Le Coup De La Panne

C’est arrivé l’été dernier, ma femme et les s étaient partis en Ardèche chez mes beaux-parents, et j’étais seul à la maison, en région parisienne. Il fallait que je parte tôt du bureau, pour pouvoir aller à mon rendez-vous de contrôle chez le dentiste, et je devais également m’arrêter en chemin chez un artisan qui avait restauré un miroir que l’on avait acheté à une brocante, dans le village à côté de la zone d’activité dans laquelle je travaille. Il faisait une chaleur étouffante en cette fin de mois de juillet, et j’étais content de déposer dans le coffre de ma voiture ce foutu miroir qui pesait très lourd, d’autant que j’avais parcouru plusieurs centaines de mètres en le portant à bout de bras, car il n’y avait pas de place devant le magasin, et j’étais garé à la sortie du village. Je démarre ma voiture, et là, clac, plus rien… Pas de batterie, rien… Après avoir essayé plusieurs fois, je dois me rendre à l’évidence, je suis bel et bien en panne. Après être sortie de voiture, j’appelle d’abord le dentiste pour décommander mon rendez-vous, et ensuite je cherche sur mon téléphone l’adresse du garagiste le plus proche.

C’est à ce moment-là que j’entends :
- Bonjour Marc, qu’est-ce que tu fais dans le coin ?

Je lève la tête et reconnais Alexandre, un collègue qui travaille dans un autre Service que moi. Alexandre est peu plus petit que moi, un peu plus jeune aussi, pas plus de 4-5 ans j’imagine. Il est originaire du Sud, ça s’entend quand il parle, et ça se voit à sa peau mate et ses cheveux noirs. On s’est toujours bien entendu tous les deux, alors que je sens que les personnes de son Laboratoire sont parfois distantes avec lui, et on déjeune régulièrement ensemble à la cantine pour échanger des informations et parler boulot. Je lui explique que je suis en panne, et qu’il faut que je trouve un garagiste. Le garagiste local est déjà en vacances et vu l’heure, il me répond que du temps que j’aille chez le concessionnaire qui se situe à 20 km, il ne se déplacera pas ce soir, et qu’il faudra probablement attendre le lendemain matin.

Il me propose alors de venir chez lui prendre un verre, avant de me ramener chez moi, il habite justement la villa en face ! C’est très gentil de sa part, et soirée foutue pour foutue, j’accepte dès qu’il insiste un peu, d’autant que je vais avoir bien besoin d’une voiture avec chauffeur pour me ramener chez moi…
On entre chez lui, et c’est là que je commence à comprendre que sa situation personnelle n’est peut-être pas celle que j’imaginais : dans le jardin se trouve une jolie petite maison près de laquelle est creusée une piscine. Jusque-là, cela part plutôt bien, mais où cela dé, c’est qu’à côté de la piscine, se trouve allongé un homme, nu comme un vers, en train de se faire bronzer !

Alexandre rougit et s’écrie :
- Ari, je ne suis pas seul. Je souhaiterais te présenter un collègue à qui j’ai proposé de venir prendre un verre. Je viens de le croiser, il est en panne juste devant la maison.

Aussitôt, le dénommé Ari se lève précipitamment, me laissant entrevoir un long corps musclé, bronzé et … intégralement épilé, juste avant de s’entourer d’une serviette éponge trop petite, qu’il doit maintenir de sa main gauche pour ne pas qu’elle tombe, tout en me tendant l’autre main pour que je la lui serre. Alexandre se tourne vers moi :
- Marc, je te présente Ari, euh, mon compagnon. Je suis désolé pour ces présentations un peu spéciales, je pensais qu’Ari ne rentrerait que plus tard. J’avoue être un peu gêné.
- Ne t’inquiète pas Alexandre, je sais rester discret, votre relation ne regarde que vous et j’ai l’esprit ouvert. Et puis, je n’ai rien contre le naturisme, au contraire, je l’ai même pratiqué souvent avec des copains quand j’étais jeune et célibataire.

