Collection Cocu. Le Balcon (1/1)

Comme tous les matins Jean part à sa banque à sept heures moins le quart tapant, je le sais, nous avons acheté une pendule contoise qui sonne les quarts, les demis et les heures.
Jean est directeur de banque et met un point d’honneur à arriver toujours le premier sous couvert de montrer l’exemple à son personnel, depuis quinze ans que nous sommes mariés notre vie est réglé comme une pendule notre pendule.
Avant qu’il prenne la suite de son père dans notre banque privée, il lui a fait monter tous les échelons.
Il partait pour prendre son métro légèrement plutôt que depuis qu’il est directeur, car il avait obligation d’être devant la porte quand son chauffeur déposait son père alors qu’ils étaient partis de la même maison lui en transport en commun.
Nous nous sommes mariées, j’étais vierge comme il se doit dans cette famille croyante à la limite de la bigoterie et dès qu’il a pris la direction de la banque, j’ai refusé le chauffeur qui nous aurait coûté les yeux de la tête pour le remplacer par un chauffeur de taxi maître qui le prend le matin et le reconduit le soir.

Pendant la journée je m’ennuie sauf le matin après son départ ou été comme hiver je vais sur mon balcon nettoyer mes fleurs et mes arbustes lavants mêmes le sol car la femme de ménage qui arrive à neuf heures à interdiction de faire ce travail.
Ce matin comme tous les jours nous avons pris notre petit déjeuner, Jean était tout émoustillé, car ce soir c’est samedi et demain matin, il va me faire l’amour, me prendre comme il prend le taxi, tout étant réglé comme du papier à musique.
Ce jour-là j’écarte les cuisses, je le caresse, il bande et me pénètre, il se secoue en moi et en quelques minutes il me remplit la chatte de son sperme gluant que je m’empresse d’aller enlever avec le jet d’eau de la douche qui me fait jouir, mais sans jamais avoir eu le grand frisson comme il est dit dans certains livres que je vais chercher à la bibliothèque.


Bref, je m’ennuie surtout que la nature a toujours refusé de me faire cadeau d’un , je m’en suis inquiété, j’ai vu ma gynéco qui m’a dit que tout était normal pour que je puisse er.
J’aurais bien voulu que Jean en fasse de même et qu’il fasse des examens de spermes, mais je suis toujours resté sur ma réserve et je suis pleine de regret.

Je viens d’apporter un seau d’eau avec mon balai-brosse pour nettoyer ma terrasse, je suis en peignoir, car avec la chaleur montante je vais prendre mon bain après avant de sortir pour aller à la bibliothèque.
Je recule mon sceau au moment où en bas de chez nous une voiture passe et Klaxon, je fais un faux mouvement et le sceau se renverse projetant son contenu en bas de l’immeuble, le rebort qui permet de canaliser l’eau de pluie étant trop bas.
Je lâche mon balai et je me précipite pour voir si personne n’a été touché.
Panique, je vois un jeune homme qui passait par là et a reçu les trois quarts de l'eau sale sur la tête, car je venais de laver la serpillière et est ruisselant.

• Excusez-moi jeune homme, mon sceau est tombé, attendez, montez, je vous ouvre, je vais m’occuper de vos vêtements.
• Merci, je vais rentrer chez moi.

Il a levé la tête pour me parler et je m’aperçois que pour lui parler par-dessus la clôture en fer forgé mon peignoir s'est échancré et que l’un de mes seins est sorti le montrant au jeune homme.
Je le fais rentrer précipitamment.

• Monté, je me sentirais mal à l’aise tant que vos vêtements seront sales, c’est au dernier étage.

A-t-il vu mon sein pour accepter ce qu’il refusait une seconde auparavant, je vais déclencher l’ouverture de la porte et ouvrir notre porte attendant l’ascenseur.
Il en sort couvert de salissure sur son polo blanc, il est plus beau que l’angle ou je le voyais, j’avais vu qu’il était blond mais ses traits son juvénile, il sort tout juste de l’adolescence.

• Vous devez être jeune.

