Avec La Mere De Mon Copain
Frédéric était un pote de collège. Et depuis quelque temps, nous étions inséparables. Pas que javais changé de mentalité. La solitude était toujours pour moi un besoin. Le désistement à la règle avait pour un but de mapprocher de sa maman. Elle était devenue lhéroïne de mes fantasmes. Et ses petits airs de tante Christiane nétaient pas étrangers de mon choix.
En ses vacances de fin dannée, sachant Frédéric parti chez son père. Je comptais sur cette désertion pour tenter ma chance avec sa maman. Je me devais pour réaliser mon fantasme être perspicace.
Juste le fait dapercevoir sa voiture stationnait sur le parking, avait éveillé en moi la bête de sexe que jétais. Jallais sortir de ma tanière avec lintention de satisfaire ma faim sexuelle. Un inexplicable besoin de donner du plaisir. Mais pour tout cela, je me devais daller lui rendre une petite visite. Ce que je mapprêtais à exécuter. Le cur battant la chamade, je m'engageais à bord de lascenseur. Celui qui allait me mener jusquà son palier. Je jubilais intérieurement. Bien sûr, elle fut surprise de me voir au pas de sa porte, mettez-vous à sa place. Jamais je noublierai la tête quelle avait faite. De même la première phrase qui était sorti de sa bouche :
- Mais tu sais bien que Frédéric nest pas là.
- Oui je le sais parfaitement et cest même pour cela que je suis là. J'ai une confession à vous faire, et pour cela j'avais besoin que l'on soit en tête à tête.
- Une confession ? Rentre donc
Sa voix sétait faite plus grave. La porte refermait, je me collai à elle, écrasant son opulente poitrine contre mon torse, lui murmurant à loreille.
- Madame
Je
jai envie de vous !
Javais été à lessentiel sans extravagance, ni démesure. Cétait je vous laccorde une déclaration ridicule. Mais cétait tout moi. Dans ces instants, mes faits et gestes étaient imposés non pas par le cerveau, mais par ma verge. Elle tourna ma déclaration intempestive en plaisanterie et alla se laisser tomber dans un fauteuil.
- Quel nigaud tu es Alain ! Dit-elle, en allumant une cigarette. Heureusement que mon fils nest pas là !
Pendant quelle essayait de me résonner, je lobservais dun il neuf. Tout chez elle me faisait penser à tante Christiane. Surtout son épaisse chevelure noire, striée de quelques fils argentés, tirée en chignon. Tout me paraissait troublant en elle. De ses paupières un peu lourdes, à sa moue sensuelle lorsquelle tenait entre ses lèvres sa cigarette, avalant la fumée avec volupté.
- Mais cest vrai, madame, je vous désire ! Je vous ai toujours désiré, dailleurs et cela depuis notre première rencontre
et maintenant de vous veut !
Tout cela me faisait bander atrocement. Ma bite ne cessait de pulser dans mon pantalon. Si par malheur, j'envisageais de me masser la braguette, j'exploserais littéralement. Inondant mon slip de mon sperme que je savais très abondant.
Avec laveuglement et lentêtement dus à un excès dexcitation, je me jetai sur elle, empoignant son sein à pleine main, humant lodeur tiède de sa peau. Elle rit encore, un rire de gorge chaud sensuel.
- Allons Alain ! Sois sage
tout ce que tu veux, cest satisfaire ton besoin sexuel, et cela avec nimporte quelle femme ! Écrase ma cigarette au lieu de dire des conneries ! Je vais me couvrir je ne suis pas décente !
Elle me regarda par en dessous et ajouta dune voix chaude.
- Cest peut-être cela qui te rend si
bête !
Je crus succomber à une force surnaturelle. Avais-je rêvé, ou lintonation quelle prit transpirait le désir.
Jécrasais sa cigarette dans le cendrier en pierre. Restant quelques instants à détailler ses pieds posés à plat sur la moquette.
- À ce que je vois, je ne suis pas près de me débarrasser de toi !
Sa voix aussi avait encore changé, elle était à présent rauque.
Je distinguais sous le nylon de sa robe de chambre, les deux larges médailles sombres de ses mamelons. Je sentais mon sexe souillait le devant de mon slip.
- Bon, il faut que jaille me mettre une autre tenue.
