Soirée À 4 (3Ème Partie)
En me réveillant le samedi matin, jétais seul. Je regardai mon portable et vis quil était presque midi. Après une nuit débats particulièrement virils, Stéphane avait sans doute décidé de me laisser récupérer un peu. Il mavait tellement défoncé que javais limpression de le sentir encore en moi. Je décidai de me lever afin daller le retrouver pour débuter une journée qui serait à nen pas douter aussi chaude que la soirée de la veille. En passant devant la chambre de mon mec et de son amant, je constatai quelle était vide également. Cela ne métonna pas, Thomas étant du genre lève tôt ! Je descendis donc pour les rejoindre au salon où je trouvai dans le canapé déplié Thomas entre Fred et Stéphane. Sils étaient juste à poils en train de sembrasser, létat du lit ne laissait aucun doute sur ce qui avait dû sy passer un peu plus tôt.
En me voyant dans le salon, Thomas me sourit et se leva naturellement pour venir membrasser. Il se colla à moi, son corps était bouillant et, en lembrassant, je sentis lodeur de ses amants. Jécartai mon visage du sien pour lui sourire à mon tour et constatai quil était constellé de nombreuses traces de sperme séché. Je ne len trouvai que plus beau et lembrassai à nouveau en pensant que Frédéric avait sacrément dû se lâcher cette nuit mais je nallais pas tarder à apprendre que la réalité était toute autre.
Nous nous décollâmes et jembrassai à leur tour nos amants.
« Vous avez passé une bonne nuit ? : demandai-je.
- Top ! On sest éclatés ! : répondit Fred pendant que Stéphane et Thomas sétaient remis à se galocher.
- Ca vous dit un petit-déj ?
- Je crois quon a tous besoin de reprendre des forces ! » : dit Fred.
Je me levai et me dirigeai vers la cuisine, Fred maccompagna laissant nos mecs à leurs occupations. Une fois dans la cuisine, Fred se plaqua contre mon dos et membrassa dans le cou pendant que ses mains parcouraient mon corps.
« Merci de mavoir prêté ton mec ! Il ma vraiment fait kiffer ! »
Je me retournai pour lui faire face en le prenant dans mes bras et lembrassai.
« On est bien daccord sur le fait que ça nétait quune première ? » : lui dis-je.
Il sourit et membrassa.
Nous nous activâmes en cuisine pendant que nos mecs étaient toujours seuls dans le salon. Quand nous commençâmes à faire des allers et venues pour dresser la table, nous les trouvâmes en 69. Ils ne prêtaient absolument aucune attention à ce que nous faisions. Dès que tout fut prêt, nous les appelâmes les arrachant ainsi à leur plaisir. Ils nous rejoignirent leurs queues bien dressées. Personne ne jugea bon de shabiller.
Pendant notre petit-déjeuner, nous parlâmes de façon totalement naturelle et décomplexée de nos nuits respectives. Jappris ainsi à Thomas que je navais été que passif. Fred et lui, quant à eux, avaient plutôt bien équilibré les rôles. Stéphane et son copain étaient dailleurs ravis que nous ayons été si cool et open pour cette première échangiste.
« Dailleurs, Stéphane ! : dis-je à mon amant. Tu nétais pas obligé de te lever si tôt, on aurait pu remettre ça.
- Tu as remarqué mon absence que ce matin ? : répondit-il en riant.
- Oui. Pourquoi ? »
Thomas, Fred et Stéphane séchangèrent alors des regards complices et plein de sous-entendus qui mintriguèrent.
« Les gars, maintenant quon a échangé, on va pas se faire des cachotteries. Dautant que je suis pas sûr que ce que je vais apprendre me gêne vraiment.
- OK ! : dit Stéphane. A un moment, je me suis levé pour aller pisser et je suis tombé sur Thomas qui sortait des toilettes donc
- Je vois ! : dis-je alors que je commençais à avoir une demie-molle.
- Tes sans doute en dessous de la réalité, mon cur ! : reprit Thomas. Donc, on sest mis à baiser dans le couloir. Normal, quoi ? Et comme je voulais pas te réveiller, jai emmené Stéphane au lit avec Fred et moi.
- Et toublies le meilleur ! : renchérit Fred en souriant. Comme ton mec avait peur quon fasse trop de bruit tous les 3 et quil nous voulait pour lui seul, il a proposé quon aille baiser dans le salon.
- Oui, et une fois fini jai voulu remonter finir la nuit avec toi mais Thomas men a empêché donc on est restés quà 3.
- Cest pour ça que je tai dit dans la cuisine que ton mec mavait fait kiffer !
