La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1496)

esclave 976-038-936 au Château – (suite de l'épisode N°1491) -

‘‘… C’est sans un mot du Maître, c’est normal, étant donné que je ne suis rien, que je sors de son appartement… ’’

En bas de l’immeuble, je prends quelques minutes pour récupérer et repasser dans ma tête tout ce qui s’était passé aujourd’hui…

- Le Maître m’a chargé d’effec des tâches à sa place.
- J’ai pris connaissance de la chambre du Maître où une place m’a été attribuée
- J’ai léché l’ensemble du corps du Maître et fait un anulingus pour la première fois
- J’ai été considéré comme un simple urinoir et j’ai bu de l’urine pour la première fois…

Quelle session de formation… est-ce que je conviens au Maître ? De mon côté, je me suis senti à ma place malgré les deux nouveautés dans mon animalisation, mais je suis fier d’avoir obéi et de m’en être remis au Maître qui sait, lui, ce qui est bien pour son esclave. En rentrant, je ne me suis pas précipité sous la douche, je voulais garder l’odeur du Maître sur moi…’’

Au moment où je termine ces quelques lignes sur ma feuille de papier contant les premières rencontres avec le premier Maître qui m’a soumis, jadis, Monsieur Walter fait son entrée, je me précipite alors à genoux en position de vénération et j’attends en bon soumis docile.

- Debout… Suis-moi, le chien

Nous arrivons dans une des « salles de bain » du Château. Au centre, une grande bassine en tôle et deux magnifiques créatures, deux très jolies jeunes femmes. Elles sont complètement nues et en position « Attente » soit debout les jambes largement écartées, pas un poil pour cacher leur sexe épilé à la perfection. Ces deux femelles portent chacune un épais collier métallique au cou. Sûrement en argent car ils brillent d’un vif éclat où sont gravées les Armoiries de la Famille des Evans. D’autres inscriptions semblent aussi gravées dessus. J’apprendrai plus tard que ce sont les noms des soumises femelles de Monsieur le Marquis.

Le Majordome en arrivant à leur niveau me met ma laisse dans la bouche et sans aucune gêne, malaxe les seins de ces deux créatures qui restent silencieuses et immobiles.

- Si j’ai du temps tout à l’heure je vous ferai l’honneur de ma Verge, chiennes
- Merci Monsieur Walter
- Merci Monsieur Walter.

- chiennes pour l’instant, Le Maître ordonne que vous prépariez ce chien pour sa présentation de ce soir : Lavement profond, épilation, nettoyage et huilage. Gare à vous si je trouve des imperfections lors de mon contrôle. Vous avez 45 minutes. Bien entendu, aucune parole et au travail.

- Oui, Monsieur Walter.

Pendant ces explications, j’étais toujours en quadrupédie avec ma laisse dans la bouche. Le Majordome avant de se retirer et m’avoir donné une bonne claque sur mon cul, me désencage ma nouille. L’une des chiennes de Monsieur le Marquis me fait signe, avec un large sourire, de me redresser et de m’approcher… Elle semble, ainsi que sa compagne, tout à fait indifférente de se retrouver nue devant moi… Ce n’est pas le cas pour moi… J’ai encore tendance à cacher ma nouille qui, elle, n’est pas indifférente, oui je dis bien ‘nouille’ comme appelle mon appendice sexuel, Monsieur le Marquis. L’autre soumise, également sans aucune réserve de pudeur, (d’ailleurs j’ai compris assez rapidement que la pudeur n’existait plus dans leur condition servile, autant que l’intimité ou la honte qui n’avaient plus lieu d’exister) est allé chercher une bassine et un tuyau d’eau muni d’une canule… Sur un signe aimable et doux, je dois me courber en avant pour m’insérer la canule dans mon anus pour mon lavement… Une eau tiède s’empare de mon fondement… Puis un autre signe, je dois me purger accroupi dans la bassine… C’est fort en humiliation, les fois où je m’étais fait un lavement, c’était seul… Lors de la vidange de mes intestins, étant accroupi, je suis à la hauteur des sexes des deux femelles. L’une d’elle porte un petit cadenas fixé à deux anneaux-piercings de part et d’autre de ses grandes lèvres intimes.
L’autre un double plug obstruant tant son vagin que son anus. Trois lavages sont nécessaires pour que l’eau qui s’évacue de mes entrailles soit bien claire. J’ai même droit à un quatrième pour éviter les remarques du Majordome de Monsieur le Marquis. Une chose de faite.

