Confession À La Cathédrale Sainte Gudule.
Une romancière et journaliste s'intéresse un peu à moi. Elle a même écrit une histoire dans laquelle nous sommes réunies. Bien entendu, il s'agit d'une fiction ou alors... j'ai oublié... Quoiqu'il en soit, je la remercie pour tout.
Confession à la cathédrale Sainte Gudule par Kalinda de Prieure
Bruxelles était une ville sombre. Ruelles pavées. Glissantes souvent, parce que sales, humides, fraîches. Impossible de déambuler sans se casser la gueule en permanence. Bien sûr, je devais le reconnaître, cétait une drôle didée que davoir choisi ce matin des talons fins de 9 cm.
Je nallais quand même pas me rendre à mon rendez-vous à la cathédrale Sainte Gudule en baskets!
Rendez-vous, rendez-vous. Un sacré rendez-vous en perspective, avec une lascarde belge, blonde et sacrément mignonne.
Je ny allais pas pour prier, ni pour me recueillir. Encore moins pour me confesser. Quoique. Tout dépendait comment vous vouliez écrire confesser. Un mot? Deux?
Javais rendez-vous avec une blonde, une sacrée blonde, de ce que javais pu en voir. De sa blondeur, je nen étais pas tout à fait certaine, puisquelle était complètement rasée. Epilée à la perfection, mavait-elle confié. Elle navait pas un poil autour la vulve ou dans la fente de son cul.
Comment je le savais? Par les multiples photos que la donzelle belge et sans tabou mavaient envoyées par messagerie privée.
Blonde, elle semblait lêtre, ses cheveux clairs ondulaient sur ses épaules fines, arrondies, délicates. Cheveux mi longs, qui la plupart du temps sur ces fameux clichés, cachaient son minois. Pourtant, japercevais, en grossissant les photos sur mon ordinateur, un petit nez, un menton bien dessiné.
Elle me lavait écrit:
Je suis très très mignonne. Pas belle, pas comme vous lentendez. Mais très mignonne. Et une vraie chienne.
Et cest quoi, pour moi, une femme belle, à votre avis?
De ce que je comprends de vos goûts, cest une bourgeoise, classe, mondaine, comme on en croise le dimanche à Knokke-le-Zoute.
Non, je ne connaissais ni Knokke ni les mondaines de Knokke, mais jétais bien tentée daller y faire un tour un de ces jours.
En revanche, vos goûts en matière dhomme, cest un peu moins clair pour moi.
Javais pris le temps de lui répondre, car, sétait-elle livrée, elle avait besoin dêtre dominée mais rassurée en permanence. Les deux, en permanence.
Jaime les hommes puissants dans la vie sociale et à mes pieds dans la chambre à coucher. Un mélange subtil, élaboré. Vous croyez quil y en a, des comme ça, à Knokke?
Nous avions régulièrement échangé ces derniers jours. Ca avait commencé par un tweet, assez simplement. Ice sétait abonnée à mon compte, je len avais remerciée, elle mavait répondu en menvoyant une photo de son cul, ou plutôt de ses fesses, comme elle aimait dire. Elle ne disait ni nécrivait jamais cul. Toujours fesses. En tous les cas aux début de notre relation. Une forme de pudeur. Ou dhabitude. Cétait bien la seule pudeur quelle donnait à voir!
Soit. Moi, je préférais dire cul, mais que naurais-je pas dit pour lui faire plaisir.
Puis elle men avait envoyé dautres, des photos. De ses fesses. Souvent à vélo, avec la selle, à ma grande surprise.
Parfois sur son canapé blanc, dans la nature, contre un arbre. Sur un arbre, les jambes écartées, le sexe se frottant contre le tronc. La tête jetée en arrière, en avant, sur le côté. Alanguie sur un canapé, un lit, un fauteuil, ou bien assise en tailleur fumant du narguilé. Une mèche cachant toujours son visage. Ou courant dans les herbes folles, les fesses à lair, toujours. Ice avait les plus belles fesses féminines de Belgique, cétait incontestable. Elle ne le contestait dailleurs pas. Elle mavait aussi posé innocemment la question:
Vous êtes bi?
Et puis une autre:
Soumise ou dominante?
