Mon Médecin Maître 2
La semaine daprès, nous nous retrouvions le vendredi à 15h, je loupais la fin de ma journée de cours, et ça nous laissait du temps ! En arrivant à son cabinet, je sonnais à linterphone qui ouvrait la porte automatiquement, puis je vins frapper à la salle dattente, jentrai et je minstallai sur le canapé. Javais la boule au ventre, je ne savais pas vraiment ce qui allait se passer. Soudain, je me souvins quil mavait dit de me laver lanus avec une poire anale. Il mavait expliqué le fonctionnement au téléphone la veille. Jallai dans les toilettes comme il me lavait indiqué et trouvais la fameuse poire. Je me nettoyais comme il lavait dit, je trouvais la sensation étrange, mais en même temps pas si désagréable.
Alors que je revenais dans la salle dattente, il ouvrit la porte de son bureau.
- Bonjour jeune homme, comment vas-tu ? Me demanda-t-il gentiment.
- Bien merci Monsieur, et vous ?
- Je veux que tu mappelle maître. Je vais bien merci.
- Daccord maître, répondis-je en minclinant légèrement.
- Déshabille-toi dans la salle dattente, mordonna-t-il, personne ne viendra nous déranger. Tu mattendras à genou au milieu de la salle sil te plait.
- Oui, maître. Répondis-je en exécutant la même courbure.
Alors quil retournait dans son bureau, jexécutais ce quil avait ordonné. Les mains tremblantes, je me mis nu, jétais gêné, mais en même temps jen avais tant envie !! Je minstallai à genou au centre de la pièce, et il arriva dans la pièce quelque instant après. Il me regarda avec satisfaction. Il vint attacher mes mains dans mon dos. Il vint mettre un petit anneau de caoutchouc autour de les testicules. Mon sexe à peine dur se durcit. Je compris alors ! Il se redressa et me regarda, pour lâcher simplement :
- Debout.
Je mexécutai, de plus en plus excité, mon sexe était de plus en plus dur et le petit garrot augmentait de beaucoup mon érection !
- Je ne veux pas tentendre sinon tu seras puni, avec 10 fessées.
Jacquiesçai. Il commença alors à caresser mes testicules, doucement, en sortant une petite fiole de lubrifiant de sa poche de lautre main. Il en fit couler sur mon gland, et vint enduire ma verge entière de lubrifiant en la caressant fermement. Le sang pulsait dans mon sexe, et à chaque fois quil passait sur mon gland javais un frisson et mon sexe avait une contraction. Je savais quil ne faudrait que peu de temps avant que jéjacule, mais la sensation était puissante et je respirais déjà fortement. Il remit un peu de lubrifiant dans sa main et fini par ne caresser que mon gland. Il le malaxait et mon corps subissait de petits soubresauts, javais du mal à ne pas gémir. De son autre main, il pinçait mes tétons. Je naimais pas trop cela, parce que cela me renvoyait à une situation que je voulais oublier. Mais je ne devais pas faire un bruit. Mes deux tétons étaient rouges. Mon sexe se contracta et un premier puissant jet de sperme parti de mon sexe, si fort quil alla sétaler un mètre devant, sur le dossier du fauteuil devant moi. Il continuait de masser mon gland, et encore 6 ou 7 jets de spermes partirent de mon sexe. Je retenais ma respiration, jétais tout contracté, je pensais que cétait enfin fini, mais il continua, en rajoutant de nouveau un petit peu de lubrifiant. Il se mit à rire.
Il se plaça face à mon épaule, et quitta mon glande pour masturber mon sexe encore dur, de haut en bas, doucement, sarrêtant juste avant le gland, et redescendant jusquà la garde. Du liquide continuait de couler de mon sexe ; mais je poussai un soupir de soulagement, javais eu du mal à me contenir. Je senti quil menduisit lanus et lentre-fesse de lubrifiant, il titilla mon anus un instant, puis fini par introduire un objet en plastique entre mes fesse. Je senti le bout de lobjet appuyer sur mon anus, alors quil branlait toujours mon sexe. Le bout de lobjet était un peu épais, jimaginais que cétait un gode, surement de gros calibre, vu le sexe de mon médecin.
