Complexe Vaincu 6

Complexe vaincu 6

Je suis heureuse de cette manière d‘agir et du résultat temporairement affiché par mon mari : Robert s’effacera. Il ne souhaite pas me quitter ou me chasser, ne menace pas de divorcer. Il a toutefois une exigence, après réflexion : que j’aille me faire prendre, baiser et sodomiser ailleurs, hors de notre lit et de notre domicile. Il ne supportera plus la vue ou les bruits de nos accouplements. Je peux disposer librement de mon corps, sans le provoquer par les manifestations bruyantes de mon bonheur, sans le faire souffrir ou l’humilier devant ses employés. Je serai entièrement libre deux jours par semaine, c’est plus qu’appréciable. Il fera semblant d’ignorer mes escapades amoureuses, aussi longtemps que nécessaire en souvenir de l'amour de nos débuts


Depuis des semaines il a souffert de son infériorité reconnue, il a regretté d’avoir une verge aussi peu développée, d’être supplanté par Abel d’abord puis par Joseph et enfin par leur association curieuse. J’aurai quartier libre le lundi et le jeudi, mais l’accès de l’appartement sera interdit à mes amants. Ils conserveront leur emploi dans l’entreprise sauf faute professionnelle grave et aussi longtemps que je ne me plaindrai pas d’un manque de rendement de leur activité amoureuse. Car Robert accepte de porter des cornes à condition que je sois une femme heureuse.

Je pleure, je renonce à l’abandonner seul à la maison ou à utiliser ses heures de sport pour le tromper. Je le jure :

- Cela n’arrivera plus.

Rien n’y fait. Je l’ai jugé insuffisant, à juste titre, il le souligne. Je suis allée, dans les derniers jours, jusqu‘à oublier qu‘il avait aussi des besoins sexuels malgré la petite taille de son sexe, oublieuse des instants de plaisirs vécus avec lui. D’ailleurs mes pratiques avec Abel et Joseph l’avaient rendu prudent depuis des semaines. Il me l’apprend.Robert reprendra les relations avec moi si j’en réclame à la condition de vérifier, certificat médical à l’appui, ma bonne santé et l’absence de maladies sexuelles transmissibles.

Cette explication de son manque d’appétit sexuel sonne comme le sommet de ma honte.

- Il te faut des compensations sexuelles, tu as sous la main deux étalons pour répondre à tes appétits normaux et même à ta boulimie hors normes si ta voracité réclame l’intervention simultanée de deux mâles au moins et, pourquoi pas, l’organisation de parties avec des partenaires plus nombreux. Donc le jeudi et le lundi tu devras déménager ailleurs tes transports amoureux.

- Tu exagères, je n’ai pas l’intention de te refiler le sida ou une chaude pisse. Et où veux-tu que j’aille avec tes remplaçants ?

- Tu les as « embauchés » ou débauchés selon le point de vue. Ce sont mes employés mais non les amants de notre couple. Si tu souhaites continuer à partager ce toit avec moi, tu les emmèneras à l’hôtel en face de la piscine. Tu l’as fréquenté régulièrement avec Abel, donc tu le connais et tu y es connue.

Il n’y a rien à lui cacher, il a entendu, il a vu, il sait tout de mon inconduite. Je demande des précisions, bien que je veuille ménager un compromis .

- Comment le sais-tu?

- Un lundi au lieu d’aller au stade, j’avais amené du travail à la maison et je m’étais enfermé dans mon bureau. J’ai été étonné de ton retour rapide. Tu étais en compagnie d’Abel. Tu as commencé à lui montrer le chemin de sortie pour le cas où je reviendrais pendant vos jeux.

- Quoi ? C’était la première fois. Tu sais depuis le début. Tu aurais pu m’empêcher, tout arrêter dès le début.

- J’ai respecté ton choix. Tu venais à la maison, tu entraînais un amant dans notre lit. J’ai écouté et regardé et vu. Au début j’ai espéré que tu ne supporterais pas la de sa pine aux dimensions exceptionnelles. Tes cris de douleur me rassuraient. Mais tu as fini par te poser sur sa tour et je t’ai vue, tu descendais en geignant mais tu l’avalais et tu finis vulve collée à son ventre. J’ai assisté à ton combat courageux contre les souffrances de cette pénétration cruelle.
Tu voulais lui démontrer que toute femme pourrait l’accueillir en son sein. Ta démonstration a été concluante. Tu as même joui de façon formidable. C’était une passade, je t’ai entendue lui dire qu’il n’y aurait pas de suite, ça m’a soulagé. Un faux pas peut être pardonné. J’ai décidé de fermer les yeux sur ce premier accident.


Attentif à ta conduite j’ai constaté que vous recommenciez. Du coup j’ai décidé de remplacer mes séances de sport par des travaux pour mon entreprise dans mon bureau le lundi et le jeudi, jours de mes entraînements Je n’ai rien constaté le jeudi. Mais le lundi suivant, de façon étrange, pour aller te baigner à la piscine, dans de l’eau chlorée, tu t’es couverte de ton parfum le plus cher. C’était un gaspillage surprenant de ta part ou bien tu n’avais pas l’intention de nager. Votre retour presque immédiat m’a confirmé que tu avais pris goût à la baguette magique de celui qui devenait ton amant.

