Petite, Si Petite 1
Petite si petite
La nature parfois est cruelle et dément lidée selon laquelle tous les hommes naissent égaux.
Depuis lécole maternelle, Sonia avait décidé que jétais son amoureux. Un jour elle précisa que je serais son mari. Elle était mignonne et affectueuse et aurait le temps délargir ses horizons, de voir du monde et de rencontrer dautres garçons pour améliorer son choix. Bon, ce choix nétait pas pour me déplaire et ses bisous me chauffaient le cur.
Quand arrivèrent nos vingt ans Sonia décida que je devais lépouser. Quelle persévérance penseront certains, quelle obsession ricaneront les autres. De ce jour elle maccorda le droit de lembrasser sur la bouche. Je ne men plaignis pas, elle était devenue une jeune fille tout à fait désirable et jaurais dû me réjouir de sa constance. Nous connûmes les joies de la découverte du vrai baiser. Mais pour obtenir plus je dus me résoudre à demander officiellement sa main à son père.
Ce nétait quune formalité, le brave père plus ému que surpris, samusa à me faire décliner toutes les raisons qui inspiraient une telle démarche. Comme pour un entretien dembauche je dus décliner mes objectifs. Outre lancienneté de notre relation, je vantai la beauté de lélue, son charme naturel et lamour quelle me portait depuis toujours. Je précisai mon intention sincère de la rendre heureuse.
- C est tout? As-tu vu son corps, sais-tu si vos corps se compléteront, si vous vous accorderez au lit ? Cest un élément de base.
- Quoi, quand, comment, où, pourquoi ? Nous navions pas procédé à des investigations propres à pouvoir répondre à la question. Je dus men tenir aux généralités de ceux qui nont pas osé « essayer »:
- A vrai dire, ce sont des choses à découvrir quand nous vivrons en couple. Jusquà présent Sonia a farouchement défendu sa vertu; en dehors de son visage et de ses membres je ne connais pas son corps. Cependant elle semble faite comme toutes les jeunes filles de son âge.
-Bien, épouse ma fille et sois mon fils .
Nous étions donc fiancés. Elle voulut bien découvrir sa poitrine devant moi. Je fus ébloui à la vue de ces deux globes délicats couronnés par une minuscule framboise. On maccorda une caresse et je reçus prière de déposer sur le timide fruit rouge un baiser. Avec dévotion mes lèvres se refermèrent sur ce bouton exquis, le roulèrent et ma langue le tutoya assez pour le sentir grossir et durcir. La deuxième framboise eut la même réaction à la même sollicitation. Sonia caressa mes cheveux, me remercia. Son visage avait rougi, sa respiration sétait accélérée, mais tout naturellement ses mains rangèrent ses délicats ornements dans son corsage. Si je métais montré attentif à ses désirs, bien gentil comme elle aimait le reconnaître, quand nous étions seuls, je recevais en récompense le droit dhonorer ses seins, de les découvrir, de les baiser et même de les sucer comme le ferait plus tard notre bébé.
Le mariage eut lieu. La petite taille de ma zigounette pendant la nuit de noces étonna à peine lépouse qui lattribua à la fatigue et au stress dû à lévénement, aux nombreux toasts, au brouhaha de la fête. La nuit suivante je fus plus vaillant et mon membre, sur commande manuelle étonnamment adroite de lépouse, devint raide et dur, Sonia prit la pose, couchée sur le dos, jambes ouvertes, mains appliquées à me présenter son adorable sexe, vierge comme je dus le constater de visu et ensuite pour forcer le barrage dun hymen rétif avec ma verge.
Où donc avait-elle acquis cette dextérité manuelle capable de dégeler mon oiseau? Elle était très fière davoir su se conserver intacte pour moi. Mais est-ce inné pour une femme de prendre la pose pour accueillir son mari ? Elle minvita fort gentiment à la rendre femme. Je pris le temps dobserver attentivement cet entrejambe enfin révélé, le contraste entre les grandes lèvres et les nymphes aux chairs si différentes.
Avec application je donnai des soins doux et humides à ce petit pois de chair. Je le suçai tendrement au point que ma jeune vierge manifesta par petits gémissements et sursauts de son bassin tout le plaisir quelle tirait de mes attentions et me signifia lurgence de passer à lacte damour. Le visage mouillé par ce contact, la bouche étonnée de létrange saveur de ce clitoris et de ses environs, à la demande de la mariée, je mallongeai dans le berceau de ses cuisses, je dirigeai mon dard tendu vers lobstacle à franchir, plein dappréhension mais aussi de bonne volonté.
Jappuyai comme Sonia le voulait et je fus en elle un peu moins facilement et rapidement quelle ne lavait prévu. Mais lhymen céda. Sa mère lavait instruite, mise en garde contre de possibles difficultés et des douleurs désagréables, habituelles lors des premiers rapports sexuels, mais nécessaires lors dun dépucelage pour quil soit couronné de succès. Elle sattendait au pire, après plusieurs tentatives infructueuses, elle neut que le meilleur et se réjouit de ma délicatesse et de mon adresse.
Lavantage dun petit pénis est de pouvoir entrer en évitant les gros dégâts. Dernier témoin de sa virginité son sang macula nos sexes, un tour rapide en salle de bain remit les choses en ordre. Sonia me lava entre ses mains avec tendresse mais tiqua quand elle comprit pourquoi je métais introduit de façon quasi indolore. Je la repris et selon ses indications précises je fus actif, je moffris le plaisir de la conduire vers une jouissance quelle sut traduire en râles et plaintes damour.