- Ah enfin ! Dans le cabinet tout de suite, le torse contre la table dauscultation. Ordonna-t-il.
Je mexécutai.
Jattendais avec un peu dappréhension, je lentendais safférer derrière moi. Puis je vois son ombre me surplomber. Il insère deux doigts, sans problèmes, dans mon anus ; il écarte, il fouille, il fait des va et vient. Il insère ensuite un troisième doigt, et remue sans ménagements. Je compris quelle allait être ma punition. Au bout dun certain temps de travail, tous ses doigts rentraient et la jointure de ceux-ci avait finalement passé. Javais un peu mal mais ça allait, car il me branlait en même temps. Quand je fus sur le bord de jouir, il arrêta de me masturber, puis il retira sa main.
- Attends avant de jouir, lâche-t-il simplement.
Il mattrapa par les cheveux pour me relever en arrière, mon anus était tout dilaté, javais les jambes coupées et flageolantes à cause des sensations. Il me fit me mettre à genou, face à son sexe, quil sorti en ouvrant sa braguette. Il était dur, et était dressé bien droit vers lavant, beaucoup de veines saillant et son gland était déjà tout humide. Il attrapa mes cheveux, une main de chaque côté de ma tête, puis il vient caresser mes joues avec son sexe en avançant et reculant son bassin. Puis il plaça son gland en contact avec mes lèvres, que jouvris ; il plaça le bout de son gland sur la lèvre inférieur, alors je refermais celle du dessus pour suçoter le bout de son gland et caresser son méat du bout de la langue.
Il se plaça dos à moi en écartant se fesses, je me mis alors à lécher son anus, du mieux que je pus. Cela dura quelques instants. Il mattrapa ensuite par les cheveux pour bien coller ma langue dessus et me releva en me tirant par les cheveux. Il vint fourrer sa langue dans ma bouche en attrapant mes bourses, quil serrait légèrement pour affirmer toujours plus son autorité. Jétais en attente, jaimais beaucoup ce qui se passait, et mon désire était à son paroxysme, je voulais enfin jouir. Il finit mettre fin à cet échange entremêlé de langues, pour me plaquer le torse contre la table dauscultation.
Il se mit à me mettre quelques fessées, je poussais de petits gémissements, pour demander encore plus.
- Insultez-moi, sil vous plait Maître.
Il me mit une fessée plus forte que les autres qui résonna dans la pièce, et il répondit dune voix autoritaire en me donnant une série de fessées :
- Tu ne parles que si je te le demande, petite chienne.
Cest bon le message était passé.
Son gland entra dans ma grotte sans aucuns problèmes, et il put senfoncer en moi jusquau bout, il reste un moment comme ça. Il agrippa mes cheveux et tira ma tête en arrière, pour venir passer son autre main autour de mon cou. Il lâche mes cheveux en commençant à donner de grands coups de butoir, mais je narrivais pas à jouir à haute voix, le souffle presque coupé. Il était brutal, jentendais à peine les insultes quil proférait, tellement concentré sur cet orgasme qui venait, puis, dans un puissant râle, je sentis mon sexe se contracter et jéjaculation venir alors que mon anus se serrait autour de son pénis. A ce moment-là, il lâcha prise pour attr mes hanches et me prendre sauvagement, comme jamais ça ne métait arrivé jusque-là. Il finit par se sortir, alors que mon anus était toujours contracté sur son sexe, pour venir me lenfoncer dans la gorge et jouir à grandes giclées.
Il mordonna de nettoyer en me donnant de petites tapes sur les joues :
- Gentille petite, murmurait-il. Ce nest pas toujours que les jeunes aiment quon les insultes. On va samuser à plusieurs la prochaine fois. Rhabille-toi et parts, lâcha-t-il en guise de conclusion.
Je mexécutai après quil eut délivré mes mains.
Jattendais la suite avec une telle excitation.
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