Après Le Boulot, Des Routiers...
Je suis I... cela signifie en grec « chaste, pure »
25 ans, chargée de recrutement. Blonde et belle, les yeux bleus qui pétillent denvie quand quelque chose me plaît, jaime être sage et douce dans ma vie professionnelle et personnelle. Mon mec est un mec cool. Je laime.
Voilà pour le côté perso et c est tout puisque lintérêt est ailleurs. Jai des envies terribles. De sexe. Toujours. Assise devant des gars qui viennent parler boulot, je suis souvent empalée sur un plug anal. Je me tortille souvent pour les besoins de mon boulot en passant de lordi à limprimante à des documents dans les tiroirs
vous voyez ? . Je mouille comme une chienne tandis que je leur propose des missions à droite, à gauche. Le local où je bosse est sécurisé. laccès, les locaux alentours
alors quand jai fini mon job, lordi éteint, les stores baissés, je me branle souvent la chatte, je joue avec le plug et je jouis comme une folle
Ensuite, je nettoie tout ça, lingette, sopalin, le plug dans une poche et je rentre sagement rejoindre mon homme.
Oui, tout est sage, ordonné
Trop sage. Trop ordonné.
Jai pas mal de kilomètres pour rentrer chez moi. Pas mal denvies fulgurantes de sexe, aussi. Je me sens pute
quest ce que je me sens être, bien au fond de moi une grosse putain !
Alors vient un soir, il y a peu, où je ne rentre pas directement. Enfin si, mais je passe par lautoroute. Même trajet mais plus rapide et payant. De toute façon, mon homme ne rentre pas avant trois heures minimum aujourdhui. Je roule vite dans la nuit tombante. Je nai pas enlevé le plug ce soir. Mon corps est comme bloqué, mon cur accéléré et mon esprit fou, grisé par cette expérience que jentame. Sans savoir, sans but exact
juste envie daller sur ce parking de lautoroute. jy suis. Je mouille. cest sombre, glauque. Cest ce que je veux. Jai peur, un peu. Je me gare. Des camions pas loin. Trois. Je descends. Je suis bien habillée, ça fait pas salope.
Ma main est comme dirigée par mon sexe. Jouvre la porte. Nimporte qui peut se trouver là. Répugnant, vieux, sale
Mais cest fait, juste un filet douverture et je devine un bout de pantalon, un tee-shirt
il me tournait le dos, déjà résigné ? puis il fait demi-tour, il vient. Accroupie au dessus du carrelage jaune, la chatte à lair, je vois la forme simmobiliser et
me...mater. Je ferme les yeux et mes doigts glissent sur ma chatte
la porte souvre, le courant dair me fait trembler deffroi. jentends les vêtements de plus en plus proche
jentends le verrou derrière lui. Il ferme. Un silence. Il mate. Puis un bruit de zip. De ceinture. Alors jouvre les yeux. Je regarde par en dessous, comme une petite nana craintive devant son maître
il est vieux et immonde. Poilu, barbu, il fait sale. Il a un gros ventre qui dépasse au dessus de son jeans crado. Il baisse son slip à hauteur de mes yeux. cest une bite qui se détend dun coup, un gros boudin ridé, poilu, et dessous, deux grosses couilles hideuses. Il pose sa main sur ma tête et il vient imposer sa queue déjà raide à ma bouche. Puis il parle. Je ne comprends rien. Un mec dEurope de lest. Quel pays ? Je men fous, jouvre la bouche et je gobe ce gros zob répugnant qui pue.
