De Délicieuses Vacances (Partie 2)
Bonjours à tous, je précise que ce récit est la suite du récit « De délicieuses vacances partie 1 », mais il nest pas nécessaire davoir lu la partie 1 pour lire la partie 2.
Jentrai dans notre bungalow en titubant. La belle Suédoise mavait poussé à lintérieur si soudainement que javais failli tomber. Ses beaux yeux bleus brillant de désir, elle me rejoignit, et se jeta à nouveau sur moi, enroulant ses longs bras blancs autour de mon cou, et membrassant sensuellement. Je lui rendis son baiser, et la saisissant par ses fesses rebondies, me colla contre elle, pressant mon torse musclé contre sa volumineuse poitrine. Nous restâmes un long moment à nous embrasser ainsi, de plus en plus furieusement, jusquà ce que je la pousse jusquà la table du salon, la soulève, et létale dessus. Elle eut un petit gémissement dexcitation, mattira vers elle avec ses jambes.
Je profitai dêtre au-dessus delle pour ladmirer : elle était tellement sexy ! Elle était vêtue dun simple débardeur blanc, et dun jean, mais le débardeur était assez léger, et très décolleté, si bien quil mettait parfaitement en valeur son corps de déesse, notamment son énorme poitrine qui me faisait tellement envie. Et son visage ! Il était angélique, agrémenté de deux yeux bleus clairs, et encadré par ses longs cheveux blonds dorés. Son physique ravageur mavait captivé dés notre première rencontre au ski, six mois plus tôt, et javais eu la très agréable surprise de la retrouver ici, au bord de lAtlantique, pour les vacances dété.
Je mapprêtai à me pencher et embrasser la belle Blonde, lorsque soudain, la porte dentrée derrière moi souvrit à la volée.
Katherine, mon plan cul régulier, entra dans le bungalow dun air décidé, ses beaux yeux marrons brûlant de désir. Jétais surpris de la voir : elle était censée passer la nuit avec Hans, notre voisin de bungalow, un allemand venu en vacances avec la belle Suédoise.
« Quest ce que tu fais là ? »
« Jen pouvais plus de Hans, dés les préliminaires il était mauvais et maladroit. Et javais trop envie de vous deux. »
Sans plus de paroles inutiles, elle marcha sur moi dun pas décidé, et me tirant par le t-shirt, mattira contre elle et membrassa sauvagement. Puis, elle me repoussa, et se dirigea droit vers la Blonde. Katherine lui posa une question en suédois, et la belle lui répondit par laffirmative. Alors, Katherine la plaqua contre la table, et lembrassa avec avidité, tandis que la Suédoise enroulant ses jambes autour de sa taille, lattira contre elle dans une étreinte torride.
Je profitai un peu du spectacle : une bombe brune qui partageait un baiser torride avec une blonde ultra-sexy. Katherine portait un débardeur bleu foncé, et un mini-short très moulant
Et justement, je la voyais de derrière, penchée par dessus la belle Blonde quelle embrassait comme une morte de faim, et javais une vue parfaite sur son merveilleux postérieur, si rond et si ferme. Javais beau lavoir vu un millier de fois, je ne men lassais jamais. Les deux belles sembrassèrent pendant de longues minutes, Katherine embrassant aussi le cou et le décolleté de la Blonde, qui aimait passer ses mains dans les cheveux noirs de son amante, la pressant contre elle. Leur souffle à toutes les deux saccéléraient, elles semblaient déjà très excitées. Tout comme moi ! Je bandais si fort que ça en était douloureux.
Katherine finit par interrompre son baiser, et se tourner vers moi :
« Tu nous rejoins pas mon grand ? »
« Je profite du paysage, répondis-je avec un sourire. »
« Allez, viens ! »
Je marchai vers elle, et elle me tira pour se coller à moi. Elle membrassa avec passion, tandis que la Blonde se redressait. Jembrassai Katherine, un bon moment, frissonnant de plaisir, avant de me pencher sur la Suédoise, et de lembrasser à son tour.
Elles me poussèrent sur le lit, et je my étalai comme une masse. Je me redressai, pour les admirer pendant quelles sembrassaient. Elles se pressaient lune contre lautre avec passion, et, Katherine étant plus petite, elle embrassait régulièrement le cou et le buste de la Suédoise. Au bout dun moment, la brune jeta sur le lit la Blonde, qui sétala à côté de moi. Jen profitai alors pour venir sur elle, et lembrasser comme un fou, massant ses seins avec force, la faisant gémir. Katherine pendant ce temps, vint derrière moi, et membrassa la nuque. Elle finit par mobliger à me redresser, et me retira mon t-shirt, poussant la Suédoise à se redresser et à me lécher le corps, pour mon plus grand plaisir. Elles finirent par me renverser toutes les deux, métalant sur le matelas. Puis, la Blonde se rua sur Katherine, et toutes les deux sembrassèrent comme des folles. La Suédoise plaqua la française contre le lit, sinstalla à califourchon sur elle, pressant son corps contre le sien. Elles sembrassaient à fond, et gémissaient dexcitation, Katherine avait enroulé ses jambes autour de la taille de la Suédoise, et celle-ci lui tenait les mains plaquées contre le matelas. Cétait terriblement excitant à observer.
Katherine finit par renverser la Blonde en se servant de ses jambes, et à repasser au-dessus delle. Elle retira son débardeur, et retira ensuite celui de la Suédoise. Puis elle se pencha sur elle, et lui embrassa le bassin puis le buste, puis le cou, puis la bouche. Elle me tournait le dos, alors je pouvais à nouveau admirer son postérieur, et je ne privais pas de mâter ces deux bombes occupées à mener leurs préliminaires. Cependant, lorsque Katherine retira son short, puis son shorty, et dénuda à son tour la belle Blonde, avant de se jeter sur son intimité et de lui administrer un féroce cuni, je ne pus me retenir : je me joignis à la danse.
