Kary-15
Il y a eu aussi des fins de semaine ou jai vécu le yin et le yang. En juin, lan dernier cela a été ma première expérience du genre
En fait cétait un jeudi de congé, ce matin-là, je me suis réveillée lentement, jétais toute courbaturée, je voyais Madame au travers les barreaux, la porte de la cage était ouverte.
Il faut que je vous dise. La veille javais terminé mon quart de travail à minuit et javais suivi les instructions de Madame. À minuit trente je suis entrée dans le domaine chez Madame et jai stationné ma voiture devant lun des garages au début du domaine. Madame a fait transformer ce garage en véritable donjon. Donc je suis entré à lintérieur et je me suis mise complètement nue. Après avoir fait ma toilette jai pénétré dans la cage au fond de la pièce, jai refermé la porte et enclenché le cadenas, clic. Voilà jétais prisonnière pour la nuit selon les volontés de Madame.
-Lève-toi petite paresseuse.
-Oui Madame.
-Aujourdhui je vais tester certaines de tes aptitudes et limites, je vais bien mamuser.
-Heu
-Tu vas être courageuse et tu vas te dépasser nest-ce pas petite salope.
-Oui Madame je vais tout faire pour votre satisfaction.
-Va faire ta toilette du matin et revient ici immédiatement.
-Oui Madame.
Je suis donc sortie de la cage et à quatre pattes comme me lavait enseigné Madame je me suis dirigé vers les installations sanitaires au fond du donjon sans poser les genoux par terre pour y faire mon petit pipi matinal et prendre une douche. En traversant la pièce jai croisé Sylvie, la cuisinière, je ne men formalisais plus à cette période, car elle me voyait souvent dans de telle postures imposées par Madame. Je me souviens des première fois ou ses rencontres ont été fortuites javais de tel sentiments de honte, mais à présent sétait de la routine. Sylvie apportait les deux bols contenant mon petit déjeuner, jai vu quelle les a déposé non loin du fauteuil en cuir de Madame.
Après la douche je suis retourné vers mes deux bols de nourriture avec la même démarche humiliante. Et oui Madame a aménagé un vrai donjon dans ce garage. Et je peux vous dire quil est très bien équipé. Stéphanie et Nathalie qui soccupe de lextérieur du domaine de Madame sont très habillent en menuiserie. Car, outre les objets achetés en magasin spécialisé, toute la menuiserie nécessaire au donjon a été fabriquée par ces deux femmes, question de discrétion bien sûr. Et que dire de lémotion qui mavait envahi la première fois que je suis entrée dans ce donjon. Mon cur avait arrêté de battre un instant je crois.
Alors je me suis positionnée face à linscription quil y a sur mes bols conformément à ce que Madame ma enseigné. Cest écrit sur chacun deux «kary» en grosse lettre. Jai commencé à manger. Je savais quà chaque fois que je me penchais pour prendre de la nourriture dans un de mes bols ma tête très basse près du plancher faisait en sorte que mon cul était proéminent et que Madame avait une vue imprenable sur mes parties intimes. Mais jen étais maintenant venu à aimer cette sensation dexhibition face à Madame. Jaimais bien la savoir éprouver du plaisir à contempler mes parties intimes de mon corps que je lui offrais à présent sans réserve. Je faisais de mon mieux pour bien écarter mes jambes et de bien mettre en valeur mes fesses pour lui permettre de voir mon petit trou tout rose pour le plaisir de ses yeux.
-Mange bien petite salope car tu vas avoir besoin de toute ton énergie aujourdhui.
-Oui Madame.
Javais avalé tout le contenu de mes bols. Fromage, toast, fruits, noix et un peu de liquide au fond qui était du café. Cela faisait une belle gibelotte, mais comme disait toujours Madame une fois dans lestomac cela ne ressemble plus à rien de toute façon.
Une fois mon repas terminé Madame sest levé et a retiré quelques pièces du plancher devant moi. Au centre du donjon il y a une portion du plancher qui est constitué de plusieurs planches bout à bout qui referme une cavité. Madame a installé une planche avec une portion concave. À la demande de ma Maîtresse jai descendu la tête dans la cavité et à laide dune autre planche munie du même type elle a coincé ma tête à lintérieur de ce trou au milieu du donjon. Puis en ajoutant dautres planches pleines elle a complètement refermé la cavité. De lextérieur je devais ressembler à une autruche avec la tête dans le sable.
