La Dépression De Mon Beau-Père...
Voici un an et demi que nous somment mariés Jérôme et moi, Ingrid, il a vingt-six ans et moi vingt-quatre, nous nous entendons parfaitement bien même si il est un peu coincé coté libido, petit à petit jarrive à lui faire admettre que je puisse me promener en petite tenue dans la maison et sans culotte lorsque nous sortons ensembles, il ose après bien des efforts de ma part accepter certaines positions dégradantes à ses yeux alors que moi je raffole dexcentricités, me laisser avaler son sperme nest pas chose facile, mais foi dIngrid jarriverais à faire de lui un amant digne de ce nom !
Hélas un grain de sable vient de gripper mes rouages
Louis, mon beau père fait une dépression suite au décès de sa femme, il ne salimente plus ou très mal, en arrêt de travail pour deux mois nous avons décidés de le prendre à la maison
Ça ne me gêne aucunement car il est encore bel homme et très sociable, pour lui je suis sa Gigi, il mérite que nous nous occupions de lui, restant à la maison je peux avoir un il sur lui et lobliger à faire la sieste laprès-midi après avoir pris une sorte de somnifère, de ce fait il se repose durant deux heures, par souci de vérifier quil dort bien je lui demande de laisser sa porte entrouverte, volets mis clos la chambre est plongée dans la pénombre
Évidement cette cohabitation freine nos envies, aussi je profite de ce temps de liberté pour me satisfaire dans ma propre chambre, vêtue dun long teeshirt et dun string je passe dans le couloir et en même temps devant sa porte afin de vérifier quil dort
cest dun commun accord que nous avons décidé que je resterai en tenue décontractée afin de lui remonter le moral
Quoi ?? Ai-je bien vu ? je fais un pas en arrière
jentends sa respiration régulière, limite ronflement, preuve quil est bien assoupi, mais, il a une main posée sur son ventre ou plus précisément sur son caleçon ouvert dune fente et dans sa main ce ne peut être que sa verge
a demi bandée si jen juge la grosseur, mon cur fait un bond dans ma poitrine qui se soulève entrainant une réaction en chaine qui se traduit par une goutte suspecte au fond de ma petite culotte
Je dois en avoir le cur net, rassurée par la respiration régulière javance a pas de loup vers le lit, ma vue adaptée à la semi obscurité je vois la queue décalottée posée entre son pouce et son index, il a dû être terrassé par le somnifère avant davoir pu mener sa masturbation à son terme, pauvre homme, et si jessayais de le satisfaire ? et surtout prendre en main ce membre nettement plus épais et plus long que celui de son fils
Avec mille précautions je pose son bras le long de son corps, il dort toujours profondément, la verge repose sur sa toison et même au-delà, quelle belle bite poilue ! je la caresse du dos de la main comme je le ferais a un petit animal, un soubresaut
la queue reprend lentement sa rigidité, jhumecte deux doigts de ma salive et frotte doucement son frein, le gland grossi encore, pas de réactions négatives du dormeur alors je menhardis et prend la bitte a pleine main, lentement je tire et repousse la peau, a présent ma culotte est à tordre, je serre les cuisses afin de titiller mon clitoris, une matraque comme celle-ci doit ouvrir une chatte à merveille
la bouche ouverte il est en totale béatitude, non Ingrid ! tu ne vas tout de même pas monter sur le lit
.
Oooooooohhhhhhh, soudain mon beau père se raidit, sa queue se cabre dans un ultime sursaut, une giclée monte tout droit pour retomber en pluie sur son ventre, il grommèle, je lâche tout laissant la sève masculine se répandre sur son ventre et me sauve de la chambre pour aller me finir avec mes doigts englués de foutre que jai fini par lécher , il ne ma fallu que quelques pressions sur mon clitoris pour laisser éclater un orgasme hors du commun
Quelle aventure ! Jappréhende de me retrouver nez à nez devant lui, a ma vue il prend à la fois un air réjouis devant ma tenue très courte, limite indécente, et un air désolé à cause de ce quil doit mavouer
- Ma Gigi il mest arrivé un truc dont je ne suis pas fier
- Holà Louis ce ne doit pas être bien grave, racontez moi ça ?
- Jeeeeee
je me suis fait dessus
enfin non ! pas ce que tu crois
jai jouis pendant mon sommeil, mon bermuda est tout taché
- Ce nest que ça ? bah ! ça se lave, cest même bon signe, vous rêviez de quoi beau papa ?
- Quelquun me touchait
cest très confus, tu crois que cest les médicaments ? je vais tout arrêter
- Surtout pas malheureux ! vous êtes sur la bonne voie de guérison, peut-être que cette belle inconnue recommencera ?
- En tous cas elle avait les mains douces dune fée et une très bonne technique
- Voyez-vous ça !
- En tous cas je suis drôlement bien après cet épisode
- Alors vivement la sieste de demain ?
