Les Interviews De Sophie
Un nouveau récit sous l'oeil de mon voisin vicieux et dans les bras d'une belle journaliste que j'ai malheureusement perdu de vue...
Je me prélassais sur ma terrasse, profitant des rayons du soleil de ce début de mois de juin. Ma peau laiteuse était en mal de lumière, il me fallait retrouver des couleurs après un hiver glacial et un printemps capricieux. Javais ressorti mon bikini de son tiroir et mon transat du placard, jétais parée à redorer !
Alors que jattaquais le second chapitre du dernier Despentes que mon joli libraire mavait fortement conseillé, mon il fut attiré par un reflet de lumière provenant de la fenêtre de mon voisin den face. Le coquin ! Il ne lui fallait jamais plus de trois minutes pour sinstaller à son poste de matage dès quil se passait quelque chose du coté de mon immeuble. Comme à mon habitude, je décidais de faire semblant de rien, parce que, comme à mon habitude, la situation mexcitait rapidement. Je retirais souvent le haut de mon maillot, et, certains jours, lui faisait le plaisir denlever également le bas. Sen suivait parfois quelques jeux de jambes « croisées- décroisées », après quoi je lui offrais le spectacle de mes caresses intimes : je me palpais longuement les seins, massais mon ventre et mes cuisses, pour finir par titiller mon petit bouton jusquà me tordre de plaisir. Ce petit jeu durait depuis deux ans déjà. Mais cette année, le « Voyeur invisible », comme je lavais surnommée, navais encore assisté à aucun de mes spectacles ; les températures extérieures navaient pas été propices à leffeuillage.
Mais ce jour-là, un tintillement interrompit mon petit numéro.
Jattrapais au vol mon paréo préféré et le passais rapidement autour de ma taille avant daller ouvrir la porte. Je restais immobile en découvrant la présence de celle qui avait actionné la petite clochette indienne qui me faisait office de sonnette. Stupeur ! Une femme plantureuse devant ma porte.
Elle te dit quelle vient écrire un article sur toi et tes recherches. Elle te demande si ça ne te pose pas de problème, sinon ce nest pas grave, elle te recontactera. Elle te demande ton numéro de téléphone ! Elle regarde tes seins ! Bon sang mais dis quelque chose !
- « Non non pas du tout ! murmurais-je.
- Excusez-moi ? Pas du tout, cest-à-dire, vous ne voulez pas que jécrive quelque chose sur votre travail?
- Si ! Si, bien entendu ! Excusez-moi, je suis un peu troublée. Je nai pas lhabitude de recevoir daussi belles femmes sans my être à l avance préparée.
Jadorais les femmes. Je massumais en tant que bisexuelle depuis mon adolescence et plus les années passaient, plus je madonnais aux plaisirs saphiques. Il ne mavait pas fallu longtemps pour tomber dans le jeu de la séduction avec cette magnifique jeune femme.
- Vous êtes trop gentille vous
Merci pour le compliment ! Ça me touche beaucoup, venant dune femme aussi sexy !
- Merci ! Entrez je vous en prie. Installons-nous sur la terrasse, il fait si beau ! Vous buvez quelque chose ?
- Je veux bien un verre deau sil vous plait.
Je la regardais traverser le salon avant de me diriger vers la cuisine. Quel superbe déhanché ! Une jupe moulante épousait à la perfection ses jolies fesses rondes, et jappréciais sa longue crinière qui dévalait en cascade jusquau creux de ses reins.
Je la rejoignais dehors et minstallais la table ou trônaient déjà son ordinateur portable et son appareil photo. Elle me posa diverses questions, et jeus la surprise de constater quelle connaissait très bien mon travail. Elle savait ou je métais rendue et quand, et semblait particulièrement intéressée par mes recherches. Je nen fus que davantage émoustillée, cétait extrêmement rare que des journalistes aient des questions pertinentes sur des travaux aussi précis.
Lentretien terminé, elle me demanda si elle pouvait me prendre en photo.
