Collection Folle Du Cul. Maryse, La Femme. Cantal Patron De Boîte De Nuit (1/1)

Je vais vous parler de la femme que Maryse a été dès ses dix-sept ans lorsque Claudio lui a ouvert les portes de sa sexualité bien qu’il l’ait épousé lorsqu’elle avait vingt et un ans.
Ce que je peux dire à la lecture de ses confessions, c’est que rapidement ma collection folle du cul s’imposait.
Mais aimer l’amour ou plutôt aimer faire l’amour est-ce pour autant être une folle du cul.
La chose à ce souvenir, c’est le contexte où Maryse va rapidement orienter sa vie de femme.
Beaucoup de ses amies vivaient leur jeunesse avec un seul but, arriver à se faire passer la bague au doigt.
Pour notre jeune amie, le plaisir du sexe l’attirait plus surtout que Claudio semblait peu empressé à lui déclarer sa flamme autrement qu’en la dépucelant.

Si cette première aventure elle l’a eu après son dépucelage à cet âge, était-elle déjà femme ou en chemin pour le devenir.
Maryse à cette époque a cumulé deux choses, aspirées à devenir pleinement femme s’assumer en salope en devenir.
Nous en avons eu la preuve dès son mariage avec la manière dont elle s’est vendue à Monsieur X à la limite de devenir une fille des rues, comme il en existait dans ces années-là.
Voilà ce qu’elle m’a dévoilé, surtout sa cible principale comme on va le voir, les hommes d’âges avancés et homme d’expérience.
Rapidement elle a aimé les hommes mûrs sachant lui apporter leur expérience à la suite de ses désillusions au moment de son dépucelage.
Je lui redonne la parole.

Après avoir perdu mon pucelage avec Claudio, on se regardait, on se souriait, j’avais envie qu’il reste en moi le plus longtemps possible.
Après avoir soufflé quelques minutes, nous recommencions.
J’avais envie que ses coups de reins durent des heures.
Chaque fois qu’il jouissait, je savais de plus en plus qu’il était l’homme de ma vie.
Pourtant, Claudio est revenu à nouveau vers Annie.
Pendant deux mois, il avait deux femmes dans sa vie jusqu’à un soir ou étant avec lui j’ai eu un rapport éphémère avec son demi-frère.


Suivit l’été suivant de deux jeunes amants.
Ce que je découvrais, c’est que dans les rapports sexuels avec des hommes ou des hommes en devenir, la première fois, du moins pour moi, était un moment privilégiée.
Toujours remplit de fougue, aussi bien eux que moi, la première pénétration était la première fois à chaque fois.
C’est aussi à cette époque que j’ai eu la certitude que pour rien au monde, être-homme, très peu pour moi, je suis femme jusqu’au bout des ongles.
Chaque première pénétration était pour moi fantastique.
Je prenais conscience que c’était moi qui avais le pouvoir sur eux.
Mon sexe, c’était moi qui leur offrais et que la découverte d’un nouvel amant était quelque chose d’exceptionnel.
L’union de deux sexes se découvrant, de deux corps devenant fusionnel, de jouissances multiples qu’une femme peut avoir, on peut comprendre pourquoi je préfère être née femme.

Cet été-là, malgré la majorité à 21 ans, je fréquentais une boîte de nuit, car nous savions nous faufiler, surtout qu’à cette époque, la chasse à la fraude était cool par les autorités.
Le patron de cette boîte devait avoir 38 ou 40 ans.
Ce détail importait peu.
Ce fut le premier de ma série « vieux », Cantal, c’était comme cela que tous nous l’appelions.
Pour aller en boîte le samedi sans permis de conduire c'était facile pour de jeunes femmes comme moi et mes amies, le stop grâce à un copain ou une copine et pareil pour le retour.

À cette époque nous arrivions entre 22 et 23 heures, jamais avant, nous avions la nuit devant nous.
Ce soir-là, j'avais une minirobe très courte des collants et une petite culotte assortie à mon soutif.
Avec Cantal, lorsque nos regards se sont croisés, j’ai bien vu qu'il se passait un truc.
Même si je savais qu’il agissait pareil avec beaucoup d'autres minettes rêvant de coucher avec lui, c’est lui qui nous permettait de passer des soirées gratuites et d'être enviées par toutes les autres.

