La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°948)

Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°947) –

- Je suis fier de toi Ma chienne ! Tu t’es bien sortie de ta première mission. Ces deux hommes sont des clients importants, et les petits cadeaux entretiennent les bonnes relations. Bien, maintenant suis-moi ! Nous avons une chambre qui nous attend, tout près. Notre prochain avion n’est que dans 15h. Mais je dois te parler un peu de ce que nous allons faire les prochains jours, et tu as du travail qui t’attend en tant que secrétaire particulière.

Quand le Maître avait parlé d’une chambre qui nous attendait, je pensais à une chambre d’hôtel. Je ne m’attendais à un véritable petit manoir. Et quand je vis comment Il était accueilli, je sus très vite que ce lieu Lui appartenait. Effectivement, tous les domestiques que nous avions croisés étaient nus et L’appelaient Maître Vénéré. Nous fûmes bien emmenés dans une chambre, immense, élégante, luxueuse. En fait c’était une suite, et il y avait un petit bureau qui était accolé à la pièce contenant le lit, où Monsieur le Marquis s’assit dans un confortable fauteuil en cuir.

- Je ne veux plus voir la femme professionnelle.

Comprenant ce qu’Il attendait de moi, je me déshabillais et vint me prosterner devant Lui.

- Bien, maintenant, écoute- moi attentivement. J’ai diverses choses à acheter dans différents pays. En tant que secrétaire, tu auras à réserver des avions, des hôtels, des restaurants. En tant que secrétaire avec une spécialisation en comptabilité, tu auras à gérer les factures, à surveiller le budget pour mon projet pour savoir où il en est par rapport aux différents achats que je ferais. En tant que soumise, tu auras à satisfaire diverses personnes que nous rencontrerons. Voici divers dossiers sur certaines d’entre elles, étudie les pour apprendre à les connaître et être plus à même de leur apporter ce qu’elles voudront. Installe-toi par terre, à côté de moi, j’ai également à travailler.



Et nous nous mîmes à travailler. Plusieurs heures se succédèrent sans que rien ne se passa de particulier, sans qu’un bruit ne se fisse entendre à part le bruit des feuilles qui tournaient, et celui du stylo du Maître qui courrait sur le papier. Et d’un coup, Il claqua des doigts, sans même prendre le temps de réfléchir, de ranger les dossiers, ou autre, et je me prosternais devant Lui attendant Ses ordres. Sans un mot, Il se leva et baissa son pantalon et son boxer, laissant sortir une queue déjà bien dressée, et Il claqua des doigts à nouveau. Je me mis alors à genoux. Je commençais à lécher le bout de son gland violacé, doucement. Puis je mis une main à la base de son membre, un coup la dirigeant en même temps que ma bouche vers son milieu, faisant donc des mouvements opposés en bougeant mon poignet de bas en haut et donc un coup aussi en faisant aller ma main dans la même direction vers le haut et le bas, malaxant les couilles de ma deuxième main, alternant mouvements lents et rapide, gorge profonde ou effleurement des lèvres. Je décidais de laisser quelques instants cette magnifique verge gonflée, pour m’occuper de Ses bourses. Je les léchais avec délectation, j’en pris une dans la bouche la suçotant, la faisant rouler avec ma langue. Puis j’infligeais le même traitement à Son double. Après quelques minutes à m’occuper d’elles, je revins sur la bite qui n’attendait que ma gorge pour se vider, et je m’activais dessus avec conviction ! Je ne tardais pas à sentir Son divin nectar, épais et abondant, s’écouler et m’abreuver.

- Bien, sois heureuse, je t’ai nourrie avant moi ! C’est rare, sois-en reconnaissante ! …

Et Il claqua à nouveau des doigts afin que je me prosterne une nouvelle fois devant Lui. A ce moment- là, un soumis frappa à la porte, apportant le repas du Maître, qui le prit tranquillement, pendant que je patientais, heureuse de me sentir à ma place de chienne. Attendre Son bon vouloir, dans cette position qui était celle où je me sentais le mieux, le plus Sa chose, me comblait de bonheur.
Quand il eut fini Son repas, Il posa une assiette par terre avec de nombreux morceaux de viande et de légumes. Alors que je commençais à laper les morceaux de ma langue, en levrette, je sentis le Châtelain se positionner derrière moi, et Il prit possession de Sa chienne à grands coups de reins qui me propulsaient par à-coup vers l’avant. Le bruit de Ses couilles qui claquaient contre ma peau accompagnait celui de l’assiette qui se déplaçait en même temps que moi. C’était tellement bon, tellement jouissif ! Malheureusement, ou pas, vu que je trouvais mon bonheur dans Sa satisfaction, Il ne m’autorisa pas à me libérer d’un orgasme qui aurait été foudroyant et Il me laissa donc surexcitée après avoir éjaculé au fond de ma chatte dégoulinante de désirs, de plaisirs. Il se déshabilla complètement.