Curieusement dans les nuits suivantes tu as voulu me comparer à lui, tu m’as assiégé, tu as connu une sorte de renouveau, un appétit plus fort. En raison de ma déception j’ai répondu moyennement à tes espoirs. Tu t’acharnais à me soutirer du plaisir, tu voulais vraisemblablement te prouver que tu m’aimais encore, que la fréquentation d’une massue ne nuisait pas à nos rapports et que deux sexes de dimensions si opposées pouvaient cohabiter dans ton vagin et te conduire également à l’orgasme. J’étais heureux d’avoir un suppléant capable de t’éclater, mais je ressentais un poil de jalousie.

- Il fallait le dire. J’aurais mis fin à cette relation.

- M’avais-tu dit que tu prenais un amant, que tu le recevais en cachette? Tu serais devenue plus discrète, tu ne l’aurais pas renvoyé à sa « misère sexuelle » qui camouflait ton désir de nouveauté. Je l’avais reconnu, j’ai donc mené une enquête sur Abel, mon employé. Joseph , mon contremaître,me l’avait déjà signalé comme paresseux et endormi au travail. J’avais été sur le point de le licencier pour rendement insuffisant.
A partir du moment où il était ton amant, la place qu’il devait à sa femme Denise, une amie de faculté que tu as connue jadis, je ne pouvais plus rien contre lu.

Si je m’en séparais, j’aurais été poursuivi pour licenciement abusif, justifié par mon statut de mari et de patron cocu, victime de sa jalousie. En le choisissant pour tes galipettes, tu l’as rendu intouchable, tu as protégé l’emploi d’un type qui saute allègrement outre sa femme, deux ou trois autres femmes mal baisées par semaine; ce qui explique son état de sommeil permanent dans l’entreprise.

- Il a prétendu être célibataire et s’est plaint d’être repoussé par toutes les femmes effrayées par sa grosse queue. Là tu essaies de le salir, ce que tu me racontes est le fruit de ton imagination. Tu n’as pas de preuve.

- Tu avais tellement envie de te faire défoncer par une matraque monstre que tu n’as pas été regardante sur ses affirmations. J’ai voulu te protéger et j’ai mené l’enquête à la suite de laquelle j’ai fait une tentative pour vous séparer. La multiplicité des partenaires d’Abel t’expose à la transmission d’une M.S.T. et je souhaitais te mettre à l’abri d’un tel problème. Incertain sur le résultat d’une conversation avec toi, en raison de ta duplicité, j’ai inventé une entorse à la cheville. Si tu m’avais aimé, tu aurais appliqué ma pommade, tu aurais voulu me masser et tu aurais découvert la supercherie. J’étais transparent, pour toi j’étais celui qui gênait .

Mais tu pensais à autre chose, tu rêvais de bourrage majuscule, d’orgasmes hyper, extra, …Blessé, je restais à la maison et je me disais: « Plus d’abri, plus de liaison ». Qu’avez-vous fait ? Vous êtes allés à l’hôtel, c’est dire à quel point tu étais devenue dépendante. J’ai remarqué ce lundi là que tu te couvrais de parfum, j’ai su que tu n’allais pas à la piscine, je vous ai suivis et je vous ai vus entrer dans votre refuge. D’ailleurs, au retour, au lieu de sentir le chlore, tu dégageais des effluves de parfum et de transpiration: vous n’étiez pas entrés dans l’établissement pour boire un coup mais pour « tirer un coup », mon nez me le disait, les cernes sous tes yeux le criaient.


De moins en moins tu te montrais attentive au mari marri. J’étais contrarié, il t’était impossible de le voir, tu avais l’esprit ailleurs. Mon plan ayant échoué, je me suis déclaré guéri. Au travail je surveillais ton amant avantagé par la nature. Le hasard a voulu que je capte une conversation entre Joseph qui le secouait et Abel, la couleuvre, qui devait désormais son salaire au besoin que tu avais des exploits de sa queue. Abel rabattait le caquet de son chef en lui disant qu’il était l’amant de la femme du patron, donc il ne craignait pas l’adjoint. Et enhardi par l’effet de son annonce, il alla jusqu’à proposer à son chef de partager l’enviable situation.

- La nana est naïve. Je lui ai fait pitié, elle a voulu me consoler, je me la suis envoyée, je la grimpe tous les lundis. C’est un sacré bon coup. Si tu ne me crois pas, viens à l’hôtel Nautilus lundi après le boulot. Tu verras la chouette poupée que je saute. J’en ai d’autres, mais elle vaut le coup. Fais lui pitié, invente-toi un malheur et tu pourras utiliser sa baignade du jeudi à la piscine pour l’emballer. J’adorerais que toute l’entreprise lui passe dessus. Son con se transforme, les gros calibres ne lui feront plus peur. Je n’ai qu’un regret, je suis trop gros pour la sodomiser. Fous moi la paix au boulot et tu auras toutes tes chances. Elle a un cul splendide.

