La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°951)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°948)
- Je Vous remercie pour votre accueil, il y avait bien longtemps que nous ne nous étions vus ! (Puis se tournant vers moi) Chienne, reprends donc ta place et va saluer notre hôte.
Lentement, en baissant la tête, je me dévêtis, et laissant les vêtements là où ils étaient tombés, je me mis à quatre pattes, me dirigeais vers lhomme qui nous recevait, et me prosternais devant lui. Il me regardait, je sentais son regard fixe posé sur moi. Il commença à faire le tour de mon corps plaqué au sol, laissant trainer une main baladeuse sur mon dos, sur mes fesses, mais sans chercher à descendre plus bas.
- Vous semblez posséder une bien belle femelle, mon cher ami ! Et je vois quelle est marquée. Pensez-Vous lemmener au Grand Marché ?
- Effectivement, jen suis plutôt fier. Elle my accompagnera, mais seulement pour observer et aussi pour un côté plus professionnel. Je nenvisage ni un échange, ni une vente.
- Dommage, je me serais peut-être porté acquéreur, une si belle pièce ! Votre réputation nest plus à faire, même dans ces contrées reculées. Et chacun sait quune chienne portant Vos nobles Initiales est un bien de valeur sûre !
- Quà cela ne tienne ! Je ne veux pas la vendre, mais je peux vous la laisser à disposition autant que possible le temps de mon séjour ici.
- Je Vous remercie pour Votre proposition cher Marquis, et je laccepte avec grand plaisir ! Allons en parler devant un rafraichissement, je suppose, non sans mal, que le voyage a été long et fatiguant.
- Incontestablement, venir dans cet endroit magnifique se mérite ! répondit-Il avec un grand sourire. Allons ma chienne, suis-nous !
Ces quelques mots que les deux hommes venaient déchanger mavaient fait peur un moment. Vendue ou échangée ? Quitter le Maître ? Définitivement ? Non, je ne pouvais limaginer ! Javais eu du mal à contrôler mon émotion, et à ne pas laisser échapper une larme.
- Et vous, combien de chiens avez-vous chez vous ? Demanda Monsieur le Marquis.
- Oh, bien moins que Vous, cher ami ! Le majordome, la cuisinière, la femme de chambre, la femme de ménage, et une qui a un statut particulier, Sangmo, Sang qui signifie « douceur féminine » et mo signifiant « femelle ». Elle est aussi ma compagne.
- Eh bien, jamais je naurai cru que vous vous décideriez à prendre une compagne, et encore moins une soumise, dit le Châtelain en souriant.
- Etre ma compagne ne lempêche pas dêtre une petite chienne absolument obéissante, et elle doit se comporter comme les autres. Mais je nai pu empêcher mes sentiments de se développer devant son charme naturel. Elle a su capter mon cur par sa sensibilité, sa douceur
Bref, jai trouvé chez elle tout ce que je pouvais désirer chez une femme et tout ce que je veux chez une femelle ! Cependant, mes sentiments pour elle ne mempêche pas de moccuper tout autant des autres, et cela nocculte en rien mon côté dominant.
- Je ne doute en aucun cas de votre force Dominante, et je vous souhaite tout le bonheur possible !
- Je Vous remercie sincèrement, et je Vous invite dores et déjà à mon mariage, dont la date nest pas encore fixée. En fait, je nai même pas fait officiellement ma demande, mais je sais quelle sera daccord, nous avons déjà abordé le sujet.
Le Maître se leva pour serrer la main de Monsieur Wangdak chaleureusement.
- Toutes mes félicitations, mon cher ! Jy assisterai avec le plus grand plaisir.
- Je Vous remercie, encore ! Mais si Vous le voulez bien, revenons- en à aujourdhui. Vous avez parlé de me prêter Votre petite chienne. Etes-Vous toujours daccord ?
- Bien évidemment ! Mais seulement à partir de demain, si cela ne vous gêne pas. Jai des petites choses professionnelles à voir avec elle. Car à part être une petite femelle dévouée corps et âme, elle est aussi ma secrétaire particulière, ce qui est bien pratique je lavoue, pour mes déplacements.
- Bien sûr, de toutes manières Vous êtes ici pour plusieurs jours, et je Vous lai dit, Vous êtes ici chez Vous ! Nous dînerons dans une heure. Voulez-Vous Vous retirez dans la chambre que je Vous ai fait préparer avant ?
- Oui ce serait avec plaisir. Le voyage a été long et jaimerai pouvoir me rafraichir, et je suppose que cela fera également du bien à ma chienne.
- Voulez-Vous la garder avec Vous, ou préférez-Vous que je la fasse emmener dans les quartiers de mes chiens ?
- Non je préfère la garder avec moi.
- Bien, alors suivez Khanti, mon majordome, il va vous conduire !