Bon, tout ça n’est qu’à moitié vrai. Pour ce qui est d’être gay friendly, c’est plutôt exact, j’avoue même avoir maté en cachette quelques beaux garçons de ma promo d’ingénieurs du temps de mes études, pourtant tout en draguant assidûment des filles et avec un certain succès je dois dire.
On était même allé jusqu’à se sucer avec un copain, mais c’était « juste pour voir comment ça faisait ». Depuis, quand il m’arrive de mater du porno sur internet, je ne suis pas attiré plus que ça par des vidéos gay, même si j’aime bien en regarder une de temps en temps. Pour ce qui est par contre du naturisme, s’il est vrai que j’ai toujours voulu essayer, ma femme n’est pas tentée du tout et on n’a donc jamais sauté le pas. Mais je ne voulais pas me montrer gêné, je ne voulais pas embarrasser Alexandre.

Ari prend la parole à son tour, avec un léger accent scandinave :
- Je suis également désolé pour ces présentations peu communes, je devais rentrer tard mais ma réunion de l’après-midi a été annulée, et je n’ai pas prévenu Alex pour lui faire une petite surprise. Je vais vite enfiler un short, je reviens. Alex, puisque tu parlais d’un apéro, sers moi un whisky s’il te plaît !
Et Ari s’éloigne, se dirigeant du côté de la maison en nous laissant l’admirer de dos, entièrement nu. Bon, même si je ne m’y connais pas en mecs, on ne pouvait que constater qu’Ari était vraiment un très bel homme. Je le fais donc remarquer à Alex, histoire de continuer à le mettre à l’aise, car je le sens vraiment très ennuyé :
- Tu te doutes que je ne suis pas spécialiste, mais tu dois faire des jaloux avec un copain bien foutu comme ça…
- C’est gentil de te montrer si décontracté, tu sais que ce n’est pas toujours facile. Je ne cache jamais mon homosexualité, mais j’ai horreur de la mettre en avant. Même au bureau dans un environnement plutôt ouvert intellectuellement, je ressens encore trop souvent des moqueries derrière mon dos. Je dois dire que cela n’a jamais été le cas de ta part.
- Pour tout te dire, je ne savais pas que tu étais gay… Mais je peux t’assurer que cela ne change rien de mon côté. Allez, on n’avait pas parlé d’un whisky ?

Ari ne tarde pas à arriver, il a juste enfilé un short court, à la fois échancré et un peu moulant, mais qu’il porte avec un naturel déconcertant.
C’est lui qui apporte finalement un plateau avec des verres et quelques bouteilles de whisky, ainsi que tout un assortiment de biscuits salés. On s’installe, et on commence à discuter et à faire baisser le niveau des bouteilles. Ils ont tous les deux 39 ans, et donc 3 ans de moins que moi. J’apprends qu’Ari est architecte, et qu’ils vivent ensemble depuis bientôt huit ans. De mon côté, j’explique à Ari mon métier, et je parle également de ma femme et de mes s en expliquant qu’ils sont loin pour la semaine, et que je vais devoir également me débrouiller avec ma voiture en panne. On commence ainsi à discuter tranquillement quand Ari nous fait remarquer qu’il fait très chaud et que l’on dégouline dans nos tenues de travail.
- Vous devriez vous mettre à l’aise et plonger dans la piscine pour vous rafraîchir, on sera mieux après pour discuter. Bon tu l’as compris Marc, on n’a pas de maillot de bain ici, mais tu seras certainement heureux de retrouver tes sensations de liberté dans l’eau je suis sûr.
- Arrête Ari, tu vas vraiment gêner Marc, et puis je ne veux pas qu’il se sente mal à l’aise avec un couple de pédés à poil à côté de lui.

Ne rien faire serait lui donner raison... Et puis j’ai senti une pointe de défi dans la voix d’Ari, et je ne suis pas du genre à me dégonfler. Tant pis, je sens bien inconsciemment que je m’engage sur un terrain qui pourrait devenir glissant, mais il faut que je me lance :
- Pas de problème Alexandre, Ari a eu une excellente idée !

