April, En Quête De Sexe 14

Assise à côté de Scott, je soupirais d'ennui. Nous étions en cours de maths et je ne comprenais absolument rien. Bon, il faut dire aussi que ça ne m'intéressait pas donc je ne faisais aucun effort. Au pire, je demanderais plus tard à Scott de faire mes devoirs en utilisant mon charme auquel il ne résistait pas. C'était utile d'être sexy. La prof était en train d'expliquer je-ne-sais-quoi mais ça me rentrait par une oreille et ça me sortait par une autre ; tout ce qui m'importait c'était ce stylo que je faisais tournoyer entre mes doigts. Je fixais mon stylo, le faisant tourner le plus vite possible quand Scott me tira de mes pensées en me chuchotant discrètement :


- Tu devrais suivre le cours, la prof te regarde.


Je regardais alors la prof qui s'appelait Mme Dufrej (je précise que j'ai inventé ce nom, donc si quelqu'un le porte pour de vrai ce n'est qu'une coïncidence) : elle me jetait effectivement des coups d'oeil. À ce moment-là, je me rendis compte d'un détail que j'avais à peine remarqué auparavant : la prof était très sexy. De taille elle faisait à peu près la taille de Scott, elle avait un très joli visage peu ridé malgré son âge que je siais aux alentours de 40. Elle avait de longs cheveux bruns qui tombaient en cascade sur ses épaules. Ses yeux étaient de couleur vert émeraude et elle avait de belles lèvres rouges pulpeuses. Elle était habillée de manière sérieuse avec un tailleur noir qui dévoilaient ses belles jambes lisses qu'on pouvait apercevoir sous son bureau. Pour le haut, elle portait une chemise blanche qui couvrait sa poitrine qui me surprit : je ne m'en étais jamais rendue compte mais la prof possédait une poitrine imposante, plus imposante encore que la mienne ! À vue d'oeil, elle devait faire du E comme Sandra ! Je commençais soudainement à avoir chaud et à avoir envie de baiser. Je chuchotais alors à l'oreille de Scott :


- Après le cours, pendant le récré, retrouve devant les toilettes des filles.




Scott rougit et me répondit tout bas :


- On aura que 15 minutes ; connaissant ton appétit sexuel, ça fera pas un peu court ?


Je lui mordilla l'oreille :


- Tu sais, une baise rapide c'est très excitant aussi.
- Et l'envie de baiser t'es venu d'un coup, comme ça sans prévenir.
- Je viens de me rendre compte à quel point la prof est sexy et ça m'a donné très envie.


Sur ces mots, je posais ma main sur son entrejambe : une bosse se forma instantanément. Je souris et lui dit :


- A ce que je vois, t'en as envie aussi.
- C'est difficile de résister à une jolie blonde comme toi.


Je souris, ravie de ce compliment et je me remis à mater la prof jusqu'à la fin du cours. Au bout d'un certain temps la sonnerie retentit enfin. Une fois que Scott et moi avions fini de ranger nos affaires, je le pris par la main et me ruais vers la porte pour pouvoir le bais...


- April, viens me voir, je te prie.


Et merde... . Dépitée, je laissais Scott sortir du cours. La prof attendit que tous les élèves soient sortis pour me dire :


- Ferme la porte s'il te plaît.


Je fermais donc la porte et revins vers la prof :


- Qu'est ce que vous voulez Madame ?
- Il y a quelque chose que je trouve bizarre : Tu ne suis rien pendant mes cours, occupée dans tes pensées, à discuter avec tes copines ou avec Scott et pourtant tu as des notes correctes et tes exercices sont assez bien réussis. Tu expliques ça comment ?
- Je vous assure que je travaille assidûment Madame.


Mensonge. En réalité, je travaillais peu , n'aimant pas trop l'école. Si j'avais des notes correctes et de bons exercices c'était à Scott que je le devais. S'il n'était pas là mes notes s'effondreraient lamentablement.


- Ah oui ? Me dit-elle en me regardant sévèrement avec ses beaux yeux verts.
Ce ne serait pas plutôt grâce à Scott ? Vous me semblez plutôt proche tous les deux.


Grillée.


- Bon ok, c'est vrai qu'il m'aide mais pas tout le temps.
- Et tu crois que ça t'excuse ?
- Non mais...
- Je vais malheureusement devoir sévir.


Je n'avais franchement pas envie d'avoir une retenue ou un truc du genre, des heures de travail à faire en plus non merci. Je devais donc trouver un moyen de m'échapper et j'en trouvais un :


- On peut peut-être trouver un arrangement. Lui dis-je d'un air enjôleur.
- Ah oui ? Quel arrangement ?


