Collection Histoire Courte. Ma Nuit De Noces (1/1)

• Oui, Paul comme je te l’avais promis, je suis vierge au moment d'accepter de devenir ton époux pour te chérir et te protéger jusqu’à ce que la mort nous sépare.
• Oui, Virginie comme je te l’avais promis, je suis vierge au moment d'acceptée de devenir ton épouse pour te chérir et te protéger jusqu’à ce que la mort nous sépare.
• Je vous déclare unis par les liens du mariage, échangé vos alliances et Paul vous pouvez embrasser la mariée.

Paul et moi avons tenu à dire à tout présent à notre mariage que nous sommes arrivés purs ayant réfréné nos envies jusqu’à notre nuit de noces de ce soir ou plutôt du matin.
La journée se passe sans grand problème à part les copains de mon mari, c’est drôle de dire ce mot « mari », le faisant trinquer à tout bout de champ.
Paul arrive à ouvrir le bal, mais c’est la dernière fois qu’il tient sur ses jambes.
Mon beau-père me fait danser et me tient compagnie jusqu’à ce que nos invités partent.
Le dernier qui vient nous saluer parti il reste Paul et Pierre.

• Je vais le monter dans votre chambre, pardon de sa part pour ta nuit de noces, j’aurais dû mieux le surveiller, je l’ai déjà vu déchiré mais à ce point jamais.

Nous montons Pierre tenant son fils dans ses bras comme un fétu de paille, il est vrai qu’aux vacances dernières dans sa propriété de vacances en Bretagne je l’ai vu en maillot de bain et il est énormément musclé ayant une salle de musculation et levant des tonnes de fonte chaque jour.

• On va le mettre là sur ce canapé en position latérale, s’il est malade, tu éviteras de passer de femme mariée à veuve, ce qui serait dommage avant qu’il t’ait enlevé ton pucelage.
• Beau-papa, comme vous me parlez, oui je suis vierge, nous avons tenu à arriver vierge pour cette nuit.
• Et regarde, le résultat tu as toujours ton pucelage et il est bien incapable de bander.

En me disant ces mots il me prend dans ses bras me serrant sur sa forte poitrine sans me faire mal toutefois.

Comment levant, la tête pour le regarder, je me retrouve avec sa bouche sur la mienne, mieux sa langue apportant un doux plaisir à la mienne je suis incapable de le dire ?
Ce que je sais sait qu’il me prend la main et la pose sur son pantalon à hauteur de sa verge.
Il bande et semble énorme comparé à Pierre qui si nous sommes restés vierges me l’a tout de même montré me décrivant par les détails, comment ce soir il allait me la mettre.
Sa main vient brûler ma poitrine quand il la porte sur mon sein droit qui rêve d’être nu sous sa caresse.
Je suis toute mole dans ses bras, je sens que ma chatte ruisselle, non pas mon beau-père même s’il est un homme fort séduisant et surtout pas ma nuit de noces.

À genoux, je me mets à genoux pour défaire la ceinture de son costume et de sortir cette verge phénoménale pour moi la petite vierge, mais sans penser que je suis à deux mètres de mon futur cocu de mari, je le suce, le mordille le fait se tendre au maximum de sa vigueur.
Il me prend sous les aisselles et me fait remonter jusqu’à lui et reprend ma bouche tout en dégrafant ma robe virginale.
J’ai acheté des dessous affriolants pour faire bander mon mari, mais c’est celui qui l’a fait venir au monde qui en profite m’en faisant compliment.
Il me pousse vers mon lit où il était prévu que je me donne à Pierre, mais c’est Paul qui écarte ma petite culotte sans prendre le temps de me l’enlever et c’est moi qui l'att pour le propulser en moi.
Je suis femme et je jouis, pour la première fois par une verge je jouis et quelle jouissance, j’atteins l’orgasme quand mon corps se tend et que je hurle de plaisir quand il éjacule au fond de mon vagin.
C’est à ce moment que mon mari émet un geignement, faisant se retirer mon amant.

• Paul, Pierre va se réveiller et va voir que je l’ai trahi, évitons le scandale, déshabillons-le et couchons le dans le lit, regarde ta verge, elle est pleine de mon sang.
• Je vois que tu étais pure, regarde la jolie tache sur le drap.
• Elle va nous servir, oui porte le met le sur son dos.

La verge est incapable de tenir droite, mais je l’enjambe, l'empoigne et la frotte sur ma chatte le badigeonnant de mon sang.

• File, je m’occupe du reste, quand il va se réveiller, je vais le féliciter pour m’avoir pris mon pucelage et m’avoir fait jouir comme tu as su le faire.
C’est bien, tu es habillé, merci pour ma nuit de noces, à partir de maintenant tu redeviens seulement beau-papa.

En suis-je vraiment sur !