Je me lève, fais le tour de la piscine et commence à me déshabiller. Alexandre et Ari me regardent, j’ai l’impression de leur faire un strip-tease ! Il ne me reste plus que mon boxer. Quand arrive le moment de l’enlever je pense qu’ils vont mater ma bite et qu’ils vont se rendre compte que je me l’épile, comme les testicules et ainsi que les fesses. Mais c’est trop tard, impossible de reculer, et je me retrouve donc complètement nu. Je prends mon temps pour me jeter à l’eau, histoire de ne pas faire mon timide, et je sens toujours le regard de mes deux hôtes sur moi.
Je suis rejoint très vite par Ari, puis par Alexandre qui s’est déshabillé rapidement. C’est vrai que cela fait du bien d’être dans l’eau, et c’est vrai que c’est vraiment agréable de sentir l’eau sur tout son corps. D’ailleurs, toutes ces sensations et la vision d’Alexandre et Ari nus dans l’eau à moins d’un mètre de moi me font ressentir un léger trouble. Et plus je me dis de ne surtout pas y penser, plus j’y pense et plus je sens que mon trouble se transforme en excitation. J’essaye de le cacher en tournant le dos à Ari qui s’est rapproché, mais c’est Alexandre qui débouche devant moi. Je remarque que comme Ari, lui aussi est intégralement épilé, et il est beaucoup plus musclé que ce que j’imaginais. Il porte deux tatouages, un sur l’épaule droite, et un en bas du dos, c’est également un beau mec, cela ne fait aucun doute. Il baisse les yeux, et j’ai peur qu’il ne se rende compte que j’ai un début d’érection. Je m’empresse de nager pour m’éloigner un peu. Ce n’était pas ment une bonne idée, car Alexandre me suit de près, et nous nageons tous les deux la brasse coulée : il doit avoir une vue imprenable sur ma virilité bien en forme, et avec mon trou du cul en prime !

A force de m’agiter et en m’habituant à la sensation de nudité dans l’eau, mon excitation passe un peu, et on reste dans l’eau pour reprendre notre conversation. Nous sommes tous les trois très proches les uns des autres, et nos corps se frôlent régulièrement. Je fais de gros efforts pour ne pas y penser plus que ça. Lorsque l’on décide de sortir de l’eau, c’est Alexandre qui monte à l’échelle le premier. Je ne peux pas m’empêcher de mater son corps, et plus spécialement son anatomie masculine et ses fesses rebondies. Je vois qu’Ari m’a bien vu admirer son ami, et il me dit de sortir avant lui, ce qui ne me laisse pas de doute sur ce qu’il va faire pendant que je grimpe aux barreaux.
Nous nous allongeons sur le dos sur des serviettes disposées à côté de la piscine. C’est très troublant d’être nu à côté d’autres hommes, et de sentir le Soleil réchauffer son corps. Le fait d’être mouillé fait encore plus ressentir la moindre brise, et inévitablement, je me remets à me dire qu’il ne faudrait pas que j’aie à nouveau une érection, ce qui provoque l’inévitable. Je me mets alors sur le ventre avant qu’Ari ou Alexandre ne remarquent quelque chose. Le problème est qu’étant au calme, mon cerveau a repris ses réflexions érotiques, et que mon excitation est maintenant loin de passer. Au bout d’un bon quart d’heure, Ari se lève et nous dit :
- Je vais préparer de quoi grignoter, vous pouvez aller chercher la table qui se trouve sous l’auvent pendant ce temps ?
- OK Ari bonne idée. Marc, tu viens m’aider ?

Je suis bien obligé de bouger, et comme ils n’ont pas l’air de vouloir se rhabiller, je vais devoir suivre le mouvement. Je me lève en essayant de masquer maladroitement mon excitation, mais Alexandre le remarque tout de suite :
- Je vois que tu es encore plus en forme que tout à l’heure. Tu aurais dû pourtant t’habi à la nudité maintenant, est-ce Ari et moi qui te faisons cet effet ?

