La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°956)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°955)
- Viens, chienne ! Je me suis arrangé pour décaler mes rendez- vous, jai beaucoup de temps à taccorder !
Et il donna une impulsion à la laisse, afin que je le suive.
- Nous allons dabord faire une promenade dehors ! Tout chien aime être sorti après son repas. Et je serais toi, je marrangerai pour me vider entièrement la vessie, car tu risques dêtre occupé pendant un très long moment.
Et en silence, nous parcourûmes les allées ombragées. Il me laissa faire le nombre de pauses que je souhaitais pour lever la patte là où je voulais. Cela dura une heure. Puis il mamena dans une petite annexe. Quand on pénétra à lintérieur, je ne vis rien dautre quune pièce carré, denviron neuf mètres carrés entièrement vide, à lexception dune porte au fond. Wangdak louvrit et je découvris un escalier descendant. Il allait doucement afin que je ne trébuche pas, avançant toujours à quatre pattes. Lescalier était assez long et abrupt. En bas, il y avait une grande pièce transformée en donjon. Je naurai su en déterminer les dimensions. Ce qui était sûr, cest quelle était très équipée ! Mais le type déquipement métonna fortement. Il y avait des plots, des piquets, des haies artificielles assez basses, des tables, des tunnels
on aurait dit une sorte de parcours. Il y avait également un tapis de course. Et des objets plus familiers dans un donjon, comme une croix de St André, des instruments tels que fouets, badines, raquettes, martinets, divers baillons, des sortes de cagoules, des menottes, des barres décartement
- Voici une de mes salles de dressage. Il paraît que tu aimes être une petite chienne, quen dehors de satisfaire Monsieur le Marquis, tout acte canin te plaît particulièrement. Alors je vais voir ce que je peux faire de toi ! Si tu es obéissante, mais peu douée, je dirais à mon ami que jai passé de bons moments avec toi, sans mappesantir sur ce que nous aurons fait.
Il tira sur ma laisse pour me faire entièrement entrer dans la pièce et referma la porte derrière moi, puis mentraîna vers la croix où il mattacha. Jappréhendais un peu. Je navais pour le moment aucune raison dêtre sanctionnée. Il saisit le fouet et men asséna sans vraiment frapper une centaine de coups. Les coups nétaient que légèrement douloureux car ils nétaient pas du tout appuyés. En fait ce nétait vraiment pas une punition, que je savais ne pas mériter, mais réellement un échauffement. Après les cinquante premiers coups, il me détacha pour me retourner avant de renouer mes liens pour finir. Ensuite, il me fit évoluer à quatre pattes sur le tapis de course, augmentant lentement la vitesse, jusquà me faire courir à un rythme assez soutenu au vu de ma position, et me suer sang et eau.
- Humm, ce nest pas trop mal pour un premier test ! Maintenant, voyons si tu sais faire des roulades, en partant de la position debout. Un chien, lanimal, va sauter dans un cerceau, atterrir sur ses quatre pattes puis repartir. Mais de par notre morphologie, nous ne sommes pas faits physiquement comme eux. Donc jadapte. Je ne veux pas timposer, ni à mes chiens-esclaves, des choses impossibles à faire. Montre-moi ce que tu sais faire, dabord sans cerceau, et nous essaierons avec, ensuite.
Je mexécutais avec assez de maladresse. Wangdak fut patient, me guida et je fus capable de sauter au travers dun cerceau tant bien que mal au bout de deux heures.
- Bien, nous allons nous arrêter pour aujourdhui. Toute une après- midi à faire de lexercice quand on nest pas habitué, ça fatigue le corps.
Il memmena dabord me vider la vessie, ce qui me fit du bien, car faisant de lexercice, il mavait fait boire régulièrement pour ne pas que je me déshydrate. Puis il memmena vers la maison. Jespérais pouvoir croiser au moins le regard du Maître, mais ce ne fut pas le cas, jétais à cent pour cent à Wangdak, et tout était fait pour que je le sente bien. Jeus droit à un rapide repas servi dans une gamelle à même le sol dans la cuisine. Lui était parti, je supposais, diner certainement avec le Châtelain. Quand ma gamelle fut vide et nettoyée, je dus aider mes consurs réunies pour faire le service et nettoyer la vaisselle du repas des Maîtres. Évidemment je neus pas le droit daller dans la salle à manger, et je fus affectée à la plonge, qui seffectuait en quadrupédie, dans des éviers posés à même le sol pour que cela soit possible. Il revint me chercher après une heure et demie passée dans la cuisine. Après la vaisselle, javais dû nettoyer les sols, à la brosse à dents. Il nous conduisit dans sa chambre.
