Léa 4
Je me réveillai un matin avec le sentiment que jallais vivre une bonne journée. Cétait un peu étrange, mais ça arrivait parfois. Et effectivement, cette journée commença plutôt bien : on était en plein hiver, mais à cause dune forte pluie verglaçante aucun transport ne circulait, si bien que je ne pouvais pas aller en cours et que jallais devoir rester chez moi aujourdhui. Une journée de vacance gratuite
ça commençait bien en effet. Un peu désuvré, je me rendis sur facebook, et là, je reçus un message. Rien dexceptionnel jusque là, sauf que ce message venait de Léa, une fille que je connaissais très bien.
« Salut ! Tu fais quoi de beau aujourdhui ? Me disait-elle. »
« Rien de particulier. Je peux pas aller en cours, alors je vais rester chez moi toute la journée. »
« Tout seul ? Tes parents sont pas là ? »
Je saisis aussitôt ce que pouvait impliquer sa question, aussi je me hâtai de répondre :
« Non, ils bossent. Je serai tout seul toute la journée
»
« Je peux passer alors ? Mon père passe pas loin de chez toi, il pourra me déposer. »
« Ok ! »
Je souris, et me dis quen effet, cette journée promettait dêtre très bonne. Léa était une fille on ne peut plus sexy, grande, blonde, de beaux yeux verts qui illuminaient un merveilleux visage, et un corps de déesse agrémenté dune belle poitrine (90c) et de fesses sublimes. On avait déjà eu loccasion de coucher plusieurs fois ensembles, si bien que je savais que passer une journée avec elle pouvait avoir quelque chose de torride et délicieux
Elle toqua à la porte un peu plus tard, et jallai lui ouvrir. Elle me sourit lorsquelle me vit, et entra. Elle portait manteau bonnet écharpe et gants, normal avec ce froid ! Heureusement, une fois à lintérieur, elle se dévêtit. Elle portait encore un pull léger, et un jean, mais elle était quand même sexy, dautant que ses grands yeux verts brillaient dexcitation.
« Tu sais que depuis la dernière fois quon sest vus, jai pas baisé du tout ? »
Ah. Nous y voilà. Dun air innocent, je répondis :
« Ah bon ? On sest vus il y a longtemps. »
« Oui cétait le début de lété. Ca fait long... »
« Tas rencontré aucun mec depuis ? »
« Si, un, en vacance. On a baisé, mais il a joui tellement vite que je trouve que ça compte pas. »
« Ah oui, je vois
Pas trop en manque ? »
Elle se jeta sur moi, et membrassa sauvagement. Je my attendais, alors je lui rendis son baiser avec la vigueur qui convenait. On maintint le baiser à un rythme élevé, nous dévorant la bouche avec passion. Lorsque nous nous séparâmes, nous étions essoufflés et haletants.
« Si, me répondit Léa. Je suis grave en manque. »
« Je vois ça, répondis-je en souriant. »
« On va dans ta chambre, maintenant ! Dit-elle dun ton autoritaire. »
Sans attendre que je réponde, elle se leva, me saisit par la ceinture du pantalon, et mentraîna dans la chambre. Ravi de la situation, je me laissai entraîner. Dans lescalier cependant, je saisis Léa par les hanches, et lui retirai son pull, révélant un débardeur vert clair. Je la collai contre moi, et lui embrassai la clavicule, tout en lui massant fougueusement la poitrine. Elle poussa un petit cri de plaisir, et colla ses fesses contre mon sexe déjà tendu sous mon caleçon. Elle les secoua doucement, me faisant bander encore plus fort, et je la poussai vers le palier, pour la retourner et plaquer le dos contre le mur. Elle poussa un halètement dexcitation, et mattira contre elle, pour membrasser avec passion en retour. Puis, elle me poussa dans la chambre. Je la saisis par les hanches, et la plaquai sur le lit, mallongeant contre elle. Nous nous embrassions avec ardeur, tout en nous frottant lun contre lautre, cétait boon ! Je me redressai, et retirai mon pull, et Léa voulut tout de suite menlever le t-shirt que je portais en dessous, mais je linterrompis dans son geste : jaimais faire durer les préliminaires
Léa enroula ses bras autour de ma nuque, et me fit rouler repassant au dessus de moi.