« Ca cétait de vrais préliminaires, souffla Katherine ravie en sadossant contre le mur. »
Je voulus la prendre sur le champ, mais elle marrêta dun geste :
« Non, occupe toi de notre amie, quelle profite de ta bite la première. »
« Comme tu veux. »
La Suédoise se redressa, et nous nous embrassâmes, dabord lentement, puis sauvagement. Je descendis sur son cou, puis prenant ses énormes seins à pleines mains, enfonçai ma tête au milieu deux, profitant de ces deux merveilleuses collines. Puis, je la saisis par les hanches, et la fis sallonger sur le côté. Je minstallai devant elle, et après avoir pris sa jambe, et lavoir mise sur ma hanche, la pénétrai vigoureusement, lui arrachant un petit cri. Je me mis à la baiser ainsi, on était comme en cuillère, sauf que je la prenais de face, et non de dos. Ses seins se pressaient contre mon torse, je la tenais par la nuque, pour pouvoir voir son regard chavirer sous mes coups de reins de plus en plus sauvages, je l'embrassais aussi de temps à autres, goûtant la douceur de ses lèvres. La Blonde participait en bougeant ses hanches d'avant en arrière, ce qui rendait les choses encore plus délicieuses. Katherine nous observa un moment, avant de nous rejoindre. Elle vint se mettre dans le dos de la Suédoise, et lui embrassa la nuque, massant ses seins, et se frottant contre elle. C'était une vision très excitante, et elle me dopa littéralement : j'accélérai le rythme de mes coups de reins, limant la Blonde avec plus de vigueur et de force que jamais la culbutant contre Katherine, qui l'enserrait de plus en plus étroitement.
Je m'écartai d'elle, vidé et sonné par le plaisir. Mais Katherine elle, n'avait pas joui. Elle se remit à embrasser la nuque de la Blonde avec vigueur et avidité, avant de la mettre sur le dos, et de s'asseoir sur son visage. La Suédoise se mit à la lécher, et Katherine se déhancha sur son visage, pour augmenter son plaisir.
Désireux de mieux profiter du spectacle, je me levai et allai m'asseoir sur l'autre lit de la chambre, histoire d'admirer ces deux bombes de plus loin, et de ne pas les gêner.
La Suédoise léchait Katherine consciencieusement, et celle-ci gémissait en se tenant les cheveux, visiblement en proie à un intense plaisir. La Blonde en profita pour reprendre le dessus. Elle renversa Katherine, l'étalant sur le dos, et se remit à lui dévorer l'intimité, mais cette fois-ci en position de dominante. Connaissant Katherine, je savais que les choses allaient se corser... La brune se laissa faire un moment, gémissant et se tortillant avec délice. Puis, soudainement, elle enroula ses jambes autour de la nuque de la Blonde pour tenter de la renverser. Mais celle-ci était vigilante, et saisissant les jambes de Katherine, les plaqua contre le lit. Alors celle-ci se redressa et repoussa la Suédoise, avant de se jeter sur elle et de l'embrasser avec passion et fureur. Elles étaient toutes les deux à genoux sur le lit, l'une contre l'autre, et s'embrassaient comme des mortes de faim, leurs poitrines s'entrechoquant merveilleusement. La Blonde tenait Katherine par la nuque, et celle-ci la tenait par les hanches. Je dois dire que je m'estimais le plus chanceux des hommes de pouvoir assister à ce spectacle. Ce fut la Suédoise qui tenta la première de prendre le dessus. Elle fourra la tête de Katherine dans sa poitrine, qui dévora ses seins avec un plaisir évident. Puis, la Suédoise tira Katherine par les cheveux et la plaqua contre le matelas. Elle voulut s'installer sur le visage de Katherine, mais elle n'était pas du genre à se laisser faire : à peine la Suédoise assise sur son visage, que Katherine la renversait déjà, et l'étalait sur le matelas. J'étais bien placé pour savoir que Katherine était très très douée avec sa langue et sa bouche, aussi je ne fus pas surpris de voir que sitôt qu'elle commença son cuni, la Suédoise se mit aussitôt à pousser de grands cris et de grands gémissements. Katherine devait y mettre toute son adresse, vu comme la Blonde se tortillait de plaisir. Tout cela m'avait redonné une trique d'enfer, et je décidai de retourner dans la danse.
Je vins derrière Katherine, toujours occupée à donner à la Suédoise le cuni de sa vie, et décidant de ne pas y aller par quatre chemins, je la sodomisai. Katherine poussa un gémissement, qui se transforma en cri de plaisir lorsque je me mis à la limer avec vigueur, sur-excité par ce que je venais de voir, et par son fessier de rêve. Jy allai fort, frissonnant de plaisir, ravi de sentir mon sexe enserré étroitement à lintérieur. Katherine fut momentanément paralysée par le plaisir, et je décidai de ne pas lui faciliter la tâche en accélérant le rythme progressivement. Elle finit néanmoins par réussir à se remettre, et à retourner à son cuni, refaisant tournoyer sa langue sur lintimité de la Blonde. Nous continuâmes à nous baiser ainsi pendant de longues minutes, je limais le cul de Katherine avec toujours plus de vigueur et de passion, tandis quelle faisait hurler la Blonde avec sa langue. Il arriva ce qui devait arriver : Katherine finit par avoir un gros orgasme, quelques secondes après la Blonde. Toutes deux hurlèrent sous leffet du plaisir, et sécroulèrent sur le lit. Elles avaient joui mais pas moi. Alors je présentai ma bite devant leur visage, et comprenant le message, se mirent à me sucer toutes les deux, chacune à tour de rôle. Lune me dévorait la hampe du sexe, me le léchant de bas en haut, sattardant sur mon gland, tandis que lautre me dévorait les boules. Cétait si bon que ma vue se brouillait sous le plaisir quelle me procurait, et voir ces deux bombes, me dévorer la bite à elles deux avait quelque chose de jouissif en soit. Je ne tins pas longtemps, avant dexploser dans un orgasme merveilleux. Je jouis à grands jets sur leur merveilleux visage à tous les deux, men donnant à coeur joie. Puis, épuisé et comblé, je mécroulais sur le lit. Nous nous y assoupîmes rapidement et paisiblement.
Je me réveillai le lendemain matin, un peu étourdi par la nuit rythmée que javais eue, mais pressé de remettre le couvert. Les deux filles sétaient déjà levées, je les rejoignis sur la terrasse de notre bungalow, pour prendre le petit déjeuner. Les deux belles me saluèrent avec chaleur, puis nous discutâmes de ce que nous allions faire ce matin. Ou du moins, Katherine en discutait avec moi, avant den discuter avec la Blonde. Je ne parlais pas suédois, et la Blonde ne parlait pas français, nous ne pouvions donc pas communiquer entre nous
sauf par des regards incendiaires, et des sourires coquins. Katherine et elle était en pleine discussion, visiblement, la Suédoise essayait de la convaincre de quelque chose. Katherine finit par accepter, lair mécontente.