Et encore, sur sa lancée:
Obéissante ou patronne?
Questions auxquelles javais répondu par dautres questions:
Et vous, vous êtes bi?
Que préférez-vous chez une femme? Et chez un homme? Et chez vous?
Ah ça, je savais, cétaient ses fesses.
Ses fesses étaient rondes, pas un gramme de cellulite, assez rare pour une femme de 37 ans et jeune maman. Les cuisses étaient assez fines également et laissaient passer la lumière entre elles quand Ice se tenait debout, de dos. Ce qui donnait à son cul, oui, là, je pouvais écrire son cul puisque cest moi qui en parlait; donc ce qui donnait à son cul une forme haute, fière, bombée. Il semblait doux et dur à la fois, délicat et affirmé. Les reins étaient cambrés. Etait-ce naturel ou forçait-elle un peu sa posture?
Je lui posai la question, après avoir reçu une autre de ses photos.
Etes-vous vraiment cambrée? Vous avez fait de la danse? De la gym?
Quelques heures plus tard, sa réponse arriva par réseau social. Ses réponses arrivaient toujours aux mêmes heures. Enfin, ses réponses
Elle faisait un peu comme elle voulait. Elle répondait, elle questionnait, elle racontait, elle commentait, elle fantasmait. Bon là, elle répondait :
Cest à force de me faire lécher le cul et la vulve et le bouton par derrière, que mon dos sest arqué. Cest la position que je préfère. Que ce soit la langue dun homme ou dune femme, jaime quelle parte de mon anus, passe sur mes lèvres, les écarte, senfonce un peu dans mon vagin, et vienne malaxer mon clito tout gros.
Evidemment, une photo accompagnait le texte. Une photo delle dans sa position préférée, le cul en lair, offert, cuisses légèrement écartées. La tête appuyée sur un oreiller, tournée sur un côté, quelques mèches habilement disposées sur sa joue.
Ce message me laissa dabord interdite. Je serrai un peu les mâchoires pour ne rien montrer. Jétais dans un train à la lecture de ce message-là. Dans un carré. En face de moi, un couple, un peu âgé. La femme me regardant dabord distraitement, puis de façon insistante.
Je voyais défiler son cul, sur la commode, sur un fauteuil, sur une peau de bête devant la cheminée, et ces seules images de cette beauté flamande mettait le feu à mes fesses à moi. Comme pendant un rêve, sans physiquement me toucher, je jouis sur lensemble de mon sexe. Une courte mais intense décharge électrisa cette partie de mon corps. Je poussai un bref soupir, rejetai ma tête arrière, gardai les paupières fermées pour prolonger ce sentiment de bien-être absolu.
Je venais de gagner un léger orgasme cérébral, quelques mois de vie supplémentaires. Pas mal, Ice.
A force de penser à cette salope, à son cul, à son liquide que je devinais campagnard, frais, peut-être chypre puisquelle passait son temps libre, les fesses à lair, à se promener dans les champs et dans les bois
A force de lavoir dans ma tête, dans mes tripes, entre les jambes, cétait normal que je mette sans arrêt le pied à côté des trottoirs et des pavés bruxellois. Jétais littéralement à côté de mes pompes. Enfin, japerçus la cathédrale. Imposante, phallique avec ses deux tours
Si jaimais à sucer des queues, là, le phallus, cétait moi qui le portais.
Elle mavait donné rendez-vous à 16h, et seulement 20 minutes pour la faire jouir de mes doigts et de ma langue. Je naurais droit à aucun objet, avait ordonné son mari. Il avait dabord été réticent lorsque javais proposé une rencontre.
Habituellement, quand il sagit dune femme, il sen fout complet. Là, comme je lui ai parlé de vous, de votre côté dominateur, il est pas trop daccord.
Dites-lui que je repars ensuite à 2 000 kilomètres. Et quune fois à Naples, il y a assez peu de risques que lon se revoit!
Daccord, je vais lui expliquer.
Car Ice était soumise à son mari. Sexuellement et dans la vie de tous les jours. Sexuellement, elle mavait expliqué que cétait absolument génial pour elle. Elle était sa chose. Il ordonnait, elle exécutait.