Ensuite elle a fixé mes poignets à une planche devant moi grâce à des illets incrustés dans celle-ci. Elle a aussi fixé mes deux chevilles sur une autre planche avec le même procédé. Le cul bien en évidence et mon esprit dans le noir total sous ce plancher, Madame mavait complètement sous son contrôle.
Je suis resté dans cette position plusieurs minutes sans entendre le moindre bruit. Je ne savais pas quest-ce qui arriverait ensuite. Mon esprit vagabondait de supposition en supposition. Sétait langoisse. Madame en profitait surement pour admirer ma croupe offerte, Elle y voyait peut être une forme duvre dart, un morceau de corps émergeant du plancher
Hum
Elle était peut-être retournée sassoir dans son fauteuil pour observer ce plaisir pour les yeux.
Puis tout à coup mon cul a été pris dassaut. Au début jai senti les mains de Maîtresse heurter mes fesses pour les chauffer et les rougir. Jaime tellement cette sensation de chaleur et de pincement. Puis encore quelques minutes sans rien. Puis à nouveau des coups sur mes fesses, puis un autre intervalle sans rien. À chaque fois lintensité devenait de plus en plus grande. Finalement jai eu droit au paddle. Chaque coup me faisait terriblement mal.
Clacccc, Clacccccc,
-Ouchhh! Ouchhh!
Chaque coup résonnait comme un bruit sourd au travers les planches dans ma cavité sombre, mais chaque impacte sur mes fesses devenaient de plus en plus pénible.
Finalement après je ne sais combien de temps lassaut sur mes fesses a cessé. Madame ma libéré de cette fâcheuse posture et à placé un bandeau sur mes yeux. Elle ma fait placer en position debout au centre de la pièce, les mains attachées dans le dos, après avoir refermé le trou. Puis tout en tournant autour de moi.
-Alors petite salope maso, tu es heureuse de mappartenir.
-Snif! Ouuuuii MMMadame Snif!
Javais encore les larmes qui me sortaient des yeux, mais qui restaient prisonnières du bandeau. Les fesses me faisaient terriblement mal. On aurait dit quun incendie cétait déclaré dans mon sous-sol corporel.
-Tu aimes souffrir pour moi.
-Snif! Ouuuuii MMMadame.
-Bonne petite pute va
Tu aimes vraiment ta Maîtresse?
-Oui Madame je vous aime beaucoup.
-Est-ce que tu penses que Karine aime Pénélope?
-Ho! Heu! Oui
Madame, Karine aime beaucoup Pénélope.
-Si Karine est avec Pénélope, tu crois quelle va lui démontrer beaucoup daffection?
-Certainement Madame.
-Tu en es certaine?
-Ho! Oui Madame, Karine aime vraiment beaucoup Pénélope.
-Jespère que tu dis vraie petite salope.
Madame ma ensuite poussé vers le seul poteau de la pièce. Elle my a adossé et fixé les chevilles, la taille et les épaules avec de la corde. Javais toujours les mains attaché derrière le dos.
-Tu es certaine de vouloir me faire plaisir et de souffrir pour moi salope.
-Oui
Madame.
-Bien
Jaime bien te voir gémir et voir ton joli visage se transformer par la douleur. Hum
-Heuuuu! Snifff!
Soudain jai senti le fouet sabattre sur mes seins.
Slaaccc! Slaaaccc!
De temps en temps la lanière du fouet arrivait directement sur le bout de mon sein. Quel horreur, quelle douleur.
-Ouchhhh! Ouchhh!
Je sentais mes seins ballotter dans tous les sens. Ils se sont faits malmenés comme cela, longtemps, très longtemps. Après le fouet, Madame avait continué de leurs faires la vie dure avec ses mains. Tantôt me les giflant, tantôt me les tordant. Lorsquelle a vu que je pleurais comme une madeleine et que mon corps était envahi par des spasmes de plus en plus rythmés et violent, tout sest arrêté. Le seul son que lon pouvait entendre à présent dans le donjon était le son de ma respiration rapide, mes reniflements et mes pleures. Madame, surement assise dans son fauteuil, contemplait sa chose vibrée au rythme de ses pleurs, toujours bien fixé au poteau de la souffrance.
