L'Étudiante En Droit
8 heures 45, dans le métro, station Gare de lEst sur la ligne 5, direction Place dItalie, ma destination. Jai un rendez-vous avec un client rue Bobillot. Quartier sympathique, près de la Butte aux Cailles, je pourrai me trouver un petit resto sympa, si possible avec terrasse pour profiter des premiers rayons de soleil printaniers qui réchauffent Paris en cette fin avril.
Pour le moment, le quai était bondé. Prendre le métro en pleine heure de pointe, cest pas une sinécure. Enfin, cest toujours mieux que de se taper les embouteillages matinaux.
Ah voilà la rame ! Elle est pleine ! Comment on va tous entrer ? Pas de panique, si on est nombreux à vouloir monter, ils sont nombreux à vouloir descendre aussi. Cest un peu comme un changement déquipe. Les vagues de voyageurs descendues, jarrive à me glisser dans le wagon. Je me dirige vers la porte den face. Hors de question de trouver une place assise. Et pourtant si ! Il y en a une sur la rangée de sièges latéraux. Je prends de vitesse une étudiante et me lapproprie. La chance ! Je vais pouvoir lire le journal gratuit que jai récupéré à lentrée du métro. Ce nest pas pour la qualité des articles, cest plus pour passer le temps.
Les autres passagers se sont entassés. Si on peut respirer, les gens sont quand même serrés. Enfin les malchanceux qui sont debout. Moi ça va. Après, je nai pas de scrupules à être assise. Et puis cest chacun pour soi après tout ! Je naurai laissé ma place quà une femme enceinte, ou à une personne handicapée. Les autres ils se débrouillent ! Et puis je vais jusquau terminus, moi.
La femme à côté de moi se porte bien. Allez, on va oublier le politiquement correct, on va dire quelle est grosse ! Elle remplit sa moitié de banquette et empiète largement sur la mienne de moitié. Je me mets donc légèrement de côté et je déplie mon journal dune main, lautre tenant la barre juste à ma gauche. Je suis assise, mais un peu tordue en deux, et obligée de me tenir.
Létudiante à qui jai grillé la politesse tout à lheure, est à ma gauche. Appuyée contre la porte, de profil, tournée vers moi. Jai son bassin à hauteur des yeux, juste au niveau dune petite jupe courte et noire. Je baisse le regard vers le bas de sa jupe, qui découvre de jolies cuisses voilées de noir. Mes yeux remontent vers un manteau rouge ouvert sur t-shirt à leffigie dun groupe de rock américain. Elle porte à lépaule une sacoche emplie de livres et de classeurs en bandoulière. Mon regard continue sa remontée. Elle tient à la main un livre de droit des entreprises. Une étudiante en droit ! Je pourrais lui dire que cest ma spécialité ! Je ne mattarde pas et découvre son visage. Des cheveux noirs coupés au carré encadrent un joli visage fin. Enfin surtout de magnifiques yeux noirs et bridés. Une asiatique dune vingtaine dannée à peu près ! Elle est très belle. Peu maquillée, juste un peu de rose sur les lèvres.
Faire lamour avec une asiatique, ça a toujours été un fantasme pour moi, jamais réalisé. Je les trouve très belles avec leurs cheveux de jais, leur peau diaphane, leurs petites fesses et leurs petits seins !
Bon, on ne va pas sexciter dans le métro Laetitia. Concentre-toi sur ton journal.
Jacques Bonsergent, la station suivante, ça monte encore. Ma petite étudiante sest rapprochée de moi pour permettre à dautres dentrer dans le wagon. La grosse femme à côté sétant encore étalée un peu plus, je suis maintenant carrément de côté tournée vers la jolie asiatique, la main toujours agrippée à la barre. On va oublier le journal, impossible de lire dans cette position, dautant plus quun passager est debout devant moi.
Station République, grosse descente, mais grosse montée aussi. Mon étudiante est toujours là, au même endroit, le passager debout devant moi de dos aussi, et la grosse dame na pas bougée non plus.
Mon esprit navigue vers mon rendez-vous et le dossier du client que jai finalisé et que je vais présenter.