Il s’approche de moi, je reste sans voix et n’ose bouger, je suis tétanisé. Il me regarde bien droit dans les yeux, et me saisit le sexe, et tout en continuant à me tenir, commence à se baisser en laissant collé son visage le long de mon corps. Sa bouche me dévore enfin et commence exercer des mouvements de va et vient : je suis en train de me faire tailler une pipe par Alexandre ! J’aimerais réagir et arrêter ça, mais c’est trop excitant et trop agréable. Il me fait allonger sur ma serviette, et se place entre mes jambes. Au bout de quelques minutes, Ari revient et nous trouve en pleine action.
- Eh bien on ne s’embête pas. Quels petits vicieux ! Alex, il faut m’en laisser un peu…

Il se place tête-bêche par-dessus moi. Alexandre se relève et laisse Ari me pomper. J’ai sa queue juste au-dessus de mon visage, et il ne se prive pas de la laisser effleurer mes lèvres. Il faut que je décide quoi faire, et je décide d’adopter la seule solution qui apparaît comme évidente à mon esprit en surchauffe : je lui empoigne la bite et je l’avale pour lui prodiguer à mon tour une fellation. Je ne suis pas vraiment habitué à faire ça, mais je m’y lance avec volonté et il semble apprécier. Alexandre se retrouve exclu de notre 69, il fait donc des allers-retours entre nos deux bouches et on le suce à tour de rôle pour ne pas le laisser sur la touche. Au bout d’un moment, il se lasse et décide varier les plaisir : il se place derrière Ari, et vient m’aider à m’occuper de lui, mais en avalant ses testicules, et en remontant lécher son anus. C’est en trop pour moi, je signifie à Ari que je ne vais plus tenir longtemps, mais il ne bouge pas. Je lui décharge longuement dans la bouche. Il me dit qu’il va à son tour éjaculer, et je ne me dérobe pas, je le laisse remplir ma bouche de jus chaud et gluant. En attendant, seul Alexandre n’a pas encore joui. Il s’approche de moi :
- Puisque tu as l’aire d’aimer ça, c’est toi qui va te charger de moi !

Je ne dis rien, et me mets à le sucer. Il décharge rapidement, et je me remplis donc la bouche de sperme pour la deuxième fois en quelques minutes.
Nous restons tous les trois allongés au Soleil un bon moment. Alexandre et Ari s’embrassent. On reboit du whisky. Au bout d’un moment, Alexandre prend la parole :
- Tu te débrouille vraiment bien pour un hétéro. Mais la façon dont tu n’as pas hésité à avaler notre sperme est plutôt surprenante. Et puis, on a bien remarqué ton épilation de la bite et du cul. Tu ne serais pas plutôt bi non ?
- Pour l’épilation c’est simple, ma femme déteste les poils, et j’aime trop ses caresses pour ne pas les enlever. Et pour le sperme, c’était la première fois que j’avalais le sperme d’un autre garçon, mais j’ai l’habitude du mien : quand on fait l’amour avec ma femme et que je pars trop vite, elle sait que me faire lécher son minou qui dégouline m’excite à mort et que ça me remotive immanquablement pour un second tour.
- En même temps, tu avais l’air bien excité et tu ne t’es pas fait prié, ajoute Ari.
- OK, c’est vrai que je me suis souvent demandé ce que ça faisait d’avaler un autre mec. Mais c’était très théorique jusque-là.