- Naie pas trop despoir, tu ne passeras pas la nuit dans ma chambre, je tai déjà prévenue que tu dormirais dans le quartier des chiens. Mais en attendant que ce soit lheure du retour au panier, il nous reste deux heures. Jai été bon, je me suis préoccupé de toi toute laprès- midi. Maintenant, jai bien lintention de me servir de toi pour moi !
Il mattacha les poignets et les chevilles aux quatre montants du lit, me banda les yeux et me posa un casque sur les oreilles. Une douce mélodie chinoise séleva, mapportant immédiatement une grande détente et un grand calme. Jétais positionnée sur le ventre. Je sentis soudain ses mains sur mon dos, et il commença un massage.
- Je te fais le cadeau de mes mains et toi tu tendors ? Jespère que cette correction taura réveillée. Maintenant on va passer à des choses plus sérieuses.
Il me détacha, laissant le bandeau qui me coupait de la vue, et il me fit monter sur ce que je supposais être une sorte de banc recouvert de cuir, assez confortable. Il mattacha à nouveau, les cuisses largement écartées, le cul légèrement relevé laissant un libre accès à mes deux trous. Il me plaça un bâillon cercle, me maintenant la bouche ouverte. Jentendais des bruits que jétais incapable didentifier jusquà ce que je sente un mouvement lent et régulier dans ma bouche. Un gode monté sur une machine mécanique était en train de me baiser la bouche. Le gode fonctionna lentement, mais de plus en plus profondément, jusquà ce quil vint se placer au plus profond quil était possible. Et le mouvement sarrêta à ce moment-là. Je lentendis pianoter sur ce que je compris être une télécommande. La queue artificielle ressortit de ma bouche et il ne se passa plus rien pendant quelques secondes. Ma chatte subit le même sort que ma bouche. Une autre machine fut placée devant elle, et fut réglée jusquà ce quelle me tire de légère grimace de douleur.
- Fais attention, il va falloir que tu rendes honneur à la réputation de léducation des chiens et chiennes MDE, dont la renommée traverse les frontières. Tu nauras pas le droit de prononcer le moindre son, ce qui peut paraître facile avec la bouche occupée, mais je ne veux même pas le moindre petit gémissement ! Et tu as linterdiction de jouir.
Et il séloigna, je suppose pour prendre justement les plantes dont il venait de parler. Je recentrai mon esprit sur le Maître que je vénérais. Je savais que selon les principes chinois du taoïsme, quand on a lintention de faire une chose, on nessaie pas, on fait et on est. Essayer induit léchec programmé, on ne met pas tout en uvre pour y arriver. Wangdak et le Châtelain en avaient parlé lors de notre arrivée. Je décidais donc que javais lintention dy arriver et non pas que jallais essayer. Je me concentrais sur la satisfaction pleine et entière de Monsieur le Marquis, je voulais lui faire honneur, ainsi quà léducation dont javais profité toutes ces années à Ses pieds, même si relativement, cela ne faisait que peu de temps que jétais sous son joug en réel
Quand le tibétain revint, jétais prête mentalement à subir tout ce quil voudrait. Il mit les deux machines en route. Elles se mirent en fonction lentement dabord dans un même mouvement. Et au bout de quelques minutes, elles accélérèrent. A ce moment-là le gode qui était dans ma chatte, en plus de faire des mouvements verticaux, se mit à en faire des rotatifs. Cétait vraiment bon et très excitant. Mais je voyais mentalement le Maître et je my raccrochais, en même temps que je me concentrais sur ma respiration pour pas que le plaisir ne monte trop vite, car il menacerait de memporter dans de puissants orgasmes. Et plus de temps je tiendrai facilement, mieux ce serait ! Car le Maître avait coutume de dire quon navançait jamais dans la facilité et que cétait les difficultés qui nous faisait grandir, alors il fallait que je tienne le plus longtemps possible ! Sans oublier, surtout, que javais linterdiction de jouir
Là où cela devint un peu plus compliqué cest quand il avait décidé dinvestir le seul orifice qui était encore libre. Il arrivait à jouer avec la queue factice qui me labourait la chatte au travers de la fine paroi qui les séparait. Ces mouvements étaient de plus en plus rapides mais dune précision impressionnante. Ils stimulaient des points internes qui me rendaient folle de désir, dexcitations qui me donnaient de plus en plus envie de jouir. Javais beau essayer de me représenter le Maître, quand ses mains se mirent en plus à parcourir mon corps, appuyant sur divers points, visiblement des points dacupressure provoquant dextrêmes excitations. En effet, une combinaison de points situés sur le méridien Tchong Mo, draine de lénergie et augmente considérablement la libido et la capacité fulgurante datteindre un puissant orgasme. Cela devint alors une réelle et terrible épreuve pour ne pas jouir
