La Folie Du Pleutre 14. Epilogue 3

Tout en descendant les escaliers pour rejoindre la famille dans la salle à manger, cet épisode des photos me rappelle combien je m'étais excité en envoyant des images de Marion nue à Mr David. Cette fois c'est mon beau-père qui avait maintenant de telles images de ma femme, sa bru, et je devinais facilement qu'il ne se priverait pas de les montrer et de se branler en les matant. D'ailleurs en entrant dans la pièce, je l'aperçois en train de rigoler, son IPhone à la main et mon cousin en train de fixer l'écran sur lequel il ne fait aucun doute que ce sont les images du cul de Marion qu'il montre à cet obsédé. Je jette un regard vers Marion, elle est toute cramoisie de honte. Elle aussi a deviné ce qui faisait rire les deux hommes. L'ami de mon cousin qui ne voulait rien manquer se précipite auprès des deux autres rigolards pour à son tour mater les fesses de ma femme et de comprendre qu'elle semble le faire de sa propre volonté. Ma mère qui arrive de la cuisine demande à ce qu'on se mette à table et de cesser de jouer les adolescents avec le Smartphone. Je suis sûr qu'elle devine ce qui se passe mais n'en dit rien. Je me sens à nouveau humilié et en pleine érection.
La table est mise. Un banc pour 3 places est collé au mur et la table serrée, ne laisse que peu de marge pour bouger. Bien sûr, sans que l'on me demande mon avis, Marion est invitée à s'asseoir au milieu du banc entre mon beau-père et le cousin. Le tonton, sur son fauteuil est placé obligé, en bout de table. Je suis en face de ma femme entouré à ma droite par le complice du cousin et ma tante à ma gauche. Ma mère en bout de table, fait face au vieux sur son fauteuil.
En se glissant à sa place Marion reçoit la main du tonton sur les fesses, accompagné d'un rire gras des plus odieux. Encadrée, serrée, bloquée ma pauvre femme ne peut guère se mouvoir ni se défendre. D'ailleurs le veut-elle ? Elle me regarde crispée les yeux pleins d'inquiétude quant à ce qui l'attend.


Le repas se déroule assez calmement mais à chaque fois que maman s'absente pour aller en cuisine, les deux salauds de chaque côté, ne se gênent pas pour la tripoter. Marion est rouge de honte mais se laisse faire incapable de se rebeller. Ils se sont vite aperçus qu'elle avait les seins libres sous sa robe. Mon idée certes, mais pour eux c'est Marion qui l'a voulu pour les exciter. Je vois aussi que ses deux voisins ont la main lourde pour la faire boire. Ils savent qu'elle ne tient pas beaucoup l'alcool. A plusieurs moments, elle m'adresse des regards suppliants. Je sais qu'elle voudrait que j'intervienne mais je n'en ai pas non plus le courage ni l'envie.
A un moment, alors que Marion, les mains prises par ses couverts pour porter une bouchée à ses lèvres, le cousin glisse un doigt dans son décolleté et tirant la robe vers le bas, il dévoile à la ronde la blancheur de sa poitrine nue. Le tonton manque de s', la tante pouffe en faisant semblant de ne pas voir. Mon beau-père à la droite de Marion, plonge carrément ses yeux sur les seins de sa bru. Ils n'ont même pas un regard pour moi en éclatant de rire devant ce geste qu'ils trouvent vraiment drôle. Pas moi.
Pour le dessert, maman amène une bouteille de Champagne pour célébrer cette réunion familiale. Je vois très bien que Marion est déjà bien partie. Elle ne se retient plus et rigole maintenant aux blagues salaces de ses voisins. Visiblement elle a perdu le contrôle de ses pulsions. Moi je n'en mène pas large mais en même temps cette situation m'excite de plus en plus, même la tante semble avoir perdu pied. Elle n'arrête pas de rire en assistant au spectacle. Tout est réuni pour satisfaire ma perversion. Ma femme plus belle que jamais, des vicieux qui n'hésitent pas pour profiter d'elle et de ses appâts. J'avoue que l'humiliation que me procure la conduite de mon propre beau-père, qui n'a que faire de moi, ajoute à mon excitation. Tous autour de la table, et même ma mère, n'ont aucun respect pour mon épouse et la considèrent uniquement comme une poupée sexuelle.