Après un long moment à lintérieur duquel je métais calmé, Madame a commencé une conversation avec moi qui ma un peu débalancé. Quoiquelle ait déjà abordé le sujet subtilement, cette fois ci elle a été un peu plus précise. Elle ma parlé dune possible relation vanille entre nous, une relation ou elle serait quand même toujours en contrôle sur moi bien entendu. Elle voulait une relation dans laquelle elle pourrait me suivre en terrain vanille devant mes proches sans éveiller les soupçons. Une relation ou nous pourrions évoluer à la vue de tout le monde tout en gardant notre côté bdsm enfoui sous ce masque vanille. Je crois que cest pendant cette conversation quelle ma déclaré indirectement son amour pour moi.
Puis lheure du diner est arrivée. Jétais toujours attaché au poteau et cest elle qui ma fait manger. Du moins cest ce que je pensais jusquà ce que mon bandeau me soit enlevé. Jai alors vu Madame bien assise dans son fauteuil de lautre côté du donjon qui mangeait tranquillement à son aise. Et cest Sylvie, cette femme de 42 ans, la cuisinière de Madame qui portait à ma bouche la nourriture. Jétais rouge de honte, Madame souriait dans son coin.
Après le repas Madame est venu remettre mon bandeau. Elle ma détaché du poteau et ma ensuite fixé les poignets en direction du plafond et jai eu les chevilles fixées au plancher grâce à des anneaux prévu à cet effet. Notre conversation sur la façon dont notre relation sorienterait à lavenir a continué durant un long moment.
-Madame jai envie.
-Et puis
-Puis-je aller à la toilette sil vous Plait.
-Tu nas quà ne pas te retenir, cest tout, salope
-Mais Madame
-Il ny a pas de Madame
Petite insolente
Sur ce jai senti des coups de fouets dans mon dos. Madame sen donnait à cur joie. À chaque coup je courbais le corps.
Slacccc! Slacccc! Slacccc! Slacccc!
Aouchhhh! Aouchhhh! Aouchhhh! Aouchhhh!
Puis dans la douleur, sans men rendre vraiment compte jai laissé se vider ma vessie. Jai senti mon urine couler sur mes jambes. La honte narrivait pas à supplanter la douleur des coups de fouets. Et cest debout dans une flaque durine que Madame à finit de zébrer mon dos. Javais mal aux fesses aux seins et au dos, alors la flaque durine était le dernier de mes soucis. Ensuite je me souviens que Madame a placé une pince sur chacun de mes seins et a repris la conversation concernant notre avenir.
Ayant pris soin de fixer mes jambes bien écartées auparavant, elle en a profité tout en discutant avec moi pour me frapper la vulve avec sa main. Elle avait tellement bien fixé mes jambes quil métait impossible de les resserrer pour éviter les claque de Madame sur ma vulve. Mon système nerveux me renvoyait des sensations de douleur et de brulure provenant de toutes mes parties intimes et mon dos.
Ce fut une très longue journée à lintérieur du donjon. Javais mal partout et jétais littéralement vidé de mon énergie. Madame ma finalement détaché et a retiré les pinces qui étaient sur le bout de mes seins depuis bien trop longtemps déjà.
Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa!
Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!
Je me suis remise à pleurer, à renifler et à trembler comme jamais. La douleur est terrible lorsque les parties privées de sang en sont de nouveau alimentées après un certain temps.
Javais toujours les yeux bandés. Et cest ainsi, guidé par Madame grâce à un collier et une laisse, que nous avons regagné la résidence au milieu du domaine. Nue, les yeux bandées et tenu en laisse sur le chemin du retour, une conversation a débuté
-Bonjour Madame
-Bonjour mes chéries
-Passez une belle soirée Madame et à demain.
-Vous vous souvenez des consignes pour demain.
-Absolument Madame vous pouvez compter sur nous.
-À demain alors et bonne soirée.
