Pour Une Chute Suite1
Pour une chute, ostéo2
Pendant deux mois, je suis retourné chez cet ostéo, trop heureux davoir trouvé un maitre qui me fasse jouir ; jétais son objet et il moffrait régulièrement à ses amis. Plusieurs fois il mavait questionné sur ma femme et il voulait savoir si elle était au courant que jétais devenu une petite salope qui se faisait démonter régulièrement et qui soffrait sans aucune résistance ; il faut dire quil avait pris toute ma volonté et que je lui obéissais sans réserve, allant même jusquà moffrir pour un week-end à ses amis (cest une autre histoire à venir). Ma femme était heureuse de voir les progrès du traitement et parlait parfois dy prendre rendez-vous pour des cervicalgies résiduelles.
La surprise est venue un soir vers 19 heures quand jai reçu un appel : pas de paroles, mais manifestement, dans le combiné je distinguais facilement les bruits du lit et les halètements de plusieurs personnes, puis soudain la voix de lostéo, menjoignant de venir chez lui aussitôt. Un peu surpris, mais tellement habitué à lui obéir, je me suis précipité ; il mattendait et se mettant un doigt devant la bouche pour me faire taire, il mentraina vers la chambre que je connaissais bien et doù manifestement venaient les gémissements ; et là le tableau devant mes yeux me laissa pantois.
Une femme, à cheval sur la tige dun homme sur le dos, se faisait prendre en double, le deuxième lui bourrant profondément le cul ; un bandeau sur les yeux, elle se faisait défoncer, encourageant ses deux amants à la faire jouir, à la prendre comme une petite pute, et à lengrosser de leurs spermes ; il ne me fallut pas longtemps pour comprendre que cette femme était la mienne, se livrant à son tour aux envies de de mon maitre. Maintenu par lui, jai dû assister à leurs ébats ; les deux hommes la possédaient furieusement et lorsque je pouvais voir leurs sexes, je pouvais constater quils devaient combler les deux orifices.
Puis brutalement, René (lostéo) me dit de me déshabiller, puis me caressant la tige, il enleva le bandeau sur ses yeux. Un peu ébloui, elle constata rapidement ma présence et ses yeux se sont aussitôt portés sur mon sexe bandé ; un sourire apparu sur son visage : « tu peux voir que moi aussi jaime me faire défoncer, et tu peux me croire quils sy prennent mieux que toi ; cela fait deux heures quà eux trois ils me possèdent (et oui rêne aussi) et ils mont fait jouir je ne sais combien de fois et je suis pleine de leur sperme. Regarde comme ils me remplissent mes deux trous et comment ils vont me combler »
Puis se détournant de moi, elle cambra ses reins , senfonçant ainsi profondément sur la queue qui la sodomisait ; lhomme un sourire narquois aux lèvres se remit à la pistonner, la propulsant à chaque fois sur la queue dans sa chatte ; il ne fallut pas longtemps pour quà nouveau ses feulements de jouissance retentissent, dautant plus que parfois lhomme retirait son mandrin de son anneau pour mieux la perforer dune seule poussée ;pour elle à chaque fois sa bouche souvrait , rejetant un cri strident signe de la puissance de la saillie. Soudain, sa jouissance déferla, longue, bruyante et foudroyante ; puis elle sécroula ; se retirant de ses entrailles, les deux hommes se retournent vers moi, et tandis que lun me possédait sans préparation, lautre enfourna sa queue entre mes lèvres ; alors que les deux hommes me possédaient, je pus voir le regard de ma femme, constatant ma soumission.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!