La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°955)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode N°951)
- Pendant la période où tu seras à ma disposition, cest également ici que tu dormiras. Même Sangmo, comme tu as pu le voir dort ici. Jai hâte de pouvoir tutiliser à ma guise, mais pour linstant va te coucher. Demain après-midi, il sera bien assez tôt !
Je retournais donc dans la chambre du Maître, attachais ma laisse au pied du lit et me couchais sereinement. Pourtant je ne pus dormir que d'une oreille jusqu'à ce qu'Il vienne à Son tour se coucher. Le léger bruit que fit la porte suffit à me réveiller, mais je gardais les paupières closes. Il s'assit au bord du lit et je sentais Son regard posé sur moi. J'ouvris donc les yeux, sans toutefois les lever vers Lui, ny étant pas autorisée.
- Tu ne dors pas Ma chienne ? Je suis sûr que tu attendais mon retour. Mais je n'ai pas besoin de toi pour le moment. Endors-toi vite. Demain matin tu as du travail qui t'attend et n'oublie pas que je veux qu'il soit fini à midi pour que tu puisses être à la disposition de notre hôte ensuite.
Je fermais donc mes yeux, mais je m'imaginais Ses déplacements dans la pièce. Il alla vers la fenêtre sous laquelle il y avait un fauteuil. J'entendis les bruits d'étoffes m'indiquant qu'Il se déshabillait. Puis Ses pas revinrent vers le lit. Il me caressa doucement léchine, d'une main légère puis Il se coucha, et je m'endormis enfin. Pendant ce temps-là, Maître Wangdak était allé chercher Sangmo, comme souvent, dans les quartiers des chiens, et l'emmenait à quatre pattes dans sa chambre. Là, il lâcha la laisse à peu près au milieu de la pièce, et sur ce geste la soumise s'arrêta, puis il s'installa dans un fauteuil.
- Ma petite puce de chienne, tu es autorisée à me regarder. Viens à moi que je t'ôte cette laisse et que je retrouve en toi la femme que j'aime.
Sangmo leva alors la tête vers le Maître qu'elle avait très vite aimé et lui lança un regard empli d'un tel amour et d'une telle dévotion que Wangdak ne pût s'empêcher de lui sourire tendrement.
- Tu n'as plus ta laisse à ton cou, cependant c'est aussi à la soumise que je m'adresse. Mon ami, ce grand Maître français issu de la vieille noblesse française me fait l'honneur de me prêter une de ces chiennes marquées. Je ne lui ferais pas l'affront de la délaisser. Je veux rendre son séjour inoubliable ! J'aurai donc beaucoup moins de temps pour toi. C'est moi le Maître, je n'ai pas à me justifier. Mais je tenais quand même à te prévenir, en tant que soumise et en tant que femme, car le Dominant sera aussi peu présent que l'homme, ne pouvant pas me dédoubler.
- Maître, je vous remercie d'avoir pris le temps de me prévenir. Je suis de toutes manières votre chienne avant d'être la femme, et je reste à votre disposition comme telle. Vous pouvez user de moi quand bon vous semble. Et si ce n'est pas le cas pendant quelques jours, je vous attendrais sagement. La femme en moi n'est pas jalouse, elle vous aime bien trop pour cela. Et la chienne, que je suis, ne connait pas ce sentiment. Elle ne possède rien et encore moins le Maître. J'ai pleine confiance en vous et en notre relation pour n'éprouver aucune peur. Je suis à vous simplement et je vous aime tout aussi simplement.
- Je savais que tu réagirais ainsi ma chienne chérie ! Mais je voulais l'entendre. Et je suis heureux de voir que je ne m'étais pas trompé. Oui tu es à moi, ma propriété la plus absolue, à l'instar de mes autres chiens. Mais je t'aime et je suis d'autant plus fier de ta réaction que je sais absolument sincère. Maintenant relève toi.