Elle fit mine de se lever mais cétait sans compter sur ceux quelle avait ingurgités. Elle retomba lourdement dans sa place initiale. Les pans de son déshabillé sécartèrent davantage, dévoilant la chair pleine de la cuisse. Gardant la pose, elle se racla la gorge et leva vers moi ses yeux noirs, auxquels ses paupières mi-closes donnaient une expression équivoque.
- Ne me dis quand même pas quun beau jeune homme comme toi pourrait se laisser sérieusement troubler par une femme de mon âge.
Comme laurait fait un maraîcher pour exposer ses légumes, elle posa chacune de ses jambes sur les accoudoirs du fauteuil, dans une pose obscène. Pour mon plus grand plaisir, je pouvais distinguer à loisir le tissu fin de sa culotte blanche dans le repli de ses cuisses. Elle voulut reprendre une apparence plus digne mais cétait sans compter sur ma perversité Je pris linitiative de me saisir de sa cheville, la forçant de garder la pose quelques instants supplémentaires, scrutant la chair un peu molle du haut des cuisses étalées sur le coussin. Ainsi que limposant renflement qui tendait le sous-vêtement blanc, avec les quelques poils indisciplinés, sortant du
rempart de sa culotte.
- Tu nas donc pas une petite copine avec qui tu pourrais satisfaire ton trop-plein de plaisir
au lieu de venir harceler une pauvre mère de famille
seule
chez elle
profitant de sa faiblesse de femme seule;
Je remarquai pour la première fois, quelle aussi était troublée.
Je létouffai sous un déluge de compliments, massant agréablement son pied, plus particulièrement ses orteils. Il fallait avouer qu'ils étaient quand même beaux, ses orteils.
- Oh ! Madame, vous êtes tellement désirable ! Votre corps est somptueux, cest celui dune déesse ! Vous approchez de la quarantaine si je ne me trompe pas, non . Il faut vous dévergonder un peu. Après il sera trop tard. Dautant plus, ajoutais-je, que ce serait dommage de laisser perdre une si belle fleur. Vous êtes si bien
entretenu, pour une femme de votre âge.
Elle eut un petit rire contraint :
- Vraiment . Tu ne dis pas ça que pour me flatter.
- Oh non madame, je ne me le permettrais pas. Je vous trouve divine.
- Tu ne te moques pas au moins. Susurra-t-elle.
- Pas du tout madame. Tenez, votre poitrine, eh bien je la trouve agréable à regarder.
Elle protesta :
- Oh là, je ne suis pas très daccord avec toi. Je la déteste. Elle est monstrueuse
- Je ne suis pas de votre avis, madame. Ils sont splendides.
- Comment peux-tu dires cela sans lavoir vu? - Mais sachez chère dame, que je demande quà les voir
- Voyons, dit-elle
petit coquin
Avec un petit rire gêné, elle porta ses mains sur le haut de sa robe de chambre, et commença à déboutonner. Bouton après bouton, avec des doigts tremblants. Peu à peu, les deux pans sécartèrent, exhibant une poitrine moulée dans une dentelle presque transparente. Je distinguais nettement au centre des bonnets, les taches brunes des mamelons gonflés. Je contemplais le spectacle qui métait offert, avec un sourire bébête.
- Alors ton avis ?
Je lâchai le pied, pour mapprocher delle. Je pris linitiative dinsinuer mes doigts entre la dentelle et la peau moite des seins. Elle frissonna.
- Je les trouve encore plus beaux encore
- Oh ! Que tu es gentil Alain, fit-elle dune voix mielleuse.
Mes doigts remontèrent sous les bonnets et frôlèrent les pointes des tétons érigés. Surveillant entre mes cils les réactions de la femme. Je pris le risque de tirer le bonnet vers le bas, dénudant le globe laiteux. Elle poussa un soupir et bredouilla :
- Tu
Tu vois comme il est gros
et
tombant
Je dégageais le sein entièrement de son nid. Pour mon plus grand plaisir, elle se laissa dépoitrailler. Seul son soufflé précipité trahissait son émotion. Je me mis à pincer son bout. Elle se figea, se laissa lâchement palper le sein. Je tirai encore dessus déformant sa mamelle.
- Maintenant je me dis que je naurais pas dû
fit-elle dune voix légèrement haut perchée.
Son ventre replet faisait quelques plis mais cétait plus bas que se porta mon regard. Je me redressai pour saisir à deux mains ses seins et en gober les bouts. Son corps entier se couvrit de chair de poule et elle poussa des petits gémissements ridicules, en regardant ma bouche qui suçait ses mamelons dressés.