Il avait pour lui d’être beau gosse, ce soir-là, je suis venu m'assoir au bar et on a aussitôt discuté.
Pour le premier verre, il m'a demandé ce que je voulais boire, ensuite il le complétait.
C'était l'époque "Cuba libré", heureusement avec plus de coca que d'alcool.
Au bout d'un moment il m'a parlé de sa réserve impressionnante derrière le bar et m'a proposé de la visiter.
Je n'étais pas une oie blanche, comme on l’a déjà vu et à 17 ans, j'avais couché avec huit partenaires dont Claude pendant de longs mois.
Je savais que si je le suivais j'allais me donner à lui.
Pourquoi finasser, ça arriva aussitôt ?
Je pense qu'entre notre premier baiser et sa main dans ma culotte, moins d’une minute s’est écoulé.
Il a délaissé ma poitrine pourtant avec mes amants, même les moins expérimentés me faire caresser les seins étaient source de beaucoup de plaisir.
À l’aube de ma vie, si j’ai un conseil à donner aux jeunes puceaux, c’est de s’occuper des seins de leur compagne, même celles d’un moment.

Il m’a fait appuyer sur des caisses de whisky.
Elles étaient bizarrement à bonne hauteur, combien de femmes avaient-elles écarté leurs cuisses à cet endroit.
Je me suis retrouvée avec les collants et la culotte au niveau des genoux.
Devant la difficulté, j'ai enlevé mes chaussures et le reste a suivi.
J’étais anxieuse de la suite, c’était un homme avec de l’expérience.
Serais-je à la hauteur de son attente, tout ça tournait dans ma tête ?
Il m'a soulevée, posé mes fesses sur les caisses et m'a baisée directement.
À ce moment de mon récit et après tout ce que j’ai dit, ce moment a été exceptionnel.
Moins de cinq minutes qu'on était dans la remise et il me pourfendait à grands coups de reins.
Je prenais déjà la pilule, rare dans ces années-là, du moins pour l’obtenir et comme il l’ignorait, il s’est couvert d’une capote.
Nous avons joui à l’unisson tous les deux et c’est à ce moment que de nouveau, mes oreilles ont de nouveau entendu le son de la musique diffusée dans la boîte.


Il a remonté son pantalon, j'ai remis ma culotte, mes collants et mes chaussures et on est revenu dans la salle.
Je me doutais que tous ceux qui m'ont vue revenir savaient que Cantal venait de me baiser.
J'avais son numéro de téléphone et je pouvais l'appeler quand je voulais.
La boîte étant ouverte les jeudis, vendredis et samedis soirs, il était très libre.
Le lundi midi, je lui ai téléphoné pour lui dire que je finissais mes cours à 14 h 30.
Lorsque je suis sortie du lycée, j'ai vu une voire de haut luxe.
Je devrais apprendre plus tard que c’était une Jaguar.
Un appel de phare, devant toutes mes copines de ma classe, il est sorti m’ouvrir ma portière.
Au moment de m’assoir, je lui ai fait un bisou sur la bouche.
En un instant, je suis devenue une idole pour certaines, une salope pour d'autres.
Pour une majorité des garçons, j'avais déjà couché avec quatre d'entre eux, je savais que je les décevais, mais que voulez-vous, l’appel du sexe m’appelait.

Retour à sa boîte, il a mis des lumières tamisées et une musique de fond puis m'a déshabillée.
Je l’ai mis dans le même état, puis assise sur une banquette et lui debout, je l'ai sucé.
Voulant me prendre, il m'a étendue sur la banquette où le samedi précédent j'avais passé une partie de la soirée entre deux danses.
Ce fut mon premier cunnilingus.
J'ai senti que je coulais dès le premier contact de sa bouche sur ma chatte.
Ensuite, je l'ai attiré et on a fait l'amour.
Nouvelle pénétration et première pénétration, car moins fougueuse que dans sa remise.
Il a joui et moi encore plus.

Régulièrement, lorsque je finissais mes cours de bonne heure, il venait me chercher.
Nos jeux se diversifiaient, il adorait me coucher nue sur le bar et me dévorer le minou.
Depuis, je suis une inconditionnelle de cette pratique indispensable à tout préliminaire.
Je pense qu’homme, femme, vieux, jeune, moche, nain ou monstre me fera jouir en me faisant un cunni chaque fois que l’un ou l’une d’entre eux voudra me faire l’amour.

Je suis ouverte à tous, c’est le cas de le dire, avec un brin d’ironie du haut de mes très proche 18 ans.

Le samedi soir,je montais souvent dans le petit appartement situé au-dessus de la boîte, dès qu'il me le proposait.
Fini sa remise, la réservait-il pour d’autres, il me rejoignait et on baisait, car la première chose que je faisais s’était de me dénuder.
Au bout de trois mois, je me suis lassée, j’allais le quitter quand un après-midi devant sa boîte, il s'est fait descendre par deux motards toujours recherchés par la police.

J’ai un peu pleuré, ensuite j’ai retrouvé un rythme normal en prenant des amants de mon âge dont certains dans mon lycée.
L’'été suivant, je recommençais mes rapports avec des vieux en couchant avec un espagnol de 42 ans.
Mais « L’Espagnol » sera ma prochaine aventure.

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