Et il lui tendit une main pour l'aider et d'un mouvement bref, il l'attira contre lui. Elle avait toujours besoin d'un petit temps d'adaptation pour passer de la soumise à la femme, qui avait droit de le toucher, de parler sans autorisation. Et elle avait tendance en attendant à garder la tête et les yeux baissés. D'un doigt sous le menton, Wangdak la lui releva et déposa un doux baiser sur ses lèvres, puis sur le pourtour de son visage, pour finir dans son cou, juste sous l'oreille, avant d'en mordiller le lobe, ce qui ne manquait jamais de la faire fondre. D'un coup il sentit un relâchement dans le corps de la jeune femme. Ses bras restés passif vinrent entourer son cou et elle répondit à son baiser quand ses lèvres revinrent la chercher. Le baiser fut long, tendre, doux. Les mains commencèrent à explorer les corps. Pendant que celles de l'homme s'attardaient sur les seins, celles de la femme caressaient doucement la queue déjà raide qui s'immisçait entre eux, après avoir ouvert sa chemise et son pantalon.
Après un doux baiser sur les lèvres de Sangmo, qui commença à léveiller, il claqua des doigts près de loreille de sa chienne. Celle- ci ouvrit les yeux et descendit aussitôt du lit pour se mettre à genoux les fesses sur les talons, les mains posées paumes vers le ciel, la tête baissée. Cétait la position quelle devait prendre à chaque fois quelle laissait la femme de côté pour redevenir la chienne quelle était en permanence et qui ne faisait que sommeiller dans ces moments tendres. Pour être tout à fait honnête avec elle-même, elle devait bien savouer quelle ne redevenait femme que pour le plaisir du Maître quelle vénérait, donc cétait toujours un acte de soumission quelque part. La femme en tant que telle nexistait pas réellement dans ses ressentis, elle était toujours la chienne soumise dévouée et fidèle que Wangdak avait découvert et permis dexister. Le Maître pris le pas sur lhomme. Dans ces moments là il semblait à Sangmo quil était plus grand, plus droit. Une aura dautorité se dégageait de lui. Mais elle navait jamais eu peur de lui. Son respect pour lui était sans faille, ainsi que son obéissance...
- Viens ma chienne. Il est temps que tu regagnes le quartier des chiens. Les autres te donneront de quoi toccuper, comme dhabitude. Ils ont du travail en permanence et ton aide est appréciée de tous...
Tandis que le couple D/s de tibétains se dirigeait vers les niches, Monsieur le Marquis sétait déjà mis au travail, ainsi que moi, toujours par terre à Ses pieds.
- Ma chienne, tu vas rester dans cette position pour que mon noble nectar ait le temps de sécher sur ta peau. Ce matin, nous avons du travail, cette après- midi je te mets à disposition de notre hôte. Mais je veux que tu gardes ma marque, mon odeur, ma substance sur toi. Je veux que tu noublies pas à qui tu appartiens, que tu noublies pas qui tu es, ce que tu es... Dailleurs qui es- tu ?
- Maître Vénéré, je suis Votre soumise Aphrodite MDE, chienne en chaleur à Votre entière disposition, je Vous appartiens cur, corps et âme
À la fin de Vos livres, Vous écrivez toujours « Si la femme est lavenir de lhomme, la soumise est lavenir du Maître. » Mais Vous êtes mon avenir ! Sans Vous, je naurai pas découvert ma nature profonde de chienne-soumise. Je suis sur cette terre pour Vous servir. Sans Vous, je ne suis rien, je nexiste pas. Je suis à Vous que ce soit en tant que secrétaire personnelle, en tant que chienne en chaleur, bonne à prendre par tous les trous, Votre salope à Vos pieds prête à Vous servir de vide-couille quand bon Vous semblera, prête à servir à qui Vous voudrez me prêter...
- Bien répondu. Et aujourdhui, je veux dabord que ma secrétaire se dépêche de faire le travail que jai exigé delle, et ensuite je veux que tu satisfasses dans ses moindres envies mon vieil ami. Allons, dépêchons nous daller dans le bureau quil a mis à ma disposition.