« Quest ce quil y a ? Demandai-je, un peu surpris de son air contrarié. »
« Elle me dit que cest à moi daller baiser Hans. Hier cétait à mon tour, mais jai préféré vous rejoindre. »
« Je crois pas quelle sen plaigne, hein. »
« Non
mais Hans a pas dû apprécier. »
« Ah oui
le pauvre. Donc tu vas le consoler ? »
« Oui
mais je veux pas ! Il est nul ! »
« Alors reste avec nous. »
« Non. Je vais lui donner une chance
jespère quil assurera. »
Elle avait lair un boudeuse. Je voulus la consoler.
« Dis toi quà ton retour, je moccuperais de te satisfaire. »
« Si tes encore en forme. Notre amie va vouloir que vous baisiez. »
« Qui te dit quon va ment niquer ? »
« Ose me dire que si je te laisse seul avec elle, vous allez pas baiser... »
Je jetai un furtif coup doeil à la Suédoise. Elle était entrain de se faire une tartine de confiture. Lorsquelle saperçut que je la regardai, elle sempressa de sucer lentement et sensuellement la cuillère. Jeus la soudaine et nette impression que je chauffais à blanc
La bouche un peu pateuse je répondis à Katherine :
« Non, non, je tassure on baisera pas. »
Même à moi, ma phrase parut fausse. Elle eut un ricanement sceptique, et insista :
« Ah oui ? Tu sais quelle va aller à sa danse matinale ? »
« Oui, et alors ? »
« Elle sera en brassière et mini-short
tes sûr que tu craqueras pas ? »
Je jetai un nouveau coup doeil à la Suédoise, elle était entrain de lécher la cuillère avec avidité.
« Euh
non
je suis pas sûr. »
Katherine secoua la tête dun air contrarié, je mempressai dajouter :
« Mais je te garantis que je serai quand même prêt à te combler tout à lheure, promis ! »
« Tes sûr ? »
« Oui. »
« Tas pas intérêt à me décevoir. »
« Je tai déjà déçu ? Une seule fois ? »
Katherine eut un petit sourire.
« Non. Cest vrai ! »
Elle eut lair un peu plus heureuse. Après le petit déjeuner, Katherine alla donc voir Hans, tandis que la Suédoise et moi partîmes à sa danse. Le camping dans lequel nous étions en vacances, organisait de multiples activités, y compris sportives, et particulièrement Pendant le trajet, nous nous jetions des petits coups doeil intéressés, et son sourire coquin, valait toutes les discussions du monde
Arrivé à la salle de sport, nous nous séparâmes, elle allant dans les vestiaires des filles, moi dans ceux des garçons. Je fus particulièrement fier dentendre les autres garçons discuter entre eux des filles quils avaient vues arriver, et être unanimes pour dire que la Blonde était la plus sexy de toutes. Cétait plaisant dentendre ça dune de ses conquêtes.
Je quittai rapidement les vestiaires, et attendis les autres sur le terrain. Les mecs arrivèrent les premiers, puis les filles suivirent les unes après les autres. Il y en avait de très jolies, mais lorsque la belle Suédoise fit son entrée, en mini-short noir, et en brassière de la même couleur, il fut évident quelle était la plus sexy de toutes.
Lanimateur de lacitivté, tout en tâchant de ne pas trop reluquer la Blonde, nous rappela rapidement les règles du badminton, puis nous fit nous échauffer. Dabord nous courûmes autour du terrain, et alors je me mis derrière la Blonde, histoire voir son petit postérieur en plein mouvement. Après, on dut se mettre par deux, et faire des échanges en guise déchauffement. Je me mis avec la Suédoise, et nous fîmes plusieurs échanges. La voir courir après le volant, admirer son corps de rêve, sa poitrine rebondir, son fessier sactivait, se perdre dans la contemplation de son ventre plat était quelque chose de délicieux.
Autant dire quune fois la séance déchauffement terminé, jétais bien plus chaud que ce qui était prévu
Lanimateur nous expliqua la suite de la séance : il voulait lorganiser sous la forme des « montantes-descendantes ». Nous devions aller chacun sur un terrain, disputer un match contre notre adversaire. Le gagnant passait au terrain supérieur, le perdant passait au terrain inférieur.
La Suédoise eut un peu de mal à comprendre les règles, mais elle finit par y arriver. Visiblement sûre delle, elle se dirigea vers le premier terrain. Pour y rester, elle devrait gagner tous ses matchs. Moi, jétais moins sûr de moi, aussi jallais sur le dernier terrain.
Pendant lheure et demie qui suivit, je remportai chacun de mes matchs. Cétait plutôt facile face aux filles, plus difficile parfois face aux mecs. Mais petit à petit, je montai, me rapprochant inexorablement du premier terrain. A un moment, après avoir battu un nouvel adversaire, je surpris une conversation entre mon dernier adversaire, et un de ses amis :
« Alors ? Demandait celui qui je venais de battre. »
« Elle ma complètement latté, elle est super forte cette meuf, répondit son ami. »
Curieux, je tournais la tête pour voir de qui ils parlaient, et compris aussitôt : ma belle Suédoise était toujours sur le premier terrain, ce qui voulait dire que comme moi, elle avait remporté tous ses matchs. Visiblement, elle était une virtuose du badminton. Elle rattrapait tous les volants envoyés par ladversaire, frappait avec force et rapidité, enchaînant les points spectaculaires. Elle était magnifique à voir, ses cheveux dorés attachés en queue de cheval, son corps de déesse mis en valeur par sa tenue indécente, ses courbes se balançant au rythme de sa course
Elle était plus chaude que lEnfer ! Lidée de me retrouver contre elle, me plut au plus haut point, aussi je redoublais dardeur dans chacun de mes matchs, espérant me hisser jusquau premier terrain quelle occupait.
A la fin de la séance, je finis par y arriver. Je vins sur le premier terrain, face à la belle Suédoise, qui loccupait toujours. Elle me fit un grand sourire en me voyant arriver, visiblement ravie de me retrouver face à elle. Lanimateur nous dit à tous de commencer le commencer nos matchs, en nous précisant que ce serait les derniers. Je finissais donc contre la Blonde
cest ce qui sappelait finir en beauté !
Le match démarra, et je me lançai aussitôt dans la bataille. Je courais après chaque volant, tâchant de frapper suffisamment fort et de façons suffisamment précise pour faire courir ma belle adversaire
mais rien ny fit. Presque à chaque fois, elle parvenait, par un coup puissant et rapide, à me déplacer sur le terrain, et à prendre lascendant. Les points senchaînaient, et elle en gagnait toujours plus, creusant lécart. En la voyant courir à grande allure, sa volumineuse poitrine se secouant agréablement, en la voyant arborer un petit sourire coquin de triomphe à chaque point, en la voyant se pencher pour ramasser le volant, mettant en valeur son superbe fessier, et en sentant mon sexe devenir de plus en plus dur devant ce spectacle, je compris le calvaire quavait vécu les garçons avant moi : non seulement elle était très forte, mais en plus, il était impossible de se concentrer face à une telle bombe !
