Un Toc De Petite Fille ...

Depuis toute petite, au plus loin que je me souvienne, j’avais toujours les fesses a l’air au plus grand damne de ma mère, surtout quand j’ai commencé à prendre de l’âge et puis c’est un peu de sa faute ! lorsque j’allais aux toilettes maman me demandais toujours si je m’était bien essuyée, alors je me penchais en écartant les fesses pour lui montrer mon derrière, il a fallu qu’elle se fâche fort pour que j’abandonne cette pratique mais au fond de moi-même je gardais l’envie de me montrer à la moindre occasion

Devenue ados, lorsque les hormones ont commencé à me ‘travailler’, vers dix sept ans j’avais de plus en plus envie d’exhibition, dés que j’y pensais je quittais ma culotte afin de ne pas la souiller, ma mère m’aurait certainement posé des questions gênantes

Les garçons ne m’intéressaient pas je préférais montrer certaines parties de mon corps comme par inadvertances, dés lors que je savais avoir été ‘vue’ je m’isolais pour me caresser jusqu'à l’extase, ça valait pour moi un bonne partie de jambes en l’air plus ou moins ratée aux dires de mes copines souvent déçues par les gars

Elles ignoraient ma pratique particulière, je préférais agir seule dans mes endroits de prédilection, dans un parc, assise sur un banc, faisant semblant d’être absorbée par une revue, corsage dépatté juste ce qu’il faut alors que mes genoux s’ouvraient sur une petite culotte soigneusement virée de mes lèvres afin de l’épargner de ma mouille qui ne manquait pas de suinter dés que je devinais des yeux braqués sur moi

Ou encore sur un vélo vêtue genre jupe de tennis et seins libres qui tressautaient au moindre chaos, les petits coups de klaxons ou des sifflements ravis m’excitaient terriblement, dés que j’avais accompli mon ‘exploit’ je choisissais un parcourt isolé, petite culotte dans la sacoche, afin de me toucher a loisir, tout en pédalant juste pour tenir l’équilibre car mes yeux étaient souvent clos par l’enchantement, au moment de l’explosion finale je posais les pieds a terre pour mouiller ma selle

Quand j’ai eu ma première voiture j’aimais ouvrir ma portière en grand pour descendre jambes largement ouverte au passage d’hommes ou de couples pour taquiner la femme qui invectivait son mari parce qu’il n’avait rien raté de la vue que je lui offrais ! !

C’est ainsi que j’ai rencontré celui qui allais devenir mon mari mais qui en même temps m’avait fait arrêter mon ‘sport’ favori, non parce qu’il me l’avait imposé mais parce que j’avais honte de lui dévoiler mon toc

Pourtant Jérémie aimait bien voir mes genoux lors de nos déplacements en voiture, petit a petit j’ai remonté ma jupe ou ma robe jusqu'à la limite de ma petite culotte, un jour sur une route tranquille il m’a touchée la chatte que je lui offrais volontiers en m’écartant sans pudeur, de retour a la maison il a adoré sentir ma petite culotte souillée … depuis j’en porte rarement en sa compagnie !

Depuis nos conversations tournent autour du sujet ‘exhibition’ sans jamais en parler franchement, mais je pense qu’il a percé a jour mon envie de me montrer, Jérémie m’a offert des dessous en dentelle qui mettent en valeur plus qu’ils ne cachent ma féminité, il aime me voir déambuler dans la maison ainsi ‘vêtue’, et moi j’ai un réel plaisir à prendre des positions scabreuses, ça le fait bander et il ne se prive pas de me le montrer

- Toi ma petite cochonne un de ces jours je te ferais mettre a poil devant des mecs
- Même pas peur !
- Vient par ici Mélanie que je te baise
- Hoo noooonnn ! je vous en prie monsieur ! ne touchez pas à ma vertu
- Écarte les cuisses que je t’enfile comme le ferait un voyeur
- Attteeennd ! n’abime pas ma petite culotte j’y tiens trop
- Je vais t’en acheter encore plus osées
- Pour me montrer a des satires ?
- Avoue que ça te plairait ?
- Du moment que tu me protège, ouiiii
- Ils poseront leurs mains sur ton corps …
- Je veux les voir bander
- Ils déchargeront sur toi …
- Tu me fais peur, jamais je n’ai fais ça
- Tu t’es donc déjà montrée ?
- Avant que je te connaisse, oui …mais ça n’a jamais été plus loin, j’avais trop peur d’être violée
- Mais si je suis là ? de toute façon j’avais deviné ton gout pour l’exhibe depuis fort longtemps
- Ça change tout
- Demain matin je vais t’acheter des dessous et demain après midi nous allons nous balader en voiture …
- Presque nue ?
- Tu mettras ton imper
- Et voilà ! ma culotte est toute humide !
- Donne-là moi … mmmmmmuuuuuuummmmmmmmm quel parfum sublime
- Met ton nez dans ma chatte, tu seras a la source