Je me sens sur le point de jouir sur moi sans avoir à me toucher. Mon voisin de droite ne se gêne pas à plusieurs reprises de se lever au dessus de la table pour lui aussi profiter des charmes de ma femme. A plusieurs reprises Marion se trémousse sur son siège comme pour échapper à des mains baladeuses que la table soustrait à nos regards.
Au deuxième verre de champagne, Marion est maintenant saoule. Elle a les yeux qui brillent et ne cesse de rire bêtement. Elle joue à faire semblant d'écarter les mains qui lui touchent les seins ou les cuisses dessous la table. Mon beau-père esquisse un mouvement de la tête pour lui voler un baiser. Elle s'échappe et en reculant elle tombe dans les bras de son voisin de gauche. Profitant de l'aubaine, le cousin plonge carrément une main dans le décolleté de la robe pour tripoter le sein à sa portée. Ma mère encore une fois considère qu'il s'agit de plaisanteries de gamins et complice, elle rit de bon cœur. Il faut dire que Marion n'a plus rien d'une jeune femme timide harcelée par des mâles en rut. Au contraire, elle participe maintenant aux jeux libidineux sans plus aucune retenue. Moi aussi d'ailleurs, souhaitant voir jusqu'où peuvent la conduire ses pulsions, j'observe excité comme une puce en folie. Le tonton est au bord de l'explosion. Il est tout rouge et de son fauteuil, il allonge ses bras pour lui aussi toucher la femme.
Quand Marion décide de lever son verre à la soirée, elle se lève difficilement de son siège et entonne une chanson à boire. J'ai du mal à la reconnaître, elle si réservée et timide en société. Elle s'éclate pour la joie de tous. Ses deux voisins en profitent pour lui passer une main sous la jupe et un peu déçus, constatent qu'elle porte un string. Je vois nettement les mains bouger sous la robe relevée. Et Marion, le verre levé au dessus d'elle ne fait que semblant de se dégager mais continue à rire tout en chantonnant. Elle a du mal à se tenir debout et titube entre ses deux tripoteurs. D'un coup sec, encouragée par l'assistance, elle vide son verre et s'effondre sur le banc, la tête en arrière.
Sa position favorise l'exposition de sa poitrine. On la sent prête à tout supporter, aussi quand mon beau-père décide de lui voler un baiser, elle ne détourne pas la tête et même on voit très bien qu'elle lui offre sa langue en ouvrant largement la bouche.
Mais là, s'en est trop pour maman. Elle se lève et décide d'arrêter le jeu qui à son avis dégénère. Elle hausse le ton vers son mari et sermonne la tablée.
- Marion est saoule et vous aussi. Il est temps d'aller au lit. Emmène ta femme mon petit, elle ne se rend plus bien compte de la situation.
- Oui, maman.
Les deux voisins de Marion se lèvent et l'aident à reprendre son équilibre. Elle contourne la table tant bien que mal pour venir se jeter dans mes bras sous les rires et les quolibets des hommes. La tante, elle s'est déjà endormie la tête affalée sur la table.
Je soutiens du mieux que je peux ma petite femme pour l'aider à monter à l'étage pendant que les deux jeunes se proposent de montrer le tonton et le mettre au lit dans la chambre voisine à la nôtre. Je me sens un peu frustré de la fin en queue de poisson de cette soirée que j'espérais plus chaude jusqu'à voir Marion s'abandonner à ses pulsions que je soupçonne très salaces. Mais la nuit sera longue. Ma mère et mon beau-père ont leur chambre au rez-de-chaussée. La tante partage une chambre avec son fils à l'étage alors que le copain du cousin dort dans le canapé du salon.