Jhallucinais. Depuis toujours, les femmes qui ne faisaient pas de détour étaient celles qui mexcitaient le plus. Si jaimais parfois être celle qui entreprenait, cela ne me dérangeais jamais que lon prenne des initiatives à ma place. Au contraire ; cest si bon de se sentir désirée !
- Daccord, jaccepte. Amusons nous un peu, nous lavons bien mérité, après cette riche discussion. Ou voulez-vous que je me mette ?
- Sur votre transat. Oh ! Vous lisez Virginie Despentes ? Vous aimez ?
- Je naime pas, jadore. Cette femme nous renvoie à ce que nous avons laissé faire à la société. Heureusement quil existe aujourdhui des écrivains comme elle. Sinon, nous oublierions tout du monde de dingues dans lequel on vit.
- Je suis assez daccord. Vous voulez bien le prendre et le lire ? Et sans le paréo, ça serait encore mieux.
Jacquiesçai et défis le nud qui reposait sur ma hanche. Le tissu glissa, je me baissai pour le ramasser, en oubliant de plier les jambes. Jentendis le déclencheur de lappareil photo sactiver. En rafale !
- Mais ! Je ne me suis pas encore installée ! lui fis-je remarquer.
- Justement, ce sont ces moments-là les plus beaux ! Ceux où vous ne vous attendez pas à être prise en photo. Surtout vous, vous avez un charme naturel, vous navez pas besoin de poser !
Que de compliments ! Si elle continuait comme cela, je nallais pas tarder à frissonner de désir et à projeter de quelle façon jallais pouvoir lallonger sur la table de jardin se tenant juste derrière elle. Surtout que son décolleté, quand elle se penchait au-dessus de mon corps allongée pour le prendre en photo, me faisait profiter dune vue imprenable sur ses deux gros seins qui semblaient peinés à rester blottis dans son soutien-gorge.
Mais jeus à peine le temps de penser à mes anciens actes de libération de nichons. Ma belle journaliste, Sophie de son prénom, me modelait comme une marionnette pour prendre les photos quelle voulait. Elle jouait avec mes jambes, les écartant, entre chaque clic, un petit peu plus encore. Je commençais à chauffer, ce qui me fit prendre part à son petit manège. Ancienne danseuse, je savais jouer de mon corps pour me rendre le plus sensuelle possible. Nous fîmes une série de photos toutes plus chaudes les unes que les autres. Elle finit par détacher mon haut et arrêta son regard sur ma poitrine. Elle me fit remarquer que javais des tetons gros et excitants, posa son appareil photo et vint sassoir sur le transat à côté de moi. En un geste, elle tirait déjà sur mes deux mamelons, faisant rétrécir leurs aréoles au maximum et les faisant pointer comme jamais. Je ne pus retenir un gémissement, ce qui la fit pincer plus fort encore.
Je posai alors ma main sur sa cuisse chaude, et commençais à la caresser. Elle se pencha sur moi, membrassa longuement. Je lui fourrai ma langue dans la bouche et la fit tournoyer avec délice, la mêlant à la sienne. Puis je lui embrassai, lui aspirai, lui léchai ses lèvres pulpeuses, rendant ses mains un peu plus folles encore
Nous étions bouillantes. Ma main sur sa cuisse était remontée jusquà trouver le fin tissu de son string. Longtemps, jen effleurais du bout des doigts la dentelle, puis avec ma paume, je me mis à frotter, appuyer et frotter encore
je sentais rapidement leffet escompté se produire : elle commença à fondre sous laction de ma main, et se laissa aller, me tombant dans les bras. Elle oublia mes deux seins, et attrapa fermement le pied du transat, alors que son autre main vint écarter son string, me permettant de continuer mon massage spécial a même sa petite chatte.