- Oh là, là
reste sage, Alain
Ma langue tournait autour des boutons épais. Mes mains malaxaient sans ménagement sa chair offerte. Sapprochant du bord du fauteuil et délibérément avec des gestes lents, elle écarta les cuisses, exhibant sa chair mate et duveteuse. Maladroitement, dût sans doute par mon excitation, je posai une main tremblante sur sa hanche.
- Jai trop honte, Alain. Jai eu tort de me laisser embraquer par un morveux comme toi.
Elle se redressa et ses yeux noirs dans les miens, elle ajouta dune voix éraillée.
- Pourquoi
mais pourquoi
Dun bond, elle se leva. Je l'immobilisais. Du bout des doigts jeffleurais sa culotte blanche.
- Oh non, ne fait pas ça
par ma culotte.
Je pris ses mots pour une invite à aller plus loin. Sans lécouter, je me mis à lécher le ventre et baissais lentement sa culotte le long de ses cuisses. Les fesses libérées se séparèrent, laissant entrevoir une raie profonde. Les mains devant sa bouche, les yeux fermés, Françoise ouvrit ses cuisses pour que je puisse passer ma main.
- Mais
quest-ce que je fais ? Oh mon Dieu
Je flairais lodeur fauve de son cul. Je regardai, fasciné, le fruit velu qui sétalait dans lentrejambe de la mère du copain. Des babines sombres, épaisses, dépassaient de la grosse pelote de poils noirs et bouclés qui dévorait le pubis renflé, remontait en pointe sur le bas-ventre, ne finissant par sétioler quà la naissance des cuisses.
- Alors
tu as eu ce que tu voulais, est-ce que ça ta plaît au moins ?
Jétais à peu près incapable darticuler. Je posai la main sur son sexe, fourrageai dans lépais tapis de poils, tâtant les replis grassouillets du con, touchant ses chairs molles et chaudes à travers la toison rêche.
- Oh mon Dieu ! Soupira-t-elle.
Jenfilai progressivement mon doigt dans lanus. Françoise gigotait, son chignon à moitié défait, poussant de petits cris aigus.
- Oh mon Dieu ! Jamais je nai eu aussi honte.
Je retirai mon doigt et tirai sur les lèvres du sexe afin douvrir le trou carmin et gluant du vagin. Jintroduisis le même doigt dans la fente baveuse. Cela fit un bruit humide et elle se cabra, tendant ses fesses pour venir au-devant du doigt qui la pénétrait. Elle laissa échapper un faible râle quand je me mis à lui lécher le cul. Elle sagita sous mes coups de langue, secouée par des spasmes incontrôlables.
- Oh mon Dieu
pardonnez ma faiblesse
Oh ! Alain
arrête tout de suite
toi qui pourrais être mon fils
Il ny avait guère de conviction dans sa voix. Ses paupières sétaient alourdies, elles étaient pratiquement closes. Elle respirait fort, vite, soulevant ses gros seins à chaque inspiration. Elle glissa les mains sur son ventre, écartant la mienne et du bout des doigts, entrouvrit les chairs molles et velues, exhibant la fente dun rouge sombre, presque brun. Les longues babines sétiraient, bâillant sur un pertuis déjà luisant dhumidité, et son clitoris était dressé comme une bite. Je me penchai au-dessus de ses mains. Je humai son odeur chaude et musquée, son parfum de sueur marine, et finis par tendre ma langue, effleurant les grosses lèvres. Ses mains délaissèrent son sexe pour se prendre la tête.
- Oh ! Alain, si javais su
oui !
Son odeur forte, iodée, mexcitait et mes coups de langue se firent plus appuyés. Jaspirai ses lèvres molles et salées tout en continuant à laper.
- Oui, comme ça ! Comme ça
oh ! Oh !
Elle se cambra davantage, plaçant sa jambe droite en appui sur mon épaule. Agrippant mes cheveux pour me guider, me freiner un peu, tandis que je me goinfrai du fruit qui me devait être interdit. Je
buvait son jus parfumé, me régalant de ses chairs, de sa mouille saline.
- Non ! Je
Doucement mon chéri ! oh ! Oui
Je ne lécoutais pas. Plus rien ne compter pour moi. Seul la faire jouir mintéresser. Je suçai le gros bouton, laspirant entre mes lèvres. Du majeur, jagaçais lentrée du con. Elle se mit à trembler de tout son corps.
