Collection Belle-Mère. La Prime Aux Vainqueurs (1/1)
Marius, toi qui as la malchance de chercher du travail, veux-tu être mon partenaire chez moi pour faire un après-midi belotes avec Marie et Madeleine.
Elles font équipe depuis que nous avons commencé à jouer tous les jeudis après-midi.
Mireille, ma partenaire sera absente pendant trois mois, car elle est chez son fils pour garder son petit-fils.
Les parents divorcent et son fils doit garder son en garde alternée.
Tu vas me dire quelle pourrait revenir chez elle une semaine sur deux, or si tu lignores Mathias, son fils est à la Réunion et, par conséquent, elle aussi.
Si tu joues avec moi, tu verras à la fin de la partie, il y aura une surprise.
Je mappelle Marius, jai 36 ans, je suis marié avec Martine, la fille de ma belle-mère qui a 61 ans.
Monique est veuve, mais est une femme qui sait se tenir.
Grande comme ma femme, elle a toujours été sportive, sa fille, avant notre mariage, courait avec elle.
Moi, je suis plus près de mon beau-père, le roi du canapé.
Jignore pour lui, mais je fais beaucoup de sport en chambre, bien que depuis quelque temps ma femme freine nos rapports.
Une ou deux fois par jour, dès que nous nous rencontrions nous faisions lamour même sur un coin de table, principalement celle de la cuisine.
Est-ce le chômage pour moi, depuis huit mois, elle travaille beaucoup et souvent se dit fatiguée.
Jen suis rendu à la masturbation, moi qui depuis mes 16 ans avais arrêté cette pratique, car dès cet âge, jétais un sérial niqueur.
Attention, dès que jai rencontré Martine, elle ma satisfaite pleinement et je lui suis devenu fidèle.
Hier, avant que ma belle-mère, habitant à deux pâtés de maisons de chez nous, me propose de venir jouer aux cartes dans deux jours, je suis allé sur un site de rencontres.
Quatre-vingt-dix-neuf pourcents des femmes qui sinscrivent, ont plus de 50 ans et dans leur profil, toutes cherchent lâme sur pour finir leur vie.
Alors une encore jeune qui cherche seulement une aventure, cest très rare et voulant éviter de briser mon couple, jai vite fait darrêter de chercher.
Jai regardé du côté des escortes, trop chère pour un chaumeur, surtout quafin de compenser le manque, il me faudrait en trouver une ou deux par semaine.
À la limite, une vieille, ou mieux des vieilles une à une pour des cinq-à-sept, pourquoi pas.
Pardon des 13 à 16 heures, après madame revient à 17 heures 30 de son travail à lhôpital où elle est administrative et il faudrait que je sois bien propre pour écarter tous soupçons.
Oui, jadore la belote, pouvez-vous men dire plus sur la surprise belle-maman ?
Je tai déjà dit de mappeler Monique.
Jai déjà eu du mal à te tutoyer, chaque chose en son temps.
En jouant on lâchera peut-être des « tu », naturellement.
Monique as-tu du cur, je te demande si ton cur va bien.
Pour lhistoire de Marcel Pagnol, laccent que tu prends est loin dêtre celui de Marseille.
De plus, tu aurais dû dire, « tu me fends le cur ».
Ton accent est pire que le mien Monique, mais on fera avec.
Nous éclatons de rire et nous raccrochons.
Jeudi, je change de maison.
Marie et Madeleine sont là.
Marie, un peu plus de 50 ans, elle a quitté lenseignement, ses droits lui permettant de partir plus tôt en retraite.
Madeleine dans le quartier, nous sommes tous proche les uns des autres.
Elle a la réputation dêtre lesbienne après avoir vécu avec une femme layant quittée, il y a moins de cinq ans pour une autre de ces femmes aimant les femmes.
Mais bon, les murs de ces dames, je men tape le coquillard.
Bonjour Monique, ces dames déjà sont là !
On va pouvoir commencer la partie.
Oui, elles sont au salon.
Du whisky, tu sais plaire aux dames, cest mon péché mignon depuis que le docteur men a prescrit en ampoule comme fortifiant à la mort de ton beau-père.
Marie, voilà Marius, il vous a amené du whisky.
Tu cherches à nous souler Marius, tu vas voir, le whisky, ça me dégage les neurones et cest nous qui allons gagner.
Et dix de der.
Atout cur, Madeleine oublie de couper et nos adversaires perdent la main.