Du coup, mon ‘défaut’ avoué je me sens libérée d’un poids, je vais pouvoir donner libre cours a mes envies, mais pour me donner bonne conscience demain je vais encore jouer ‘ la prude’
Dans la voiture Jérémie devient concentré, sérieux, va-t-il aller jusqu’au bout de sa décision ? du coup je n’ose pas montrer mes cuisses, mon vagin reste désespérément sec, soudain il bifurque dans un chemin de terre qui mène a la rivière

- Dépatte des boutons en haut et en bas chérie
- Tu es sûr ?
- Tout à fait, excuse moi j’ai eu un moment de flottement, ce n’est pas tous les jours que l’on emmène sa femme faire de l’exhibe, mais je suis bien décidé à faire bander ces cons !
- Encore une chose, ce ne sera sans doute pas de beaux mecs
- Je m’en fiche, comme ça je suis sûre de ne pas tomber amoureuse !!
- Tu vas leur vider les couilles Mélanie chérie, nous arrivons, tu vas baisser ton siège et fermer les yeux comme si tu dormais, je te guiderais par la voix… haaaaa, il y a trois voitures, ça suffit amplement, je me gare un peu plus loin pour attiser leur curiosité
- J’ai la trouille mon amour
- Chhhhuuuut, prépare-toi ils arrivent
- Que doigt-je faire ?
- Rien pour l’instant quand je te le dirais tu écarteras tes cuisses et tu glisseras une main dans ta culotte, les hommes adorent voir une femme se caresser
- Ils sont comment ?
- Un gros, un assez laid et un mec pas trop mal ! ‘t’as du bol ! défait encore un bouton qu’ils voient bien ton ventre
- Je mouille chéri …
- Attention ils arrivent par l’arrière de ton coté, passe aussi une main sur un sein, mmmuuuuummm ton téton est bien sorti !

J’entends des chuchotements genre : - c’est un couple ! elle se paluche la moule ! putain elle est belle, je bande déjà ! avance encore, le mari nous a vus et il ne dit rien, dommage que la vitre ne soie pas baissée !
Comme pour répondre a ce désir Jérémie appuis sur le bouton qui fait descendre ma glace, je sens l’air frais entre mes cuisses et j’entends nettement leurs souffles saccadés comme quelqu'un qui se masturbe, entre mes cils j’aperçois les têtes et des mains posées sur l’embrasure de la vitre, ils testent l’attitude de mon mari, comme il ne les repousse pas une main se pose sur mon genou droit ,une autre main s’attaque aux deux derniers bouton qui retiennent mon imper, je suis entièrement dévoilée, mes doigts redoublent les virevoltes autour de mon clitoris, emportée par le plaisir que je me donne et celui de me montrer je laisse le plaisir me submerger

- La salope elle vient de jouir !
- Ta gueule ducon cette femme n’est pas une salope, elle est venue pour nous faire plaisir alors soit poli avec elle… je peux caresser votre femme monsieur ?
- Va-y doucement, sans brutalité
- Je sais être doux monsieur, ses cuisses sont très douces

Je croix que c’est ‘le beau gosse’ qui vient de parler, alors je retire la main de mon string pour éventuellement lui laisser la place, un autre se tord le bras pour masser mon sein gauche, Jérémie caresse tendrement ma joue et mes cheveux

- Tout va bien, lâche prise …je bande comme un cerf !
- Mmmuuuuummmm …
- Je peux donner la permission d’ouvrir la porte ?
- Mmmmmmmuuuuummmm !
- Je prends ça comme un oui …
- Aaaaaaahhhhhhhooooooooouuuuuuiiiiii !!
- Je la doigte les mecs ! c’est une vraie fontaine !
- Laisse-nous la place !
- Nnnnoooooooooonnnnnn !!
- Vous voyez ? elle ne veut pas de vous ! poussez-vous je vais essayer de glisser ma tête entre ses cuisses