En arrivant sur le palier de l'étage, Marion a du mal à se tenir debout. Plusieurs fois elle a faillit glisser dans l'escalier. Elle est complètement dans les vapes et se jette sur le lit toute habillée. Sciemment, je laisse la porte entrouverte sachant que le cousin et son pote vont passer devant pour transporter le tonton dans son lit. Elle est couchée sur le dos, les jambes orientées vers la porte, la robe s'est relevée et laisse voir un string tâché en regard de sa chatte. Je lui ôte ses escarpins puis je la redresse assise sur le lit pour lui enlever sa robe.
Une fois nue elle se laisse retomber. J'entends le cousin et son pote souffler à porter le tonton à bout de bras. Mon beau-père les devance. Arrivé devant notre porte il passe la tête et mate ma femme nue alanguie, allongée sur le lit. Il a un regard salace et je devine qu'il ne lui faut pas beaucoup pour entrer et venir se servir.
Mais le convoi arrive. Eux aussi prennent leur temps en passant devant notre porte maintenant largement ouverte par mon beau-père. Ils matent et aident même le vieux à bien se rincer l'œil ! Moi je bande comme un fou, me tenant à l'écart pour ne pas les gêner. Ils passent dans la chambre à côté. Prestement, je soulève le bassin de Marion et je fais glisser son string le long de ses jambes que je prends le soin d'écarter pour lui ouvrir le sexe. Je me cache dans l'ombre et j'attends que ces salauds reviennent. A peine le vieux couchés, ils se pointent tous les trois dans l'encadrement de la porte.
- Regarde moi cette salope comme elle exhibe sa moule.
C'est mon beau-père qui vient de parler aussi vulgairement de Marion.
- Oui, une vraie pute. Je me la taperais bien et je suis sûr qu'elle en redemanderait, ajoute mon cousin. Ce n'est pas son con de mari qui doit la faire reluire tous les jours.
En entendant ces mots je sens la jouissance monter le long de ma colonne. J'ai envie qu'ils entrent et viennent la prendre tous les trois. En même temps des larmes me montent à la gorge. Marion est là, nue sans défense et je suis sur le point de la livrer à des membres de ma famille. Elle est endormie, profondément et ne se rend compte de rien. Mon beau-père m'aperçoit dans l'ombre.
- Tu aimes la montrer hein ? Tu dois bander et tu aimerais qu'on la baise. Qu'on la fasse crier.
En disant ces mots, il fait un pas dans la chambre. Je sais qu'il va la toucher et même plus. Mais cette fois encore c'est la mère qui rompt l'enchantement en les appelant du bas de l'escalier.
- Arrêtez vos bêtises, allez, descendez. Je ne veux pas d'histoire. La petite est incapable de se défendre et mon petit est trop faible pour la protéger. Allez ! Descendez.
Je vois sur leurs visages la déception. On leur enlève leur proie. Les trois hommes sont en rut c'est évident et cette frustration les rend encore plus fou de désir pour ma belle. Mon beau-père pénètre quand même dans la chambre, s'assoit sur le bord du lit et sans douceur, il glisse deux doigts dans la chatte de Marion qui gémit devant le viol de son intimité. Les doigts ressortent luisants de cyprine.
- La salope mouille. On l'a bien chauffée tout à l'heure.
S'adressant à moi :
- Quand je pense que tu ne sauras même pas la faire jouir ! Quel gâchis.
Et il se lève et rejoint les deux autres voyeurs.
- Allez-vous rendre compte vous même, leur dit-il. Elle est bouillante.
Alors le cousin puis son complice entrent à leur tour dans la chambre et à tour de rôle ils plantent leurs doigts dans le vagin de mon épouse incapable de réaliser ce qui lui arrive. Leurs doigts sortent également luisants de la liqueur de ma chérie. Le cousin s'amuse un moment à faire tourner ses doigts dans le con maintenu ouvert et luisant. Marion pousse des petits gémissements en remuant le bassin au devant des doigts fouineurs. Bien sûr ça fait rire son tourmenteur qui s'enhardit et prend un sein de son autre main libre pour le malaxer sans douceur.