Elle mavait ainsi raconté par écrit quelle aimait quil la prenne par derrière, en lui attachant les poignets dans le dos.
Au bout dune dizaine de minutes, les épaules commencent à chauffer, ça me fait mal. Et cest bon. Je suis à sa merci, il me donne dénormes coups de queue dans la chatte, il me tire par les cheveux, me traite de pute, de connasse, desclave. Me file des tartes sur mes fesses. Qui sont toutes rouges après. Si vous saviez comme ça me fait jouir. Je la sentais excitée après cet écrit, puisquelle menvoya une photo delle, les cuisses écartées, ses doigts sur ses lèvres vulviennes. Ce qui mexcita à mon tour. Et mobligea à appeler mon mari pour quil me caresse et plus vite que ça. Je le lui dis.
Elle minterrogea:
Si vous êtes la dominante, lui cest le soumis alors. Et vous en faites ce que vous voulez?
Je le lui expliquai, elle en fut heureuse. Rassurée. Mais confessa ne rien en avoir dit à son mari. Qui avait fini par accepter, après avoir exigé copie de mon adresse personnelle. Il voulait sassurer que je vivais vraiment à Naples. Enfin, je pénétrai dans la cathédrale. Par la porte de droite. Je me signai. Jétais catholique. Normal, donc. Peu de fidèles priaient, quelques visiteurs, guides à la main, piétinaient le sol, appareils photo en bandoulière pour les anciens, téléphones portables à la main pour les autres. La majorité. Ils levaient tous la tête vers les vitraux, les grandes orgues. La cathédrale était sublime, profonde, sombre malgré quelques signes lumineux qui laissaient à penser que Dieu ou ses saints nous adressaient quelques messages. Jétais en avance de dix minutes. Je devais trouver un endroit pour baiser Ice.
Javais dabord pensé au confessionnal. Dans mon souvenir dadolescente, cétait fermé, étroit, sombre. Ca létait dans la plupart des églises de Naples. Ice était menue, je nétais pas bien grande. Ca ferait bien laffaire! Sauf que dans Sainte Gudule, le confessionnal était ouvert sur le public. Je lâchai un « Merde » quun couple entendit devant moi. Lui se retourna, me sourit. Sa femme le vit, et lança sèchement:
Mais tu regardes quoi comme ça? Avance au lieu de traîner tout le temps.
Je poursuivais mon exploration du lieu culte. Mon coeur fit comme un bond dans mon torse : je tombai sur une espèce dimmense armoire, avec deux portes, une de chaque côté du meuble. Je poussai la première porte, et dénichai ce qui ressemblait à une toute petite pièce poussiéreuse certes, encombrée de vieilles chaises, dune espèce de table, ou était-ce une petite commode? Peu importe, cétait suffisant pour nous accueillir pendant les minutes que le mari mavait octroyées.
Je ressortis, et attendis la belle. Je scrutai ma montre qui était à lheure. Il était 15h59. Dans quel état étais-je? Je ressentais une forme de peur, mais elle était différente de celle qui mavait envahie quand javais compris que le confessionnal ne conviendrait pas à lescapade prévue.
Non, ce nétait pas de la peur, cétait du trac. Une excitation physique et cérébrale, les boyaux qui se tordent dans le ventre, littéralement. Et une impatience grandissante à mesure que les secondes défilaient.
Enfin, je la vis. Elle aussi se signa, cherchant du regard ma silhouette. Elle me reconnut. Elle reprit sa marche vers moi. Pas très grande, environ 1m60, elle était habillée telle que je lavais exigé. Un trench vert, très serré à la ceinture. Des bottes couleur chair, qui montaient jusquaux genoux. Des lunettes de soleil. Les cheveux, blonds donc, détachés.
Bonjour Ice. Vous êtes à lheure, cest bien. Retirez vos lunettes, que je vois vos yeux. Faites vite, nous navons que peu de temps.
Ce quelle fit dun geste délicat, timide même, rangeant sa paire dans lune des poches du trench. Elle baissa la tête, habituée à être soumise et à ne pas regarder son patron dans les yeux. Je remontai son joli visage vers moi en lui soulevant délicatement le menton, elle rougissait.
Venez, suivez-moi!