Madame avait discuté avec ses domestiques. Javais reconnu la voie de Sylvie et Carole, mais impossible de savoir si les autres les accompagnaient. Nous sommes ensuite entrées chez Madame. Elle ma guidé jusquà mes plats pour que je puisse prendre mon repas. Tout en mangeant nous avons continué notre discussion qui modifierait notre relation à lavenir. Ensuite Madame ma accompagné à la salle de bain pour mes besoins naturels. Puis revenu au salon cette fois elle sest servie de moi comme appui pour ses pieds pendant quelle regardait ses émissions de télé favorites.
Puis, je ne sais combien de temps plus tard elle ma ordonné de prendre ma position au coin et dy rester. Alors cest à tâtons que je me suis dirigé vers le coin le plus près. Je me suis mise debout, face au mur et jai attendu. Plus tard, Madame est venue me chercher. Nous nous sommes déplacé dans la résidence, je ne savais pas où nous allions. Puis, arrêt complet. Madame a enlevé mon bandeau, ma laisse et mon collier. La pièce était sombre, très sombre, mais mes yeux arrivaient à voir quand même à cause que javais passé la journée dans lobscurité. Je me trouvais dans la chambre de Madame. Un endroit où je navais jamais mis les pieds. Au pied du lit il y avait un petit tapis et un oreiller. Je savais que cela était ma place pour la nuit.
-Voilà ton lit, si tu as envie cette nuit la salle de bain est juste la
-Daccord madame.
-Dodo à présent
-Bonne nuit Madame.
Madame est entrée sous ses draps et moi je me suis étendu en boule sur le tapis, jai posé ma tête sur loreiller et jai essayé de dormir en vain. Je ressentais encore toute cette douleur diffuse qui émanait de mon corps. La journée avait été particulièrement difficile, javais encore les yeux mouillés par la douleur. Après plusieurs tentatives pour trouver le sommeil ma vessie ma obligé à me lever pour aller à la toilette. Je me suis placé à quatre pattes et je suis allé à la salle de bain. Le couvercle du bol de toilette était baissé. Sur celui-ci il y avait un post-it. Il faisait trop noir pour que je puisse le lire. Jai allumé léclairage
« À partir de cet instant tu es Karine et cela pour le reste de la journée jusquà minuit nous sommes en mode vanille. Tu vas faire ta toilette et tu viens me rejoindre. Pénélope xx»
Mon sang sest glacé. Nous avions parlé toute la journée de cette éventualité, mais cétait nouveau pour moi et jétais nerveuse. Jai fait mon petit pipi, je me suis dirigé vers la vanité pour me brosser les dents, Madame avait tout prévu à cet effet. Lorsque je me suis regardé dans le miroir un grand frisson a traversé tout mon corps. Je voyais pour la première fois mon corps couvert de zébrures et de rougeurs. Cétait
effrayant et jouissif en même temps. Cela mexcitait vraiment de voir mon corps rougit de la sorte, mais bon il fallait que je prenne une bonne douche à présent. Jai dû me contenter dune douche à peine tiède, car leau chaude me brulait énormément, ma peau était beaucoup trop sensible.
Après mêtre séché je me suis dirigé lentement vers la chambre de Madame. Le tapis et loreiller au pied du lit ny était plus. Je devais entrer sous les draps près de Madame. Je me suis glissé entre le matelas et les draps doucement, jétais couché sur le côté avec mon regard dirigé vers la porte de la chambre. Puis jai senti Madame se rapprocher et prendre avec moi la position de la cuillère. Son bras est passé autour de ma taille et elle a pris dans sa main un de mes seins tout en me prodiguant de doux baisé dans le cou. Mon sein qui se faisait palpé me procurait un mélange de douleur et de plaisir. Ensuite, doucement elle ma fait étendre sur le ventre. Elle a longuement caressé mon dos en descendant doucement vers mes fesses. Jétais angoissé, fébrile et nerveuse. Maitresse me léchait les fesses à présent, jétais décontenancé, cétait le genre de chose que faisait une soumise, pas une Maîtresse. Mais je me souviens très bien de cette sensation. Sa langue sur mes fesses, cette langue qui les léchaient avec fougue et passion. La peau de mes fesses qui était si sensible à cause de toutes ces zébrures et ces rougeurs. Le plaisir en était que décuplé. Puis Madame ma retourné sur le dos et ma embrassé goulument.
