La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°957)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°956)
Et il séloigna en souriant. Je mangeais avec appétit. Je ne métais pas rendue compte que jétais affamée ! Et alors que je pensais réfléchir à tout ce qui sétait passé aujourdhui, je mendormis rapidement sans en avoir le temps, mais jétais si sereine, si heureuse car le Maître était fier de moi, javais pu le satisfaire
Le lendemain matin, je me réveillais à la lueur du jour. Je ne savais pas ce que je devais faire. Ou plutôt si, je le savais, je devais me reposer jusquau moment où je serais sollicitée. Mais je me sentais horriblement mal à laise. Il y avait très longtemps que je navais pas dormi dans un vrai lit, seule. Et même si cétait un ordre, je ne me sentais pas à ma place. Heureusement la porte de la chambre souvrit bientôt, laissant apparaître la cuisinière dont je ne connaissais pas encore le nom. Sans un mot, elle avança tête baissée et déposa un plateau sur la table de chevet, puis repartit, cette fois-ci à quatre pattes, nétant plus encombrée. Je sortais rapidement du lit et mapprochais du plateau, sur lequel il y avait une gamelle (je pensais alors avec soulagement que jallais pouvoir reprendre ma place !) et une feuille de papier plié.
« Je te laisse te restaurer et te rafraichir. Tu trouveras une salle deau derrière la porte à gauche de la chambre. Leau y est froide bien entendu ! Dans une heure, je passe te prendre. Je suppose que tu es assez reposée, donc je veux donc trouver une chienne à sa place. »
Je déposais donc ma gamelle à terre, et me mettais prosternée devant. Avant de commencer à manger, je remerciais intérieurement le Maître Vénéré de me permettre de vivre au quotidien mon état de chienne. Je vidais rapidement le récipient, faisant attention de ne rien renverser, le sol de la chambre étant couvert de moquette, et prenant soin de le nettoyer consciencieusement de ma langue.
- Bien la chienne. Tu as attendu plus longtemps que prévu, mais je vois que tu as tenu la position exigée. En même temps, je nai pas à me justifier, et une soumise est faite pour attendre le bon vouloir du Maître, que ce soit celui qui la soumet habituellement ou un autre le faisant occasionnellement, dans la position quil aura exigée. Jai laissé ta laisse dans le donjon, en prévision de notre matinée. Donc tu me suis, sans te laisser distancer, mais sans relever de trop la tête, il te faut rester à ta place
Tout le temps que Wangdak parlait, jétais restée cul tourné vers lui. Quand il se tut, il tourna plusieurs fois autour de moi. Il passait parfois sa main caressante sur ma peau nue, légèrement, me faisant frémir. Il disparut derrière moi et les attouchements sarrêtèrent puis il ny eut plus un mouvement, plus un son pendant plusieurs minutes. Jusquà ce que je sente sa main sabattre sur mes fesses, sèchement, rapidement. Cela ne dura pas longtemps mais assez pour que je sente mon derrière chauffé sérieusement. Et sans un mot, il se dirigea vers la porte et claqua des doigts pour que je le suive
Arrivée au donjon, je vis un parcours bien installé sur presque toute la surface de la pièce. Et dans un angle, il y avait toujours le tapis de course.
- Tu vas commencer par une demi-heure de tapis pour téchauffer, et ensuite tu essaieras de faire le parcours que jai fait installer pendant que tu mangeais et te préparais.
Pendant que je courrai sur le tapis, je recevais régulièrement des coups de fouet, visiblement linstrument de prédilection du Maître Tibétain.
- Bien, maintenant que tu maîtrises à peu près chaque épreuve, la prochaine que je pourrai tentraîner, tu feras le parcours en boucle, jusquà ce quil ny ait plus la moindre hésitation, que tes mouvements soient fluides, et on travaillera sur le rythme. Je vais rejoindre Monsieur le Marquis que je ne veux pas faire attendre. Toi, tu vas aller au jardin et te nettoyer au jet deau pour enlever la sueur qui te recouvre. Mon vieil ami Edouard veut temmener au marché BDSM cette après-midi, je veux quIl retrouve Sa chienne propre ! Quand tu auras fini, tu iras à la cuisine.
Pendant tout le temps où jétais à la disposition de Wangdak, Monsieur le Marquis dEvans profitait de son côté des soumis de notre hôte, et en particulier de Sangmo. Il voulait vérifier par lui-même que la petite chienne de son ami était consciente que, même si elle était la compagne vanille du Maître de ces lieux, elle restait avant tout la soumise du Maître qui la soumettait, et par conséquent quelle devait se soumettre avec abnégation à tous ceux à qui Wangdak la prêterait et peu importe ce que ceux-ci allaient lui imposer
Quand elle se présenta à Sa chambre, après quIl lait faite appeler, elle semblait timide et réservée, mais aussi douce et docile.
- Je sais que je ne suis pas le Maître qui te soumet quotidiennement, que tu peux penser que tu cours peut-être un risque parce que je ne te connais pas, que je ne sais pas ta manière de réagir. Mais il faut me faire confiance, faire confiance à ma grande expérience... Wangdak ne maurait pas donné plein pouvoir sur toi, si tu ne le pouvais pas. Donc si tu ne peux me donner ta confiance, place-là en celui qui te soumet et taime !
Comme Sangmo avait la bouche obstruée, elle inclina la tête pour faire comprendre à Monsieur le Marquis quelle sen remettait entre Ses mains volontairement et de bon gré. Il savait parfaitement ce quIl faisait. Sachant que chaque personne pouvait réagir différemment à la chaleur, Il plaça la bougie relativement haut, et la descendit progressivement, ce qui mit en confiance la soumise. À une certaine hauteur, la chaleur de la cire commença à la faire frémir. Le Châtelain arrêta la descente de la bougie lorsque la cire se mit à la faire sursauter et grimacer. Il répéta cette opération sur différentes parties de son corps, sur ses seins, ses tétons, son ventre, son pubis et ses cuisses.
- Pourquoi pleures-tu ? Tai-je fait mal ? (Il connaissait la réponse, mais Il voulait entendre cette réponse de sa bouche.)
- Je suis désolée, Monsieur le Marquis, de mêtre ainsi laissée aller. Non, Vous ne mavez pas fait mal. Mais je navais jamais ressenti ces émotions dues à lexcitation mélangée à la légère douleur, tant que Vous restiez sur les zones que Vous aviez définies. Mais quand Vous avez fait tomber la cire directement sur mon sexe, la douleur a été plus intense, mais surtout intensément plus jouissive également, je suis obligée de le reconnaître. Je navais jamais joui sous ce genre de douleur, étant plus habituée à jouir, quand jy suis autorisée, sous la douleur du fouet et je trouve cela assez perturbant, cest une douleur totalement différente et nouvelle pour moi, une savoureuse douleur si excitante, Monsieur le Marquis
Elle avait parlé dune traite, presque sans reprendre son souffle, et les quelques larmes qui avaient coulé jusque-là se transformèrent en déluge ! Monsieur Le Marquis la prit dans Ses bras pour la laisser se soulager. Quand elle se fut calmée, Il prit une roulette à dents et lui enleva ses gangues de cire.
- Cet instrument peut aussi être très jouissif, mais je pense que tu as eu assez démotions pour aujourdhui. Je te laisse regagner ta niche, repose-toi au moins une heure, je me charge de prévenir Wangdak.
Ce qui était sûr, cest que cet échange de soumises, pendant ces presque vingt-quatre heures, avait été riche en émotions pour les deux femelles !...
(A suivre...)
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