• J’ai vingt ans madame, et vous vous êtes belle.
• Assez de compliment, venez dans la buanderie où je lave vos affaires, aller donnez-moi tous.

Il enlève Polo et pantalon en sort son portefeuille qu’il pose sur la machine pour m’apparaître en boxer noir avec ceinture bordeaux.

• J’ai dit tous, regarder votre sous-vêtement est mouillé.
• Mais madame.
• Pas de mais.

Il ôte son boxer cachant rapidement une virilité nettement supérieure à celle de Jean seul référence à ma vie, avec une toison presque invisible tellement elle est blonde.

• Madame si vous saviez.

Que veuillent dire ces mots, j’ai l’impression qu’il regrette quelque chose, mais en les disant, il s’avance à me toucher sans que je me recule.

• Je suis puceau.

Je manque d’éclater de rire, mais je me retiens et sans dire pourquoi je fais ce geste, je passe ma main derrière son dos et je le plaque sur ma poitrine.

• Tu verras, tu vas trouver une jolie fille dans les jours prochains et ce pucelage sera vite oublié.
• C’est votre sein que je veux, quand je l’ai vu sortir de votre peignoir au-dessus de votre rambarde, il a plongé vers moi et j'ai envie de le caresser, laissez-moi le prendre dans ma main.
• Le sein, c’est tout, après nous irons boire un café en attendant que la machine soit terminée et tes affaires sèchent, j’ai mis le séchage automatique en marche.

Il prend cela comme acceptation et d’un coup sa main le brûle quand il le caresse doucement.
Si lui est puceau, j'en suis très proche malgré mes quinze ans de mariage, car c’est la première fois qu’une main d’homme se pose et le caresse.
Un homme car le sexe qui touche mon bas-ventre, loin d’être celui d’un adolescent, il bande et j’ai envie de le sentir en moi, sa bouche cherche la mienne, en femme fidèle je tourne la tête, mais mon vêtement censé me protéger m’abandonne et ma chatte vient se frotter à sa verge.

J’ai l’impression de me comporter comme une chienne en chaleur mais c’est moi qui tourne ma tête pour accepter la langue qui vient s’enrouler autour de la mienne.
Il embrasse divinement autre nouveauté pour moi, car les dimanches matin de sexe Jean me plantent après que je l’ai masturbé sans jamais m’embrasser.
Je me sens soulevé et des vibrations montent dans mon corps, je délire, c’est impossible, je sens la verge de celui dont j’ignore jusqu’à son nom entré doucement en moi avant de m’apercevoir qu’il m’a assise sur la machine à laver.
Il me laboure doucement comme s’il voulait savourer sa première fois nos bouches toujours soudées, je sens qu’une boule monte en moi quand sans me prévenir sa verge se retire vite remplacée par sa bouche qui se pose sur mon sexe et plus particulièrement sur mon excroissance qui jusqu’à ce jour semble avoir été sage quand on voit l’étrange impression que je ressens.

• Que fais-tu avec la bouche, tu m’as dit être puceau, mais tu m’en as déjà fait deux fois plus que mon mari en quinze ans de vie sexuelle, tu t’es fichu de moi ?
• Je regarde souvent des films pornos, je sais ce que les femmes aiment même si tu es la première salope à qui je peux tout faire.

Il m’a dit cela en relevant la tête, qu’il remet sur mon intimité et sur cette excroissance faisant monter le plaisir monte en moi.

• Tu es une pute ma belle, je vais te la remettre, c’est fait, tu m’as pris mon pucelage avec ta cramouille.
• Ma cramouille ?
• Oui, ta chatte, ta vulve, ton vagin, ton garage à bite.
• C’est ignoble tous ces mots, mais c’est bon, remet moi ton bâton dans mon garage à bite.

Il se redresse et me plante de nouveau, j’ai envie de lui dire mes pensées les plus profondes, les plus salaces, mais j’ai déjà évoqué ma vie sexuelle avant que mon seau d’eau sale ne tombe sur la tête de mon amant blond.
Il me prend sous les fesses me coupant des vibrations qui me faisaient tend de bien, nul doute que dans les prochains jours quand je serai seule, je démarrerais la machine en me plantant mes doigts dans mon garage à bite pour être à nouveau une pute.