980 plus ce pli, nous avons dépassé les 1 000 points, Marius nous avons gagné.
Mesdames, allez dans ma chambre, Marius, il reste un peu de whisky, fêtons notre victoire.
Je vois partir vers le couloir menant aux chambres, Marie et Madeleine.
Comme ma belle-mère la dit, nous finissons la bouteille, ça me met en pleine forme.
Marius, je tavais prévenu dune surprise, suis-moi, elles doivent être prêtes.
Monique me prend la main et nous suivons le même chemin que les deux femmes.
Elle me fait entrer dans sa chambre, je la connais, cest moi qui ai refait les papiers peints lan dernier.
Cest mon côté bricoleur.
Les deux femmes sont sur le lit aussi nues lune que lautre.
Mon cher, voilà la surprise, chaque jeudi léquipe perdante, devient léquipe soumise à léquipe gagnante le reste de laprès-midi.
Enlève tes vêtements et occupe-toi de Madeleine.
Mais ta fille ?
Ma fille, nous avons discuté dimanche dernier, elle ma avoué avoir un problème certainement dû à la fatigue.
Elle taime, mais a moins dattirance pour le sexe.
Je connais les hommes et je veux éviter à ma fille de divorcer, car tu aurais été chercher ailleurs.
Lailleurs, je te loffre à domicile.
Madeleine suce le.
Monique, non toi, Marie va soccuper de la verge de Marius, moi, tu sais ce sont les chattes.
Ce serait trop facile Madeleine, tu perds et cest ma chatte qui devrait être ta punition, suce mon gendre !
Monique arrête de forcer cette pauvre femme, si elle te dit que cest toi quelle veut.
Je me déshabille, je crois que je cherchais et que je trouve, chez ma belle-mère par-dessus le marché.
Marius a raison, Monique, ton gendre à ce quil nous montre mintéresse, occupe-toi de Madeleine.
Assez, vous connaissez les règles et quand je vous ai prévenue quil serait mon partenaire aujourdhui, vous avez accepté, Madeleine suce la queue de Marius.
La perdante est assise sur le lit, je viens à sa hauteur et elle me prend en main.
Elle me suce et me fait entrer dans sa bouche.
Je retrouve ma jeunesse lorsque je me faisais sucer par différentes jeunes femmes.
Je lai dit, jétais un sérial niqueur.
Monique a écarté les cuisses de Marie et lui broute la chatte.
Elle se retourne et cest un 69 que jai devant mes yeux.
Met-toi en levrette Madeleine, je vais te prendre.
Voilà, je lai prise, au début je la sentais réticente, mais maintenant cest elle qui se projette sur ma verge et qui se met à hurler de plaisir.
De leur côté les deux autres femmes atteignent lorgasme simultanément.
Au revoir, mesdames, à jeudi prochain.
Je retrouve ma femme, le week-end se passe, je respecte Martine qui dort presque tout le temps.
Dimanche, je reçois un SMS de Monique, Marie voudrait me voir, elle aurait le papier peint de sa chambre à refaire.
Lundi, 13 heures, je sonne chez Marie, elle me fait voir sa chambre, je pense que le chantier va durer après que je la fasse tomber sur son lit.
Elle voulait se sacrifier pour sa copine, inutile, je serais disponible, chaque fois quelle le voudra.
Mardi, je sonne chez Madeleine, elle mouvre en sous-vêtements coquins, mattendait-elle, je le pense, car cest elle qui me dirige vers son salon.
Elle sassoit sur son canapé et recommence à me sucer après avoir ouvert ma braguette.
Cest elle qui sallonge et qui me fait entrer en elle.
Mercredi, bonjour Monique, je voulais te voir.
Elle aussi, je la baise, je sais, cest ma belle-mère, qui est la salope, moi ou elle qui entre en elle sans aucun scrupule.
En plus avant 16 heures, heure limite, elle moffre sa rosette.
À demain mon bel étalon.
Et oui demain, gagnant ou perdant, je serais gagnant, même si je dois me soumettre à ces trois bacchanales.
Mercredi, il est 18 heures, Martine est rentrée et est dans son bain.
Je bois un whisky mollement allongé sur mon canapé.
Elle me rejoint nue, je viens me sucer.
Et dire quil est de notoriété publique en France que les chômeurs sont des fainéants.
Heureusement, que je suis un sérial niqueur.
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