Le Coup De La Panne
Cest arrivé lété dernier, ma femme et les s étaient partis en Ardèche chez mes beaux-parents, et jétais seul à la maison, en région parisienne. Il fallait que je parte tôt du bureau, pour pouvoir aller à mon rendez-vous de contrôle chez le dentiste, et je devais également marrêter en chemin chez un artisan qui avait restauré un miroir que lon avait acheté à une brocante, dans le village à côté de la zone dactivité dans laquelle je travaille. Il faisait une chaleur étouffante en cette fin de mois de juillet, et jétais content de déposer dans le coffre de ma voiture ce foutu miroir qui pesait très lourd, dautant que javais parcouru plusieurs centaines de mètres en le portant à bout de bras, car il ny avait pas de place devant le magasin, et jétais garé à la sortie du village. Je démarre ma voiture, et là, clac, plus rien
Pas de batterie, rien
Après avoir essayé plusieurs fois, je dois me rendre à lévidence, je suis bel et bien en panne. Après être sortie de voiture, jappelle dabord le dentiste pour décommander mon rendez-vous, et ensuite je cherche sur mon téléphone ladresse du garagiste le plus proche.
Cest à ce moment-là que jentends :
- Bonjour Marc, quest-ce que tu fais dans le coin ?
Je lève la tête et reconnais Alexandre, un collègue qui travaille dans un autre Service que moi. Alexandre est peu plus petit que moi, un peu plus jeune aussi, pas plus de 4-5 ans jimagine. Il est originaire du Sud, ça sentend quand il parle, et ça se voit à sa peau mate et ses cheveux noirs. On sest toujours bien entendu tous les deux, alors que je sens que les personnes de son Laboratoire sont parfois distantes avec lui, et on déjeune régulièrement ensemble à la cantine pour échanger des informations et parler boulot. Je lui explique que je suis en panne, et quil faut que je trouve un garagiste. Le garagiste local est déjà en vacances et vu lheure, il me répond que du temps que jaille chez le concessionnaire qui se situe à 20 km, il ne se déplacera pas ce soir, et quil faudra probablement attendre le lendemain matin.
On entre chez lui, et cest là que je commence à comprendre que sa situation personnelle nest peut-être pas celle que jimaginais : dans le jardin se trouve une jolie petite maison près de laquelle est creusée une piscine. Jusque-là, cela part plutôt bien, mais où cela dé, cest quà côté de la piscine, se trouve allongé un homme, nu comme un vers, en train de se faire bronzer !
Alexandre rougit et sécrie :
- Ari, je ne suis pas seul. Je souhaiterais te présenter un collègue à qui jai proposé de venir prendre un verre. Je viens de le croiser, il est en panne juste devant la maison.
Aussitôt, le dénommé Ari se lève précipitamment, me laissant entrevoir un long corps musclé, bronzé et
intégralement épilé, juste avant de sentourer dune serviette éponge trop petite, quil doit maintenir de sa main gauche pour ne pas quelle tombe, tout en me tendant lautre main pour que je la lui serre. Alexandre se tourne vers moi :
- Marc, je te présente Ari, euh, mon compagnon. Je suis désolé pour ces présentations un peu spéciales, je pensais quAri ne rentrerait que plus tard. Javoue être un peu gêné.
- Ne tinquiète pas Alexandre, je sais rester discret, votre relation ne regarde que vous et jai lesprit ouvert. Et puis, je nai rien contre le naturisme, au contraire, je lai même pratiqué souvent avec des copains quand jétais jeune et célibataire.
Bon, tout ça nest quà moitié vrai. Pour ce qui est dêtre gay friendly, cest plutôt exact, javoue même avoir maté en cachette quelques beaux garçons de ma promo dingénieurs du temps de mes études, pourtant tout en draguant assidûment des filles et avec un certain succès je dois dire.