Station Oberkampf, je ne rêve pas ! Le bassin de ma petite asiatique est contre ma main sur la barre, juste au niveau de sa
de son
, enfin, vous voyez quoi, je ne vous fais pas un dessin. Les mouvements de la rame pourrait laisser croire quà chaque virage, son corps touche le revers de ma main, mais non, cest indéniable, elle se frotte ! Je ne rêve pas, elle se frotte le sexe sur ma main.
Station Richard Lenoir, elle a placé sa sacoche le long de sa hanche sur la gauche, de manière à masquer la scène aux autres passagers. A chaque mouvement de son bassin, je sens contre ma main son corps qui se frotte. Maintenant elle ne sécarte plus, elle est collée à ma main. Jai limpression quelle tortille des fesses pour me serrer de plus près. Le dos de mon index semble être au niveau de son clitoris. Enfin bon, peut être que je me fais mon cinéma, mais cest lidée que je me fais, que cette petite cochonne se frotte le clito sur ma main.
Son regard est fixé dans le mien. Elle semble impassible, comme si de rien nétait !
Station Breguet-Sabin, jai réussis à dégager ma main de la barre. Elle semble déçue, mais je la rassure en baissant la main vers sa cuisse et en faisant glisser mes doigts sur le voile des collants vers les mystères que cache sa jupe.
Même si son visage continue à sembler fermé, jai tout de même vu très léger mouvement de ses lèvres quand ma main sest glissée entre ses cuisses et a remonté sous sa jupe, le tout bien à labri des regards, masqué par la sacoche qui pend à son épaule.
Station Bastille, elle se dégage et se dirige vers la sortie.
Je jette un regard à droite, puis à gauche, puis à nouveau à droite à la recherche de mon étudiante dans la foule. Je la repère à son manteau rouge. Une tâche de couleur au milieu des vêtements gris ou noirs des autres personnes. Elle se dirige vers lescalier au fond du quai.
Je la suis, elle porte des baskets et moi des escarpins à talons aiguilles, jai du mal à garder la distance. Elle se retourne comme pour vérifier que je suis bien là et commence lascension de lescalier. Je suis quelques mètres derrière, avec une belle vue sur le haut de sa jupe qui découvre ses jolies cuisses. Elle est plus rapide que moi et me distance légèrement.
Arrivée en haut de lescalier, elle tourne à droite vers la correspondance de la ligne 8. Jai accéléré le pas, mes talons claquent sur le sol du couloir. Elle semble adapter sa cadence de pas au mien. Un autre escalier et elle prend le couloir, direction Créteil.
Elle accélère encore dans lescalier qui descend vers le quai. La rame est là, je la perds de vue dans un virage.
Lorsque jarrive sur le quai, jai juste le temps de monter dans le wagon avant que les portes ne se referment. Quest-ce que je suis en train de faire ? Je perds la tête ! Et mon rendez-vous ? Bah on verra !!!
Je regarde à gauche, puis à droite. Mon asiatique nest pas dans le wagon ! Il est presque vide, je ne peux pas la rater ! Je lai perdue ! Et zut, je nai plus quà faire demi-tour et rattr la ligne 5. Quelle gourde ! Laetitia et lart de perdre son temps avec ses coups de tête irraisonnés.
Je mapproche de la vitre de séparation avec lautre wagon et je laperçois. Elle est là, dans le wagon suivant, derrière la vitre. Elle me regarde en souriant, elle se penche vers la vitre et ouvre la bouche me montrant sa langue sagiter de haut en bas, mimant un cuni. Petite cochonne, tu mexcite à un point que tu ne peux pas savoir, bien à labri derrière ta vitre.
Elle sécarte et va sassoir sur le strapontin en face. Son wagon est quasiment vide aussi. Elle remonte sa jupe, écarte ses jambes. Sas collants noirs laissent voir une culotte blanche dessous. Maintenant elle se caresse lentre-jambe effrontément.
Station Ledru-Rollin, je quitte mon wagon pour la rejoindre dans le sien. En entrant, jai juste le temps de lapercevoir à lautre bout descendre et monter dans le wagon de devant. Elle veut jouer au chat et à la souris avec moi. Daccord, je mapproche de la vitre de séparation, elle est comme je my attends de lautre côté. Lorsque jarrive, elle remonte son t-shirt sous son manteau et laisse découvrir deux petits seins dans un soutien-gorge blanc. Elle se pelote le gauche à travers le tissu.