Le match dura un bon quart dheure. En dépit de mes efforts, je ne parvins pas à revenir au score, et finis lourdement battu. La belle Suédoise abordait un petit sourire coquin, ravie de sa victoire, et me provoquait du regard.
Autant vous dire quen retournant dans les vestiaires, une fois la séance terminée, jétais partagé entre la déception davoir perdu, un léger sentiment dhumiliation devant cette défaite, et surtout un très fort sentiment dexcitation. Jentrai dans les vestiaires des garçons, et soudain, quelquun me dépassa assez brusquement. Cétait la belle Blonde, qui se dirigeait vers les vestiaires des filles. Juste avant dy entrer, elle se tourna vers moi, et me servit un sourire encore plus moqueur que les précédents. Jen fus échauffé au possible.
Je pris tout mon temps pour me changer. Une intuition, sans doute
Je traînai si bien, que les autres garçons étaient déjà partis quand je navais fait quenlever mon t-shirt. Puis, les vestiaires des filles se vidèrent à leur tour, ses occupantes en sortant les unes après les autres. Moi jattendais, toujours torse nu sur le banc des vestiaires des garçons. Je fus flatté de voir que toutes les filles ou presque me jetèrent des coups doeil intéressés en sortant. Mais ce qui me plaisait surtout, cest que la belle Suédoise ne se montrait toujours pas : elle aussi devait traîner.
Lanimateur de la séance sortit à son tour. En passant il me dit :
« Je vous laisserai fermer. »
« Ok, pas de problème lui répondis-je. »
Après quil fut sorti, une fille quitta à son tour le vestiaire des filles. Elle jeta elle aussi un coup doeil à mon torse nu, et linterpellant, je lui demandai si il restait quelquun dans les vestiaires. Elle me répondit quil ne restait plus quune seule fille : ma belle Suédoise bien évidemment. Je la remerciai, et lui souhaitai une bonne journée, et elle parti, lair un peu déçu. Jattendis encore un peu, quand, enfin, la belle Suédoise sortit.
Elle aussi avait traîné : elle était toujours dans sa tenue de sport, en brassière noir, et mini-short de la même couleur. Elle avait encore sa queue de cheval, ce qui dégageait son visage dange. Son corps de rêve était toujours trempé de sueur, ce qui était assez excitant. Mais surtout, elle me dévisageait avec ses beaux yeux bleus, dun air insolent, un sourire narquois et coquin, toujours sur ses lèvres. Elle me narguait encore pour la défaite quelle venait de minfliger ! Lheure de la correction était venue.
Je me levai dun air brusque, et claquai la porte du gymnase, la fermant à clé : on ne nous dérangerait pas ! Puis, dun pas décidé, je fonçai sur la belle Blonde, qui mattendait avec son sourire moqueur et coquin, que javais bien lintention deffacer.
Je la saisis par les hanches, et lattirai contre moi. Je lembrassai furieusement, pressant mon corps contre le sien et la poussant vers le mur. Elle me rendait mon baiser avec fièvre, enroulant ses bras autour de mon cou.
Je la soulevai, et la plaquai contre le mur, elle eut un léger gémissement dexcitation. Jembrassai son cou avec force, tandis quelle enroulait ses jambes autour de ma taille pour me coller contre elle. Après son cou, je descendis sur son décolleté, que jembrassais avec avidité. Sa peau était chaude et humide après leffort du sport, mais elle ne sentait pas mauvais, malgré la transpiration qui perlait sa peau, elle ne sentait pas mauvais. Je voulus lui retirer sa brassière, mais elle marrêta en plein geste. Visiblement, elle aimait être baisée à moitié habillée. Alors, je lui retirai son short, et après avoir enlevé mon pantalon et caleçon, je la pénétrai avec force.
Jallais et venais en elle, la culbutant contre le mur, littéralement dopé par la vision de son corps de rêve, et par le souvenir de ma défaite de tout à lheure. Dautant que régulièrement, la Blonde me regardait dans les yeux dun air de défi, et me servait à nouveau son sourire provocateur. Elle me défiait de la baiser plus fort et plus vite, ce que je faisais avec de plus en plus dagressivité et de vigueur. La belle Suédoise gémissait et même criait, mais ne sarrêtait pas pour autant de me sortir son sourire narquois. Au bout dune dizaine de minutes cependant, les choses avaient changé. Je la baisais toujours plaquée contre le mur, avec le même rythme, et la même intensité. En revanche, ma belle Blonde ne me souriait plus dun air narquois. Ma queue la limait avec force et sans répit, mon torse musclé se pressait contre sa poitrine gonflée, et mes mains puissantes la tenaient immobilisée contre le mur, tandis que je la limais, encore et encore. Désormais, son visage était décomposé par le plaisir, et son sourie narquois avait disparu. Javais en quelque sorte atteint mon but, jétais fier de moi.
A présent, cette petite victoire me donnait littéralement des ailes, et je la baisais avec une force et une vigueur totalement décuplées, massant en même temps ses merveilleux seins, frissonnant à leur contact. La Blonde me tira par la nuque, et mattira contre elle, membrassant avec passion. Elle finit son baiser en me mordant la langue, et en réaction, je lui assénai un gros coup de rein, histoire de la punir. Elle poussa un gémissement, suivi dun autre lorsque jenchaînai avec un nouveau coup de reins. Elle était tremblante de plaisir, et jétais fier de ce que je lui avais fait.
Au bout dun moment, elle me tira les cheveux, comme pour me repousser du mur. Je compris quelle voulait me faire masseoir sur le blanc, proche de là, pour pouvoir me chevaucher et me baiser. Je nen navais pas très envie : elle mavait battu et ridiculisé tout à lheure au badminton, je voulais maintenant ma revanche dans ce sport là
Mais je me dis après tout, que jétais bien fatigué de porter une fille aussi grande, et que la laisser me chevaucher pourrait être délicieux
et la laisser croire quelle dominait pour ensuite reprendre le dessus pouvait être très bon aussi.