Et là, peut-être sous l’effet de l’alcool, je perds toute inhibition et je m’entends dire :
- En fait pour être parfaitement honnête, tu as probablement raison car vu le nombre de pédés qu’il y a, je me dis que ça ne doit pas être si mal que ça. Mais jusqu’à présent je n’avais jamais cherché plus que ça à avoir une réponse…

On va se baigne à nouveau, et Alexandre et Ari organisent un dîner improvisé. Nous sommes toujours nus tous les trois, mais il faut dire que la fraîcheur ne semble pas vouloir tomber. Le repas se passe et on en profite pour faire encore un peu plus connaissance, mais sans aborder ce qui s’est passé ou des histoires de sexe en général. On reboit encore pas mal de vin, et arrivé déjà tard dans la soirée, on en vient à mon retour chez moi. Alexandre est formel :
- Franchement, avec tout ce que l’on a bu, cela ne serait pas raisonnable de prendre la route. Le mieux est que tu restes ici, on te prépare un lit dans la chambre d’amis, et tu t’occuperas de ta voiture demain à la première heure, qu’en penses-tu ?
- Je dois dire que tu as raison sur l’alcool, il vaut donc mieux faire comme tu proposes. Ce qui m’embête c’est que je n’ai aucune affaire de nuit et de rechange pour demain.
- Pour demain, on te prêtera une chemise et un boxer, et pour la nuit, vu que tu es à poil depuis plusieurs heures, je suis certain que ça ne te gêneras pas plus que ça de le rester dans ton lit ! Nous, on te trouve très sympathique et ça nous enchante plutôt que tu restes ici cette nuit, n’est-ce pas Ari?
- Ouais, ça me va même très bien, je sens que l’on va bien s’amuser !

Après avoir pris chacun une douche, et en fait Alex et Ari la prenne ensemble, on rejoint le couloir qui mène à nos chambres. La chambre d’amis est juste en face de la leur. Ils me laissent m’installer et me Alexandre me dit :
- Tu sais, ce que l’on a fait tout à l’heure, c’était vraiment très excitant, mais ce n’est pas parce que l’on est gay avec Ari que l’on va te sauter dessus, c’est à toi de te décider et d’assumer tes envies. Je laisse notre porte ouverte.

Il quitte ma chambre. Je m’allonge sur le lit, perdu dans mes pensées et mes contradictions. Je n’arrête pas de penser à ce que l’on a déjà fait ensemble, à leurs corps, à leurs bites dans ma bouche, et au goût de leur sperme. Je me remets à bander. Je me demande si je suis prêt à aller plus loin et à faire ce qui me tente depuis finalement si longtemps… Au bout d’une demi-heure, j’entends des gémissements qui proviennent de la chambre en face, et cela devient vite intenable. Je me lève, et le sexe déjà dressé, je traverse tout doucement le couloir pour jeter un œil chez mes hôtes.
Ari est à quatre pattes sur le lit, en train de se faire lécher le cul par Alexandre ! Ils ont l’air de prendre un sacré pied. Ari m’aperçois et me dit :
- On avait parié que tu ne tiendrais pas 5 minutes, allez viens donc devant moi mon joli.

Je me retrouve en train de me faire sucer par Ari, tandis que ce dernier continue à se faire lubrifier par Alexandre. Ce dernier s’applique à la tâche, lui écarte les fesses pour mieux faire pénétrer sa langue dans son anus, et parfois même un doigt ou deux. Je sens Ari au comble de l’excitation, et la vue de ce spectacle est pour moi une découverte. Encore heureux que j’ai déjà joui il y a quelques heures, car je n’aurais pas tenu bien longtemps sinon. Au bout d’un moment Alexandre nous dit :
- Aller, on permute ! Marc, tu viens au milieu me sucer, et c’est Ari qui va s’occuper de ton cul !

Je me retrouve à quatre pattes à mon tour, en train de sucer Alexandre et sa belle bite. J’y mets tout mon cœur, histoire de ne pas le décevoir. Quand Ari commence à me tripoter les fesses et à passer ses doigts sur mon trou, je suis surpris de constater que mon excitation monte d’un cran, et encore d’un cran encore quand c’est sa langue qui est arrivée. Il me lèche avec application, avec pour objectif de me détendre et de laisser mes dernières réticences tomber. Tout en douceur, il peut très vite faire aller un venir un doigt, qui commence à m’élargir progressivement. C’est divin. Il alterne sa langue, ses doigts, mais aussi le contact de son gland impressionnant. Il faut dire qu’Ari possède un engin vraiment long et large, tandis que celui d’Alexandre, comme moi, est dans la moyenne supérieure côté longueur et circonférence. Ari s’absente une minute, pour revenir avec un plug anal. Une fois mon anus bien lubrifié, il me l’enfonce progressivement :
- Cela va t’aider à te dilater sur la durée, et ce sera plus facile pour ta première fois, fais-moi confiance.