Station Faidherbe-Chaligny, elle rebaisse son t-shirt et sapprête à descendre et à me refaire le coup de Ledru-Rollin. Mais jai anticipé cette fois, je vais la coincer !
Toujours ses foutus talons, une fois sur le quai, jai juste le temps de vois son petit fessier dans lescalier qui monte vers la sortie. Je monte quatre à quatre les marches, elle a accéléré aussi, comme si elle voulait me semer. Elle ne ma pas excitée comme ça pour me laisser en plan quand même.
Jarrive à lair libre pour la voir traverser et disparaitre derrière le kiosque à journaux. Jaccélère le pas, elle prend la rue du Faubourg Saint Antoine, et comme si elle voulait que je la ratt, sarrête devant une librairie et semble sintéresser aux livres sur le présentoir sur le trottoir. Je suis à cinquante mètres lorsquelle reprend sa marche. Ok, elle ne veut pas que je la ratt, elle veut juste que je la suive. Où est ce quelle veut memmener ? On va bien voir ! Elle prend la rue de Montreuil puis vers la gauche dans le rue Faidherbe, quelle remonte. Je tourne à langle pour la voir changer de trottoir et passer du côté droit de la rue Faidherbe.
A langle de la rue Paul Bert, elle semble hésiter, se retourne, comme pour sassurer que je suis toujours là, puis continue à remonter la rue Faidherbe.
Après quelques mètres, elle sengouffre dans un bâtiment. Jaccélère encore, malgré mes talons pour arriver au niveau de la porte où elle est entrée. Cest une bibliothèque. La bibliothèque Faidherbe.
Jentre. Dans le hall, elle est invisible. Jai presque envie de demander à la bibliothécaire derrière son bureau à lentrée quelle direction elle a pu prendre, mais son air sévère men dissuade.
Je jette un regard sur la première salle à gauche. Pas de trace de ma petite asiatique.
Je me dirige vers la salle de droite, sous le regard du dragon de lentrée qui mobserve derrière ses lunettes à monture métallique.
- Vous cherchez quelque chose peut-être ? me demande-t-elle
- Euh, non, jai trouvé !!!
Je viens dapercevoir mon étudiante farceuse en haut de lescalier au fond. Elle regarde la scène depuis la rambarde du palier. Elle disparait aussitôt. Den haut, je vois ses mollets qui montent depuis le palier intermédiaire vers le 1er étage.
Je grimpe les escaliers à sa suite. Sur le palier, il y a deux salles, une à droite, une à gauche. Sur celle de gauche, il y a un panneau avisant que cest le rayon Droit. Pas de doute, cest là quelle est entrée, mon étudiante en droit.
Je pénètre dans la salle, en faisant claquer mes talons sur la plancher. Un lecteur assis derrière une table, lève un regard désapprobateur vers moi. Je tends la main vers lui, comme pour mexcuser dêtre si bruyante. Dans une bibliothèque, on doit entendre les mouches voler. Depuis le temps que je navais pas fréquenté ce genre dendroit, je lavais oublié. Rassuré, il se replonge dans sa lecture.
Je passe les allées entre les rayons en revue un par un à la recherche de ma nouvelle copine.
Je la découvre me tournant le dos entre deux rangées détagères, semblant regarder la tranche dun livre.
Je mapproche, presque sure de la voir séclipser à nouveau et essayer de me faire encore courir après elle. Mais non, elle est impassible, complètement concentrée sur son livre. Elle parcourt le quatrième de couverture maintenant.
Je suis juste derrière elle maintenant, cette fois, elle ne se dérobe pas. Tu es à moi !! Je vais tattr, enfin !
Je me colle dans son dos, mes mains sur ses hanches. Mon visage sapproche du sien et je lui glisse à loreille :
- Toi, on peut dire que tu mas fait courir ! Mais cette fois, je te tiens !