Je me mis sur elle sur sa chaise, mes jambes de chaque côté de la chaise et je mis mes bras autour de sa nuque.


- Un arrangement qui pourrait profiter à toutes les deux, lui dis-je d'un sourire carnassier avant de l'embrasser sur la bouche.


Je m'attendais à ce qu'elle me repousse et qu'elle s'indigne mais pas du tout : à ma grande surprise, elle posa ses mains sur mes hanches et elle répondit à mon baiser fougueusement. Surprise mais ravie, je lui défis rapidement les boutons de son chemisier et je rompis notre baiser pour le retirer. Je dévoilais ainsi son torse et surtout sa poitrine imposante à peine retenue par un soutien-gorge rouge. Sans attendre je lui arrachais son soutien-gorge et je pris sa poitrine pour la dévorer. J'embrassais chaque parcelle de ses seins et de ses tétons avec plaisir, plongeant ma tête dans sa poitrine qui était tout aussi volumineuse que celle de Sandra. Je la dévorais et la mordillais avidement. Elle commençait à gémir et à me caresser les cheveux. Pendant que je lui léchais les seins, elle descendit un peu son tailleur le long de ses jambes, dévoilant une culotte rouge qu'elle descendit aussi. Entre deux gémissements, elle me dit :


- Lèche-moi maintenant.


Je me concentrais toujours sur ses seins, oubliant le fait que nous avions peu de temps :


- Pas tout de suite, soyez patiente.



J'avais à peine fini de dire ces mots que je poussais un cri de douleur et de stupeur. Mme Dufrej venait de m'empoigner les cheveux et elle me les tirait, rejetant ma tête en arrière et me toisant d'un air sévère. Elle me dit alors :


- Je t'ai dis de me lécher la chatte, alors tu m'obéis ou sinon je serais méchante.


Je fus surprise un court instant, je ne m'attendais pas à ce qu'elle ait un caractère dominant mais je me repris vite et la prit à la gorge en la regardant moi aussi d'un air dominateur :


- Je vous lèche quand je veux, c'est pas vous qui com...


Je n'eus pas le temps de finir ma phrase qu'elle me plaqua la tête contre son sexe épilé déjà humide. Je me débattis mais ses deux mains posés sur ma tête m'empêchaient de me relever et je fus de la lécher. Je léchais donc ses lèvres intimes tout en étant un peu étouffée car elle me plaquait vraiment le visage contre son sexe. Elle mouillait déjà d'excitation et son odeur était enivrante, c'était un vrai plaisir de lui bouffer sa chatte. Même si Mme Dufrej me plaquait contre elle, j'arrivais malgré tout à bien la lécher ; elle poussait des gémissements et entre deux soupirs, elle dit d'une voix sensuelle :


- Mmm, oui lèche-moi bien, sale chienne.


J'étais un peu surprise de ce revirement de situation : moi qui pensais qu'elle était coincée et qu'elle serait donc facile à dominer, c'était pourtant bien moi qui me retrouvais à genoux devant elle à lui bouffer la chatte sous ses ordres. Ça ne me déplaisait pas mais j'étais un peu touchée dans mon ego. Je suçais son clitoris, lui arrachant des gémissements de plaisir et rentrais ma langue, la faisant tournoyer à toute vitesse pour la faire jouir. Sa prise sur ma tête était toujours aussi forte mais j'arrivais à la lécher convenablement. Je lui donnais alors de vigoureux coups de langue ce qui finit par la faire jouir. Elle poussa un cri de plaisir et trembla de tout son être.
Je voulus profiter de son orgasme pour reprendre le dessus mais malgré le fait qu'elle soit à moitié sonnée par son orgasme, son emprise sur moi était toujours aussi forte. Elle se remit de son orgasme puis elle tira mes cheveux pour l'amener à son visage et elle me dit d'un sourire dominateur :


- C'est bien, tu m'as bien léchée. Tu as le droit à une récompense.


Avant que je puisse dire quoi que ce soit, elle plaqua violemment sa bouche contre la mienne pour m'embrasser sauvagement. J'étais complètement abasourdie : cette femme était une dominatrice dans l'âme, je commençais à douter de savoir si je pourrais prendre le dessus. Elle rompit notre baiser et me mit de dos sur le bureau dont elle avait jeté les affaires par terre. Elle entreprit de me défaire mon leggings. Je la laissais faire, sentant que je n'allais pas le regretter. Une fois qu'elle avait finie d'enlever mon bas, elle s'aperçut avec surprise que je ne portais pas de culotte ce qui la fit sourire :


- Pas de culotte ? T'es une vraie petite salope toi.