Il rit. Il navait de toute façon certainement pas envie de payer. Il recule dun coup. Il mate ma chatte il se penche et récupère le plug. Il saccroupit. Il pue de la gueule. Il rit et promène mon jouet sur mon visage, mes lèvres
puis tout en me fixant dans les yeux, il me lenfonce dans la chatte. Il me branle ainsi deux bonnes minutes. Je jouis en tentant de garder le silence. Il rit encore. Il se relève. « Toute nue ! »
Cest un ordre. Jobéis. Je remets mes chaussures. Des baskets. Il me dit que non. Je dois les enlever. Toute nue face à un gros porc. jai envie de lui. De sa bite bien raide. Elle est aussi laide que lui. Elle est immense. Elle brille denvie. Il moblige assez durement à me coucher sur le sol froid, sur le dos. Puis il écarte mes cuisses quil tient levées, et sa bite trouve seule ma chatte. Il me fourre dun coup jusquaux couilles. Je suis sa pute et je lui dis
« vas-y, fais ce que tu veux ! »
il me détruit la chatte pendant de longues minutes. Il tripote mes seins, il replace le plug dans mon cul, il le ressort et me le fait sucer
sa bite me fait un bien fou e je ne peux plus me retenir de crier . Je jouis et tout le parking est sûrement au courant. Il se penche pour membrasser. Sa langue senfonce dans ma bouche ? jai envie de vomir puis, en quelques instants, je my fais. Il me roule un patin denfer. Une langue chargée, vicieuse
il redresse et il se contracte. Il hurle à son tour. Sa bite tape au fond de ma chatte et il se déverse en longs flots quil accompagne de mots dans son langage mais que jimagine doux à mon égard.
Il rit. Il recule et sa bite toute luisante de sperme et et ma mouille est suivie dun flot de son jus épais qui coule sur le carrelage.
« toi, tappeler ? »
« I.. ».
Il rit. Il est content. Il pourrait être mon père, voire mon grand-père. Je maccroupis. Sa bite encore dure me fait de leffet alors je me branle le clito. Je pourrais aussi faire cela avec tous les gars que jai placés dans les entrepôts de la grosse entreprise dune grande chaîne de distribution pour laquelle je travaille essentiellement
il me donne affectueusement sa queue à sucer
je nettoie cette chair rougie par le plaisir. Un peu de jus blanc, presque gélatineux sen échappe encore, je dépose cette offrande sur ma langue et je lui montre . Il se penche et il se racle la gorge
. jai peur
je peux fermer la bouche et stop
mais je le laisse faire. Il dépose un crachat sur ma langue. Le mélange visqueux est ramené dans ma bouche. Javale. Je ne suis pas une pute, je suis une dépravée et jadore.
Il réajuste ses vêtements. Je reste ainsi, pute. Il ouvre la porte et on sort ensemble. Un gars dans le couloir sombre. Un vieux. Je suis nue et pute, mon plug à la main, mes vêtements das lautre. jai enfilé mes baskets sans façon
Encore un gars plus loin. Un gros mec
Mon baiseur, lui, rit grassement. Il dit juste « Grosse pute française »
Puis il me repousse gentiment vers les toilettes tandis quil séloigne vers son camion. Les deux gars approchent. Ils sortent leurs queues. Il fait noir et un peu froid. Je maccroupis. Mes vêtements abandonnés à côté de moi, je prends en bouche une bite. Puis lautre. Jalterne. On découvre mon plug, on me linsère. Les deux gars sont des rustres, sans trop déducation
ils me font la misère, enfermée dans les toilettes avec eux, je passe une heure terrible, mes trous sont souillés, je suis humiliée, enculée, remplie de jus, de crachats. Ils privilégient mon anus quils lubrifient généreusement. Ils me font goûter régulièrement à cette sauce, dailleurs, grâce au plug. Je demande de la pisse à la fin et on me pisse dessus.
je me rhabille. Je sens si mauvais.
Je rentre et je prends une douche. Mon homme arrive une heure après. On parle, on mange.Lair de rien pour moi. jai envie de bites
Je vais en sucer, des bites cet hiver sur ce parking, je le sens
cet été, jirai sucer tous ces pervers par dizaines, dans les dunes de lOcéan atlantique, à une heure dici
Ils pourront me remplir à fond
je trouverai bien des journées à moi, seule. Mon homme est toujours daccord pour que je moccupe de moi.
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