Tout en la portant toujours, je me dirigeai vers le banc, et massis dessus. La belle me saisit par les épaules, et me plaqua contre le mur. Elle se mit à aller et venir davant en arrière, me donnant des coups de reins qui déclenchèrent aussitôt de grandes vagues de plaisir en moi. Elle était toujours vêtue de sa brassière noire, et voir sa poitrine moulée ainsi à quelques centimètres de mon visage, et qui sagitait au rythme de ses assauts me rendait fou. Sans parler de son ventre plat, ou de ses hanches, qui sactivaient et me procuraient tellement de plaisir. Elle se mit progressivement à me baiser plus vite, et plus fort me culbutant contre le mur derrière le banc. De temps en temps, elle membrassait furieusement, et parfois, pendant quelle me baisait, cest moi qui penchais sur elle, et embrassais son décolleté ou son cou, ou ses épaules. Alors quelle augmentait progressivement le rythme de ses va-et-vient, je compris rapidement que javais fait une grosse erreur : je la laissais me baiser pour reprendre le dessus après, sauf quelle était tellement douée, et me baisait si bien, que reprendre le dessus allait vite ressembler à une mission impossible tant jétais paralysé par le plaisir.
Je décidai de réagir maintenant : je la saisis par les hanches, et voulus la renverser. Mais elle me saisit les bras, mempêchant de bouger, et se mit à bondir sur mon sexe de haut en bas, me faisant vibrer dun tel plaisir, que je fus paralysé et ne pus que fermer les yeux, le temps que la vague de plaisir passe. La Suédoise me donna ensuite un coup de rein violent qui me fit frémir de la tête aux pieds. Elle me saisit par le menton, et mobligea à la regarder. Elle me servit à nouveau son sourire narquois, et le sentiment de défaite et dimpuissance qui mavait habité tout à lheure, revint aussitôt. Jaurais bien réagi, mais à ce moment là, la Blonde se déchaîna littéralement sur moi. Elle se mit à aller et venir davant en arrière, de gauche à droite, de haut en bas, le tout à grande allure, et sans jamais mollir. Fréquemment, elle me griffait le torse, ou me mordait le menton, ou encore, me collait sa grosse poitrine (toujours recouverte par sa brassière) en plein visage, mexcitant encore plus. Nous gémissions tous les deux, nos corps se couvraient de sueur, son visage rougissait sous leffort, mais pourtant, inlassablement, elle me baisait toujours plus fort, et toujours plus vite, son sourire narquois ne quittant pas ses lèvres. Je me sentais à nouveau dépassé, et dominé, incapable de réagir. Le plaisir montait très rapidement en moi, et je ne pensais pas pouvoir tenir bien plus longtemps, elle sentait que japprochais de lorgasme, et son sourire narquois sagrandissait toujours plus. Mais elle avait sous estimé mon endurance, et sous estimé aussi le plaisir quelle sinfligeait elle même. Elle bondissait sur ma queue depuis quelques minutes, bougeant son corps de rêve, et notamment sa poitrine magnifiquement, lorsque soudain, son corps fut pris de convulsions de plaisir, et quaprès deux trois mouvements, elle eut un terrible orgasme, qui la fit crier, et sécrouler sur moi, tremblante de plaisir.
Cétait ma chance : je la renversai, et repris le dessus. Puis, je la retournai et la mis à quatre pattes sur le banc. Elle était trop faible pour me résister. Profitant de ce quelle était toujours sous le coup de son dernier orgasme, je la pénétrai, et me mis à la baiser vigoureusement en levrette. Je la tenais par les hanches, et allais et venais en elle, sur un rythme élevé, je voulais la baiser bien fort, histoire de prendre ma revanche. La Suédoise gémissait, et secouait son magnifique postérieur pour participer, augmentant le plaisir en moi. Elle se mit à aller si vite, que je fus momentanément paralysé, et poussai un gémissement. Elle tourna la tête pour me regarder, et me servit à nouveau son sourire coquin, fière darriver à prendre le contrôle dans cette position. Ce fut la provocation de trop. Je me ressaisis, et attrapant la Blonde par les cheveux, me mis à la baiser plus férocement que jamais, la culbutant si fort, que le banc se cognait contre le mur. Elle se mit à littéralement hurler, le corps cambré sous lextase que je lui apportai, tandis que tirais sa tête en arrière pour lobliger à me regarder. Cétait mon tour de la toiser dun air dominateur, et de lui sourire de façon narquoise, tandis quelle, paralysée par le plaisir, était impuissante. Ravi de pouvoir enfin me venger, je donnais tout ce que javais, lui assénant de puissants coups de reins qui cognaient à chaque fois le fond de son intimité. Je lui claquais les fesses, me penchais sur elle et lui massais ses seins à travers sa brassière, tirais sur sa queue de cheval pour bien lui faire sentir qui était le patron, et tout ça sans marrêter de la baiser avec toujours plus dintensité. Le plaisir montait en nous deux, devenait insupportable, je me sentis me raidir
puis dans un frémissement, jeus enfin un orgasme libérateur, qui me fit chanceler sur mes jambes. La Suédoise me rejoignit elle aussi, hurlant de plaisir au moment de la jouissance.
Javais peut être joui, mais je bandais encore. Aussi, je décidai de moffrir un final délicieux. Je fis sallonger la Blonde sur le banc, et vins au-dessus delle. Avec un peu de difficulté, tant sa brassière les serrait, jinsérai mon sexe dans sa poitrine. Je me mis à aller et venir dedans avec délice, ravi de sentir mon engin si étroitement enserré. La Blonde se mit à gémir doucement et à se tortiller sur le banc, rendant cette branlette encore plus délicieuse. Jaccélérai doucement, heureux de baiser ces deux beaux obus. Je la regardai dans les yeux, et y lisais le plaisir que je lui procurai. Elle avait un petit sourire coquin, mais pas narquois, plutôt dencouragement. Sentant le plaisir monter, je saisis ses seins, et les pressai, afin denserrer encore plus ma queue dans ses seins
Jaccélérai alors le rythme une dernière fois, limant sa poitrine avec vigueur, jusquà ce que soudain, jexplosai dans un nouvel orgasme qui me fit inonder sa poitrine de ma semence.
Ravis de ce délicieux moment, nous rentrâmes au bungalow.
Katherine nous y rejoignit un peu plus tard, alors que nous préparions la table, lair légèrement boudeuse.
