Education D'Une Bourgeoise Bcbg Suite
L'éducation d'une bourgeoise BCBG suite...
nous voilà maintenant dans la rue
S
semble heureuse et relativement rassurée. Heureuse de notre rencontre, et rassurée, d'une part de ma présence, mais surtout, d'avoir pu surmonter ses appréhensions, ses craintes sur le déroulé des événements et ses capacités à partager et à réaliser les injonctions qu'elle allait devoir exécuter
Elle arbore un jolie sourire sur ses lèvres joliment mises en valeur par un rouge à lèvres soutenu mais pas excessif. Je remarque quand même, ce qui n'est pas pour me déplaire, une légère gêne dans son regard et dans son attitude
elle scrute discrètement les regards des personnes que nous croisons et pour cause : elle déambule à mes côtés, uniquement vêtue de son imper, mais surtout, elle porte le fameux collier autour de son cou bien dénudé et ainsi bien visible sachant que le foulard rouge qu'elle portait en arrivant à la gare se trouve
pour l'instant, dans ma poche.
Sa relative sérénité s'est trouvée perturbée car je viens de lui proposer de sasseoir, à mes côtés, sur un banc dans le parc qui se trouve sur le trajet qui nous mène au parking. Nos regards se croisent et la proximité de nos visages m'incite à déposer, sur ses lèvres, un baiser
Immédiatement après je sors de ma poche un petit uf de couleur mauve et je le pose sur le banc. J'indique à S
que c'est son second cadeau de la journée et qu'elle doit immédiatement le placer
bien au chaud, dans son sexe
S
qui est une bourgeoise BCBG, n'est pas aussi prude que cela, car elle m'indique avoir eu l'idée d'acheter ce type de gadget mais qu'elle n'a jamais osé franchir le pas
Un instant légitime de panique envahit S
qui a du mal à gérer sa surprise et encore plus à imaginer comment exécuter cette seconde injonction
je la sens très hésitante et son regard en dit long sur sa gêne
elle veut parler mais je linterrompt immédiatement et je lui précise, que pour l'instant, ce n'est pas un ordre qui lui est donné, mais au stade de notre rencontre, une nouvelle suggestion
qu'elle est encore libre d'accepter, ou non, tout en sachant les conséquences que pourrait avoir un refus
Son hésitation n'a duré que quelques secondes
j'observe S
qui scrute les alentours et attend le « bon moment » pour s'exécuter : fébrilement elle écarte les pans de son imper laissant apparaître, non seulement, ses superbes jambes gainées de ses bas, mais aussi, un pubis à la toison soigneusement épilée
Très habilement elle écarte les lèvres de son sexe et sans hésitation elle introduit luf dans cet étui qui semble bien humide
Sans perdre de temps S
rassemble ses jambes et ferme les pans de son imper.
Pour la première fois S
se sent totalement dépendante, et constate, qu'elle ne maîtrise plus les sensations qu'elle ressent... Les vibrations procurent à S
les premiers émois et je remarque, avec plaisir, qu'elle éprouve une réelle excitation qu'elle essaie de maîtriser tant bien que mal
je l'invite à se lever afin de continuer notre chemin vers le parking. Les vibrations troublent toujours S
qui se concentre pour garder une attitude digne. Je mets fin à son « supplice » au bout de quelques minutes en appuyant discrètement sur le bouton stop
S
tout en faisant une mou acquiesce et se sent soulagée.
dix minutes nous séparent maintenant du parking. J'en profite pour prendre S.. par la main et c'est côte à côte que nous déambulons dans les rues qui nous mènent à la voiture
Je choisis ce laps de temps pour demander à S
si elle est décidée, après ces moments partagés ensemble, à prendre une décision importante : arrêter notre relation ou au contraire, entrer dans une relation librement acceptée de soumission sachant que l'essentiel de celle-ci se déroulera dans le respect , l'acceptation et le partage des jeux de soumission déjà fixés lors de nos échanges précédents qui ont duré deux mois
.
Après de longues secondes de silence, S
se tourne vers moi, me dépose un doux baiser sur mes lèvres et me déclare vouloir accepter sans condition de devenir ma bourgeoise BCBG, soumise
et elle rajoute : dévouée et obéissante
.
Immédiatement j'indique que je suis heureux et fier de son choix et je précise, qu'à partir de cet instant, elle doit s'adresser à moi en me disant : « monsieur », que les suggestions et propositions faites jusqu'à présent par moi, vont être, à partir de maintenant, des ordres qui seront donnés
puis je termine en rappelant qu'elle est et sera toujours respectée et protégée
je lui rappelle notre mot « secret » qui peut être prononcé à tout moment et qui arrêtera immédiatement notre relation.
S
me sourit, elle n'hésite pas à s'approcher de moi et m'embrasse.
Nous descendons maintenant les escaliers qui nous mènent au parking. Par précaution, j'ai garé ma voiture un peu à l'écart mais quand même suffisamment en vue en cas de passage de personnes.
