La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°947)
Marion au Château (suite de l'épisode N°938)
Je décidais de ne pas trop me poser de questions, et de ne pas traîner pour rejoindre le Majordome, afin de ne pas mériter de sanction, après une journée qui avait été assez longue, voulant à tout prix boucler mon travail avant le week-end pour satisfaire au mieux le Maître
Une nouvelle semaine passa. Et un soir, quand on me ramena dans mon Cachot, je trouvais une feuille posée sur ma couverture.
« Demain, tu quittes le Château. Walter te donnera une tenue pour paraître aux yeux du monde vanille. Il te conduira là où tu devras être à lheure que jai exigée. Tu nas rien à savoir dautres pour le moment. »
Bien quétant Sa secrétaire particulière, je navais rien eu à traiter dinhabituel. Pas de nouveau rendez-vous avait été posé, le Maître navait pas reparlé de son voyage. Pourtant je savais quIl voulait que je laccompagne dans son mystérieux déplacement. Pourquoi se poser tant de questions ? Ce nétait pas mon rôle
Alors je me couchais et mendormais aussi vite que possible, supposant que sIl me faisait sortir du Château, cétait que jallais certainement devoir Le servir dune manière ou dune autre, et je préférais être en forme
Le lendemain, Walter vint me réveiller, mapportant ma gamelle dans mon Cachot directement, puis il mamena dans une petite salle deau pour la douche froide matinale. Une fois propre et sèche, il me tendit une housse à vêtements, dans laquelle je trouvais un tailleur veste-jupe bleu roi. La jupe était fendue jusquà mi-cuisse des deux côtés, et la veste me faisait un décolleté profond sans pour autant être indécent, mais cela restait tout de même très sexy. Cependant il allait falloir que je fasse attention à ma façon de me tenir, car il ny avait ni chemisier ni sous-vêtements. Et comme toute soumise, javais linterdiction formelle de croiser pieds ou jambes...
- Maintenant, habille- toi et suis- moi ! Tu nas pas le droit de poser la moindre question, en fait tu nas pas le droit de parler à qui que ce soit, sauf lorsquon tappellera par ton nom de soumise, et si cette personne ty autorise.
Je le suivais donc en marchant jusquà la voiture qui attendait devant le perron du Château. Là, avant de la déverrouiller, il me passa un bandeau sur les yeux.
- Pour le moment tu nas pas besoin de savoir où nous allons. Tu ne seras pas sanctionnée si jamais tu devais tendormir sur le trajet, naie pas de craintes à ce niveau-là.
Il me guida pour minstaller sur le siège passager avant de la voiture, puis il monta derrière le volant. Au bruit quelle faisait, je suivais notre trajet jusquà ce que nous atteignions la route départementale. Ensuite, il me fut impossible de savoir ni la direction que nous prenions, ni le temps que dura le trajet, et très vite je mendormis, car je navais rien dautre à faire. Quand le moteur se coupa, cela me réveilla instantanément. Walter ôta le bandeau qui me couvrait les yeux. Après quelques secondes pour que mes yeux shabituent, je vis que nous étions dans un parking souterrain. Après un « suis-moi » laconique, Walter sortit de la voiture. Jen sortis également, et le suivit deux pas derrière lui, la tête légèrement baissée, mais pas assez pour ne pas voir où jallais et ainsi éviter les obstacles. Rapidement, je compris que nous étions à laéroport de Lyon Saint-Exupéry. Ce que je ne savais toujours pas, cétait ma destination car à lévidence je devais monter dans un avion pour me trouver là. Mais ny étant pas autorisée, je ne posais pas de questions. Je me retrouvais finalement en classe économique en destination de Paris. Je ne savais pas ce que je devrais y faire, où je devrais aller. Le Majordome ne mavait plus adressé la parole depuis que nous étions sortis de la voiture. Il sétait juste adressé à une hôtesse, disant que jétais attendue, et lui tendant visiblement mon billet davion
Elle, non plus ne me parla pas. Elle se contenta de madresser un signe pour que je la suive jusquà une place quelle mindiqua, un siège au milieu dune rangée de cinq, bientôt entourée de deux hommes assez imposants au costume parfait dhommes daffaires, qui me firent vite me sentir à létroit.
- soumise Aphrodite MDE, je ne tautorise pas à parler, ni même à gémir. Si je tappelle par ton nom complet de chienne, cest pour que tu saches que je sais qui tu es et à qui tu appartiens. Si tu regardes le téléphone qui se trouve dans le petit sac que le Majordome ta donné, tu devrais y voir un message de Monsieur le Marquis. Vas- y, regarde !
Jouvris alors avec empressement le sac, y découvris effectivement mon téléphone, que je ne retrouvais que lorsque je moccupais de mes filles, et jy lus le message suivant :
« Ma chienne, je veux que tu assumes ce que tu es et pour qui tu es. Surtout ne me déçois pas et fais-moi honneur en obéissant à tout ce qui te sera exigé. »
Je reposai doucement le téléphone dans mon sac que je rangeai sous mon siège. Je baissais la tête et mis mes mains dans le dos, faisant comprendre à lhomme que je me tenais à sa disposition.
- Assis-toi normalement, ne mets pas tes mains dans le dos. Tout lavion nest pas au courant quil y a une petite salope de chienne à disposition ! Sache tout de même que les quatre sièges qui tentourent sont occupés par des Dominants, donc tu nas rien à craindre.
Après que je me fus installée plus confortablement, les deux hommes qui mentouraient firent mine de ne plus se préoccuper de moi. Mais je me doutais que cela nallait pas durer. En effet, ils attendirent que lavion ait décollé, puis une main se posa sur chacune de mes cuisses, profitant des fentes pour passer sous le tissu de ma jupe de tailleur. Les mains se joignirent, comme pour décider laquelle allaient faire quoi. Jécartais instinctivement les cuisses en signe de passivité et dobéissance. Et lune des mains commença à me titiller le clitoris, tandis que lautre me caressait doucement mes lèvres intimes.
- Fais comme si tu avais fait tomber quelque chose que tu voulais ramasser, et vide-nous avec ta bouche, chienne !
Je mexécutais en commençant par lhomme qui mavait donné lordre. Et je pompais avec avidité tour à tour les deux verges dressées. Puis je mattelais plus particulièrement à une des deux bites puis à lautre quand enfin je récoltais très vite deux nectars épais et abondant les avalant rapidement tout au fond de la gorge avant de reprendre ma place, en ayant la surprise de trouver un plug qui nattendait quune chose cest que je mempale dessus, ce que je fis sans la moindre hésitation. Javais fortement envie de me caresser. Javais été amenée très proche de lorgasme, et bien sûr je navais pas été autorisée à le libérer. Et maintenant que je me retrouvais avec le cul rempli, mon excitation avait encore monté dun cran.
(A suivre
)
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