L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 55)
L'Odyssée de La Belle Hélène La pierre de linvisibilité
Ses lèvres encore fraîches provoquait assez rapidement une nouvelle érection du vicieux roi quand un garde frappa à la grande porte. Irrité dêtre dérangé en plein ébat sexuel, le roi Thoas, trop excité à avilir la femme de ses rêves, envoya sèchement balader le garde lui hurlant après et lui ordonnant avec fermeté quon ne le dérange surtout pas et sous aucun prétexte quoi quil arrive. Le garde intimidé referma la porte avec crainte et fit passer le strict message à ses collègues
Revenant auprès de la Belle Hélène, le roi l'avait contrainte à se redresser en empoignant et tirant fermement les cheveux de la Troyenne. Celle-ci le suivit courbée telle une vieille femme, le cuir chevelu douloureux sous lempoignade de linfâme souverain. Même si elle continuait à feindre sa soumission, elle neut dautre choix que de suivre le mouvement dominant du roi Thoas qui l'attira sans ménagement dans la pièce dà-côté, jusqu'à une couverture de peau de vache déployée à même le sol. Thoas bandait encore fortement, alors il se déshabilla rapidement, se débarrassant aussi de son coutelas fixé à sa ceinture. Puis il jeta littéralement la Belle au sol et avide à baiser cette femelle, il se laissa tomber sur elle, écartant ses cuisses, saisissant ses poignets dans une seule de ses larges mains, poussant sans attendre sa verge épaisse et tendue dans les chairs intimes et frémissantes de La Belle Hélène... Alors il la pénétra, la prit brutalement, sauvagement, en la besognant tel un mâle en rut sans ménagement, sans douceur, sans aucune douce attention à grands coups de reins puissants et profonds, virils dans une torride saillie animale. Et ainsi, il la baisa longuement
très longuement poussant son épaisse bite au plus profond du ventre de sa prisonnière gémissante sous les impressionnants coups de boutoir qui nen finissaient pas. Au lieu dapprécier, de savourer, de se délecter du parfait corps de la plus belle femme du monde, il laissait ses bas instincts primitifs prendre le dessus et utilisait juste le vagin de la Troyenne comme un simple trou à baiser, comme un simple vide-couilles.
Ainsi, le roi Thoas ne doutait pas de sa virilité sauvage, il restait persuadé que celle-ci suffise à faire vibrer la Belle, il croyait aussi quelle participait servilement à ce pouvoir Dominant qu'il exerçait sur elle, pouvoir absolu qui ne cesserait plus, en était-il persuadé de la voir et de lavoir avilie à Ses pieds... Alors il la besogna toujours et encore avec une incroyable énergie ainsi un long, encore très long moment, allant et venant en elle en de puissants coups de reins en y joignant des ahanements gutturaux quand se retirant enfin, il contemplait perversement le visage à l'ovale parfait de cette femelle livrée à son bon plaisir... il sessoufflait à force de la baiser si prestement alors histoire déconomiser son énergie, de souffler un peu, il la repoussa promptement afin de s'allonger à sa place et la fit venir au-dessus de lui, la soulevant presque, telle une fragile poupée et la libérant soudain, il la fit s'empaler sur son épais phallus dur qui se dressait fièrement au zénith, aussi ferme et tendu qu'après une nuit de repos. Son corps essoufflé lui imposait de séconomiser mais sa verge en érection lincitait de continuer à la baiser encore et encore, doù son initiative à sallonger sur le dos en imposant à la Belle la position au-dessus de lui. Il se cambra sous l'onde de plaisir que provoqua la fente dHélène s'ouvrant telle une corolle e par sa virile verge droite comme un I ... Elle glissa autour de lui, les cuisses largement écartées s'empalant jusqu'à la garde dans un gémissement de plaisir qui ressemblait à un rugissement animal ! Oui aussi improbable que cela puisse être selon la situation du moment, Hélène prit du plaisir ! Du plaisir excitant et donc physique mais aussi du plaisir à feindre cette soumission
Tandis que le rustre roi Thoas s'abandonnait au plaisir qu'il avait le sentiment d'imposer tout en retrouvant un souffle apaisé, Hélène allait et venait autour de cet impressionnant phallus qui emplissait son intimité.
Mais Hélène ne lui laissa pas le temps de reprendre ses esprits. Déjà, elle le chevauchait à nouveau, obtenait que sa verge durcisse après quelques déhanchements sulfureux et vicieux. Elle s'agitait sur lui, le menait par le bout de la queue ! Les minutes s'écoulaient et la semence du roi aussi. Mais Thoas n'avait plus la force de résister. Il frémissait à chaque allée et venue sur sa queue excitée, incapable de contrôler son corps qu'il ne pouvait empêcher de trembler.
Thoas devenue ainsi sans force, épuisé par la farouche énergie sexuelle de la plus belle femme du monde ne pouvait se rebeller, se lever, il ne pouvait que subir les assauts de la Troyenne infatigable. Ainsi, Hélène chevaucha-t-elle encore le roi jusqu'à l'assécher complètement, ne laissant aucune chance à lhomme de sextraire de ses étreintes, lorsqu'enfin après quelle eut pris beaucoup de plaisirs multipliant ses propres orgasmes, elle décida de se retirer.
