L'Étudiante (3/5)
Létudiante (3/5).
Avec la rudesse calculée que jadoptais pour la renvoyer, jespérais quelle ne reviendrait pas malgré le feu que, par nos baisers incendiaires, nous avons allumé lun en lautre. Il y allait de ma réputation bâtie jusqualors sur une moralité à toute épreuve dans mon milieu professionnel, et de la sienne, encore plus exposée compte tenu de la place réservée à la femme dans notre société, marquée du sceau dun traditionalisme étroit.
Elle mit plusieurs jours avant de reparaître en profitant de la porte entrebâillée (que venaient de quitter deux jeunes collègues après notre séance de travail) pour entrer sans frapper. Je fus surpris de la voir au pied de mon bureau alors que jétais encore plongé dans un dossier. Elle me dit quelle avait obtenu son inscription à lUniversité de * et quelle allait la rejoindre début septembre. On était mi-juin. Je lai félicitée en me levant pour lui serrer la main, mais elle était retournée prestement à la porte pour la fermer à clé. Elle revint, un sourire ravageur sur le visage et menlaça sans prévenir en me serrant fortement.
Je relevai son menton et plongé mon regard dans ses yeux. Elle était désirable comme jamais, très légèrement maquillée. Jai pris le temps de la détailler cette fois : le voile fut remplacé par une tunique qui descendait jusquaux genoux sur un pantalon assorti genre habit indien. Un foulard couvrait ses cheveux sans enserrer sa tête comme avant. Jamenais sa bouche à la mienne et nous nous embrassâmes avec fougue comme les fois précédentes.
Tout en nous embrassant, elle prit une de mes mains et la porta sur son buste. Je me rendis compte alors que, hormis sa frimousse que jai comblée de caresses et de baisers, je ne lavais quasiment pas touchée. Je fis courir ma main sur le haut de son buste, sur son cou et sa nuque avant de la faire redescendre dans le creux des seins où je rencontrai la bande de tissu reliant les deux globes de son soutien-gorge.
Je passai délicatement ma main sur lun puis lautre à même le tissu de sa tunique dont je pus constater la finesse et la légèreté par opposition à son voile épais. Je descendis ma main sur son ventre par-dessus le tissu et alors, me prenant énergiquement cette main, elle releva légèrement sa tunique et la posa à même la peau. Elle ne portait rien sous ce vêtement suffisamment opaque pour quon ne puisse rien deviner, le soutien-gorge excepté. Je fis des mouvements concentriques sur son ventre tout en relevant de lautre main, par touches successives, la tunique protectrice. Je le fis ensuite des deux mains, y allant franchement en lenroulant sur ses épaules pour découvrir un ventre plat dune couleur rose-pâle et un tout petit nombril qui attira ma bouche comme une fleur gorgée de nectar attire labeille. Poussant ma jeune partenaire vers le bureau en lui faisant faire un demi-tour sur elle-même pour la caler, je le titillai de ma langue et ma bouche, maintenant quelle y a accédé, ne se priva pas de donner des baisers sur tout le ventre en mordillant légèrement les chairs. Je descendis jusquà la lisière du pantalon en passant une main derrière le dos cambré de ma jeune partenaire. Je remontai vers le creux des seins dont je natteignis que la partie la plus évasée en raison de son vêtement en donnant tantôt des coups de langue, tantôt des baisers, lèvres fermés, sur tout ce métait accessible de ses chairs. Elle némit pas un son ni ne bougea tant que je moccupais ainsi de son corps à demi dénudé. Je mis fin à ce jeu pour venir lembrasser de nouveau puis je dis : H (cest linitiale de son prénom), je voudrais tant te donner le plaisir que tu mérites. Je sais que tu es vierge. Je nai pas le droit de te dépuceler, tu courrais de grands risques dêtre enceinte. Devinant quelle navait jamais vu un sexe dhomme hormis peut-être sur internet si tant est quelle ait internet à la maison, jajoutai dans un souffle pour ne pas me rétracter : je vais quand même te montrer mon sexe pour que tu voies comment est fait un homme.
Naie pas peur, je ne te toucherai pas avec. Ce disant, jentrepris de baisser mon pantalon jusquaux chevilles puis, inversant nos positions je pris place sur le bord de la table-bureau tandis quelle était debout en face de moi, plongée dans un mélange de curiosité et de fascination. Ayant, ce disant, déjà baissé mon slip par derrière, jentrepris de le faire aussi par devant dans un mouvement dune lenteur calculée, mon pénis entravant lopération tant il était tendu comme un pieu de tente à lintérieur du slip. Le gland apparut puis la hampe, le tout presquà la verticale compte tenu de ma position. Je laissai ma jeune partenaire admirer cette verge circoncise puis, en lui prenant naturellement la main et sans mot dire, je la posai sur mon sexe qui palpitait sous la pression sanguine comme sil faisait partie du cur. Je gardai ma main sur la sienne afin de ne pas leffaroucher. Elle se laissa faire. Je ne lui demandai ni de me masturber, ni de me caresser ; juste le contact de sa main sur ma verge. Reprenant mon souffle et dans le souci réel de linstruire, je lui dis alors : maintenant je vais éjaculer dans ta main. Naie crainte : cest naturel et bon pour moi. Me concentrant sous leffet de cette main immobile mais douce et chaude à souhait, je me laissai aller à mon plaisir. Ma semence fit un bon de plus de vingt centimètres au jugé et retomba, partie sur nos deux mains enlacées, partie sur le carrelage. Je pris délicatement la sienne et la portai à ma bouche toute couverte de ma semence pour la lécher, puis je présentai la mienne à ses lèvres. Ma jeune partenaire fit de même avec ma main par imitation. Aucune réaction de dégoût de sa part : elle lécha ma semence comme elle eût fait dun trop-plein de sucre de quelque fruit trop mûr.
Je me remis debout pour me rhabiller puis je déroulai la tunique de ma partenaire sur son ventre. Après un dernier baiser langoureux, je lui dis : H, sois gentille, ne reviens plus me voir. Je ne peux pas taimer comme tu le mérites.
Trouve un mari qui te comblera damour. Fais ta vie sans perdre de temps. Donne libre cours à tes désirs et sois heureuse. Je taime mais cest un amour interdit et impossible que je te voue. Lui ouvrant la porte, je la poussai doucement dehors par une pression entre ses omoplates tandis quelle manifestait une légère résistance. Mais elle partit et je me retrouvai à méditer toute cette aventure.
 
admin
Jan. 31, 2023
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