Comment refuser une telle proposition ! alors de moi-même je soulève ma jambe pour la poser sur une épaule robuste, complètement offerte a un cuni, mon mari pousse un râle d’admiration mêlé de surprise, il doit ‘s’astiquer le manche’ comme il aime le dire !
Le nouveau venu dépose des petits baiser a l’intérieur de ma cuisse avant de coller sa bouche a ma fente liquéfiée, dans le même temps la portière arrière s’ouvre, un autre homme monte et si glisse a hauteur de mon visage brandissant sa belle pine décalottée comme un trophée

- Tu me suce ?
- Chéri ?
- Suce-le si tu en as envie, cet après midi tout est permis

L’intrus profite de ce que la langue qui me pénètre profondément me fait ouvrir la bouche pour s’y engouffrer, le léger gout d’urine passé je suce ce gland agréable au palais, mon clitoris sorti de sa cachette est mordillé exactement comme j’aime, mon bassin se soulève pour aller au devant des sucions, le troisième, certainement le gros a ouvert l’autre porte pour pouvoir palper mes seins, et pincer mes tétons hyper sensibles, pour une première exhibe c’est une réussite, une onde bienfaitrice me submerge, mon jus coule sur le siège, du sperme jaillit dans ma gorge , j’hurle mon bonheur, secouée par la jouissance je reprend lentement mon souffle, les hommes se sont retirés pour échanger leurs points de vues sur ma participation


- Ça va mon amour ? pas de stress a ce que j’ai vu
- Wooouuuh j’ai vu des étoiles ! ce gars m’a léchée a merveille ! j’ai envie de me descendre pour me dégourdir les jambes
- Bonne idée mais a tes risques et périls !
- Pourquoi dit-tu celas ?
- Ils sont toujours là et n’ont qu’une envie
- Laquelle ?
- Te baiser sur le capot les uns après les autres et moi en dernier
- Tu serais encore d’accord pour me laisser entre leurs pattes ??
- Ne sort pas nue, met au moins ton imper
- Evidement ! et puis ça va faire du bien à ma chatte, elle va finir de se vider de ma mouille
- Je te suis …

Appuyée sur l’aile avant je me prélasse face au soleil, quelle idée ai-je eue d’ouvrir mon imper pour faire sécher les poils de ma chatte ? ça n’a pas échappé a mes mateurs qui discutent a voix basse avant de faire quelques pas vers nous

- Jérémie ? ils reviennent …
- Je t’avais prévenue, assume à présent
- Je remonte en voiture ?
- Trop tard, si j’étais toi je me pencherais de suite sur le capot et je laisserais faire les choses
- Mais ils sont trois !
- Quatre avec moi ! approchez messieurs …
- Salaud !

Je m’accoude sur le capot encore tiède, une main ferme me fait courber jusqu'à ce que ma poitrine s’écrase sur la tôle, le bas de mon imper est posé sur mes reins, un pied autoritaire fait écarter les miens, cette position fait ré-ouvrir ma vulve encore suintante de salive et de cyprine, un bruissement de vêtement, sans doute un pantalon qui se baisse

- Ne bougez plus madame je vais investir votre vagin, je passe le premier car j’ai juste eu le droit de toucher vos seins dans la voiture
- Allez-y …Hhhoooooooouuuuu … vous êtes gros ?
- Vous parlez de ma corpulence ?
- Non, de votre membre
- Je reconnais que ma bite a pris de la graisse en même temps que le reste pour le plus grand bonheur de ces dames !
- Pousse Fernand ça rentre !
- Vos gueules les gars laissez moi me concentrer… elle est très serrée, ça vous fait mal madame ?
- Nooooooonnnn, c’est même très bbbooooooonnnnnnnnnnn
- Ça y est je suis au fond
- Restez un moment sans bouger que je me fasse à la grosseur … c’est bon, baisez-moi a présent

La voiture se met à tanguer, ma chatte est ramonée comme jamais, hélas ou heureusement vus que je vais être encore prise plusieurs fois, le gros déverse sa purée en deux minutes, lorsqu’il se retire sa queue débandée ma chatte fait un bruit désagréable a l’oreille mais ‘ho’ combien excitant pour mon mari qui encourage les hommes

- Au suivant, vite !
- Va-y toi je passerais le dernier
- Tant pis pour toi ça va glisser après mon passage !