Nous nous arrêtons devant la caisse automatique et je demande à S
de se tenir juste à côté à quelques pas de l'appareil dans une endroit légèrement en retrait.. Une fois le paiement effectué, et après avoir constaté que personne ne s'approche de nous, je me dirige vers S
et je lui demande de se retourner, elle sexécute et donc, me tourne le dos. Délicatement, je lui prends les bras pour les placer dans son dos. Malgré la surprise, elle n'oppose aucune résistance et c'est, sans difficulté, qu'avec l'aide du fameux foulard rouge que je lie bien fermement ses poignets dans son dos. Je la retourne et découvre sur le visage de S
une réelle crispation
peut être un peu de crainte. Cela me plaît bien, d'autant plus que tout doucement, j'ouvre trois des boutons de son imper
S
ne manque pas de protester, discrètement, mais je lui place immédiatement ma main sur bouche et je lui dit : chut
sans attendre, je sors de mon sac une laisse formée de plusieurs maillons assez gros, couleur or, et je la fixe à l'anneau de son collier. Je fais glisser cette laisse dans le sillon entre ses seins puis je m'écarte pour constater le résultat. Je ne suis pas totalement satisfait du résultat
je décide d'ouvrir les derniers boutons de son manteau
S
reste étonnement calme en même temps que son corps tout entier se tend au moment ou j'écarte totalement les pans de son manteau. La voilà devant moi, superbement dévêtue, presque totalement nue, à l'exception de son porte-jarretelles et de ses bas qui rehaussent la beauté de son corps
elle est belle ainsi totalement offerte, indécente avec cette laisse qui pend entre ses seins et qui vient caresser son pubis et même les lèvres de son sexe.... sexe dont sort encore les deux bouts de ficelle qui attestent la présence de luf vibrant au fond de celui-ci.
S
serait-elle troublée, excitée, j'ai mon idée la dessus...
Il y a une bonne vingtaine de mètre à franchir pour arriver à la voiture. Je laisse S.. « plantée » là, et je me dirige vers la voiture. Une fois arrivé j'ouvre la porte avant droite
je regarde autour de moi, je fais le constat que peu de personnes se trouvent dans le parking, il ne doit pas y avoir grand monde à cette heure-ci même si j'entends quelques voix un peu plus loin dans le parking.
Je fais signe à S
de me rejoindre. Son calme apparent, une fois l'effet de surprise passé, laisse place à une grande crainte, un trouble réel, je distingue même une petite larme qui coule sur sa joue.
Elle me dit : « je ne peux pas », je lui réponds que c'est un ordre
Après quelques secondes d'hésitation, qui paraissent des minutes pour S
et après avoir, une fois encore, scruté les alentours et écoutés d'éventuelles venues, S
se lance. Elle hésite entre marcher très vite au risque de faire tomber son imper sur ses poignets et de se retrouver quasiment totalement nue, ou alors, marcher « plus délicatement » et tenter de garder les pans de son imper, même totalement ouverts, sur ses épaules.
C'est la seconde option que choisi S
pour me rejoindre
en fait, elle a bien fait, car pendant ce court trajet, deux couples sont arrivés dans le parking
cela ne fait aucun doute, ils ont dû apercevoir S
de dos, arriver à la voiture. S
voulait immédiatement sengouffrer dans la voiture et s'installer sur le siège passager mais je l'en ai empêché
J'ai voulu la féliciter et je l'ai donc prise dans mes bras, j'ai plaqué son corps nu contre moi et je l'ai embrassé longuement tout en essuyant les quelques larmes qui ont coulé sur ses joues
Je lui est dit que je suis très fier d'elle
un léger sourire illumine alors le visage de S.
Je précise à S
qu'elle peut prendre place à l'avant du véhicule sur le siège passager. Par réflexe S
se retourne et me regarde et me supplie de bien vouloir lui détacher les poignets pour lui permettre de refermer les boutons de son imper.
Quelle désillusion pour S
quand je lui dis qu'elle restera attachée
Je la retourne, elle fait face à moi, et c'est avec beaucoup de délicatesse que je referme
deux boutons de son imper. J'aide S
à s'installer sur le siège ce qui n'est pas évident pour elle...
Je prends soins de placer les pans de son imper de façon à recouvrir décemment son corps.
Nous voilà parés pour le trajet retour en voiture.
Je démarre la voiture et me dirige vers la sortie du parking. En arrivant au niveau de la barrière automatique de sortie du parking j'aperçois un homme. Ce dernier porte une tenue sans équivoque, c'est un des responsables sécurité. Je m'approche doucement. Au moment d'introduire le ticket dans la borne ce dernier s'approche de la voiture, se baisse et me dit sans autre commentaire : « bravo et merci pour le spectacle, vous avez une belle et sacrée salope à vos côtés ». S
qui a, bien évidemment, tout entendu, baisse la tête, essaie de se cacher le plus possible alors que ses joues sont écarlates. Je réponds à « l'agent » par un petit merci de je démarre. Visiblement, notre petit manège dans la parking et été suivi par l'une ou l'autre caméra de vidéo surveillance
sincèrement, j'y avais pensé, j'ai espéré les éviter, mais visiblement cela n'a pas été le cas
tant pis ou tant mieux
Nous voilà maintenant en route sur le chemin du retour
..
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