Ari prend la parole à son tour, avec un léger accent scandinave :
- Je suis également désolé pour ces présentations peu communes, je devais rentrer tard mais ma réunion de laprès-midi a été annulée, et je nai pas prévenu Alex pour lui faire une petite surprise. Je vais vite enfiler un short, je reviens. Alex, puisque tu parlais dun apéro, sers moi un whisky sil te plaît !
Et Ari séloigne, se dirigeant du côté de la maison en nous laissant ladmirer de dos, entièrement nu. Bon, même si je ne my connais pas en mecs, on ne pouvait que constater quAri était vraiment un très bel homme. Je le fais donc remarquer à Alex, histoire de continuer à le mettre à laise, car je le sens vraiment très ennuyé :
- Tu te doutes que je ne suis pas spécialiste, mais tu dois faire des jaloux avec un copain bien foutu comme ça
- Cest gentil de te montrer si décontracté, tu sais que ce nest pas toujours facile. Je ne cache jamais mon homosexualité, mais jai horreur de la mettre en avant. Même au bureau dans un environnement plutôt ouvert intellectuellement, je ressens encore trop souvent des moqueries derrière mon dos. Je dois dire que cela na jamais été le cas de ta part.
- Pour tout te dire, je ne savais pas que tu étais gay
Mais je peux tassurer que cela ne change rien de mon côté. Allez, on navait pas parlé dun whisky ?
Ari ne tarde pas à arriver, il a juste enfilé un short court, à la fois échancré et un peu moulant, mais quil porte avec un naturel déconcertant.
- Vous devriez vous mettre à laise et plonger dans la piscine pour vous rafraîchir, on sera mieux après pour discuter. Bon tu las compris Marc, on na pas de maillot de bain ici, mais tu seras certainement heureux de retrouver tes sensations de liberté dans leau je suis sûr.
- Arrête Ari, tu vas vraiment gêner Marc, et puis je ne veux pas quil se sente mal à laise avec un couple de pédés à poil à côté de lui.
Ne rien faire serait lui donner raison... Et puis jai senti une pointe de défi dans la voix dAri, et je ne suis pas du genre à me dégonfler. Tant pis, je sens bien inconsciemment que je mengage sur un terrain qui pourrait devenir glissant, mais il faut que je me lance :
- Pas de problème Alexandre, Ari a eu une excellente idée !
Je me lève, fais le tour de la piscine et commence à me déshabiller. Alexandre et Ari me regardent, jai limpression de leur faire un strip-tease ! Il ne me reste plus que mon boxer. Quand arrive le moment de lenlever je pense quils vont mater ma bite et quils vont se rendre compte que je me lépile, comme les testicules et ainsi que les fesses. Mais cest trop tard, impossible de reculer, et je me retrouve donc complètement nu. Je prends mon temps pour me jeter à leau, histoire de ne pas faire mon timide, et je sens toujours le regard de mes deux hôtes sur moi.
A force de magiter et en mhabituant à la sensation de nudité dans leau, mon excitation passe un peu, et on reste dans leau pour reprendre notre conversation. Nous sommes tous les trois très proches les uns des autres, et nos corps se frôlent régulièrement. Je fais de gros efforts pour ne pas y penser plus que ça. Lorsque lon décide de sortir de leau, cest Alexandre qui monte à léchelle le premier. Je ne peux pas mempêcher de mater son corps, et plus spécialement son anatomie masculine et ses fesses rebondies. Je vois quAri ma bien vu admirer son ami, et il me dit de sortir avant lui, ce qui ne me laisse pas de doute sur ce quil va faire pendant que je grimpe aux barreaux.