« Cétait bien avec Hans ? Lui demandai-je. »
« Bof. Il fait des efforts, mais il tient toujours pas assez longtemps. »
Je retins un petit sourire, ravi de ne toujours pas souffrir de la concurrence allemande. Nous nous mîmes à table tous les trois. Après le repas, la Suédoise sen alla faire un tour, tandis que moi et Katherine, restâmes au bungalow. Tranquillement, je minstallai sur une chaise longue dans le jardin, profitant dun bon moment de repos. Mais bien sûr, avec une fille comme Katherine, les moments de repos ne duraient guère longtemps
Au bout dun moment en effet, je sentis une présence derrière moi. Tournant la tête, je vis que Katherine était accoudée au dossier de ma chaise longue, et mobservais avec un sourire. Elle portait un débardeur bleu clair, et un jean moulant. Une tenue classique, mais très sexy sur elle.
« Quest ce que tu veux ? »
Elle fit un sourire coquin.
« A ton avis ? »
« Ah
mais le truc cest que jai pas envie là
dis-je avec un sourire moqueur. »
Katherine contourna la chaise longue, et vins à califourchon sur moi. Elle approcha son visage à quelques centimètres du mien, et susurra :
« Lennui, cest que tas pas le choix... »
Elle mattrapa par le cou, et attira mon visage contre le sien. Elle se mit à membrasser langoureusement, enroulant ses bras autour de mon cou, pressant sa poitrine contre mon torse, et mallongeant doucement, me poussant contre le dossier de la chaise longue. Elle augmenta progressivement le rythme de notre baiser, faisant monter la passion et lenvie, au fur et à mesure que ses baisers devenaient de plus en plus brûlants et agressifs. Au bout dun moment, elle retira son jean, puis son shorty, et fit de même avec mon caleçon et mon jean.
Puis avec un sourire coquin, elle sempala sur moi. Je poussais un gémissement de plaisir, qui se transforma en cri lorsque Katherine se mit à aller et venir sur moi à grand rythme davant en arrière. Elle me baisait sur un rythme élevé et soutenu, ses hanches sactivant avec force sur moi, me culbutant contre la chaise longue, qui elle même se mit à tanguer bien vite. Elle était merveilleusement sexy ainsi, se déhanchant sur moi sauvagement, me regardant dans les yeux avec son air de tigresse. Jétais un peu frustré quelle ne soit pas totalement nue, mais son débardeur bleu la mettait très bien en valeur, elle nen nétait pas moins sexy ainsi. Elle me baisait avec son habilité habituelle, et me faisait frémir de plaisir, je ne fus pas très long à pousser des cris de plaisir, et à me tortiller sur la chaise longue. Au bout dun temps, je décidai de participer moi aussi, et saisis Katherine par les hanches pour laider dans la baise. Chose rare, elle me laissa faire, et ensemble, nous allâmes à grande vitesse vers le septième ciel. Elle ne tarda pas à gémir elle aussi, frissonnante de plaisir, et jadorais la sentir vibrer à chaque fois quelle me donnait un coup de rein, amplifié par mes mains sur ses hanches, qui me faisait aller jusquau fond delle. Au moment où je la sentis sur le point de jouir, Katherine décida de reprendre le plein contrôle des opérations, et me saisissant les mains, me les plaqua contre le dossier. Elle se mit alors à bondir sur ma queue de haut en bas comme une folle, jusquà exploser dans un orgasme qui la fit hurler et seffondrer sur moi.
Cela lui prit quelques secondes pour se remettre, elle me sourit pour me complimenter, et voyant que je bandais toujours, et que je navais pas joui, elle se remit à louvrage.
Elle se ré-empala sur moi, mais cette fois-ci en me tournant le dos. Elle se remit à me chevaucher avec vigueur et sauvagerie, comme si elle cherchait à me faire jouir immédiatement. Elle se déhanchait furieusement, secouant son beau postérieur, me procurant dincroyables sensations de plaisir, et me faisant gémir fréquemment. Loin de vouloir participer, je mis au contraire mes mains derrière ma tête, minstallant confortablement pendant que Katherine faisait tout le boulot, accélérant progressivement le tempo de ses assauts, me faisant bouillir de plaisir. Des vagues brûlantes me submergeaient, ma vue se mit à se brouiller, et je criai « accélère vas-y tu vas me faire jouir ! », ce qui poussa à Katherine à me donner des coups de hanches plus marqués et plus vigoureux. Il arriva ce qui devait arriver, dans un sursaut de plaisir monumental, jexplosai dans un délicieux orgasme qui me procura des spasmes incontrôlables de plaisir, jusquà ce que je reste écroulé sur la chaise longue, sonné par lextase quelle mavait procurée. Katherine qui avait aussi joui, était tremblante de plaisir, et légèrement essoufflée.
« Tas aimé mon grand ? »
« Jai adoré, tes vraiment la meilleure. »
Elle eut un sourire ravi, transpirante dauto-satisfaction.
« Cest vrai, cest vrai. »
Je pouffai devant sa prétention, et elle ria elle aussi. Nous restâmes un moment étendus sur la chaise longue.
Un peu plus tard, alors que le soleil commençait à se coucher, nous eûmes envie de nous promener sur la plage au coucher du soleil. Nous prévînmes la Blonde, qui nous y rejoignit. Nous nous promenâmes un temps sur la plage, jusquà ce que la Suédoise décide daller se baigner. Elle retira ses vêtements, ne gardant que le bikini violet quelle portait en dessous, et courut jusquà la mer. Katherine retira son t-shirt noir et son jean moulant, révélant un bikini noir, et courut à leau elle aussi. Je les attendis sur la plage, nayant pas envie de me baigner par cette soirée assez fraîche.
Pendant quelle se baignait, je notais avec satisfaction que la plage se vidait
on allait bientôt être seuls tous les trois
Katherine fut la première à sortir de leau. Elle sessuya, et se rhabilla, ce que je trouvais un peu triste. Pendant ce temps, la Suédoise continuait de se baigner toute seule. Katherine elle sassit tout à côté de moi. Elle vit que jobservais la Blonde qui nageait, et sautait dans les vagues. Dici, on pouvait voir sa volumineuse poitrine se secouer quand elle faisait ça.
« Elle te plaît grave, pas vrai ? Me lança Katherine. »
« Elle est hyper-bonne, cest sûr, confirmai-je. »
« Une vraie bombe, renchérit-elle. »
Je lobservais, un peu amusé. Elle nétait plus jalouse du tout, cétait plutôt bien, mais en même temps ça me décevait.