Un sourire radieux illumine son visage, elle se retourne, me fait face et colle ses lèvres aux miennes. Ma bouche souvre pour laisser entrer sa langue. La mienne laccueille avec joie. Elles se rencontrent, se titillent, senroulent lune autour de lautre. Ses mains ont agrippé mes fesses et les malaxent à travers ma jupe.
Dun seul coup, elle sécarte de moi et se retourne vers les rayons de livres :
- Chuuuut, me fait-elle en mettant un doigt devant sa bouche.
Notre baiser a été si fougueux, que jai encore un peu de sa salive au coin des lèvres.
La bibliothécaire sévère patrouille entre les rayons. Elle a du trouver notre attitude suspecte, en bas, et veut sassurer quil ne se passe rien de louche dans sa bibliothèque.
Jai juste le temps dapercevoir sa silhouette et son ombre, ma petite asiatique prend ma main dans la sienne et mentraine vers lallée suivante :
- Pas ici, me dit-elle
Elle ne ma pas lâché la main et memmène vers les toilettes pour dames. Nous avons échappé au dragon-bibliothécaire. Elle mattire dans une cabine, ferme la porte et nous reprenons notre petite affaire là où nous lavions interrompu entre les étagères, trois minutes avant. Nous sommes à nouveau bouche contre bouche. Elle se sépare de moi, me colle au mur, saccroupie devant moi, relève ma jupe sur mes hanches et embrasse mes cuisses. Sa bouche remonte, sarrête à la lisière entre les bas auto-fixant et de la peau. Elle cesse ses baisers, cest sa langue qui prend le relais, longeant le bord de dentelle des bas sur la circonférence, avant de remonter sur la peau et de poursuivre son ascension sur la cuisse. Ses mains sur les hanches, agrippent le bord de ma culotte et la tire vers le bas. Ma petite chatte enfin à lair libre lâche son parfum. Lodeur de mon excitation envahie la cabine.
Nous entendons la porte des toilettes qui claque et le bruit de talons sur le carrelage derrière la porte. Surement le dragon-bibliothécaire encore à notre recherche. Après avoir fait un tour, les pas se dirigent vers la sortie, la porte claque à nouveau. Nous pouvons revenir à nos occupations.
Son nez sest approché de mon intimité. Elle aspire avec force, comme pour senivrer de mon odeur féminine.
Elle agrippe à nouveau ma culotte pour la baisser jusquà mes chevilles. Je lève le pied gauche pour quelle puisse lenlever. Elle laisse ma culotte tirebouchonnée autour de ma cheville droite. Elle se concentre sur mon sexe. Jécarte les cuisses, toujours adossée à la paroi. Sa langue se glisse dans la fente à la recherche du clitoris. Je suis toute dégoulinante dexcitation. Jagrippe sa tête pour la plaquer contre moi. Je sens sa langue me fouiller.
Je réprime un gémissement, au cas où le dragon serait encore dans le secteur. On va la jouer discrète. Du moins tant que ça sera possible, bien sûr !
Elle a glissé son index dans mon vagin. Je suis tellement mouillée quil pénètre sans mal. De mon côté, jai lâché sa tête et jai entrepris de faire tomber ma veste de tailleur, puis jai déboutonné mon chemisier avec frénésie pour lenlever aussi. Dans un état second, je me suis écartée du mur pour dégrafer mon soutien-gorge et le faire tomber à son tour. Je suis quasi nue dans la cabine. Il ne me reste qua ma jupe autour des hanches, mes bas et ma petite culotte autour de la cheville.
Ma petite asiatique est toujours en train de gouter mon clito et de me doigter en même temps.
Je me baisse pour enlever son manteau rouge, puis pour tirer son t-shirt vers le haut afin de lui enlever aussi.
Jai baissé les bretelles de son soutien-gorge sur ses bras puis fait jaillir ses petits seins. Je les agrippe, les malaxe. Je pince ses tétons entre mes doigts. Son regard sest levé vers moi, elle chuchote un « oui » approbateur, minvitant sans doute à pincer plus fort. Ce que je fais bien entendu sans me faire prier.