On continue encore comme ça quelques temps, et on permute à nouveau. C’est donc à Alexandre de sucer Ari, et de se faire prendre soin de son trou du cul. Je reproduis ce qu’Alexandre vient de me prodiguer, plug en moins pour lui, car je le sens toujours bien présent au plus profond de moi, et je dois dire que je continue à bander comme cela m’est rarement arrivé. Cela me plaît bien aussi de lécher l’anus d’Alex, surtout quand je sens ses fesses qui se tortillent et ses gémissements de plaisir. Je me sens comme dans un monde parallèle, et pourtant si réel quand je nous vois dans les portes miroirs de l’armoire de leur chambre… C’est Ari qui interrompt ce dernier tableau au bout d’un bon quart d’heure :
- Marc, viens te mettre sur le dos, c’est Alex qui va t’enculer, et tu vas continuer à me sucer, tu te débrouilles vraiment très bien !

Je m’exécute sans réfléchir. Alexandre me fait soulever les jambes et replier les genoux, tandis qu’Ari présente déjà à ma langue sa bite turgescente. Alex me met des coussins sous les fesses, et m’enlève le plug. Il lubrifie à nouveau mon anus avec de la salive, et commence à présenter son gland. Il pousse tout doucement, tandis que je continue à me concentrer pour être le plus détendu possible. Le plug a bien fait son travail, et il peut s’enfoncer sans trop de problème. Au bout de quelques mouvements de va et vient, cela devient même agréable, et je sens sa bite qui me fouille les entrailles et qui tape sur ma prostate : je comprends vite le plaisir de la sodomie ! Alexandre continue à me pilonner pendant au moins dix minutes, et sans me prévenir, il se lâche dans mes intestins. C’est extraordinaire de s’abandonner comme ça à un autre ! Alexandre se retire, je crois que l’on va à nouveau procéder par permutation, mais c’est Ari qui vient le remplacer, tandis qu’Alex vient s’occuper de ma bite. Ari peut profiter du travail d’Alexandre qui m’a bien élargi et lubrifié, et il vaut mieux pour moi vu la taille de son engin. Il y va de bon cœur le salaud. Au bout de quelques minutes, je sens que s’en est trop pour moi, et ma bite est à nouveau dure comme du bois. J’éjacule avec une force et un plaisir que je n’avais connu jusque-là. Tandis qu’Alex lèche ma semence sur mon ventre et mon torse, Ari continue à m’enculer avec toujours autant de force, et il jouit à son tour au bout de quelques minutes.

Après une bonne douche, tout le monde repart dans sa chambre. Je m’endors très vite, épuisé par cette séance de jambes en l’air entre hommes, mais je me réveille tôt le lendemain matin, car je suis perturbé par tout ce qui m’est arrivé la veille. Il faut également avouer que je sens quand même mon cul un peu meurtri, mais rien de bien méchant. Vers 7h00 du matin, j’entends Ari et Alexandre qui se réveillent, ils font du bruit et parlent à voix basse, et puis des petits cris commencent à se faire entendre. Malgré mon excitation qui remonte, je décide de ne pas les rejoindre, n’ayant pas envie de les déranger dans leur intimité. Au bout d’une demi-heure, les gémissements de plaisir cessent. J’entends le bruit d’une douche et Ari apparaît sur le seuil de ma porte :
- Je dois aller travailler, je suis déjà un peu en retard. J’ai été très content de faire ta connaissance Marc, à très bientôt j’espère !
- Moi aussi j’ai été ravi de ma soirée, j’ai découvert un plaisir que je ne suis pas près d’oublier.