« Je veux te faire jouir, comme la dernière fois. »
Je souris, et répondis :
« Avec joie, je ten prie, lance toi ! »
« Oui, mais je veux être sûre que tu te laisseras faire
Alors jai apporté ceci... »
Elle fouilla dans son sac et en sortit une paire de menottes. Je songeai un temps à me débattre, et à refuser sa prise de contrôle, mais finalement, je décidai de me laisser faire : je nallais sans doute pas le regretter. Léa mattacha aux barreaux du lit, et sinstalla sur moi. Jétais totalement en son pouvoir, et ça me plaisait beaucoup. Elle revint membrasser les muscles, les léchant avec avidité, avant de descendre encore, et de me retirer le pantalon. Elle saisit ensuite mon caleçon avec les dents, et le retira doucement, libérant ainsi ma verge tendue au maximum.
Elle passa doucement sa langue dessus, mobservant avec un air coquin. Je me mis aussitôt à frissonner de plaisir, et dus retenir mes gémissements. Léa continua à me lécher comme si mon sexe était une glace, sattardant sur mon gland, à qui elle donna de grands coups. Je ne pus retenir un cri, qui la fit sourire de satisfaction. Elle me prit ensuite complètement en bouche, et se mit à faire des va-et-vient avec, me pompant le sexe de haut en bas, tout en me massant doucement les boules avec ses longs doigts.
Léa avala avec un sourire coquin. Cela me donna envie de la baiser sur le champ, alors je fis mine de me redresser, mais les menottes me maintinrent en place. Léa pouffa doucement.
« Cest bon tas fini ? Grognai-je. Tu peux me détacher que je puisse te baiser comme jen crève denvie ? »
« Oh non ! Jen ai pas encore fini avec toi ! Répliqua-t-elle. »
Elle retira son pantalon, puis son shorty, puis me saisit la queue, et sempala dessus lentement avec un gémissement.
« Cest bizarre dit-elle en souriant, jaurais pensé que tu chercherais à reprendre le dessus là. Tes peut être pas si viril que je pensais... »
A ces mots, je voulus me redresser tout de suite, histoire de lui faire tâter de ma virilité, mais une fois de plus, les menottes me tinrent cloués au matelas.
« Détache moi, grognai-je. Je vais te montrer si je suis pas viril... »
Léa tira un sourire légèrement moqueur, et met mit une petite claque pour me provoquer. Puis, elle reprit ses va-et-vient, mais cette fois-ci, en accélérant le rythme sans sarrêter. Elle atteignit bien vite un rythme très élevé, me baisant avec passion, ses hanches sactivant, dessinant comme des cercles, secouant ma bite, et me faisant frémir de plaisir. Elle maintint ce rythme élevé un long moment, avant de sinterrompre une fois de plus. Mais ce ne fut que pour se déshabiller complètement, retirant son débardeur, puis son soutif, libérant sa belle poitrine. Elle se mit à aller davant en arrière, me culbutant de plus en plus fort, malmenant mon pauvre sexe délicieusement. Le plaisir montait et montait en moi, et je devais subir tout ça immobile à cause des menottes. Javais beau me débattre comme un beau diable, ça ne faisait que rendre les choses pires encore, dautant que Léa me recadrait avec de puissants coups de reins. Je finis par me faire une raison, et me laisser faire tandis que Léa accélérait une dernière fois le rythme, gémissant à pleine voix, jusquà nous faire exploser tous les deux dans un merveilleux orgasme.
On avait beau avoir joui, Léa en voulait encore. Elle se remit aussitôt à lécher mon sexe, jusquà ce quil redevint dur. Alors, elle me saisit à nouveau le sexe, et sempala encore dessus. Elle se remit à me baiser férocement, me culbutant comme une folle, tout en me griffant et me souriant dun air provocateur. Elle se pencha sur moi, et membrassa sauvagement, me mordant les lèvres au passage. Je réalisai alors soudain que jétais libre : pendant quelle membrassait, Léa mavait détaché. A présent, elle sétait redressée, et avait repris sa folle chevauchée, me baisant avec passion et ardeur. Elle me regardait droit dans les yeux, comme pour me défier du regard.
Sauf que cette fois-ci, jétais libre. Plus de menottes pour mentraver ! Je saisis Léa par les hanches, et dun mouvement sec, je la renversais, létalant sur le matelas. Elle se débattit un peu, mais je lui tins les mains contre le matelas, et elle ne put rien faire. De plus, je sentis au fond que cétait ce quelle voulait me provoquer puis me rendre ma liberté pour subir les conséquences de sa provocation. Elle voulait se faire corriger, elle nallait pas être déçue !