- Je vous remercie, à tout à lheure.
Le Maître se leva et tendit une main vers le bas en claquant des doigts de son autre main. Je me mis à quatre pattes, saisit ma laisse dans ma gueule de chienne et allais la Lui déposer dans Sa main ouverte. Sans un mot et sans un regard pour moi, Il mentraîna vers la porte du salon, où nous attendait Khanti, nu, tête baissée, mains dans le dos, mais debout.
- Ma chienne, aide-moi à ôter ces vêtements.
Je mapprochais de Lui, défis les lacets de Ses chaussures pour les Lui enlever. Puis je me redressais sur mes genoux, et mattaqua à Sa ceinture, et baissais le pantalon et le boxer, découvrant un sexe en semi érection. Il me tendit la main pour maider à me mettre debout. Je Le débarrassais de Sa veste, puis de Sa cravate. Alors que je commençais à déboutonner les boutons de Sa chemise, Il me releva la tête, que javais gardé baissée autant que possible, dun doigt sous mon menton, et Il posa Ses lèvres sur les miennes et Il en prit possession avec un mélange de force et de douceur. Je sentais contre mon ventre Sa queue qui se tendait de plus en plus. Il ne lâcha pas ma bouche tant que Sa chemise neut pas atteint le sol. Là Il mordonna de me positionner en levrette et Il sinstalla rapidement derrière moi et me pénétra sans préambule. Depuis le début du voyage, javais été prise maintes fois sans jamais avoir lautorisation de jouir. Ce fut donc très difficile de ne pas lâcher un orgasme quand je sentis Son membre maintenant bien gonflé entré dans ma chatte déjà trempée. Mais je réussis à me contenir, et lorsque Sa voix me murmura « Jouissances à volonté autorisées » en massenant un coup de reins mémorable, je hurlais mon plaisir dans un cri animal, bestial. Et pendant que le Maître continuait à prendre possession de mon corps, ayant passé Ses mains sous ma poitrine, Il jouait avec mes tétons, les tirant, les vrillant, les pinçant, je ne pouvais arrêter mes tremblements, et je jouissais pratiquement sans discontinuer. Cétait tellement bon, tellement intense ! Mon dernier orgasme explosa au moment où Il se vida à longs jets épais dans ma chatte. Nous étions sur un tapis posé à côté du lit.
- Reste couchée ici, pendant que je vais prendre une douche. Repose-toi un peu.
Je fermais les yeux après que je ne puisse plus le voir, et je ne tardais pas à mendormir. Je fus réveillée par une femelle nue que je navais pas encore vue.
- Je suis Sangmo, une des soumises de Monsieur Wangdak. Monsieur le Marquis a voulu te laisser te reposer, et Il menvoie pour que tu puisses te nourrir. Nous navons pas le droit de communiquer en dehors de ce que je suis autorisée à te dire. Viens ta gamelle est par ici.
Je mapprochais de la baie vitrée où mon repas mattendait. Le soleil était en train de se coucher sur les collines, cétait vraiment magnifique. Je mangeais avec appétit, sans me soucier de Sangmo, jusquà ce que je sente une main passer entre mes cuisses. Je marrêtais donc de manger, ne sachant pas si ce quelle me faisait était autorisé par les Maîtres qui nous soumettaient, ou si cétait de son propre chef. Après les premiers moments de surprise, javais vraiment envie de me laisser aller à ses doigts experts, il fallait bien lavouer. Je nosai pas bouger. Mais ce fut pire lorsquelle sallongea et plaça sa tête de manière à pouvoir me lécher savamment. Ses coups de langues étaient délicieux. Javais limpression quelle était partout à la fois, en train de tourbillonner autour de mon clitoris et en même temps en train de fouiller ma chatte trempée et encore pleine des sécrétions du Maître. Ma respiration se saccadait de plus en plus, je sentais les vagues de plaisir se succéder, et elles étaient proches de memporter. Un instant, elle sarrêta pour me murmurer :
- Ceci est un cadeau de Maître Wangdak, tu es autorisée à jouir par lui et par Monsieur le Marquis.
Je me laissais alors totalement aller aux caresses buccales de cette soumise, jusquà ce que le plaisir me submerge. Je reposais sur le dos, repue, mais Sangmo se rapprocha de mes lèvres et me membrassa langoureusement, me faisant goûter ainsi aux restes du nectar du Châtelain quelle avait sur la langue.
- Tu ne me laisserais pas sans me donner également du plaisir. Ce ne serait pas très gentil de ne pas me remercier.