Pensant soudainement au voisin, je jetais un coup dil dans sa direction ; il se tenait debout. Il avait, pour la première fois depuis quil me matait, oublié quil nétait pas « invisible », comme il pensait lêtre. Dhabitude, cétait seulement sa tête que jentrcevais, ou plutôt ses gros yeux écarquillés. Cette fois ci, il était nu comme un ver, se tenait le sexe et semblait se branler tout doucement en nous observant. Je décidais alors de lui offrir le plus beau spectacle de sa vie. Je minstallai au fond du transat et fit sassoir, devant moi, Sophie. Sa petite jupe remontée jusquau bassin, le string de travers, je ramenais alors son corps tout contre moi. Je me mis à frotter ma poitrine dans son dos, puis à deux mains, lui déboutonnai son chemisier. Je mattardai alors sur ses seins, magnifiques, que je fis sortir de leur méchant soutien-gorge. Je les palpais avec délice, en lui embrassant le cou et la nuque, lui murmurant quelques mots à loreille.
- « Mmmmh tu te donnes bien à moi
tu aimes toi aussi quon te pince tes jolis petits tetons ? Et ta petite chatte, quest-ce quelle dit ?
Oh la la elle est tellement humide ! On dirait que tu as faim. On dirait que tu vas me laisser faire tout ce que jai envie avec ton corps aujourdhui. Tu es daccord ? »
Je nobtins comme réponses que de vagues gémissements, ce qui mincita à continuer. Je gardai une main sur ses seins et fis dégringoler lautre jusquà son pubis. Un joli ticket de métro lornait, avec lequel je mamusais un peu, faisant tournoyer une jolie bouclette entre mes doigts. A chaque fois que mon index tournait, mon annulaire et mon auriculaire lui effleuraient le clitoris. La belle commençait à écarter les jambes de plus en plus, me confirmant quelle était affamée et pleine de désirs. Je descendis un peu plus bas et trouvait lentrée de son sexe ruisselant. Jy déposais deux doigts, qui furent vite happés dans son tunnel au plaisir. Jentrepris de la doigter avec fougue dès le début. Elle ne voulait pas de douceur. Elle était comme les autres, comme moi : sous ses airs angéliques, cest avec vigueur et autorité quelle aimait quon la baise.
Belle et rebelle, soumise juste quand il faut ; cest ainsi que la femme est faite, parfaite. Beaucoup dhommes nont pas encore compris toutes nos richesses. Mais je me perds
revenons à notre terrasse
La tête sur son épaule, ma main malaxait sa poitrine, pendant que la seconde doigtait son puit damour avec passion. Javais déjà trois doigts en elle mais ça ne me suffisait pas. Jen glissais un quatrième, et commençait à entendre ce son que jaimais tant, celui provoqué par la rencontre entre ma main glissant dans sa jolie chatte et sa cyprine si abondante dégoulinant le long de ses parois de velours. Massurant que le bruit allait bien crescendo, je lâchais alors ses seins pour venir littéralement astiquer son gros clitoris tout rose avec deux doigts. Bien à fond, comme je savais le faire. Elle se laissa complètement aller et me cria daccélérer encore le mouvement. Son corps était complétement tendu, ses orteils, ses doigts et son visage crispés, elle émettait de petits cris qui mexcitaient et mencourageaient. Je levais un il discret de temps à autre sur le voisin qui avait suivi le tempo et se branlait désormais aussi rapidement que je triturais le clito de ma partenaire. Elle me dit alors entre ses dents :
- Tu me fais décoller. Je vais jouuuiiiiiiiirrr
Un flot de jus transparent jaillit alors de sa belle minette. Je lus la surprise dans les yeux de Sophie, ce qui me fit sourire, et surtout continuer à agiter son bouton damour. Un second jet, plus long, arriva alors. Je lui dis de se laisser aller, que cétait un bonheur pour moi de la faire gicler de la sorte. Quelques jets suivirent, moins impressionnants, mais jolis quand même. Je lâchais alors prise et elle se laissa tomber entre mes bras.
- Cétait trop bon. Je ne savais pas que jétais capable de
faire cela. Est-ce que cela tarrive aussi ?
- Tu veux vraiment le savoir ? Alors suis-moi. Tu vas devoir trouver la réponse toute seule.
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