Je reconnais la voix du jeune, c’est exactement l’ordre que je souhaitais, j’ai envie de savourer a ma convenance la verge de celui qui m’a sucée comme un dieu ! mon deuxième amant s’occupe de se satisfaire sans se préoccuper de me faire jouir, d’ailleurs lui aussi décharge en un temps record, second bruit d’évier et dégoulinage le long de mes cuisses !

- Vous voulez bien vous retourner madame ? j’aimerais vous prendre face à face
- Moi aussi !!

C’est le cri du cœur ! j’ai envie de ‘faire l’amour’ avec lui ! débarrassée de l’imper je hisse mes fesses sur l’aile, il vient a moitié nu entre mes jambes, accrochée a son cou j’attend qu’il me pénètre, sa bouche collée a mon oreille il murmure ce que j’ai envie d’entendre sans que mon mari ne le sache

- Je veux voir l’expression de ton visage quand tu vas jouir, je veux voir tes yeux se révulser, sentir ta chatte écraser ma queue et inonder mes couilles, tu me supplieras de continuer
- Hooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii !!Ooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii !!

Je noue mes jambes autour de ses cuisses, fébrilement il dirige son membre entre mes cuisses, j’ai eu le temps d’apercevoir sa verge et qui me plait bien ! je gémis tant que son pubis ne s’écrase pas sur le mien, costaud il met ses mains sous mon cul et me soulève aisément, nos lèvres se soudent, j’ai déjà oublié la présence de Jérémie lorsqu’il se met en mouvements bien planté en moi

Dés les premiers vas-et-viens ma chatte est irradiée, il sait exactement insister là où ça me fait du bien, nous ne nous connaissons pas et nous somment en parfaite communion, d’ailleurs j’étouffe comme je peux mon premier orgasme qui ne lui échappe pas car mon vagin se serre comme un étau sur son membre,

- C’est bbbbbooooooonnnnnnn, je vais décharger mais je ne vais pas m’arrêter, au contraire …tiiiiiiiiiieeeeeeeeennnnnnnnnn prend ça …je vais te reposer sur l’aile car je vais te sodomiser en douce
- Nnnnoooooooooonnnnnn ! ooooooooouuuuuuuiiiiiiiiiii !! fait-le
- Ça va chérie ?
- Heeeeeeeuuuuu… oui-oui Jérémie, tu veux que j’arrête tout ?
- Surtout pas, allez tous les deux jusqu'à l’orgasme
- Il veut me prendre penchée sur le capot
- C’est le mieux, allez-y, ne vous préoccupez pas de moi, je vais faire un tour jusqu'à la rivière

Penchée à outrance, le cul bien cambré, je suis totalement offerte à mon bel amant inconnu qui ne débande pas et pointe son gland sur mon anus boursouflé, bien cambrée je subis dans broncher le passage douloureux du gland, après ce n’est que du bonheur, mes ongles acérés griffent la peinture, Jérémie va encore pester contre les chats qui montent sur sa caisse !

- Tu es bonne a baiser, j’aimerais te revoir …seule …
- Oui ! non, ce n’est pas possible je n’ai jamais trompé mon mari
- Il y a un début à tout, en partant je vais tracer mon 06 dans la terre derrière ce buisson, tu n’auras qu’a prétexter une envie de pisser
- Salaud ! je vais jouir !
- Arrose mes couilles, je vais tout balancer dans tes intestins
- Non ! reprend vite ma chatte !
- La prochaine fois … quand tu viendras seule … je déchargerais dans tous tes trous
- Tu me prendras avec un copain à toi ?
- Oui en double
- Je vais joooooouuuuuiiiiiirrrrrrrrrrr ! oooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii !!!!
- Ça va chérie ? Hooo pardon ! tu cries parce que tu viens d’avoir un orgasme ?
- Oui … j’en suis la première surprise Jérémie, je vais faire pipi derrière ce buisson et nous partons …