Jen suis là quand lorgasme me prend. Je lâche ses tétons pour agripper son crâne et le coller encore plus si cest possible à mon bassin. Jouvre la bouche, je souffle, prenant sur moi pour rester silencieuse. Mes jambes se raidissent et les vagues de plaisir qui envahissent mon ventre me submergent. Cest fort (et silencieux). Jen reste la bouche ouverte complètement essoufflée. Je ne maperçois même pas quelle sest relevée et à approcher ses lèvres des miennes pour un baiser. Ma cyprine a humidifié ses lèvres, Je passe ma langue dessus pour la gouter.
Jai entrepris pendant le baiser, de déboutonner sa jupe et de la faire tomber au sol.
Nous nous écartons, je linvite à se retourner et à se diriger vers la cuvette. Elle plaque ses deux mains sur le mur. Jagrippe ses collants et sa culotte en même temps et baisse le tout vers le bas. Jarrache ses baskets et vire les dessous. Elle est toute nue maintenant. Je fais de même en enlèvent le peu de vêtements qui restent sur moi. Ma jupe autour de mes hanches tombe, ma culotte autour de ma cheville rejoint le tas de vêtements pèle- mêle sur le sol.
Nous voilà complétement nue toutes les deux. Ma petite cochonne me tourne toujours le dos. Elle pose un genou sur la cuvette, les mains contre le mur. Elle a petit cul vraiment superbe. A croquer ! Et je vais le croquer cest sûr. Je magenouille derrière elle. Mes mains lui caressent le postérieur. Je me penche, lui mordille la fesse gauche, puis la droite, ma langue sinsinue entre. Elle rencontre lillet et sactive autour, puis dessus plus goulument.
Ma main est entre ses cuisses. Je caresse son sexe. Elle dégouline et la cyprine a mouillé sa toison brune taillée court. Je lui entre un doigt, puis deux dans le vagin. Mon pouce est à la recherche de son clitoris. Il le trouve. Jaccélère le mouvement de mes doigts en elle, le pouce écrasant le clito à chaque mouvement. Ma langue fouille toujours son arrière train.
Elle ne tient pas deux minutes avant de jouir, elle aussi en silence. Puis elle se retourne, me fait face. Nous nous embrassons à nouveau. Cette plus de précipitation, cest un baiser tendre que nous échangeons. Nous sommes rassasiées toutes les deux, repues. Mes mains sont sur ses épaules que je caresse, les siennes sont nouées dans mon dos.
Nous nous écartons lune de lautre et sans échanger un mot, nous récupérons nos vêtements en tas sur le sol. Nous nous rhabillons toujours en silence. Elle a terminé avant moi, elle a juste glissé ses collants dans sa sacoche. Elle déverrouille la porte se tourne vers moi, me sourit et me donne un dernier baiser sur la joue, au moment où je remonte et réajuste ma jupe sur mes fesses. Elle me fait un petit signe de la main, avant de disparaitre. Jentends la porte claquer, elle est partie.
Nous aurons à peine échangé deux phrases. Je ne connais même pas son prénom. Nous avons baisé comme des harpies dans les WC dune bibliothèque et elle disparait.
Ma première asiatique ! Jen garderai un souvenir ému pendant longtemps. Cest ce que je me dis en descendant les escaliers vers le rez de chaussée.
En arrivant dans le hall, le dragon-bibliothécaire, revenu à son bureau me dévisage derrière ses lunettes. Elle me fait signe de la rejoindre. Hésitante, jobtempère tout de même :
- Quelle honte ! Faire ça dans MA bibliothèque, cest lamentable. De deux choses lune ! Ou jappelle la police, pour exhibitionnisme, ou bien
. Vous allez être très gentille avec moi, à vous de choisir ! Alors ? on fait quoi ?
Estomaquée, je le regarde. Avec son chignon soigné, ses lunettes, sa bouche en cul de poule, ses vêtements stricts, elle na pas lair très engageante, pourtant, ce genre de femme, jaime bien aussi (rappelez-vous lhistoire avec ma contrôleuse fiscale).
Mon choix ? Eh bien
. Je ne vais pas vous raconter ça maintenant !! Cest une autre histoire !! Bon il y a quelques indices pour vous laisser deviner quelle a été ma décision.
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