« Tes pas mal non plus, tu sais. »
Cétait leuphémisme de lannée : avec son t-shirt moulant, légèrement mouillé, ses cheveux trempés qui dégageaient son magnifique visage, et le tout à la lumière du coucher de soleil, elle était bien plus que pas mal. Elle me fit un petit sourire et dit :
« Cest pas un scoop, jai des yeux pour me regarder, tu sais. »
Je souris devant sa prétention, mais en même temps, je trouvais ça tellement sexy que je ne pus mempêcher de me jeter sur elle, et de lembrasser sauvagement. Elle me rendit mon baiser avec passion, tandis que je lapprochais de moi en la tenant par la nuque. Nous accélérâmes progressivement le rythme de notre baiser, jusquà le rendre brûlant de passion et de sauvagerie. Katherine faisait durer les choses cependant. Chaque fois que jessayais de nous faire aller un peu plus loin, elle me refoulait aussitôt, me forçant à continuer ce délicieux baiser.
Cela dura jusquà ce que je sentis quelque chose de doux et de mouillé se coller contre moi dans mon dos. Surpris, je rompis mon baiser avec Katherine et me retournai. La Blonde était sortie de leau et nous avait rejoints. Elle était hyper sexy, le corps ruisselant deau, les cheveux trempés qui dégageaient son visage, et son bikini qui mettait en valeur son corps de déesse.
Elle et Katherine me poussèrent et métalèrent sur le sable, et vinrent au-dessus de moi toutes les deux. Elles se mirent à membrasser, chacun dun côté de mon cou, pressant leurs deux corps de rêve contre le mien. Autant dire que je ne fus pas long à bander comme un fou. Javais envie de les prendre toutes les deux sur le champ, mais je savais que si je mimpatientais, elles en profiteraient pour me r, alors que je préférais me laisser aller. Katherine retira mon t-shirt, et elles se jetèrent toutes deux sur mes muscles, dévorant mes abdos et mes pectoraux, me faisant frissonner dexcitation. Elles sinterrompirent quelques secondes, le temps de sembrasser toutes les deux suavement. Je savais bien quelles voulaient me rendre fou, mais voir cette belle brune et cette belle blonde sembrasser, voir ces visages de déesse se coller lun à lautre, et leurs lèvres pulpeuses sentre-mêler me rendit tout simplement dingue. Je me redressai dun coup, et les saisissant toutes les deux par leur nuque, et les pressais lune contre lautre. Elles sembrassèrent avec encore plus de passion et davidité, augmentant dautant plus mon envie. Elles sembrassèrent ainsi de longues minutes, jusquà ce quelles décident de se séparer.
Elles me poussèrent à nouveau sur le sable, et me retirèrent mon pantalon, puis mon caleçon, libérant enfin mon sexe tendu. Katherine commença à le branler doucement en me souriant de son air coquin, tandis que la Suédoise retirait son bas de maillot de bains, ne gardant que son haut de bikini. Elle vint sasseoir sur mon visage, dans la même position que si elle se préparait à un 69. Elle pressa son minou contre ma bouche, pour me faire comprendre que je devais le lécher, et je mexécutai docilement, activant ma langue comme jamais. Elle se tortilla sur mon visage, visiblement ravie de ce que je lui faisais. Pendant ce temps, je sentis Katherine se mettre à lécher mon sexe doucement, faisant courir sa langue du bas vers le haut, me faisant doucement frissonner de plaisir. Je nétais pas au bout de mon plaisir : la Suédoise se joignit à Katherine pour me lécher à son tour. Leurs deux langues combinées senroulaient autour de mon sexe, lasticotaient le faisaient vibrer. Par moments, Katherine léchait la base, tandis que la Blonde me léchait le gland, ou linverse. Ou encore, elles arrêtaient de me lécher, pour me prendre en main, et me branler vigoureusement. Moi pendant ce temps, je léchais la Suédoise avec autant dentrain que possible, mais ce nétait pas facile, car elles me faisaient tant de bien, que javais du mal à me concentrer. Cependant, je devais bien faire mon travail, à en juger par les cris que poussaient la Suédoise
Elles finirent par interrompre ce délicieux 69, pour passer à la suite.
La Suédoise saisit ma bite, et avec un gémissement, sempala dessus. Me regardant droit dans les yeux, elle se mit à aller et venir sur moi, démarrant direct sur un rythme assez élevé, ses hanches me cognant avec vigueur, tandis que son imposante poitrine rebondissait sous son bikini. Jen frissonnai de plaisir, et ce frisson saccentua lorsque Katherine vint derrière elle lui embrasser la nuque, les épaules, et lui masser les seins sous son bikini. On aurait pu croire quun tel traitement aurait gêné la Blonde, et quelle maurait baisé avec moins dentrain, mais ce fut tout linverse : elle se mit au contraire à me baiser avec encore plus de vigueur et de force, comme si elle voulait menfoncer dans le sable. Tout en me baisant, elle se tortillait de plaisir sous les caresses et baisers de Katherine, et le spectacle de la belle brune, asticotant ainsi la belle Blonde, plus le plaisir que celle-ci me procurait, eurent rapidement raison de ma résistance : jexplosai dans un magnifique orgasme qui me fit pousser un grand cri de plaisir.
La Suédoise se retira de moi, et se retournant, se mit à embrasser Katherine avec fièvre. Elle lui retira son t-shirt noir, et sempressa de dénouer le bikini de la même couleur que portait Katherine, libérant ses magnifiques seins, quelle dévora pendant un court, mais intense moment. Katherine finit par la repousser, et retirer son bikini violet, la mettant à nu, et dévoilant enfin son énorme poitrine, quelle massa avec vigueur.
Autant dire que je ne fus pas long devant ce spectacle à retrouver toute ma vigueur. Je me redressai aussitôt, prêt à les prendre toutes les deux, mais Katherine me plaqua contre le sable. Elle retira son short et son bas de bikini, pour sempaler sur moi, mais en me tournant le dos. Elle se mit à se déhancher de gauche à droite, secouant son merveilleux cul, malmenant mon sexe, tant elle allait vite, et me procurant dincroyables sensations de plaisir. De temps à autre, elle se retournait et me souriait dun air coquin. La Suédoise se mêla à la danse, venant devant Katherine et lui léchant lintimité. Bien que tremblante de plaisir sous les assauts de la langue de la Blonde, Katherine accéléra le rythme se déhanchant avec plus de vigueur quune danseuse, provoquant de véritables tsunamis de plaisir en moi. Elle continuait de se tourner vers moi, moffrant la merveilleuse vision de son beau visage torturé par le plaisir quelle éprouvait. Je ne tardai pas à pousser de grands cris, mais Katherine hurlait encore plus fort que moi, du fait de mon sexe quelle malmenait délicieusement, et de la langue de la Suédoise, qui la faisait littéralement vibrer. Nous eûmes bien vite un délicieux orgasme, qui fit sécrouler Katherine sur le sol, tremblante de plaisir, et me laissa sonné.
