. Elle ne pouvait retenir ses émotions, si heureuse de la perspective en devenir. Dabord Monsieur le Marquis était fier delle, ensuite Il lacceptait à lessai encore pour un certain temps. Puis, Il lui a laissé entrevoir quun jour, elle pourrait devenir Sa soumise définitivement et enfin porter Ses nobles Initiales. Le rêve deviendrait ainsi réalité quelle espérait tant. Seul la notion du mérite lui permettrait darriver à cette réalité si espérée... Sans un mot de plus, sa laisse se tendit et elle fut de nouveau entraînée dans ce dédale de couloirs et descaliers pour être remise dans sa cellule après sêtre fait retirer le bandeau. Elle vit le Majordome, qui lavait raccompagné, il lattacha à la chaîne puis sans dire un mot, il se retira de la cellule en refermant la lourde porte à clé. Elle repensait à tout ce qui venait de se passer, elle avait été plus docile quelle navait pu imaginer lêtre jusquà présent, elle espérait au plus profond delle que Monsieur Le Marquis soit encore et encore fier delle pour quelle puisse arriver un jour, quand le Châtelain estimera le moment venu, quelle puisse enfin sappeler : soumise Selena MDE et devenir définitivement Sa chienne MDE
Epuisée mais heureuse de cette perspective, ses pensées se dissipent rapidement pour la laisser plonger dans un sommeil remplit despoirs et de nouvelles envies
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!