Le Doudou De Ma Copine
Mon amoureuse a un doudou.
Quand j'ai vu ça, j'ai été surpris.
C'était pour ma première fois avec elle. On était rentré chez elle aprés un dîner chez des copains. Une paella. On avait discuté tous les deux sur le balcon tandis que les autres picolaient des liqueurs au salon. Ils étaient fin bourrés, résultat nous on est restés ensemble.
En arrivant à son appart, elle avait demandé simplement, tu passes le premier à la douche ou tu préfères que ce soit moi ?
Franchement c'était plus classe que l'habituel, tu viens prendre un dernier verre. Enfin, plus direct, quoi.
Vu que j'avais une furieuse envie de pisser, j'ai volontiers souscrit à son aimable proposition. Ne dit-on pas qu'il est écolo-friendly de pisser sous la douche ?
En sortant tout nu tout mouillé, emmitouflé de grande serviette éponge rose pâle je la matais qui se dessapait pour y passer elle-aussi et était déjà nu-pieds en culotte bralette blanches de jeune fille. Je pensais cette fille est jeune femme sérieuse parisienne pas du tout dévergondée et bien sous tous rapports.
Elle me dit pose la serviette sur la chaise là et t'en vas chauffer le lit sous la couette et m'attendre.
Moi, je ne bandais pas encore, refroidi par les eaux trop chaudes de la douche, mais j'avais le cur mandarine du bonheur de rencontre et de la simplicité sex-friend de ma nouvelle rencontre.
Je pensais, voilà la magie du siècle.
Sous la couette j'ai fait rencontre nouvelle.
Tandis que j'entendais les bruits d'eau de la douche dans la pièce à côté un être doux et tendre était tombé dans mes bras. Sous la couette un grand individu avec des bras des cuisses et une grosse tête amoureuse se collait contre moi et sa tendresse avait déjà déclenché ma bandaison.
Bander, chez un garçon, c'est comme un thermomètre. Ça dit l'état d'esprit du mec. Et la chaleur propice des circonstances.
Je n'avais pas encore repris mes esprits que déjà elle se glissait toute nue toute humide dans mes bras écartant l'intru en marge du lit et a éteint les lumières.
Sa tendresse est descendue de lèvres douces sur mon thorax pour engouler bas mon bitos et dire de fond de gosier agité, sa bienvenue. Plongée bas profond sous la couette elle remontait ses deux fesses pour m'offrir sa courgoule toute propre toute fraîche en enserrant mon visage entre ses cuisses.
Nous avons poursuivi notre dialogue de balcon en soirée d'été sous les étoiles par un échange de saveurs de sexe, dégustation amoureuse, gastronomie exotique étonnante.
Son orgasme sous mes lèvres fut le premier pas, la première étape. Mes épanchements ont suivi et elle a, lèvres à mon gland hoquetant, voulu tout boire et n'en rien laisser perdre.
J'avais en tête mes premières amours avec une toute jeune fille qui avait alors levé mes complexes de puceau trop précoce en buvant chaque fois ma semence, en m'apaisant de sa voix tendre.
Je lui étais reconnaissant de me ramener des années en arrière à l'époque de mes quinze ans.
Nous étions dans les bras l'un de l'autre et je pensais, maintenant je la tire, j'entre en elle je lime je décharge. Et la tendresse bordel ?
Elle a tendu son bras en arrière et a ramené entre nous l'intrus.
L'intrus était tout doux de matière bouclée et ferme. Son corps était grand comme l'est celui d'un homme. Moi, j'avais le bassin collé à ses fesses et, sans mentir, sa craque était ouverte profonde comme celle d'un copain très cher cambré en invite.
Elle, avait enfoui sa frimousse au cou de l'animal de peluche et serrait fort de ses deux bras le thorax doux du nounours. Ses deux mollets étaient crochés aux cuisses de la bête, talons hardis et ventre ouvert.
Ma main est partie aux fesses de la fille remontant les creux humides pour enfouir deux doigts aux profonds velus et plissés.
Moi j'étais jaloux de la poupée teedy bear dans ses bras, succédané d'un mâle d'un vrai.
Elle a roulé dans le lit. Elle ne disait rien. Elle était dessus son jouet, dessus sa baby doll. Sa croupe haute en lordose. Je n'ai rien vu vu qu'il faisait tout noir. Juste une lichette à son cul, histoire de le rendre encore plus accueillant.
À genoux derrière elle, on a fait l'amour à trois. Elle avait le ventre ouvert à son jouet, à genoux sur lui, les bras serrés autour de la peluche, mais en elle c'était moi qui déchargeais, à longues lancées, mes émotions.
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