il fallait que je me concentre dessus
Wangdak appuyait sur des points de mon dos, de mon ventre, de mes chevilles que parfois il attrapait. Jétais en sueur ! Je luttais de toutes mes forces pour ne pas basculer à ne pas laisser exploser de violents orgasmes successifs. Ma respiration, aussi silencieuse que possible, était saccadée, rapide. Lui ne tarda pas à décharger au fond de mes entrailles. Et au moment où jallais lâcher prise, tout sarrêta ! Les machines se retirèrent, ainsi que le Dominant. Jétais épuisée, et je fondis en larmes sous la pression qui se relâchait
Wangdak me détacha, maida à descendre du banc et à masseoir contre un mur. Il alla chercher une couverture quil me posa sur les épaules. Et il me prit dans ses bras, me serra contre lui. Mes larmes ne se tarissaient pas. Trop démotions mavaient assaillie. Javais lutté tellement fort pour ne pas céder au plaisir, javais tellement voulu que le Maître puisse être fier de moi
Ça avait été intense, la chaleur qui menvahissait, la sensation dêtre emplie de tous les côtés
Javais ressenti des choses que je ne saurai absolument pas expliquer ! La fatigue quavaient provoquée tous ses efforts, la tension. Et puis après il y avait eu la sensation davoir pu obéir jusquau bout, tous les muscles qui se relâchent, et qui maintenant étaient douloureux
- Je savais que les chiens et chiennes MDE étaient des soumis exceptionnels, endurants. Mais cest la première fois que jen ai une à ma disposition. Javoue je suis étonné. Ce que je tai infligé pendant un peu plus dune heure (je métais tellement concentrée que je navais vu le temps passé !), a toujours fait céder ceux qui sont sous mon joug. Et un de mes plaisirs est de les punir pour avoir joui sans autorisation. Et après je moccupe deux et les laisse généralement avoir au moins un orgasme, car je suis conscient que cest une sacrée épreuve. Je ne me servirai pas de toi autant que je lavais dit. Tu as besoin de repos, je vais taccompagner dans la niche qui ta été attribuée pour la nuit. Je suis fier de toi, et je ferai part de mes bonnes impressions à mon ami, Monsieur le Marquis, qui te soumet. Vraiment cétait une belle performance. Mais
Et alors que jécoutais attentivement, les émotions et lextrême fatigue eurent raison de moi et je perdis connaissance. Quand je me réveillais, jétais sur un lit. Javais du mal à ouvrir les yeux. Et quand jy parvins, ce fut pour voir le regard bleu intense du Maître, qui pouvait marquer tant dautorité, mais qui en loccurrence, là, était inquiet et bienveillant.
- Eh bien ma chienne, comment te sens- tu ?
- Je crois que je vais bien, Maître Vénéré.
- Tu tes évanouie dans la chambre de Wangdak. Je crois que la journée a été un peu trop intense et que ce que mon ami ta fait découvrir de lacupressure chinoise ta bien éprouvée. Tu vas rester cette nuit dans cette chambre, dans ce lit, pour te remettre, te reposer après têtre sustentée. Tu as besoin de repos. Mais avant de dormir, Sangmo ta apporté un plateau repas réparateur. (Et alors que mon corps montrait ma volonté de mexprimer) Je ne te donne pas lautorisation de texprimer. Nous savons mieux que toi ce dont tu as besoin. Je sais que tu te sentirais plus à ta place à manger par terre à ta place, et que tu voudrais pouvoir rester aux ordres de notre hôte, pour honorer ce que javais prévu pour toi. Mais le corps humain a ses limites et je te donne lordre de te reposer. Sache que Wangdak ma absolument tout raconté de ta journée, car jétais assez étonné que tu te fatigues si vite. Je veux que tu le saches pour pouvoir te reposer sans te poser de question : Je suis très fier de toi. Tu as fait honneur à mon éducation. Maintenant mange ce qui se trouve sur cette table, et ne laisse pas de restes ! Et repose-toi ! Demain après- midi, tu maccompagnes au marché bdsm. En attendant tu restes sous les ordres de notre hôte, donc tu ne devrais pas me revoir dici là
Il se pencha vers moi, déposa un baiser léger sur mes lèvres et murmura à mon oreille :
- Je suis fier de toi, et je crois que tu vas avoir un entraînement spécial quand tu rentreras, ma chienne qui a lair douée pour lagility !...
Et il séloigna en souriant. Je mangeais avec appétit. Je ne métais pas rendue compte que jétais affamée ! Et alors que je pensais réfléchir à tout ce qui sétait passé aujourdhui, je mendormis rapidement sans en avoir le temps, mais jétais heureuse, le Maître était fier, javais pu le satisfaire et surtout lui faire honneur
(A suivre
)
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