-Alors tu maime Karine
-Oui Madame
-Quoi?
-Heu!... Oui Pénélope
Je taime
-Moi aussi je taime Karine.
Elle a commencé à descendre. Elle a embrassé mes seins longuement en jouant régulièrement avec mes tétines. Ouf! Elles étaient si sensible mes tétines. Elle a continué à descendre vers mon bas ventre en sattardant un peu autour de mon nombril. Puis sa langue a touché mon clitoris, elle là titillé gentiment. Ma vulve était inondée de plaisir, sa langue a caressé mes lèvres vaginales frémissantes, elle y mettait toute son énergie, elle me caressait avec fougue. Mon corps a été pris de convulsions et de spasmes. Jai agrippé les draps avec mes mains, mon corps sest mis à bouger dans tous les sens, mes fesses se sont élevées au-dessus du lit. Je nen pouvais plus jai ressenti à ce moment-là lorgasme le plus intense de ma vie. Jétais en sueur, tremblante, au bord de lévanouissement. Mes muscles se sont relâchés et Madame est remontée vers moi. Elle avait les joues toutes luisantes à cause de ma cyprine qui maculait son visage. Elle ma embrassé vigoureusement, je pouvais gouter à ma propre liqueur. Jétais tellement excitée que je lui ai rendu son baisé avec passion.
Madame cest relevé, elle a agrippé la tête de lit, elle a positionné ses genoux de chaque côté de ma tête et est venu me présenter sa vulve. Une belle petite vulve rose, bien trempée. Jai sortis ma langue pour lui enfoncer entre les lèvres. Je me suis appliqué à lui lécher le pourtour de son puit damour. Son niveau dexcitation montait de seconde en seconde. Elle en était venu à littéralement écrasé sa vulve dans mon visage, se déhanchant frénétiquement sans retenu. Tantôt javais sa vulve carrément dans la bouche, tantôt cest mon nez qui servait de phallus pour exciter ce petit fruit déchainé. Sans men rendre compte je lui malaxais les fesses en même temps. Soudain tout son corps cest affaissé et sa vulve est venue sécraser sur mon visage. Ses cuisses on prises ma tête comme dans un étau et elle a serré très fort. Quelque seconde plus tard elle sest retirée, jai vu un filet de cyprine qui sest étirée entre mon nez et ses lèvres vaginales pour ensuite se rompre. Mon visage était trempé. Elle sest allongée près de moi, nous nous sommes embrassé longuement et finalement le sommeil est venu me chercher.
Le lendemain matin, après une douche ou nous nous sommes encore fait plaisir, ensuite nous sommes descendu à la cuisine en robe de chambre ou planait une bonne odeur de crêpes. Cela me faisait tout blizzard de marcher au côté de Madame, debout comme une personne normal. Sylvie avait déjà mise la table et le déjeuner était servi.
-Bonjour Madame
Bonjour madame Karine
-Bonjour Sylvie
-Bonjour Madame.
-Bien voyons Karine
Cest Sylvie.
-Heu! Bonjour Sylvie.
Dordinaire je ne parlais jamais directement avec les domestiques de Madame et ceux-ci me traitaient comme une petite chienne. Mais là jétais déstabilisée, elle me traitait comme la compagne de Madame au sens vanille. Alors nous avons pris notre déjeuner, Sylvie nous a servi tout au long du repas. Pour la première fois jétais assise à la table avec Madame et javais droit à tous les égards. La journée sest déroulée dun bout à lautre en mode vanille. Madame me rappelait de temps en temps que son nom était Pénélope. Jétais tellement habitué à lappeler Madame, cétait encré dans mon cerveau. Nous avons passé une merveilleuse journée aux antipodes de la précédente.
Cela a pris des jours avant que mon corps ne guérisse de tous ces zébrures et plaques rouges qui le tapissait. Madame en a profité pour faire davantage mon éducation au niveau du service, des positions, pour me modeler à ses désirs et aussi pour mhumilier mentalement. Elle a beaucoup joué avec mon esprit pendant plusieurs jours. Puis quelque temps plus tard
Oui, je me souviens très bien
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