Katherine fut plus prompte à se remettre. Me voyant étendu sur le sable, elle en déduisit que je nétais pas encore rétabli, et se jeta alors sur la Blonde. Elles sembrassèrent avec passion, puis se séparèrent. Puis, chacune colla son intimité contre celle de lautre, tout en sunissant entre elles avec leurs jambes enroulées autour des hanches de lautre dans une étreinte étroite et délicieuse. Elles se mirent à se caresser ainsi mutuellement, chacune gémissant de plaisir. Je ne pus me contenter de rester spectateur, et me joignis à elles. Je mapprochai de la Blonde, et insérai ma queue au milieu de ses magnifiques seins, et me mis à me branler avec. Cétait un peu particulier, car je ne faisais pas cette branlette espagnole dans le sens « conventionnel ». En effet je ne passais pas par le bas de sa poitrine mais par le haut. Cétait un peu plus difficile, et mais la poitrine de la Suédoise était si grosse que ça fonctionnait très bien malgré tout. Je baisais cette incroyable poitrine avec passion, frissonnant de plaisir, serrant à laide mes mains ses seins, pour comprimer mon sexe aux maximum. Le plaisir était grand, et lexcitation que jéprouvais à baiser ces seins, et à écouter ces deux belles gémir comme des folles était telle, que les deux combinés me firent bien vite jouir. Je jouis une première fois sur les seins de la Blonde, puis, en gardant en réserve, je jouis sur son visage, laspergeant. Elle me sourit comme pour me remercier.
Je vins en suite au-dessus de Katherine, toujours occupée à se frotter contre la Suédoise, et lui présentant mon sexe, je le lui fis sucer. Elle lavala goulûment, mais, comme jétais au-dessus, cétait à moi de diriger. Je me mis donc à lui baiser la bouche avec pas mal de vigueur, frissonnant de plaisir. La tenant par la nuque, jaccélérai le rythme, dopé que jétais, en voyant son regard chavirer sous le plaisir quelle éprouvait. Katherine avait vraiment un merveilleux visage, un visage dange, et le baiser sauvagement comme je le faisais était au-delà du délice. La belle usait en plus de sa langue pour rendre les choses plus exquises encore, et je ne tardai pas à jouir, me retirant juste à temps de sa bouche, pour pouvoir arroser son visage de ma semence. Peu de temps après, les filles eurent à leur tour un puissant orgasme, dû à leurs brûlantes caresses et gémirent à fond, sécroulant sur le sable, ivres de plaisir.
On en avait pas fini cependant. Jétais toujours très affamé, et voyant la Suédoise me regarder dans les yeux avec un air coquin, je compris quelle espérait bien me voir reprendre rapidement toute ma vigueur. Je me redressai, et la plaquant contre le sable, je la pénétrai avec vigueur, tandis quelle enroulait ses jambes autour de ma taille. Avant même que je ne commence à la baiser, Katherine se joignit à nous, et sassit sur le visage de la Suédoise, visiblement désireuse de reprendre du plaisir avec sa langue. Je démarrai de puissants va-et-vient, culbutant la Blonde avec vigueur, tandis que Katherine se déhanchait sur son visage, gémissant de plaisir sous ses coups de langue. Katherine me saisit ensuite par les cheveux, et tira dessus pour me faire comprendre que je devais aller plus vite. Docile et obéissant, je mexécutai. Je me mis à accélérer le rythme, pilonnant la Blonde comme jamais, menfonçant loin en elle, vibrant de plaisir à chaque coup. Elle se mit à gémir, et cétait très excitant, même si ses gémissements étaient étouffés, vu quelle était sous Katherine. Celle-ci continuait de se déhancher sur son visage, vibrant de plaisir, tout en me dirigeant toujours par les cheveux, mobligeant à la baiser toujours plus vite, toujours plus fort. Le plaisir que nous éprouvions tous les trois était trop fort, trop intense, il ne pouvait durer éternellement : nous eûmes tous les trois en même temps un monstrueux orgasme, qui nous fit nous écrouler hors dhaleine sur le sable.
On aurait pu croire quaprès une telle baise, on allait sarrêter là. Sauf quon avait tous encore faim.
Katherine vint vers moi, et me plaqua contre le sable, me faisant redevenir dur. Elle sempala sur moi, le regard brûlant de désir. La Suédoise, elle, vint sasseoir sur mon visage, et se déhancha sur moi pour minciter à la lécher, ce que je fis aussitôt. Je fis tourbillonner ma langue sur son intimité, et eus la satisfaction de la sentir se raidir aussitôt, en proie à un grand plaisir visiblement. Pour ma part, jéprouvais également beaucoup de plaisir, de la part de Katherine qui allait et venait sur moi, davant en arrière, me culbutant avec de plus en plus de férocité. Je saisis les cuisses de la Suédoise, et mappliquai encore plus, me déchaînant littéralement, la faisant hurler de plaisir, et la paralysant tant cétait bon. Je la sentis se cambrer, et entendis sa respiration saccélérer. Lorsque ma langue passa sur son clitoris, et tournoya dessus, elle explosa dans un magnifique orgasme, que je fis durer encore et encore, jusquà ce quelle sécroule sur le sable, tremblante de bonheur. Katherine pendant ce temps, continuait de me baiser, toujours plus sauvagement. Ses hanches sactivaient comme jamais, sa poitrine se soulevait au rythme de ses mouvements, elle me faisait glisser sur le sable, encore et encore, tandis que le plaisir, brûlant et intense, montait toujours plus en nous deux. Elle se mit à bondir sur mon sexe de haut en bas, gémissant comme une folle, tandis que ma vue se brouillait sous lextase quelle minfligeait. Sous leffet dune brusque montée du plaisir, je me mis à planter mes doigts dans le sable, tentant de contenir la vague qui me submergeait, mais Katherine accéléra encore le rythme de ses assauts, me faisant chavirer une énième fois. Jexplosai dans un orgasme dévastateur, que Katherine fit durer encore et encore, jusquà jouir elle aussi, avant de sécrouler sur le sable.
Épuisés, nous restâmes tous les trois étendus sur le sable, jusquà ce que la nuit tombe. Alors nous nous rhabillâmes, et rentrâmes à notre bungalow, ravis de cette baise crépusculaire.
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