Je ne pus rien lui répondre car elle s'attaqua à me faire un cunni. Et quel cunni ! Elle tournoyait sa langue autour de mon clito, entrait sa langue en moi, me suçait mes lèvres intimes. C'était absolument divin, jamais personne ne m'avait léché comme ça, pas même Scott qui est pourtant un véritable expert ! À chacun de ses coups de langue, je sentais l'expérience qu'elle avait en la matière, elle savait exactement où mettre précisément sa langue, varier le rythme comme il fallait. Elle rentra trois doigts en moi me doigtant aussi habilement qu'elle était avec sa langue. Elle me rendait complètement folle ! Je ne songeais même plus à reprendre le contrôle tellement c'était bon. Je n'arrivais même pas à garder les yeux ouverts et je ne pouvais m'empêcher de pousser des cris de plaisir qui pouvaient nous trahir à tout moment. Elle continua son divin cunni tout en me disant :


- Ferme-la, on va nous entendre !


Plus facile à dire qu'à faire ! Son cunni était tellement bon qu'il était difficile pour moi de retenir mes cris. Je sentis alors mon corps se tendre et j'eus un monstrueux orgasme, l'un des meilleurs voir le meilleur que j'ai jamais obtenu. Je poussais alors un hurlement que je retins de justesse en plaquant mes mains sur ma bouche. Cet orgasme fut si monstrueux que j'entendis à peine la sonnerie retentir. Cela annonçait la reprise des cours mais là j'étais pas en état d'aller où que ce soit, j'étais trop faible. Mais Mme Dufrej n'en avait pas fini avec moi : elle me retourna sur le bureau, en levrette et elle prit quelque chose dans son sac. Totalement sonnée par cette orgasme, je restais étendue sur le bureau, mes jambes pendantes vers le sol. Je commençais à entendre du bruit dans les couloirs mais apparemment ça ne perturbait pas Mme Dufrej : elle sortit de son sac un gode de grande taille et elle le présenta à l'entrée de mon cul et elle le rentra doucement en moi pour ne pas alerter les élèves dans le couloir. Je gémis doucement, savourant cet objet phallique en moi. Elle commença à faire de lent va-et-vient en moi, me faisant gémir à chaque fois. Elle me mit alors deux doigts dans mon sexe pour me branler en coordination avec le gode en moi. Elle le faisait tellement bien que je me mordais la lèvre inférieure pour ne pas gémir. Mais elle allait de plus en plus vite et c'était donc de plus en plus dur de me retenir de crier. Elle me procurait un plaisir fou, c'était indescriptible ! Pour accen sa domination sur moi, elle me claquait les fesses assez violemment tout en me godant puis elle rerentra ses doigts dans mon vagin pour me doigter avec habileté. J'avais les yeux clos de plaisir, dans un état second, je n'avais même plus la force de parler ; je ne pouvais que subir ce qu'elle me faisait, j'étais complètement soumise à elle et ça me plaisait même si c'était vexant. Elle accéléra encore, augmentant mon plaisir jusqu'à ce que j'atteigne un nouvel orgasme presque aussi puissant que le premier qui me fit me mordre la lèvre inférieure jusqu'au sang pour ne pas crier. Bordel, qu'est ce que c'était bon, je n'en pouvais plus de plaisir. Heureusement, elle décida d'en arrêter là puisqu'elle retira le gode de moi et qu'elle commençait à se rajuster. Quant à moi, sonnée par tant de plaisir, je n'avais pas la force de me relever de suite et je dus attendre quelques instants de me remettre de cette punition très jouissive. Une fois remise, je me rhabillais, encore toute abasourdie par ce qu'il venait de se passer. J'allais quitter la classe quand Mme Dufrej me retint en m'attrapant à la gorge. Elle me lança un sourire carnassier :


- Avec les autres personnes que tu baises, tu te comportes comme tu veux avec eux. Mais avec moi, tu es ma chienne et c'est moi qui commandes, compris ?


Avec ce qu'elle venait de me faire, je savais que toute résistance serait inutile et qu'elle gagnerait aussi je me soumis sans broncher :


- Oui madame.
- Bien. File maintenant.


Elle me claqua les fesses et me lâcha la gorge. Je quittais alors la salle de classe en prenant un air normal pour ne pas alerter les autres élèves. J'étais touchée dans mon ego de m'être fait soumettre mais en même temps j'avais pris mon pied comme jamais. Je redoutais la prochaine baise avec elle car au vu de ses compétences, je doutais de pouvoir prendre ma revanche. C'est donc avec l'esprit tourmenté que je me rendis dans la salle de classe de mon prochain cours en repensant encore au plaisir que j'avais pris.

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