- Putain qu'elle est bonne ! J'ai rarement vu une chatte aussi dégoulinante de mouille. Ma queue n'aurait aucun mal à la perforer. Cette timorée est une vraie bombe sexuelle. Elle est brûlante, il lui faut une queue, une bite.
Mon cousin, qui sort le premier de la chambre se lèche les doigts en faisant exprès de me faire entendre un bruit destiné à m'humilier davantage.
- Ce n'est pas toi qui l'as faite mouiller comme ça !
Tous les trois descendent rejoindre maman. Je m'aperçois que j'ai joui dans mon pantalon tant l'excitation a été forte. Je me tourne vers Marion qui dort toujours profondément me semble-t-il, entièrement nue, toujours couchée sur le dos, les cuisses ouvertes, de la mouille s'écoule d'entre ses lèvres charnues. Elle ne s'est rendue compte de rien mais son excitation est bien visible.
Alors je réalise soudain que je l'aime, que cette superbe femme est la mienne et que je jouis de l'offrir au risque une nouvelle fois de la perdre. Une brutale envie de lui faire l'amour m'envahit, je la trouve si belle alanguie sur ce lit.
En sanglotant, je me précipite entre ses jambes et j'entreprends de lui embrasser le sexe. Elle sent bon, cette odeur qui est la sienne et que j'adore. Mon cœur bat à tout rompre. Je sais que ce ne sont pas mes fantasmes qui stimulent ma libido en cet instant, mais l'amour, la passion que je lui porte. J'ai envie de la prendre et de l'er.
J'ai devant les yeux, je contemple la chair mauve des grandes lèvres ouvertes et luisantes de mouille. Marion était chaude, j'en convenais à mon tour. Elle est comme une poupée de soie, inerte. Je restais quelques instant à contempler ce trésor. Puis délicatement j'écarte les lèvres pour découvrir les petites lèvres turgescentes, rouges baignant dans la liqueur, juste à l'entré de sa vulve. Comme j'aimais ma femme en cet instant ! Avec une extrême douceur, j'introduis son index, écartant les chairs brûlantes. Marion émet un drôle de soupir dans son sommeil, une plainte à peine audible, signe que ces caresses ne la laissent pas indifférente. Comme celles des trois autres connards !
Poursuivant, en écartant les plis des petites lèvres avec le pouce et l'index, je décalotte le clitoris que je gobe et aspire entre mes lèvres. Marion avance son bassin au devant de la bouche qui la mange quand soudain, un flot de mouille inonde mon visage. Peut-être même un peu de pisse. Heureux débordant d'amour, je ne me lasse pas d'aspirer cette liqueur si odorante au goût de sel ni de lécher l'intérieur de sa vulve. Je crois bien que Marion jouit sous cette caresse tout endormie qu'elle semble être. Moi aussi je réalise que je vais une nouvelle éjaculer. Rapidement je m'affale sur elle lui pétrissant les seins. Je n'ai aucun mal pour planter ma bite dans son ventre tant elle est mouillée et il me faut à peine un ou deux aller-retour pour vider en elle quelques gouttes de sperme.
Puis complètement crevé, je me couche à ses côtés et je tente de trouver un sommeil réparateur. En même temps mes sens restent en éveil car je conserve l'espoir que dans la nuit ces salauds ne vont pas manquer de tromper la vigilance de maman pour venir me prendre ma femme et en jouir. Devant moi, impuissant à m'opposer. Je décide de faire celui qui dormira quand ils viendront pour voir si Marion, si mon amour, sortie des effluves de l'alcool, se laissera aller une nouvelle fois dans la débauche de ses pulsions et surtout de ne m'en rien dire. Je vais me placer en spectateur alors que le silence s'installe dans la maison qui s'endort.
(à suivre)

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