Je lui pris dautorité la main, profitant dun court instant où aucun touriste nétait dans les parages. Elle bondit presque devant moi, je la poussai dans le cagibi, refermant la porte un peu brutalement, ce qui provoqua un bruit sourd. Jattendis quelques secondes pour massurer que personne ne venait. Je coinçai de ma botte gauche la porte qui ne fermait pas totalement. Je la retournai, je la voulais dabord de dos. Elle ne prononça pas un mot. Si, un seul.
Merci.
Ca mexcita encore plus, comme si javais besoin de ça. Je lui pris les poignets, posant ses mains au-dessus de sa tête pour quelle se tienne face contre le mur du fond, arquée, le cul offert. Je verrai plus son cul que son visage en fait! Sa position était semblable à celle dune équerre, quasiment à angle droit, son cul dirigé vers moi. Je lui écartai les jambes avec mon pied droit, comme un flic ferait lors dune interpellation et avant une fouille corporelle.
Je commençai à la caresser par dessus son imper, puis lui desserrai sa ceinture pour libérer le mouvement de ses habits. Elle avait mis une robe claire, en laine. Il faisait frais à Bruxelles. Très vite, car le temps pressait, je passai mes mains sous sa robe, que je soulevai pour libérer son cul rebondi dont japercevais la beauté malgré le clair-obscur du lieu. Une douceur prête à endormir les s et à réveiller leurs parents. Une douceur enivrante, rassurante, faite de courbes parfaites et légères, comme une colline quon gravit sans peiner, avec joie de découvrir le sommet promis.
Evidemment, à ma demande expresse, elle ne portait pas de sous-vêtements. Ni culotte si soutien-gorge.
De toutes les façons, mavait-elle confié, mes nichons sont assez petits. Jolis, ils tiennent bien, en pointe. Mais petits. Et vous, comment sont vos nichons? avait conclu cet échange.
En guide de réponse, je lui avais envoyé une photo de mon corps nu, allongée à la plage, au soleil.
Vous êtes si appétissante, avait été son retour.
Elle se dandinait, effectuait des mouvements lascifs, dodelinait de son cul comme les petits chiens le font de leur tête à larrière des voitures. Mon dieu que javais envie delle à ce moment. Que je voulais mordre ce cul-là, le fesser, le caresser, le lécher, le griffer. Je voulais que ce cul soit à moi pour le restant de mes jours. Son trench et sa robe étaient remontés sous ses bras, et je me baissais un peu pour lembrasser dans le dos tout en malaxant de mes deux mains ses seins, ses hanches, son ventre et le haut de son sexe. Je découvrais ses territoires devinés sur les photos, imaginés, rêvés, déjà embrassés virtuellement.
Mentalement, je comptais le temps qui passait. Je laissai tomber les préliminaires et attaquai la fente de son cul, me souvenant de sa préférence. De lanus en passant par la vulve pour finir sur le clitoris. Très bien, japprivoisai donc le chemin quelle mavait montré. Elle soupirait, soufflait, haletait. Moi, jécartai ses fesses, et ma langue se posa dabord au-dessus de son anus pour mordiller la peau de cet arrondi qui me rendait euphorique. Je la tenais fermement par les hanches. Puis je léchai son trou et, en me baissant, car la position nétait pas des plus confortables, je descendis vers son vagin. Sa vulve était trempée, un goût moins fort que je ne lavais craint dabord, parce quelle mavait avoué son attirance pour les filles un peu négligées. Je lui avais ordonné de se nettoyer avant de venir, ce quelle avait visiblement fait. Elle avait une saveur salée, agréable, comme un gâteau apéritif. Sa cyprine était dense, elle mouillait terriblement, je la nettoyai pour men aller du côté de son clitoris qui semblait énorme. En feu. Prêt, déjà à exploser. Puis je reprenais le chemin inverse, tournant un peu ma langue pointue sur sa vulve, entre ses lèvres. Elles étaient douces, ça glissait tout seul. Puis son cul. Jaccélérai considérablement et je la sentis venir. Pourtant, je stoppai net mes mouvements. Elle tourna la tête vers moi, quémandant une explication.
Non, narrêtez pas, me faites pas ça. Cest horrible.
