Pour Une Chute
Pour une chute
Un escabeau mal calé et je suis bon pour la chute, avec pour résultat, une grosse douleur au sacrum. Au bout de deux jours je me décide à contacter un ostéo, qui, je len remercie, me donne un rendez-vous pour le lendemain matin. A lheure dite, je suis dans son cabinet ; cest un homme denviron 50 ans, qui me reçoit et qui écoute mes doléances. Puis il me demande de me déshabiller et de mallonger sur la table. Son diagnostic est rapide : petit déplacement du sacrum, rien de bien grave, mexplique -t-il mais il va me falloir vous faire une manipulation, pas toujours très agréable. Sans poser plus de question, je lui donne mon accord, et me faisant mettre à plat ventre, il me retire mon slip et ses doigts se promènent sur ma colonne, ce qui rapidement me donne le frisson ; il sen est aperçu et il me demande si jai froid ;
Comment lui dire que ce nest pas le froid, mais la douceur de ses mains qui me donnent le frisson ; un simple non, mais je pense quil a compris. Puis soudain, il dépose un gel sur mon anneau, et tout en mexpliquant quil ne peut accéder à mon sacrum que par un touché rectal, son doigt me pénètre et vient sappuyer contre los récalcitrant alors que sa deuxième main, me soulevant le bassin mécarte la jambe. Sa main frôle mon sexe ; le problème pour moi, cest que sous leffet de la pénétration et le frôlement de sa main sur mon bas ventre a vite fait de me faire bander ; dautant plus que son doigt est toujours actif et quaprès une légère douleur lors de la manipulation, je commence à sentir monter mon plaisir. Jai beau essayer de me retenir un gémissement sort de mes lèvres, et pour que son doigt senfonce un peu plus, je recule mon bassin, moffrant ainsi à sa possession. Alors que son doigt me fouille maintenant franchement, sa main a emprisonné mon sexe bandé et quand il me demande si Cela va bien, je ne peux retenir un oh oui de plaisir.
Soudain, il retire son doigt , et me demande de me retourner ;je devrais sans doute être gêné car mon membre est bandé, mais au contraire jécarte mes jambes le plus possible, moffrant ainsi à lui ; il me remonte les jambes et à nouveau un doigt, puis rapidement deux me sodomisent, alors que sa main joue avec ma tige ; il ne me branle pas, il me caresse, me frôle les bourses, remonte sur ma tige pour agacer mon méat ; à ce petit jeu , je ne résiste pas et alors que ses doigts me défoncent le conduit, jéjacule, me mordant pour ne pas crier.
En rentrant, jexplique à ma femme quil veut me revoir sans autre précision ; pour elle pas de problème, elle va en profiter pour sortir avec son amie.
19h45, je suis devant le cabinet ; étonné je constate que celui -ci est éteint. Malgré tout, je sonne et cest par la porte de sortie quil maccueille ; sa tenue nest plus la même ;en très décontracté, je remarque mieux son physique ; bel homme, bien charpenté, avec au niveau de son jean, à priori un beau paquet qui tend bien le tissu ; il sait pourquoi je suis là et à peine la porte refermée, il mentraine vers son appartement et dès notre arrivée, il me fait mettre à genoux, baisse son jean et se plaquant contre mon visage, il se frotte la tige contre mes lèvres ; en peu de temps il est bandé et sa queue force mes lèvres « vas-y suce moi, jai vu cet après-midi que tu aimais te faire prendre et ce soir, tu es à moi, » jai à peine ouvert mes lèvres que sa bite senfonce en moi, et me prenant la tête à deux mains, il se branle, senfonce au plus profond , puis se retire pour que je lui lèche les couilles ;elles sont lourdes et épaisses et cest avec un vrai plaisir que je les gobes, les faisant rouler dans ma bouches. Cest lui qui mène le jeu et à nouveau, il se plante dans ma gorge, senfonçant en gorge profond, ; presque étouffé, jessaie de me retirer, mais il insiste, se retirant au dernier moment pour que je reprenne lair avant à nouveau dinvestir ma bouche ; sy reprenant ainsi à plusieurs fois, jai les larmes aux yeux , tellement il me fait suffoquer.me plaquant sa main sur mes attributs, il se moque « tu vois tu aimes cela » il a raison, cest la première fois quun homme me domine, même si jai souvent eu des rapports homo. Et dans sa main cest une queue bandée quil enserre.