Je dois ensuite me positionner pour que mon corps soit bien étiré par des chaînes pendant du plafond et des anneaux fixés au sol : Les bras et les jambes en croix. Mon corps ainsi exposé est enduit de crème dépilatoire, une sensation de fraîcheur, mais aussi de malaise, lorsque ce sont ma nouille, mes couilles et mon anus qui sont enduits car ces massages très sensuels et faits avec application me font inévitablement bander, tandis que les deux masseuses effectuent leur travail, sans aucun sentiment de honte, de retenue ou de pudeur. Il faut absolument que je me détache moi-même, de ce corps qui appartient en totalité au Maître et que je perde tout sentiment de ‘propriété’ vis-à-vis de mon corps. Pendant les minutes nécessaires pour que la crème fasse effet, les deux chiennes de Monsieur le Marquis se sont positionnées de chaque côté de moi en position « Attente » debout. Je remarque une petite lampe clignotante juste en face de nous. Nous sommes observés par l’intermédiaire d’une caméra soit pour le plaisir des yeux, soit pour nous surveiller. Mais cela importe peu, n’oublions pas que notre statut de soumis implique de s’offrir, de perdre tout de notre « moi ».

L’une des soumises se lève et vient avec une petite spatule vérifier si la crème a fait son travail. Sur un signe à sa sœur en soumission, cette dernière se lève et chacune enfilant un gant de crin, tout en m’aspergeant avec le tuyau, frottent avec énergie sur mon corps pour le rendre aussi glabre que lors de ma naissance. Ce sera sûrement lors de ma présentation cette nouvelle naissance, la naissance d’un soumis, d’un être qui n’aura plus aucun intérêt que celui de servir, d’obéir, de subir et de souffrir pour plaire, pour satisfaire, pour divertir les Êtres Dominateurs, les Seigneurs à qui j’appartiendrai totalement.
Des touffes de poils tombent de mon corps, ma peau rougit au contact du crin, ma nouille est au garde à vous, ma honte est à son comble, mais il faut que je m’y fasse… Mon état d’excitation ne semble pas troubler les deux femelles qui visiblement ne font pas cas de mon érection car apparemment c’est d’une simple banalité à leurs yeux… Oui il faudra que je m’y fasse à être ainsi exhibé nu et je sais que le Maître m’y aidera, j’en suis sûr. Au bout d’une dizaine de minutes de travail intense, semblant satisfaites, elles observent minutieusement tous les coins et recoins de mon corps et avec l’aide d’une pince à épiler, arrachent avec habilité les poils qui ont malencontreusement survécu à la crème et au gant de crin. L’une d’elle actionne une télécommande posée sur un guéridon… Et quelques secondes plus tard, une femme d’âge mûr à l’allure sévère et habillée tout en cuir rouge et noir entre avec une cravache à la main, le visage impassible, le regard sadique aux yeux emplis de perversité… Visiblement, il vaudrait mieux ne pas contrarier cette Dominatrice …

- Alors les chiennes, vous avez terminé votre travail sur ce futur chien de Monsieur le Marquis ?, interroge-t-elle d’une voix très loin de l’amabilité
- Oui Madame Marie, répond une des soumise en baissant la tête.
- Vous savez ce qui vous attend, si je trouve encore un seul poil…
- Oui Madame Marie

Madame Marie qui, je l’apprendrai plus tard, est la très sévère cuisinière du Château, la femme de confiance de Monsieur le Marquis, et surtout la perverse et sadique femme Dominatrice qui malmène à chaque instant, et à leurs dépens, les soumis et soumises qui l’aident, ou pas, dans les cuisines du Château à préparer tous les repas… Elle est très stricte, d’une rigueur hors norme et rien ne lui échappe. En effet, elle ne laisse absolument rien passer et son intransigeance à outrance, comme sa forte sévérité sont quasi légendaires autant que sa perversité et son sadisme… C’est donc à la loupe que je suis observé, scruté, avec aucune douceur, elle me tourne et retourne sans ménagement, dans le possible de mobilité de mon corps attaché, me fait aussi pencher en avant du mieux que pouvait mon corps enchainé, scrute avec attention aussi bien l’intérieur de mon cul que celui de mes oreilles… mais que suis-je ? Je me sens comme une bête avant une vente sur une foire agricole.
Je reçois un ou deux coups de cravache, pour le principe je pense… Car compte tenu de ma position, de mon corps exposé, étiré… Je ne vois pas quelle faute j’aurai pu commettre, sauf il est vrai ma bandaison. Mais une remarque de Madame Marie exprime que cette attitude n’est pas incongrue ici, tout en continuant son inspection en me soulevant les bras :

- Un beau mâle en rut… que Monsieur le Marquis utilisera selon son bon plaisir pour vous faire couiner, mes petites chiennes en chaleur… Mais ?... mais ? … Que vois-je ? …

(A suivre …)

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