Je me mis à la baiser en missionnaire avec force, jallais et venais en elle, en la tenant fermement plaquée contre le matelas, et en la regardant dans les yeux, me délectant de la voir gémir, culbutée par mes puissants assauts. Je me penchai sur elle, et lembrassai avec passion, tout en lui tenant le menton, et en pressant mon corps contre le sien. Puis, je me redressai, et me remis à la limer avec vigueur, la tenant par les hanches, et la dominant de toute ma hauteur. Léa gémissait de plus en plus fort, à mesurer que mes coups de reins sintensifiaient, elle me tenait par les bras, comme si elle avait peur de décoller sous mes assauts. Chacun de mes coups de reins cognaient le fond de son intimité, et le plaisir montait de manière brutale en moi. Je ne tardai pas à être en sueur et haletant, tant à cause de leffort physique que du plaisir brut que je me procurais en baisant Léa. Celle-ci semblait également prendre son pied comme jamais. Elle gémissait, haletait, se tortillait, tout en enfonçant ses ongles dans mon bras sous leffet du plaisir. Javais ainsi limpression davoir affaire à une bête sauvage, que je devais dompter durgence. Et quoi de mieux pour ça quune bonne levrette ?
Je la retournai, et la mis à quatre pattes. Je me mis derrière elle, et la pénétrai dun coup sec. La tenant par les hanches fermement, je me mis à aller et venir davant en arrière limant son sexe avec délectation. Jaccélérai progressivement le rythme et la puissance de coups de mes coups de reins, jusquà aller vite et fort, la ballottant si vigoureusement que je devais la maintenir fermement pour ne pas quelle séloigne de moi sous la puissance de mes assauts. Léa se tordait de plaisir, gémissait à pleine voix, et secouait son beau fessier pour me donner elle aussi des coups de reins. Le faisait-elle pour reprendre le contrôle ou simplement rendre les choses meilleures encore ? Je ne sus pas, mais en tout cas, jallai si vite et si fort quelle ne put guère participer, et dut bien vite se contenter de subir en gémissant de plus en plus fort. Son corps se cambrait de plus en plus, et je la sentais se rapprocher de lorgasme. Je me mis alors à accélérer le rythme une dernière fois, la pilonnant plus puissamment que jamais, jusquà ce que dans un grand cri, elle explose dans un incroyable orgasme en même temps que moi.
« Cétait tellement bon ! Souffla Léa. »
« Cest parce que je suis un mec viril, dis-je avec sourire narquois. »
Elle pouffa, et membrassa lépaule, avant de se pelotonner contre moi. Nous restâmes un moment étendus, heureux de cette superbe baise.
Au bout dun moment cependant, je finis par avoir de nouveau envie. Nous nous embrassions doucement, mais de plus en plus intensément, Léa me tenant par la nuque et me caressant le torse, tandis que je luis caressais les fesses, si bien que jeus bien vite la queue plus dure quun bout de bois. Il était temps de repasser aux choses sérieuses.
Je retournai Léa, la mettant allongée sur le côté, et la prit en cuillère. La tenant fermement dans mes bras, je me mis à aller et venir, lui donnant de souples coups de reins qui la firent gémir. Je massai ses seins en même temps, et lui embrassai la nuque, tout en me pressant contre elle avec délice, ma bite continuant de la labourer pendant ce temps. Cétait absolument délicieux, mais je voulais passer à la vitesse supérieure. Je retournai Léa, la mettant sur le dos, et la pris en enclume. Je mis ses jambes sur mes épaules, et me mis à lui administrer de puissants coups de reins menfonçant en elle, et lenfonçant dans le matelas, frissonnant de plaisir et la faisant gémir à pleine voix. Je lui massai les seins en même temps, et la regardais droit dans les yeux, heureux de la voir chavirer sous mes assauts. Léa se tortillait, son corps se cambrait et sa respiration saccélérait grandement, elle semblait complètement sonnée par ce que je lui faisais. Jaccélérais le rythme au fur et à mesure, dopé par ses cris et le plaisir quelle prenait visiblement. Lorsque je me mis à lui donner de puissants coups de reins circulaires, cognant le fond de son intimité à chaque coup, elle se raidit complètement, serra les dents et sembla un instant en proie à une terrible extase
avant dexploser dans un orgasme qui la fit hurler et la fit sagiter de soubresauts délicieux.