- Mais, tes allé pisser vers quelle heure ? : demandai-je à Stéphane.
- Il était presque 6 heures. »
Je fis un rapide calcul et me rendis compte que Thomas avait été « seul » avec nos amants pendant près de 6 heures. Ma demie-molle se transforma en une énorme gaule.
« Mais, vous avez quand même un peu dormi pendant tout ce temps ?
- Je leur ai pas proposé de descendre pour dormir, mon cur. Pourquoi ? Ca te gêne ? »
Je me levai afin dexhiber ma bite cachée par la table.
« Vous avez limpression que ça me gêne ?
- Pas vraiment ! : dirent-ils en chur.
- Enfin, si ! Y a quand même un truc qui me dérange !
- Quoi ? : demanda Thomas surpris de mes propos.
- Jaurais adoré te mater avec 2 mecs sans participer.
- Tu sais, le canapé est encore déplié ! Donc, si nos invités sont pas trop pudiques, on peut te faire un petit spectacle maintenant ?
- Spectacle ? Oui ! Petit ? Non ! : répondit Stéphane en caressant le torse de Thomas.
- Cest parti ! » : dit Fred avec un sourire pervers.
Ils se levèrent comme un seul homme et, sans que jeus le temps de comprendre, ils occupaient à nouveau le lit du salon. Les pelles langoureuses quils échangeaient quand je métais levé avait fait place à du galochage baveux et sauvage. Lambiance encore bon il y a quelques instants se faisait désormais virile et déprave.
Mon mec se retrouva vite à genoux devant Fred et Stéphane debout sur le lit qui sembrassaient goulument pendant quil les pompait à tour de rôle. Leurs baisers étaient si baveux que des filets de salive coulaient pour atterrir sur Thomas qui tendait parfois la tête soit pour se faire arroser, soit pour les recevoir dans sa bouche et sen délecter. Stéphane se retira de la bouche de mon mec pour le pomper à son tour pendant que Thomas pompait toujours Frédéric qui lui maintenait la tête à 2 mains et lui défonçait la gueule.
Fred plaqua Thomas au lit et releva ses jambes puis il lenfourna en missionnaire sans aucun ménagement. Ils me regardèrent à nouveau.
« Cest con pour toi que taies demandé un spectacle car ça va durer un moment ! : me dit Frédéric.
- Ca a lair de me déranger ? » : dis-je en tendant vers eux ma queue gorgée de sang.
Ma réflexion fit donner à Fred un énorme coup de rein à Thomas qui me regardait en souriant.
« Oh ! Putain ! Cest bon ! Tas pas idée de la nuit quils mont fait passer.
- Ouais ! Et ta petite salope de mec voulait pas faire de bruit pour pas te réveiller et nous avoir rien quà lui ! : dit Stéphane qui venait de fourrer sa queue dans la gueule de mon mec.
- Fallait pas ! Jen ai tellement rien à foutre de vous le prêter comme ça !
- Cest encore meilleur devant toi, bébé ! »
Stéphane et Frédéric échangèrent leurs places et Thomas se fit alors prendre en légionnaire par un Stéphane dont je connaissais bien les coups de rein. Celui-ci sétait arrangé pour que Thomas soit face à moi et je lisais le plaisir sur son visage à chaque nouveau coup de queue. Frédéric en profita pour se glisser sous Thomas et je découvris une nouvelle pratique à laquelle il lavait initié pendant la nuit. Thomas se plaqua à Frédéric et je compris aussitôt. Jallais voir mon mec se prendre une double.
« Temps mort les gars ! »
Stéphane releva la tête vers moi éberlué.
« Tu vas pas me dire que ça te gêne, mec ?
- Non ! Juste cest la première fois que je vais le voir sen prendre deux dun coup donc allez-y lentement ! Je veux savourer ce moment ! »
Tous trois me regardèrent et sourirent. Ils ralentirent le rythme pendant que Thomas sniffait du poppers à grandes rasades. Je lui pris la bouteille et me gazais à mon tour. Je sentis une énorme bouffée de plaisir pendant que Stéphane et Frédéric senfonçaient progressivement dans mon mec qui me regardait en prenant un pied énorme. Je gravais cette image en moi, ils ralentissaient au maximum la pénétration. Quand ils furent à fond. Thomas poussa un long gémissement de plaisir en me souriant. Stéphane et Fred me regardèrent à leur tour, nous nous comprîmes.