A ma grande surprise, Alexandre arrive alors devant ma chambre. Il embrasse Ari, qui quitte la maison quelques instants plus tard. Alex s’allonge sur mon lit, face à moi. Il vient coller son sexe encore bien ferme contre le mien et me dit :
- Ari m’a demandé de prendre soin de toi, et de te montrer notre hospitalité. Il l’aurait bien fait lui-même, mais il était vraiment très pressé ce matin. On t’a bien baisé hier, mais c’était pour voir jusqu’où tu pouvais aller et si tu étais sincère. On peut aussi être plus tendres, et on aime bien aussi échanger les rôles tu sais.

On passe ainsi quelques minutes à se caresser, et puis Alex se retourne. Nous nous retrouvons enlacés en chien de fusil, il ne peut pas ne pas sentir ma bite dure collée entre ses fesses. On continue à se caresser, puis il me demande de me mettre sur le dos, et vient alors me chevaucher. Il empoigne mon sexe en érection pour le placer contre son anus, et il s’empale progressivement, tout en me regardant bien droit dans les yeux. Je n’ai pas de mal à m’enfoncer, son cul est encore plein du sperme d’Ari : je sais maintenant qui a fait quoi quand ils étaient tous les deux ! On alterne les moments pendant lesquels c’est moi qui fait des va et viens, et ceux pendant lesquels c’est lui qui monte et qui descend le long de mon manche. Je peux admirer et caresser son corps musclé et sa bite en érection qui bouge en rythme avec mes coups de boutoir. C’est aussi une première pour moi, car je n’avais jamais sodomisé quelqu’un auparavant, et je dois dire qu’entre ce que je vois et ce que je ressens, j’ai l’impression de vivre un rêve éveillé…
Au bout d’un long moment, Alexandre me demande :
-Tu as l’air d’aimer ça ?
- C’est vrai que déjà, j’aime être en dessous, je trouve que l’on profite mieux du corps de l’autre, mais là c’est encore un niveau de plus.
- J’aime bien te sentir en moi, mais je crois que j’ai encore plus envie de profiter encore de ton cul.

Alexandre se défait alors de ma prise, et me fait mettre sur le ventre. Il écarte mes fesses avec ses mains, et vient me lubrifier l’anus avec la langue. J’aime décidément trop ça, je gémis de contentement, et le laisse alterner sa langue et un doigt, puis bientôt deux. Enfin il m’encule. Je suis toujours sur le ventre, une jambe un peu repliée pour le laisser passer, et je ressens chaque coup de rein qu’il me donne avec de plus en plus de force. A sa demande encore, je me mets finalement à quatre pattes pour qu’il me prenne en levrette. Il me dit :
- Allez, branle-toi pendant que je t’encule !

Je m’exécute, et il me sodomise sans ménagement. Quand je sens qu’il jouit en moi, j’éjacule enfin à mon tour.
- Je n’avais pas ment l’idée de t’enculer ce matin quand je suis venu dans ton lit, mais j’aime bien ton petit cul, et je vois bien que tu aimes ça, pas vrai Marc ?
-Oui, je savais déjà que j’aimais bien être un peu dominé, mais me faire enculer ça va encore plus loin et ça me plait beaucoup. Même si je dois aussi te dire que ma bite a adoré ton trou du cul !

Après un passage à la salle de bain pour se raser et se doucher, on prend le petit-déjeuner comme si de rien n’était. On téléphone au garagiste qui promet de passer tout de suite. Deux heures après, la vie a repris son cours normal.
J’ai recroisé Alexandre plusieurs fois au bureau, et on s’est juste échangé quelques clins d’œil et des sourires en coin. Hier pourtant, j’ai revu Alexandre à une nouvelle réunion. En sortant, il me demande discrètement :
- Comment vas-tu Marc ? Tu ne serais pas à nouveau seul quelques jours pour ces congés de Toussaint ? Quand j’ai dit à Ari que je te reverrai aujourd’hui, il m’a demandé de t’inviter car il a plein d’idée pour te faire découvrir des nouvelles sensations, il aimerait bien rattr l’avance que l’on pris tous les deux après son départ…

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