- Reposons- nous pendant les quelques heures qui restent avant notre prochain vol.

Il saisit ma laisse et me reconduisit dans la chambre où avait été installée une vraie panière de chienne, vers laquelle Il me dirigea avant d’attacher la laisse au pied du lit, et Il s’allongea ensuite dans les draps… Les heures passèrent et après ce repos qui fit indéniablement du bien, nous repartîmes pour l’aéroport. Le Maître avait exigé que je passe un nouveau tailleur, en tout point semblable au premier sauf que Ses Initiales MDE étaient brodées sur une pointe du col de la veste. Je le suivais en direction de la porte d’embarquement, et j’eus la surprise de voir que nous partions pour la Chine et plus précisément à Chengdu. 19h35 de voyage, qui furent plutôt occupées ! Cette fois- ci, je voyageais en classe affaire aux côtés du Maître, car Il voulait que nous puissions travailler. Ayant accès à une connexion Internet, il n’était pas question que le travail que nous aurions fait en restant au Château resta en suspens, et de plus Il tenait à revoir les chiffres du projet dans les détails. Je ne savais toujours pas ce qu’Il préparait mais cela semblait colossal ! Ce projet me semblait pharaonique ! Et en dehors du côté professionnel, Il m’envoya proposer mes services aux pilotes, qui étaient de Ses connaissances, et Dominants, afin de leur rendre leur travail plus agréable.
Je les suçais un certain nombre fois, je fus prise mainte fois par tous mes orifices dans le cockpit à tour de rôle afin qu’ils puissent se relayer aux commandes du pilotage de l’avion, mais sans jamais avoir l’autorisation de jouir. Je passais donc régulièrement de mon rôle de secrétaire particulière sérieuse de Monsieur le Marquis d’Evans à Sa salope de chienne en chaleur, toujours pressée de se faire prendre afin de satisfaire le Vénéré Maître.

Arrivés à Chengdu, nous prîmes une navette pour 8 longues heures de route cahoteuse pour atteindre un petit village nommé Jiaju, surnommé « le village enchanté du Tibet ». Le nom « Jiaju » signifie en tibétain « une centaine de familles ». Ses quelques 140 maisons sont disséminées sur les pentes d'une petite colline, dans une forêt. Elles sont uniques en leur genre, avec leur toit en forme de couronne, leurs avant-toits de couleur rouge et leurs murs blancs, qui leur donnent des airs de petits châteaux. Ce petit village tibétain était une destination de choix pour les amateurs de photographie, notamment au printemps, à partir de février, époque de la floraison des poiriers, de l'éclosion des fleurs sauvages et des prairies bien vertes. Ce fut un émerveillement que de voir ces magnifiques paysages. Le peuple vivant là s’était adapté à la montagne en y construisant des champs en terrasses et des routes escarpées. Ils vivaient en autarcie et se nourrissaient principalement de la culture de la terre. Leur relation avec la nature était très importante car elle permettait de les nourrir mais aussi d’une certaine façon de les abriter. Cette relation se reflétait dans leurs coutumes, leurs traditions et leurs constructions. Ainsi les villages tibétains, véritables labyrinthes de végétaux et de roches, invitaient le visiteur à se perdre à travers sentiers et cultures. Je ne savais pas ce que nous faisions dans un coin si reculé du pays, mais ces images resteraient gravées en moi. Nous fûmes accueillis par un homme sans âge, dont les yeux respiraient la sagesse.
Quand nous franchîmes la porte de sa maison, je ne pus que voir qu’il était la seule personne habillée à part nous.

- Cher ami, je Vous en prie, sentez-Vous ici comme chez Vous !

- Je Vous remercie pour votre accueil, il y avait bien longtemps que nous ne nous étions vus ! (Puis se tournant vers moi) Chienne, reprends donc ta place et va saluer notre si généreux hôte de son accueil …

(A suivre …)

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