• Conduis-moi dans ta chambre, je veux te faire jouir sur ton lit, j’ai l’impression que la pucelle, c’est toi, je vais te pilonner en te prenant en levrette.
• Arrête, quel est ton nom, tu me baises sans que je sache qui tu es.
• Johnny, j’habite aux États-Unis et je suis venue voir ma grand-mère, je repars ce soir.

Se faire promener dans son couloir pendu au cou d’un garçon sa verge au fond de ma chatte comme il a appelé mon intimité est incroyable.
Il a une force que l’on ne peut prévoir quand on le regarde, je suis apeuré de ce qu’il vient de me dire qu’il repartait ce soir pour New York, mais content, car j’aurais trompé Jean une seule fois alors que s’il était resté à Paris, je l’aurais souvent invité à venir me faire autant de bien qu’en ce moment.
Quand je tombe dos sur mon lit à la place ou mon mari dort, mon corps s’envole et il décharge toute sa semence dans le fond de mon ventre me faisant hurler.
C’est la première fois que je hurle ainsi, juste au moment où la Contoise sonne 9 heures.
Mince ma femme d’intérieur va arriver, non je suis tranquille, elle est à l’enterrement d’une amie et m’a demandé de venir à 11 heures pour me préparer le repas.
Johnny m’a promis de me faire découvrir la levrette, j’ai le temps d’apprendre même si je me demande comment Jean pourrait admettre de me baiser sur la machine à laver.

• Suce-moi la queue et masturbe-moi, je vais rebander et recommencer à entrer en toi, je vais te faire jouir.
Oui, ma salope, c’est ça, de haut en bas, oui le gland aspire un grand coup quand il est dans ta bouche et surtout au fond de ta gorge, regarde, je vais pouvoir te remplir de nouveau, retourne-toi à quatre pattes.

Je me retourne et je comprends quand il entre en moi de nouveau.

• C’est comme cela la levrette.
• Yes My girl, je vais de nouveau te donner deux à trois grandes giclés de mon sperme, tu as aimé son goût quand tu m’as sucé ?
• Divin mon cœur mais laisse-moi te savourer, je suis morte, tu m’as tuée, mais c'est si bon, oui.

Je hurle de nouveau lui aussi et je sens son sperme couler le long de mes jambes mais sentant que la plus grande partie de ce qu’il décharge reste au fond de mon vagin.

• Au revoir Johnny, tes affaires sont propres, si tu reviens en France voici mon numéro de portable, embrasse-moi avant de sortir discrètement je dois rester celle que j’ai toujours été pour mes voisins alors que tu as fait de moi une pute, une salope et un garage à ta bite.

Il part et je vais me rallonger, je sens son odeur et je mets les doigts dans mon vagin me masturbant pour la première fois de ma vie.
Quelques semaines plus tard, je suis dans l’obligation d’aller voir ma gynécologue, car mes règles sont plus qu’en retard.

• Madame, tous vos efforts sont enfin couronnés de succès, vous allez être maman dans un peu plus de sept mois.

Je rentre un peu anxieuse, mais quand Jean arrive, j’ai moi-même préparé un repas aux chandelles au centre de son assiette la photo de l’écographie.

• Chéri, ce sont mes parents qui vont être contents, j’espère que ce sera un garçon pour prendre ma succession à la banque, on l’appellera Jule comme mon grand-père.
• Certainement pas, cette , c’est moi qui vais le porter pendant neuf mois, il s’appellera Johnny !

Jean trop content d’être papa accepte le prénom que j’ai choisi sans savoir surtout après la naissance de notre fils qu’il a été cocu à cause d’un seau d’eau tombé du balcon, mais quand mon fils est né entièrement blond et avec les traits de mon amant j’ai su qui était son vrai père.
Johnny n’a jamais appelé et moi malgré le plaisir que j’ai pris je suis devenu mère et seulement mère.

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