Un Rendez-Vous Médical Inattendu
Marc, un homme bien bâti de la quarantaine travaille comme préparateur de commandes dans un centre de distribution de presse. Afin de livrer les librairies et autres points presse tôt le matin, lui et ses collègues doivent bosser de nuit entre 21h00 et 5h30 du mat'. La nuit se déroule toujours en deux parties, d'abord mettre dans les bacs toutes les commandes de revues déjà présentes lorsqu'il arrivent, ensuite vient la pause "déjeuner" et démarre ensuite la seconde partie de répartition des journaux fraîchement imprimés et livrés vers 1h du matin.
La majorité des collègues de Marc ont entre 35 et 50 ans, excepté quelques jeunes intérimaires qui viennent renforcer les équipes lors des congés et maladies de certains. C'est un milieu très masculin, macho et obsédé du cul. D'ailleurs sont affichés au mur un certain nombre de posters pornos de femmes sexy détachés dans des retours de revues érotiques invendues. Personne ne pourrait deviner que Marc s'intéresse plus aux queues qu'aux minous tellement il est viril, poilu et doté d'une voix grave.
Lorsque vient la pause, ça rigole et parle sexe tous les jours. Entre ceux qui se sentent obligés de raconter ce qu'ils ont fait à leur femme avant de venir travailler et ceux qui fantasment sur tout et n'importe quoi, on peut dire qu'au travail de Marc, la majorité ont une bite à la place du cerveau. Ce jour là, un d'entre eux veut taquiner Marc et lui dit "Tiens Marc, on t'entend jamais parler de cul toi! En plus chaque fois que tu vas aux toilettes, tu t'enfermes dans une cabine assise, tu te branles sur nos histoires mec?". Marc regarde son interlocuteur et lui lance "Non mec, c'est tellement tes histoires me font chier". Tout le monde éclate de rire, la répartie était bien placée. Dans l'assemblée, un jeune intérimaire, Jérémy, regarde Marc et lui fait un clin d'oeil comme pour lui dire "Bien joué!".
Un peu plus tard, dans l'entrepôt, Jérémy vient vers Marc et lui fait remarquer que beaucoup dans l'équipe sont quand même très cons.
Jérémy très attentif lui demande s'il est indiscret de lui en demander plus et Marc lui dit que ce n'est pas très glamour de l'avouer mais qu'il a des hémorroides douloureuses qui le dérangent même pour uriner. Il enchaîne en lui disant qu'il suppose que ce n'est pas facile à comprendre ni à imaginer. Jérémy lui répond "Détrompe-toi!".
Marc le regarde un peu ahuri et lui demande s'ils ont ce point commun. Jérémy lui répond que non mais qu'il a un oncle proctologue et qu'il a déjà eu l'occasion d'en discuter avec lui. Il surenchérit en lui proposant de le rencontrer. Marc un peu déstabilisé lui avoue que c'est la première fois qu'il en parle et qu'il n'est pas très à l'aise à l'idée d'en discuter, même avec un médecin. Ce à quoi Jérémy répond "Ca te rassurerait que je t'accompagne chez lui?". Marc de plus en plus perturbé lui répond à sa propre grande surprise "Sans doute". Jérémy, fier, lui annonce qu'il va s'occuper de tout.
Le jour du rendez-vous chez l'oncle de Jérémy, ils devaient se retrouver devant le cabinet. Marc était super anxieux et l'arrivée de Jérémy a réussi à l'apaiser un peu. Marc insistait auprès de lui pour qu'il l'accompagne à l'intérieur du cabinet, et le petit jeune accepta sans broncher. Le proctologue a pris le temps d'expliquer à Marc les raisons de sa gêne, les causes et les solutions. Marc retenait tous les conseils et ne se rendait pas compte que son hygiène de vie accentuait également ses douleurs.
Il s'exécuta, se mit en position. Jérémy était assis dans son dos face au cul de Marc. Le proctologue prévint Marc que ça risquait d'être long, froid et sans doute douloureux, tout au moins au départ. Le médecin lui appliqua un spray qui fit frissonner Marc de la tête aux pieds. Il a ensuite commencé à toucher l'anus de Marc, le titiller un peu pour le détendre. Marc qui pensait avoir mal, était surpris non seulement de ne pas sentir la moindre douleur mais surtout de ressentir du plaisir à sentir les caresses du docteur. Ce dernier s'appliquait et Marc en voulait plus. L'oncle de Jérémy a ensuite tartiné la rondelle de Marc d'une crème et l'a appliquée soigneusement jusqu'à l'intérieur de l'orifice de Marc. Il appréciait de plus en plus la visite chez le médecin et en avait complètement oublié la présence de Jérémy dans son dos. Au fur et à mesure du massage anal, Marc était de plus en plus détendu et sentait son orifice de plus en plus souple et gourmand de vivre plus encore.
Sans s'en rendre compte, Marc émit un gémissement inattendu. Il sortit un "Pardon" et le médecin le rassura en lui expliquant qu'il était en train de subir un massage prostatique et que sa réaction était tout à fait normale. Il ne se gêna donc pas pour continuer à gémir de plus belle. Le médecin était soit très patient, soit prenait du plaisir à exécuter ce doigté. En tout cas, Marc, lui, aurait voulu que ça dure des heures.
Tout à coup, il s'est rappelé la présence de Jérémy et s'est retourné vers lui. Le jeunot avait le pantalon par terre, la queue bien raide et se masturbait lentement à regarder la scène. Ne laissant pas le temps à Marc de réagir, Jérémy lui dit "J'étais certain que tu aimerais ça, et je suis persuadé que tu en voudrais encore plus".
Ce dernier mit ses mains sur la tête de Marc et commença et un va-et-vient rythmé dans la bouche de Marc en disant "Il me semble que mon collègue est finalement une belle cochonne". Cette phrase surexcita Marc qui s'appliquait de plus en plus à la tâche. Pendant ce temps, le médecin avait lui aussi baissé son pantalon et enfilait une capote avant de pénétrer l'arrière-train de Marc. La sensation, jusque là inconnue, décupla son plaisir. C'était mieux encore que dans ses fantasmes les plus fous. Marc était là à quatre pattes en train de se faire défoncer tant l'avant que l'arrière. Il criait de plaisir sans pouvoir se retenir, ce qui n'était pas pour déplaire aux deux complices. Marc se sentait de plus en plus salope et lançait des "Baisez-moi!" et "Faites de moi votre salope!". Jérémy fit un clin d'oeil à son oncle et ils commencèrent à lui prodiguer des claques, des fessées et même des pincettes au tétons et aux couilles. Marc était en transe. Jamais il n'aurait pu imaginer vivre un tel moment. Le médecin fut le premier à sentir son sperme prêt à jaillir. Il sortit du cul de Marc, arracha la capote et lui éclaboussa le dos. Son jus envahissait la toison de Marc qui criait à Jérémy "Encore, encore!". Il quittait la bouche de Marc, lui ordonna de se mettre sur le dos et a rejoint son cul pour continuer à le baiser tout en supportant ses jambes sur ses épaules.
Marc a repris doucement ses esprits pendant que Jérémy se rhabillait de son côté. Il gisait toujours nu sur la table d'examen comme si toute force de se relever l'avait quittée. Le médecin se rapprocha de Marc et lui dit "Il faudra suivre ce traitement régulièrement si vous voulez guérir". Marc afficha un grand sourire et répondit "Tout ce qu'il faudra docteur". Jérémy lui lança un clin d'oeil pervers ce qui fit frisonner Marc de plaisir une fois de plus. Il attendait la prochaine séance de pied ferme!
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