Je ne répondis rien, lembrassai dans le cou et la tournai brutalement vers moi. Je lembrassai assez sauvagement, elle sentait bon, elle goûtait à la saveur de son sexe champêtre. Puis, tout en continuant de fourrer ma langue contre la sienne, et de tourner ma langue dans la sienne, je lui frottai le sexe avec ma main. Energiquement, mes doigts sur sa fente faisaient venir son orgasme. Plus je frottais vite, plus elle tentait d ses cris. Elle me regardait. Elle jouit fort, renversant sa tête contre le mur. Un nouveau bruit sourd, qui attira quelquun. Je lui mis ma main pleine de sa substance contre sa bouche, et cette chienne suça mes doigts. La personne partit, nayant obtenu aucune réponse sa demande « Qui est là, ya quelquun? » Mes doigts étaient trempés de son liquide et de sa salive. Je les essuyais contre mon pantalon en toile. Puis je regardai mon téléphone portable pour regarder lheure. Il restait 4 minutes avant la fin du rendez-vous.
Il métait déjà arrivé de jouir très rapidement. Par pari, par jeu, on mavait chronométrée. Je fermai les yeux quelques secondes, pour me calmer un peu. Me concentrer.
Mettez-vous à genoux devant moi.
Elle sexécuta sur le champ, se rhabillant très rapidement. Elle défit ma ceinture, baissa mon pantalon. Moi non plus je navais pas mis sous-vêtement. Du moins, pas de culotte. La couture de mon pantalon était légèrement tâchée tant mon excitation était grande, forte, humide. Bref, jétais trempée. Très vite, car elle aussi savait que le temps imparti était presque terminé, elle posa ses lèvres charnues sur mon sexe, et commença avec ardeur à me lécher. Elle était sous moi, je me tenais à mon tour au mur du fond, les jambes écartées, la tête en arrière, avec une envie de crier, une envie de jouir, une envie dexploser. Vite. Je nen pouvais plus de savoir cette chienne me travaillant de sa langue.
Elle aussi se servait de la pointe de sa langue. Je fus obligée, tant le désir était puissant et irradiait dans tout mon ventre, de lâcher le bord de la porte. Je ne pouvais pas être partout.
La porte sentrebâilla légèrement, laissant filtrer un jais de lumière. Ice léchait à la perception. Mon orgasme vint rapidement, trop peut-être. Je ne pus empêcher un léger cri de sortir de ma bouche. Je lui pris la tête entre mes mains pour lui faire recommencer son oeuvre. Je voulais jouir une deuxième fois. Elle accéléra, bonne petite travailleuse quelle était. Sur mon premier orgasme, elle en déclencha un second si puissant que je mécroulais sur elle. Entraînant dans ma chute une chaise posée en équilibre instable. Provoquant un bruit conséquent. Quelquun ouvrit la porte. Moi, jétais en train de remonter mon pantalon, comme laurait fait un homme après une pipe. Ice riait de la situation. Je me retournai. Je vis alors un prêtre, pas très grand, presque trapu, barbu. Effaré de nous trouver là, dans une position pour le moins explicite. Sous sa robe de bure sombre, il était indéniable quil bandait. Depuis combien de temps nous observait-il? Le téléphone dIce sonna. Cétait son mari qui donnait le signal de la fin de notre rencontre.
Je dois absolument partir, je suis désolée. Sinon, ce soir, je vais dérouiller et je ne vais pas pouvoir masseoir pendant plusieurs jours.
Pars vite. Partez vite. Je ne sais plus si je dois te tutoyer ou vous vouvoyez.
Je l'embrassai sous loeil du curé qui navait bougé. Ice quitta le cagibi. Je laurais bien accompagnée pour tenter une nouvelle fois de la baiser, peut-être dans sa voiture. Mais je men serais voulue quelle soit corrigée à cause de de ma désinvolture et de mon égoïsme. Elle partit, marchant à toute allure. Je matai le prêtre, qui navait toujours pas bougé. Ni débandé.
Mon père, ce que je viens de faire, avec cette jeune femme, cest absolument inexcusable. Je voudrais me confesser. Pouvez-vous entrer et écouter mes pêchés?
Je lui pris la manche, lattirant à moi. De mon pied gauche, à nouveau, je bloquai la porte.
FIN
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