« Tu aimes être une petite femelle et je te promets que ce soir tu vas en être une ; jai invité un copain qui comme moi aime baiser les petites salopes de ton genre, et tu vas être servi car tout comme moi, il est endurant et à nous deux, nous allons te défoncer. Tu venais pour jouir, tu vas être servi, je peux te le dire » il a accéléré sa saillie buccale et soudain, maccrochant la tête pour que je ne puisse me reculer, il jouit brutalement ; ses jets, chauds et nombreux viennent sécraser contre mon palais et bientôt ma gorge est pleine de semence ; toujours collé à mes lèvres, je ne peux quavaler, au risque de m ; peu importe pour lui, il se répand complétement et quand il se retire, le trop plein sécoule de ma bouche. Il ne lui faut pas longtemps pour rebander ; il faut reconnaitre que ma bouche ne reste pas inactive et que mes doigts lui triturent les couilles. Enfin raide, il me retourne et me plaquant sur le bras du canapé, il se présente devant mon anneau, et son gland force le passage ; mais sans avoir été préparé, le passage est difficile et me claquant les fesses, il pousse sans ménagement ; quand sa queue perfore lanneau, je ne peux retenir un cri de douleur ; il nen tient nullement compte, bien au contraire et dune violente poussée, il senfonce jusquaux couilles. mais la douleur est intolérable et jessaie de me dégager, mais memprisonnant les hanches, il me sodomise fougueusement ; mieux même, il se retire et à nouveau senfonce dans mon fondement ; il me baisse, me sodomise sans tenir compte de ma douleur ; douleur qui peu à peu sestompe devant le plaisir qui menvahit ; mes gémissements me trahissent et accélérant sa enculade, il me dit « tu aimes cela, elle te fait du bien ma queue » comme je ne réponds pas , il me percute un peu plus « répond, tu aimes ma queue, tes une petite salope, je le sens et bientôt tu vas gueuler de plaisir »
Il ne se trompe pas, sous ses coups de butoirs, je sens ma jouissance monter ; ma queue est raide, ce qui est rare quand je me fais prendre ; et afin de le provoquer un peu plus, je lui avoue mon plaisir « oui jai ta queue , défonce moi, remplit moi de ta semence , jai envie de tappartenir de jouir , oui je suis ta petite salope « sa bite me défonce , mamenant à cette jouissance complète et sans même me toucher jéjacule sur le sofa.
Peu de temps après la sonnette retentie et je vois arriver un grand black, facilement 1.90 et une armoire à glace ; si le reste est à sa mesure, je crois que je vais déguster ; le toubib me présente « voilà la petite lopette que je toffre, prends là, défonce là, elle est prête à tout et elle va apprécier avoir ta bite dans le cul ; prends-la maintenant, elle est encore ouverte »
Rapidement, il est à poil et effrayé, je constate quil est monté comme un taureau, le gland, découvert est énorme et sa bite est logue et épaisse ; je ne me suis jamais fait prendre par un tel morceau ; pour lui par de problème, il bande déjà et quand il membroche, sa queue me déchire malgré ma précédente sodomie ; je gueule de douleur mais rien ne larrête, il a décidé de me prendre à fond et quand son gland est rentré, il senfonce sans ménagement ; son membre me remplit complètement me dilatant les parois, et quand ses couilles frappent mes fesses, son gland me percute la prostate. Sa possession va durer longtemps, sarrêtant quand il est sans doute prêt à jouir, mais sans jamais ressortir de moi ; mon conduit dilaté au maximum sest enfin adapté à son membre et petit à petit mon plaisir remonte ; il le ressent et accélérant brutalement ses coups de butoirs, il me fait jouir ; mes cris remplissent la pièce, je moffre, je me donne à lui criant ma jouissance ; je suis épuisé mais maintenu par ses bras puissants, jaccepte sa saillie.
Cest au radar que je reviens chez moi ; il est tard, mais heureusement ma femme nest pas de retour et je cours prendre une douche car je sens le sperme à plein nez ; ensuite je mécroule sur le lit ; épuisé, mais conscient que je viens de franchir un cap et que je retournerais chez mon ostéo
A suivre
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