Ce qui prouve quune petite bien raide peut être aussi efficace, sinon plus quune grande paresseuse. Jen éprouvai un sentiment de légitime fierté.
Mon bonheur venait du plaisir que je lui donnai, elle se disait heureuse de me faire jouir. Un jour je pus dire à mon beau-père que nos corps se complétaient et que nous tirions lun de lautre, physiquement et psychiquement, entière satisfaction. Il navait pas à sinquiéter.
Cependant Sonia me regardait parfois avec un air étrange. Elle fixait ma verge, la prenait en main, la caressait, lui donnait des bisous puis me demandait de la prendre et de lui faire connaître lorgasme. Après les secousses de la jouissance elle semblait comblée, ravie, mais comme étonnée. Et dans leuphorie dune nuit où elle avait fait quelques allers-retours au septième ciel, elle dévoila enfin la cause de son étonnement. Par des recherches, par des lectures, par des confidences damies et connaissances, par lécoute de certaines conversations, elle avait appris que la taille moyenne dun pénis était denviron quinze à seize centimètres.
Elle tenait le mien entre ses doigts, embarrassée par mon regard qui surveillait sa façon de me mesurer sans en avoir lair. Elle nosait pas le dire, mais elle semblait déçue de navoir en main quun morceau dune courte dizaine de centimètres. Javais de bonnes raisons de me croire efficace, ne venait-elle pas de clamer à plusieurs reprises sa jouissance. Pour avoir reçu les mêmes informations, je me savais doté dun instrument de petite taille. Plus jeune javais développé un complexe. Lamour de Sonia et nos unions charnelles réussies, le plaisir quelle prétendait éprouver mavaient rassuré.
-Il paraît que certains chanceux ont des pénis de grande taille, de plus de vingt et parfois plus de trente centimètres.
Ce disant elle considérait avec pitié ou commisération lobjet de sa déception soudaine, cette petite queue, certes ferme et de diamètre acceptable, mais peu présentable dans un concours. Jamais elle ne pourrait se vanter auprès de ses collègues de posséder un spécimen exceptionnel. Elle écouterait les autres détailler longueur, diamètre, forme, énergie: mon truc nintéresserait aucune de ces femmes comblées par un pieu, un gourdin ou une massue, un manche énorme, une tige de fer brûlante, longue, nerveuse, une lance à incendie au débit de sperme phénoménal. Ses propos suffisaient à traduire sa déception. Il y avait des « chanceux » à grandes et grosses queues pour les autres et il y avait ma nouille de pas chanceux pour elle. Pour la consoler, je plaidai:
-Ma chérie, nas-tu pas joui ce soir avec mon zizi de petite taille?
- Elle était frustrée et je culpabilisais en secret.
De bonne foi elle protesta:
-Mais si, mon amour, mais tu imagines ce que cela serait si tu en avais une grande de vingt-cinq centimètres par exemple? Je nose même pas y penser.
Affirmation destructrice pour le minus habens ! Jévitais dy penser. Au contraire, elle ne pensait quà ça, elle devait passer beaucoup de temps à imaginer. Et maintenant son silence couvrait une des rêveries qui la livraient aux assauts furieux, houleux, ravageurs, extraordinaires, si délicieux et bienfaisants dun rouleau de chair surdimensionné en train de lui labourer le ventre, de lui défoncer le vagin et de la faire hurler dun bonheur que ma petite dimension ne pouvait pas lui faire connaître. Assurément « un chanceux » aurait fait mieux que moi et Sonia était dépitée de ne pas goûter aux béatitudes extraordinaires dune queue longue, large, épaisse, chaude.
« Tu imagines ce que cela serait »: cette petite phrase a ressuscité mes complexes dadolescent, je me suis senti si petit, si insignifiant, si nul. Elle imaginait, elle comparait, elle cultivait des regrets. Elle regrettait de ne pas avoir su plus tôt, de ne pas avoir pris des dimensions plus tôt, de ne pas avoir essayé avant de sengager avec un sous dimensionné. Quand un quidam prétendait que lon devrait pratiquer le mariage à lessai avant de passer à la mairie et à léglise, elle napprouvait pas ouvertement, mais baissait les yeux pour que je ny lise pas son trouble. Trop petit, plus petit que
Si petit et donc frustrant, nécessairement ma taille la privait des explosions charnelles extrêmes dont dautres plus chanceuses se vantaient en roucoulant. Tout petit, ridiculement petit, honteusement petit, donc impossible à placer dans une conversation avec les copines.
Mais ma queue était pour elle malgré tout, sujet de conversation: je lentendis ce jour-là dans une conversation dans ma chambre à coucher. Jai oublié pourquoi ce jour je rentrai plus tôt que dhabitude. Curieusement Sonia mavait précédé à la maison. Les bruits venus de ma chambre étaient éloquents. Disons plutôt la conversation que je surpris. En réalité cétaient des exclamations.
-Oh! Est-ce possible. Quelle belle bite. Longue, dure, épaisse. Est-ce possible? Je peux encore toucher?
- Vas-y. Je ne demande pas mieux. Que ta main ne tremble pas.
- Vrai, je peux encore. Cest incroyable. Ton gland est magnifique, fantastique. Voilà ce quil me faudrait
-Elle te plaît? Tu vois, ce nest pas du toc. Serre, cest du vrai, du solide, à ton service ma chère. Je ne suis ici que pour le plaisir de te laisser voir, toucher, prendre en bouche ou recevoir dans ton sexe ma verge. Nest-elle pas conforme à ce que tu souhaitais connaître sur le site internet ?
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