- Jappréhende
- Soyez zen tout iras bien, surtout noubliez pas votre médicament, inutile den parler à Jérôme
- Promis Gigi, tu es si aimable avec moi et surtout tu es si belle
quelles jambes magnifiques
- Bon, je vais préparer le repas, allez donc faire un tour
Après ces compliments jai eu peur que Louis ne mapproche de trop près, étant si peu habillée je ne sais pas si jaurais résisté à des avances plus précises, je sens encore au creux de ma main la forme de son pénis en limaginant au plus profond de mon ventre
Le lendemain, lorsquil part faire la sieste Louis plaisante espérant revoir cette si bonne fée, jattends un quart dheure avant daller voir à la porte
mon beau père est étendu les bras le long du corps, il ronfle paisiblement, torse nu, en caleçon mais sa verge napparait pas
une envie irrésistible me pousse à lintérieur de la chambre , le bouton qui ferme le bermuda est dépatté, parmi les poils japerçois la naissance de la verge au repos repliée sur ses bourses , avec milles précautions jextrais le membre doux comme de la soie, posé au creux de ma paume je décalotte lentement le gland, comme la veille ma chatte se réveille, penchée sur lentrecuisse japproche mon visage de cette queue qui semble se mouvoir , jengouffre le nud qui commence à durcir , Louis pousse un long soupir et reprend son ronflement régulier
Prise par ma fellation risquée je nai pas réagis lorsquune main sest engouffrée sous mon teeshirt pour palper mes fesses et sattaquer à virer le fond de mon string sur le côté, le tranchant de la main a décollé mes lèvres de bas en haut, trop tard pour refuser les deux doigts qui sagitent divinement dans mon intimité, à présent la queue tient droite sans assistance, je peux me consacrer a tâter les couilles velues, Louis lève son cul afin de me faire avaler plus de chair raide
- Avale ma petite fée, je me doutais bien que cétait toi qui mas branlé hier et en plus tu suce comme une reine !
Pour toutes réponses je cambre les reins offrant totalement mon entrecuisse à ses caresses, lhumidité de ma chatte devient sonore, je vais jouir dans la main de Louis a moins quil ne me devance car son membre est secoué de spasmes
les giclées nen finissent plus, le trop plein de sperme coule aux commissures de mes lèvres pour se perdre dans sa toison pubienne
- Hhhhaaaaaaaaaaaa que cest boooooonnnn ! si cest ça la dépression je ne veux pas guérir !
- Vous allez beaucoup mieux Louis vous pourrez rentrer chez vous rapidement
- Mais je ny tiens pas ! approche mon cur, approche encore plus près de moi
- Excusez mon audace je ne recommencerais plus
- Aaaaahhhh ? je risque de rechuter si le traitement nest pas mené à fond
- Ôtez votre main da là Louis
- Je ne fais que te toucher les fesses alors que tu mas fait une pipe
- Ce nest pas une raison
- Tu es trempée ma belle laisse-moi te branler
- Ce nest pas bien
- Tu as raison la position nest pas appropriée, monte près de moi
- Vous êtes un profiteur Louis, seulement une minute
Je me suis retrouvée nue a son côté, il sest redressé sur le côté pour téter mon sein et reprendre le chemin de mon entrecuisse inondé dans lequel son visage est venu se coller à ma matrice en feu, il ma divinement léchée durant quelques minutes et a attendu que je me remette de ma jouissance avant de menjamber, son dard puissant pointé sur ma fente
Je lai reçu cuisses ouvertes, en appuis sur les mains il a trouvé sans aide le chemin de mon utérus, jai nouées mes jambes comme deux lianes autour de lui, petit à petit il a accéléré le balancement de ses reins, mon orgasme récent est très vite remonté à la surface, je lai mordu cruellement à lépaule, Louis a subitement vidées ses couilles en moi, sa raideur nas pas fléchi pour autant
- Petite peste ! tu mas fait décharger par surprise mais ce nest pas terminé, tourne toi en levrette
- Oui.
- Huuuuummmmmm
cest trop tentant
jhésite
ta chatte ou ton cul ?
- Pourquoi pas les deux à tour de rôle ?
- Pour commencer ma bite dans ta moule et mes doigts dans ton anus
- Daccord Louis
AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHOOOOOOOOOUUUUUUUUUUIIIIIIIIII !!!!!
- Je vais bien touvrir avant de te sodomiser
- Jla veux ! jla veux !!
- Tes désirs sont des ordres... hhhhhaaaaaaann !!
- Salaud que cest booooooooonnnnnnnnn !
Son mandrin mouvre divinement les entrailles, Jérôme ne ma jamais sodomisée avec autant de savoir-faire, Louis écoute mes geignements et change de trou au bon moment, jai jouis encore deux fois mon amant a déchargé trois fois, ce soir je ne pourrais pas massoir, je vais prétexter une poussée dhémorroïdes... mais demain ?
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