Elle sallongea près de moi. Je lui rendis dabord son baiser, puis je lembrassais dans son coup, descendant vers ses seins, dont je suçotais tour à tour les tétons, les mordillant, continuait ma descente vers son point palpitant, effleurant ses flancs au passage lui provoquant des frissons. Je lui prodiguais un léchage qui lemmena très rapidement vers lorgasme. Après sêtre reposée, lune contre lautre quelques minutes, je me redressais à quatre pattes, ne me permettant pas de me déplacer en bipédie sans autorisation, et en me retournant, je vis le Maître et son ami, qui avaient dû assister à nos ébats saphiques.
- Eh bien ma chienne ! Je crois que tu as largement rattrapé tout ce temps où tu as été sollicitée, excitée sans autorisation de jouir ces derniers jours. Je tautorise à venir me remercier en me baisant les pieds.
Trop heureuse dobéir, je me dépêchais de venir me prosterner devant Lui, et déposais avec dévotion un baiser sur chacune de Ses chaussures. Un autre pied vint se présenter à côté de moi.
- Je pense avoir également le droit à un remerciement pour tavoir envoyé ma soumise.
Jembrassais donc ce pied et entendit un claquement de doigts qui nétait pas celui de Monsieur le Marquis, et japerçus Sangmo qui venait également remercier les deux Dominants. Maître Wangdak claqua cette fois-ci dans ses mains, et la soumise le suivit à quatre pattes hors de la chambre, alors que je restais prosternée aux pieds du Châtelain.
- Bien ma chienne, je vois que Sangmo ne ta pas laissé finir ta gamelle. Va donc manger, tranquillement. Après nous nous mettrons au travail. Jai quelques indications à te donner sur les prochains évènements.
Je me dépêchais donc de nettoyer minutieusement la gamelle posée au sol, tandis que le Maître sétait installé dans un grand fauteuil et me regardait. Ayant fini je vins me prosterner devant Lui.
- Nous allons discuter, prends donc la position numéro deux.
Je massis donc en tailleur, les mains sur les genoux, les paumes tournées vers le ciel.
- Bien, dans deux jours il va y avoir non loin dici, un grand marché bdsm, il y aura une vente de soumis, une desclaves, il y aura aussi une partie pour échanger ses chiens, puis une foire où il y aura des démonstrations, des ventes dobjets utiles dans notre monde D/s, antiquités, inventions, etc
Naie crainte, je nai pas lintention de me séparer de toi. Mais jespère pouvoir faire lacquisition de quelques pièces. En attendant, il va falloir préparer notre prochain périple. Je te dirai en temps et en heure où nous irons et il faudra que tu nous trouves le moyen dy aller. Sur place, jy ai des amis qui nous hébergerons comme ici. Quand ce travail sera fait, tu seras mise à disposition de notre hôte le temps quil me plaira. Et je veux que ce soit terminé demain midi. Donc demain matin, tu as intérêt à exécuter ces tâches rapidement avec efficacité ! Et maintenant, il nous reste à expédier le travail que nous aurions effectué si nous étions restés en France, mes entreprises ne tournent pas toutes seules, il y a toujours un minimum à faire. Et dans une heure, jai une visioconférence avec Walter pour voir si tout se passe bien au Château. Alors, allons-y. Wandak nous a mis un bureau à disposition dans un autre bâtiment.
Je Le suivis donc au travers des jardins, sur un chemin herbeux, jusquà une petite maison, où se trouvait un grand bureau avec un pc récent et un ordinateur portable. Le Maître me donna le portable pour que je minstalle par terre à Ses pieds, tandis quIl sinstallait sur le pc. Pendant une heure on nentendit que le bruit des touches de nos claviers respectifs. Au bout de cette heure, le Maître mordonna daller me coucher dans Sa chambre, après mêtre assurée que notre hôte ne voulait pas se servir de moi.
Je repartis donc et rencontrais Maître Wangdak dans un des jardins, accompagné de ses chiennes et de son chien, quil sortait avant le coucher pour quils puissent faire leurs besoins naturels. Et il mordonna de venir avec eux, et dimiter ses « bestioles » pour utiliser ses mots. Dans un coin boisé du terrain, chacun se choisit un arbre, pissa à son pied puis se roula par terre, ce que je fis à mon tour. Puis il nous ramena vers la maison et nous amena dans une salle de douche commune, pour nous laver. Ensuite, il nous mena aux quartiers des chiens, une grande pièce où se trouvaient plusieurs niches, chacune équipée de couvertures et de coussins. Chacun se posta devant lune delle, et Maître Wangdak les enchaîna chacun à un anneau enfoncé dans les niches. Puis il les caressa chacun leur tour sur leurs parties intimes pour les exciter au maximum avant de quitter la pièce en me guidant par ma laisse.
- Pendant la période où tu seras à ma disposition, cest également ici que tu dormiras. Même Sangmo, comme tu as pu le voir dort ici. Jai hâte de pouvoir tutiliser à ma guise, mais pour linstant va te coucher. Demain après-midi, il sera bien assez tôt !
(A suivre
)
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