La matinée passa rapidement. Le prochain périple était prêt, on pouvait profiter tranquillement de notre séjour. Javais hâte dassister au marché du lendemain. En tant que femme mariée pendant une dizaine dannées, je navais évidemment pas eu loccasion de voir de telle chose. Je navais même jamais mis les pieds dans un quelconque salon de lérotisme. Donc jattendais ce moment avec impatience. En attendant, jétais curieuse dêtre mise à disposition de notre hôte. Javais déjà servi à de nombreuses personnes, mais soit devant le Maître, soit sur de courtes périodes. Mais jétais heureuse de pouvoir Le servir à travers ma soumission envers Wangdak. Une fois notre travail fini, le Maître voulut faire une balade dans les jardins tibétains. Ceux-ci étaient bien agencés. Il y avait deux parties totalement distinctes, invisibles lune par rapport à lautre, nayant aucun moyen de communication entre elles. Lune était visible par le monde vanille, Wangdak ayant des relations daffaires avec des personnes nétant pas du tout de notre monde, lautre nétait accessible uniquement par ceux connaissant le côté Dominant de lhomme. Cest celui-ci que le Maître décida de visiter, avec moi, nue, en laisse, à quatre pattes comme la bonne chienne obéissante que jétais
Après quelques minutes, je couinais pour faire comprendre que javais besoin de pisser. Il memmena alors près dun arbre au pied duquel je levais la patte pour me soulager. Les jardins étaient vraiment magnifiques. Il y avait des variétés darbres fruitiers et de fleurs que je navais jamais vu. Cétait un vrai délice pour les yeux et pour les amoureux de la nature, comme moi. Le Maître sarrêta sur un banc que je crus en forme de cigare, mais à y regarder de plus près, je maperçus que ce banc avait la forme dun phallus horizontal ! Il était dans une partie surélevée qui donnait vue sur lensemble du domaine de Wangdak. Jeus le droit de me mettre à genoux, les fesses sur les talons et de relever la tête pour admirer le paysage. Le sol était de lherbe tendre, ne me blessant donc pas. Je pouvais me laisser totalement aller au bien être que je ressentais, là, aux pieds du Maître de ma vie, devant un décor réellement paradisiaque. De nombreuses statues pornographiques gisaient ci-et-là entre les massifs fleuris. Je métais rarement sentie aussi bien ! La plénitude du lieu gagnait mon être. Je me sentais sereine, heureuse, tranquille. Puis la cloche du déjeuner retentit, résonnant jusquà ce petit bout de paradis, et annonçant mon prochain passage sous les ordres de Wangdak pour au moins 24h
Nous sommes donc rentrés. Le repas fut évidemment succulent. On ne recevait jamais simplement Monsieur le Marquis Edouard dEvans ! Pourtant si les plats étaient riches et variés, ils furent servis comme sil sagissait dun bon repas entre copains. Durant le repas, jétais restée prosternée aux pieds du Châtelain. Parfois, Il laissait tomber un morceau de viande ou de légumes, un peu plus loin que là où je me trouvais, afin que jaille le chercher à quatre pattes, truffe au sol comme une chienne. A la fin du repas, Il saisit ma laisse, memmena près de Wangdak et la lui tendit.
- Mon cher ami, je Vous confie mon bien. Usez-en comme bon Vous semble !
- Vous pouvez me faire confiance, jen prendrai soin. Une chienne MDE marquée est un magnifique présent, même si ce nest que pour quelques heures. Voudriez-Vous utiliser à la place un ou une de mes chiennes ? Vous pouvez même utiliser Sangmo, si cela peut Vous faire plaisir. Ou alors Vous servir de qui Vous voulez, quand Vous le voulez, pourvu que ce ne soit quune personne à la fois. Chacun a une tâche précise, et Sangmo a été éduquée pour pouvoir les remplacer. Je nai que peu de monde à mon service et chacun est utile.
- Je vous remercie pour Votre offre. Et je vais certainement utiliser votre dernière proposition. Je vous promets de ne pas perturber leur travail plus que nécessaire, dit le Maître avec un sourire entendu et légèrement salace.
La laisse changea de main. Le Maître me caressa la tête, me flatta la croupe, puis, après avoir salué Wangdak, Il quitta la pièce sans plus un regard pour moi. Je me sentis dun coup très vide. Je savais que je nétais pas abandonnée, que ce changement de Dominant nétait que temporaire. Cependant, je neus pas le temps de réfléchir trop profondément sur ce que je ressentais. Wangdak se levait à son tour.
- Viens, chienne ! Je me suis arrangé pour décaler mes rendez-vous, jai beaucoup de temps à taccorder !
Et il donna une impulsion à la laisse, afin que je le suive
(A suivre
)
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