- Oh
! Je jouis
! Je jouis hurla-t-elle tout à coup et elle, se mordant la paume pour ses cris.
Je continuai avec frénésie, avalant sa mouille avec des bruits humides jusquà ce quelle finisse par me repousser. Son sexe était devenu trop sensible pour être encore aimé.
Elle seffondra sur le fauteuil pour reprendre son souffle. Son con était encore plus obscène maintenant, les poils noirs raidis de bave sétiraient en mèches hirsutes autour des chairs gonflées et rougies. Les babines déplissaient bâillaient, luisantes.
Elle évitait mon regard, dissimulant son visage sous son bras replié. Un filet de sueur coulait entre ses gros seins.
- Va-t-en, Alain ! Je ten prie, jai tellement honte ! Va-t-en tu entends.
Javais eu ce que je voulais, et pourtant je restais comme un idiot agenouillé, le menton encore poisseux de sa jouissance. Un goût salé dans la bouche.
- Cétait rudement bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire Elle me regarda fugitivement, les yeux humides embués, le visage rougi sans que je sache si cétait de plaisir ou de honte.
- Tu peux
tu sais, si tu veux
te soulager !
La tête me tournait, il me semblait que jallais perdre la raison.
- Viens ! Viens là, je vais taider !
Elle mattira près delle et défit ma braguette avec des gestes dinfirmières. Sa main était chaude sur ma queue. Puis me laissant sur ma faim, elle sallongea sur son fauteuil sur le dos. Là me fixant avec intensité, elle écarta largement ses cuisses.
- Viens ! Mimplora-t-elle
Viens entre mes jambes mon chéri
Ma chatte à soif
abreuve la avec ton sperme
Pensant sans doute que je nétais pas apte de le faire par moi-même, elle se saisit de ma bite de ses doigts pour diriger mon gland à lentrée de sa coupure sexuelle. Alors je me laissais aller et mallongeais sur elle, mappuyant sur mes coudes, je sentis ma verge senfoncer progressivement dans le conduit vaginal dune extrême onctuosité.
Jétais terriblement excité par cette situation. Jen avais tellement rêvé. Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes couilles venir heurter laine de ma compagne, qui se mit à gémir sans retenue. Prise dune espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour soffrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde.
Jentamais alors ce mouvement davant en arrière, faisant coulisser mon dard de chair dans les entrailles féminines, lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes.
- Plus vite mon chéri
me lança-t-elle. Baise-moi fort
Encourager comme ça, je me devais de la satisfaire. Jaccélérais alors mon mouvement pour finir par de grands coups de boutoir qui propulsait ma verge avec violence dans les entrailles de plus en plus ruisselante de la femme. Qui poussait à cet instant de véritables cris de plaisir. Haletante, elle saccrochait à mon cou pour membrasser avec fougue. Nos langues se caressèrent dans un bain de salive.
Jétais aux anges. Savourant cet instant tant attendu. Pour encore quelques instants elle était à moi, toute nue sous moi, ma langue dans sa bouche, ma bite dans sa chatte, au plus profond de ses entrailles.
Des gémissements de plus en plus fort sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, sarquait, soffrait à mon membre. Françoise avait fermé les yeux pour mieux savourer ce
moment. Entre deux gémissements langoureux, elle mencouragea à prolonger lébat. Soufflant comme un buf. Enchaînant deux orgasmes suivit.
Subitement je sentais le plaisir monter en moi, et avant que je puisse avertir ma compagne de ce qui allait lui arriver, je déchargeais mon sperme au plus profond de son vagin accueillant. De longues giclées jaillirent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre lincendie qui ravageait la vulve dans laquelle je voguais.
- Tu as aimé . Me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui.
- Oh oui, répliquais-je. Merci madame
- Tu es sûr que cest ta première expérience .
- Oui, cest la première fois.
- Eh bien, il me semble que tu te débrouilles bien, me complimenta-t-elle.
Après mavoir invité à sa table, elle maccompagna jusquà la porte. Elle ne manqua pas de me dire avant de refermer la porte derrière moi :
- Bien sûr Alain tu nes jamais venu ici ! Ce que nous avons fait est trop grave pour quil soit découvert ! Et inutile de revenir frapper à ma porte un autre jour quand tu sauras que je suis seul. La porte te restera close
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