Un jeudi, à l’heure de la piscine, j’étais dans mon bureau en observation, j’ai vu et entendu à quel point tu te dévouais pour réveiller la libido de Joseph qui te racontais que Brigitte était frigide. Après l’employé tu te payais son chef.

-Je ne savais pas qu’ils travaillaient dans ton entreprise

Par la suite j’ai vu Joseph à l’œuvre pour préparer ton anus à recevoir le manche de son nouveau complice. Et je t’ai vue prendre plaisir à offrir tes fesses à ses incursions. Le sphincter détendu, tu devrais accueillir Abel par derrière. Hier la double en con et en cul aurait pu déboucher sur un échange de trou, Joseph par devant et Abel par derrière. J’ai eu peur pour toi. Abel pouvait te déchirer le sphincter. Tu risquais une fistule anale, au mieux des hémorroïdes.

- Tu dramatises.

Ne me crois pas si tu veux, mais renseigne toi sur les dangers de certaines pratiques avec des sexes démesurés. Abel le lundi, Joseph le jeudi, il ne restait plus de miettes d’amour pour moi. As-tu vérifié que Brigitte est réellement frigide? Vous avez été amies autrefois, tu aurais pu connaître la vérité si tu n’avais pas tant espéré d’une deuxième liaison avec un gars mieux monté que ton mari rangé au rayon des accessoires inutiles. Chez toi ça part d’une bonne intention, tu es généreuse, quoique tu n’oublies pas tes intérêts en dispensant tes consolations avec ton vagin devenu trop large pour ma petite quéquette délaissée.

- Ça va changer, si ce que tu m’as dit est vrai. Toute l’entreprise ne me passera pas sur le corps et tes deux employés ont fini de se moquer de moi. Je ne veux plus les voir.

- J’insiste pour que tu rencontres Joseph à son tour après demain et pour que tu l’accompagnes chez lui, afin que Brigitte te dise en sa présence si elle est réellement aussi nulle en amour qu’il te l’a raconté. Tu sauras s’il a abusé ou non de ta crédulité ou si je mens et tu agiras en conséquence. Tu le remercieras d’avoir su te berner pour avoir la joie de te faire jouir. Ou tu pourras me quitter parce que je t’ai menti. Lundi nous règlerons le sort de l’autre tricheur.

- Si je peux regagner ton amour de cette façon, je ferai tout ce que tu me demanderas.

J’ai dû insister longuement pour décider Joseph à me conduire chez lui. Par bonheur, sa femme lui avait annoncé qu’elle serait absente assez tard. Main dans la main nous entrons au rez-de-chaussée. Nous entendons immédiatement des bruits significatifs. Il n’y a pas de doute, à l’étage une femme est en train de jouir. Le matelas fait grincer le sommier, les plaintes amoureuses montent en intensité.

-Tu es certain que ta femme est frigide, Joseph? Ne mens pas si tu veux pouvoir te soumettre aux ordres de ton patron. Pense à ton emploi si je me plains de toi.

- Mais Brigitte n’est pas là. Elle aura laissé la clé à une voisine qui en profite pour cocufier son mari ici.. Allons nous en assurer.

De la porte de la chambre nous observons un fessier qui s’agite entre deux jambes tendues vers le plafond. Un gaillard pénètre et pourfend hardiment une femme ardente qui exprime bruyamment son plaisir. L’homme est un bon amant, il se donne à fond, à allure vive et il obtient de façon quasi continue un chant d’amour qui me secoue de frissons. Sa queue rate une marche, sort du fourreau, mais la main de la femme ratt aussitôt la verge et la replante entre ses lèvres rougies par les frottements.

-Oh! Robert, comme c’est bon! Ça fait si longtemps que je n’avais pas autant joui. Va, baise-moi encore. J’adore ta queue, j’adore ton corps, je suis folle de toi. Encore… Divorce et je t’épouserai. Viens mon adorable petite queue, si délicate, si douce et si efficace.

- Brigitte, salope. crie Joseph.

La démonstration est doublement édifiante, Brigitte n’est pas frigide, Joseph est cocu et confondu. Son monde s’effondre. Un autre fait jouir sa femme. J’en ris !

Le couple se défait, l’homme nu roule sur le dos. Ce Robert si apprécié par ma rivale d‘autrefois, c’est mon mari. Sa petite queue peut rendre une femme heureuse. Je l’ai su, je l’avais oublié.


Qui de Joseph ou de moi peut s’ offusquer de cet accouplement? Je plaide :

- Mon chéri, la première erreur peut se pardonner. C’est-ce que tu m’as dit. Viens, rentrons chez nous.
La première, oui. Et les autres ? Allons…














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