Je nen navais pas fini avec elle cependant. Je la fis une fois de plus se mettre à quatre pattes, pour la prendre à nouveau en levrette. Elle poussa un grand gémissement lorsque je le pénétrai, qui se transforma en un grand cri, lorsque je me mis à aller et venir en elle sauvagement. Il faut dire que je ne ménageais pas ma peine, et macharnai à lui faire le plus de bien possible, dopé par la vision de son cul si magnifique et par les gémissements quelle poussait. Plus le plaisir et lexcitation augmentaient, plus je me déchaînai, culbutant littéralement Léa, lui claquant les fesses, et lui tirant les cheveux, pour quelle sente bien quelle était prise et pas à moitié. Cette fois-ci, elle ne cherchait même pas à participer, et je pensais alors quelle avait décidé de se laisser faire. Je me trompais. A un moment, elle se redressa, se mettant à genoux. Je ny vis aucun inconvénient, au contraire. Je lenlaçai par derrière, et me collant contre elle, je lui donnai de puissants coups de reins, tout en massant ses seins et lui embrassant la clavicule. Elle était à genoux sur mon lit, et je la prenais par derrière sauvagement. Je pensais être en contrôle total, mais Léa avait de la ressource.
Elle sassit soudainement sur mes cuisses, sempalant totalement sur mon sexe en poussant un petit cri de plaisir. Puis, elle poussa ainsi, jusquà mobliger à masseoir sur mes talons, avec elle au-dessus. Léa était assise sur mes cuisses, et moi, jétais assis sur mes talons, en équilibre assez précaire. Lorsquelle se mit à se déhancher de gauche à droite dans cette position, je compris que le vent avait tourné, et que cétait elle désormais qui était en situation de contrôle. Elle secouait son beau fessier, me baisant avec adresse et sauvagerie, secouant ma bite délicieusement. Moi, je ne pouvais que me tenir au matelas, sans trop pouvoir bouger sous peine de tomber. Je laurais bien renversée pour reprendre le dessus, mais ce quelle me faisait était si bon que jaimais autant me laisser aller. Je pouvais ladmirer de dos en pleine action, voir ses hanches et ses fesses sactiver, et profiter du plaisir quelle minfligeait, qui montait, montait, et montait encore me brouillant le vue et me faisant vibrer littéralement. Lorsquelle me donna un coup de reins plus fort que les autres qui marracha un cri, et me mit aux portes de lorgasme, je me dis quil était temps de réagir.
Je la saisis par les hanches, et dun coup, la renversai sur le côté. Déséquilibré, je tombai moi aussi, et me retrouvai allongé sur le côté derrière elle. Elle fut plus rapide que moi. Elle se redressa, et vint sur moi, avant de sempaler sur mon sexe. Je voulus aussitôt la renverser, mais elle commença alors à bondir sur ma queue de haut en bas, menfonçant dans le matelas, faisant rebondir ses merveilleux seins, et surtout, me faisant tant de bien que je ne réussis pas à la renverser. Dautant quelle me saisit par le cou, et me plaqua contre le matelas avec fermeté. Elle servit ensuite un sourire coquin, qui illumina son visage, et me laissa deviner que jallais vivre un grand moment. Et en effet, elle se mit à aller et venir davant en arrière, madministrant de féroces coups de reins qui me culbutèrent contre le lit, me donnant le tournis, et me faisant crier de plaisir. Léa elle même gémissait de plaisir, et se déchaînait de plus en plus, me baisant si fort que des vagues de plaisir me submergeaient à chaque coup, et me griffant le torse pour me faire frémir de plaisir. Pour la stimuler, je lui claquai les fesses, ce à quoi elle répliqua par une gifle bien sentie. « Oh bordel, comment je te baise violemment ! Cest presque un viol là ! » sexclama Léa en me donnant des coups de reins toujours plus puissants. Je voulus réagir, et la renverser, mais la belle blonde accéléra encore brutalement le rythme mimmobilisant temporairement, avant de me plaquer contre le matelas, et de me griffer violemment les pectoraux. Je poussai un cri de plaisir, et ne pus mempêcher de hurler « oooh ! Vas y ! Baise moi ! » Léa eut un sourire ravi de mentendre crier comme ça, et se mit à se déhancher de gauche à droite très rapidement, me tenant par le menton pour que je la regarde dans les yeux, tandis que ses hanches sactivaient encore et encore au-dessus de ma bite, memmenant au 7ème ciel. Jeus beau tenter de toutes mes forces, je ne pus tenir plus longtemps, et explosai dans un incroyable orgasme qui me donna la sensation de mévanouir, tandis que Léa hurlait elle aussi en étant secouée par le plaisir de son propre orgasme.
Elle seffondra à côté de moi, épuisée et haletante, sonnée autant que moi par ce quelle venait de faire. Lorsquelle fut remise de ses émotions, elle me souffla :
« Cétait géant, je suis désolée de tavoir baisé comme ça à la fin. »
Je souris faiblement, encore sonné.
« Cest pas grave du tout, et puis, ça me donnera envie de te rendre la monnaie de ta pièce la prochaine fois. »
Léa eut un sourire ravi à cette idée.
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