Une jambe de chaque côté du corps étendu du roi, Hélène se redressa debout de nouveau après avoir pissé sur le visage de Thoas qui navait plus la force de réagir. La splendide poitrine de la Troyenne saillit de sa silhouette avec ses seins aux tétons relevés qui semblaient pointer vers le plafond. Puis toisant de toute sa hauteur le corps maintenant tout rabougri du souverain dont elle venait d'aspirer la force vitale tout en s'emplissant de sa vulgaire semence mais surtout prendre des plaisirs à jouir elle-même à maintes reprises, elle posa son pied fin et racé sur le corps de Thoas gémissant et elle appuya du bout de ses orteils sur les couilles rabougries ainsi que sur la verge molle devenue inerte. Ensuite, elle poussa un peu ce corps affaibli du pied, afin de libérer la peau de vache sur laquelle ils s'étaient allongés pour ces ébats aussi violents que jouissifs. La Belle eut un sourire triomphal. Elle s'était pliée aux ignobles ébats imposés par ce mâle méchant et brutal, avait subi ses pénétrations, sa morgue, son mépris et maintenant il gisait là, chétif, fragile, vaincu déjà... Mais sa fierté de femme et d'épouse du Dieu Apollon réclamait plus encore ! Sa fierté réclamait ce quelle était venu chercher volontairement ici ! Alors, Hélène se saisit du coutelas à large lame dont le roi sétait préalablement débarrassé tantôt avec ses vêtements près de lui, en faisant glisser la lame froide sur sa peau fragile... L'arme était lourde mais bien équilibrée, Hélène fit quelques mouvements du poignet, manipulant l'impressionnant coutelas avec adresse. Elle se pencha alors sur sa victime, Thoas, lui qui était si fier et pédant, si sûr de sa virilité quelques instants plus tôt et désormais réduit à cette larve tremblante, dont le regard effrayé la fixait avec angoisse. Avec toujours ce sourire Dominant aux lèvres, Elle se pencha sur lui et passa la lame sous son cou, prête à lui trancher la gorge :
- Et maintenant, petit roi, tu vas mobéir si tu ne veux pas passer à trépas
Tout dabord, ordonne à larc magique que désormais, elle ne devra obéir uniquement à moi, que je suis sa nouvelle Reine, après lui avoir ordonné de se rendre unique en faisant disparaitre tous ses doubles qui cernent la forêt des licornes.
- Mais
je ne
, balbutiait péniblement Thoas pétrifié de peur de se faire trancher la gorge
- Quoi ? Imposa Hélène en appuyant un plus la lame sur la peau sensible de la gorge du roi
- Oui
Oui, je mexécute
Mais épargne-moi la vie
, dit le roi épuisé et quasiment terrorisé par cette femme qui lavait vaincu
Cela faisait désormais plus dune heure que les licornes libérées de la forêt où elles étaient restées confinées avaient repris possession de leur cascade bienfaitrice et ainsi elles avaient pu boire à volonté et se ressourcer de leau divine qui leur donnait tant dénergie. En effet, cette eau salvatrice avait la particularité dêtre source de vie, de force et de bien-être pour chaque licorne du Royaume, elle était donc vitale... Pégase était fier de sa petite protégée et si heureux de retrouver sa Belle Hélène. Sous la menace de larc magique qui, sous les ordres dHélène, pointait une flèche mortelle sur Thoas, celui-ci avait été contraint dordonner à tous ses gardes de rejoindre leur navire accosté dans une petite crique de lîle et de fuir le Royaume des licornes sur ce bateau qui, déjà, était loin désormais. Afin déviter toute nouvelle invasion, Hélène avait eu lexcellente idée dordonner à larc magique de se dédoubler de nouveau en de très nombreux arcs mais cette fois disposés tout autour de lîle avec leurs flèches désormais constamment pointées à tous les horizons en direction de la mer. Quant au roi Thoas, Pégase lemprisonna totalement dénudé dans une solide cage suspendue à une haute branche dun solide arbre en pleine forêt
Lhistoire ne dira pas ce quil est devenu par la suite abandonné à son triste sort
Une grande fête fut célébrée en honneur dHélène pour avoir sauvé le Royaume des licornes. Ainsi Cydipsé avait retrouvé sa superbe, sa gloire, son honneur de Reine envers son peuple de licornes qui laimait tant au point que chaque licorne se serait tuée pour elle, sil avait fallu en arriver là... Perchée sur un rocher et devant des centaines de licornes rassemblées dans une grande clairière, elles étaient toutes venues des fins fonds de la partie de lîle où elles étaient restées confinées sous le joug de Thoas, Cydipsé fit un discours vibrant sur la liberté. Elle remercia largement Pégase et surtout Hélène. Avant de clore son éloge envers Hélène, Cydipsé lui fit un précieux cadeau en pure gratitude :
- Belle Hélène, sache que notre bienfaitrice cascade recèle plus dun trésor, que même Thoas ignorait totalement. En effet, au pied de la chute deau, cachées par les éclaboussements de leau, il y a six pierres disposées en étoile. Au centre de celle-ci, une septième pierre qui se distingue par sa couleur émeraude-turquoise. Cette pierre est Divine et magique et nous a été offert, il y a longtemps par la Déesse Héméra
Lors de linvasion de Thoas et de ses gardes, je nai pas eu le temps, hélas, de prendre cette pierre magique qui aurait certainement servi. En remerciement de ce que tu as fait pour notre peuple, nous toffrons cette pierre qui, nous le savons, sera entre de bonnes mains avec toi. Cette pierre magique offre linvisibilité à celle ou celui qui lui souffle trois fois dessus. Et il te suffira de lui souffler encore trois fois de suite dessus pour te rendre de nouveau visible. Je suis certaine que cette pierre te servira dans tes prochaines aventures
(A suivre
)
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