Laction quils avaient ralenti se transforma en un instant en une baise complètement débridée et sauvage où les trois prenaient un pied phénoménal. Thomas, la tête toujours dirigée vers moi, gueulait comme un porc en se faisant démonter par les deux. Il ne se contentait pas de se faire baiser, il leur tendait complètement son cul et soffrait à nos invités tout en lenvoyant en arrière. Il me regardait en exprimant son plaisir sans la moindre retenue. De temps à autre, sa bouche rencontrait celle de Fred et ils passaient de longs moments à sembrasser pendant que ses gémissements étouffés se perdaient dans des bruits salivaires. Je me demandais si jassistais réellement à cette scène où si je ne la rêvais pas !
Parfois, Stéphane relevait la tête vers moi et me regardait avec un air de propriétaire. Oui, mon mec leur appartenait et ma gaule ne les encourageait pas à arrêter
Bien au contraire ! A un moment, Fred et lui échangèrent un regard. Je compris aussitôt. Quelques secondes plus tard, ils se mirent à gueuler encore plus. Ils étaient en train de décharger abondamment dans le cul de mon mec et, à entendre leurs cris qui ne se taisaient pas, ils y mettaient le paquet. Thomas était aux anges, il était comme électrisé à chaque nouvelle giclée quil prenait.
Mais ils nen avaient pas encore fini avec lui. Ils avaient eu beau se vider pendant que Thomas recouvrait le torse de Fred dune généreuse couche de jus, ils nen déculèrent pas pour autant et continuèrent à le sauter mais au ralenti désormais. Fred attira Thomas vers lui et leurs deux torses poilus furent collés par le sperme quil venait de répandre. Ils sembrassèrent langoureusement. Jentendais les va-et-vient de leurs bites qui pataugeaient dans le cul de mon mari et qui faisaient un bruit exquis.
« Ca a été ça toute la nuit ! » : dit Thomas en me regardant avant de se remettre à bouffer la gueule de Fred.
« Il sest encore plus donné devant toi ! » : reprit Stéphane.
Ils le limèrent encore un moment à un rythme très cool sans être avare de commentaires. Et à un moment, je les vis le remplir à nouveau pendant que Thomas me regardait en souriant. Quand enfin ils déculèrent, Thomas tenta de se lever mais il ny parvint quavec laide de Stéphane vu ce quil venait de se prendre. Du sperme coulait de son trou encore dilaté, je le trouvais tellement désirable. Je me levais, javais envie dêtre en lui. Stéphane et Fred allaient minterdire laccès mais Thomas fut plus rapide.
« Stop ! Tu veux voir ce quil sest passé cette nuit donc pas dinterférences ! On a baisé 6 heures à trois donc tes loin davoir tout vu !
- Ton mec est vraiment une salope ! : dit Fred en me souriant.
- Il a pas lair trop jaloux ! Regarde ! : reprit Stéphane en désignant ma queue.
- Si ! Enormément ! » : dis-je en riant et en exhibant mon dard.
Leurs corps se mêlèrent à nouveau. Thomas était entre les deux, je regardai mon portable et vis quil sétait à peine écoulé une heure depuis quils mavaient proposé ce spectacle. Mon mec était encore à eux seuls pour les 5 prochaines heures et cette pensée était loin de me déplaire. Pendant quils faisaient une pause, leurs langues se mêlaient sans discontinuer et leurs caresses étaient toujours aussi ardentes. Un rien suffit à rallumer le brasier et à les faire repartir dans une partie de baise effrénée. Pendant les 5 heures qui suivirent, je vis Thomas se faire baiser par tous les trous et dans tous les sens. Ils repoussaient toujours plus loin les limites du vice. Il se prit leurs jus partout : dans le cul, la bouche, sur le visage. Au précieux fluide, se mêlaient leurs sueurs et les crachats qui se firent plus réguliers au fur et à mesure de leurs ébats. Quand ils eurent enfin fini, ils sécroulèrent les uns sur les autres en souriant et riant comme des abrutis tant ils sétaient tous donnés.
« Là, cest bon ! Tu peux venir ! » : me dit Thomas en relevant la tête.
Je bondis sur le lit, je navais quune envie embrasser mon homme et me coller à lui. Son corps contre le mien dégoulinait de sperme, de salive et de sueur sans quon puisse en identifier les auteurs.
« Tas vu ? Il sen passe des choses en 6 heures ! : dit-il en me souriant.
- Bébé, ça fait bien longtemps que vous avez dépassé les 6 heures !
- Je taime ! »
Et il membrassa.
« Bon ! On commande des pizzas et vous restez une nuit de plus ? : proposai-je à nos invités.
- Avec plaisir ! » : dirent-ils.
Nous en étions au samedi et il nous restait encore toute la soirée et la journée de dimanche pour pousser encore notre plongée dans léchangisme.
A suivre
Nhésitez pas à mettre un commentaire, ça fait toujours plaisir !
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