Nous nous allongeons sur le dos sur des serviettes disposées à côté de la piscine. Cest très troublant dêtre nu à côté dautres hommes, et de sentir le Soleil réchauffer son corps. Le fait dêtre mouillé fait encore plus ressentir la moindre brise, et inévitablement, je me remets à me dire quil ne faudrait pas que jaie à nouveau une érection, ce qui provoque linévitable. Je me mets alors sur le ventre avant quAri ou Alexandre ne remarquent quelque chose. Le problème est quétant au calme, mon cerveau a repris ses réflexions érotiques, et que mon excitation est maintenant loin de passer. Au bout dun bon quart dheure, Ari se lève et nous dit :
- Je vais préparer de quoi grignoter, vous pouvez aller chercher la table qui se trouve sous lauvent pendant ce temps ?
- OK Ari bonne idée. Marc, tu viens maider ?
Je suis bien obligé de bouger, et comme ils nont pas lair de vouloir se rhabiller, je vais devoir suivre le mouvement. Je me lève en essayant de masquer maladroitement mon excitation, mais Alexandre le remarque tout de suite :
- Je vois que tu es encore plus en forme que tout à lheure. Tu aurais dû pourtant thabi à la nudité maintenant, est-ce Ari et moi qui te faisons cet effet ?
Il sapproche de moi, je reste sans voix et nose bouger, je suis tétanisé. Il me regarde bien droit dans les yeux, et me saisit le sexe, et tout en continuant à me tenir, commence à se baisser en laissant collé son visage le long de mon corps. Sa bouche me dévore enfin et commence exercer des mouvements de va et vient : je suis en train de me faire tailler une pipe par Alexandre ! Jaimerais réagir et arrêter ça, mais cest trop excitant et trop agréable. Il me fait allonger sur ma serviette, et se place entre mes jambes. Au bout de quelques minutes, Ari revient et nous trouve en pleine action.
- Eh bien on ne sembête pas. Quels petits vicieux ! Alex, il faut men laisser un peu
Il se place tête-bêche par-dessus moi. Alexandre se relève et laisse Ari me pomper. Jai sa queue juste au-dessus de mon visage, et il ne se prive pas de la laisser effleurer mes lèvres. Il faut que je décide quoi faire, et je décide dadopter la seule solution qui apparaît comme évidente à mon esprit en surchauffe : je lui empoigne la bite et je lavale pour lui prodiguer à mon tour une fellation. Je ne suis pas vraiment habitué à faire ça, mais je my lance avec volonté et il semble apprécier. Alexandre se retrouve exclu de notre 69, il fait donc des allers-retours entre nos deux bouches et on le suce à tour de rôle pour ne pas le laisser sur la touche. Au bout dun moment, il se lasse et décide varier les plaisir : il se place derrière Ari, et vient maider à moccuper de lui, mais en avalant ses testicules, et en remontant lécher son anus. Cest en trop pour moi, je signifie à Ari que je ne vais plus tenir longtemps, mais il ne bouge pas. Je lui décharge longuement dans la bouche. Il me dit quil va à son tour éjaculer, et je ne me dérobe pas, je le laisse remplir ma bouche de jus chaud et gluant. En attendant, seul Alexandre na pas encore joui. Il sapproche de moi :
- Puisque tu as laire daimer ça, cest toi qui va te charger de moi !
Je ne dis rien, et me mets à le sucer. Il décharge rapidement, et je me remplis donc la bouche de sperme pour la deuxième fois en quelques minutes.
Nous restons tous les trois allongés au Soleil un bon moment. Alexandre et Ari sembrassent. On reboit du whisky. Au bout dun moment, Alexandre prend la parole :
- Tu te débrouille vraiment bien pour un hétéro. Mais la façon dont tu nas pas hésité à avaler notre sperme est plutôt surprenante. Et puis, on a bien remarqué ton épilation de la bite et du cul. Tu ne serais pas plutôt bi non ?
- Pour lépilation cest simple, ma femme déteste les poils, et jaime trop ses caresses pour ne pas les enlever. Et pour le sperme, cétait la première fois que javalais le sperme dun autre garçon, mais jai lhabitude du mien : quand on fait lamour avec ma femme et que je pars trop vite, elle sait que me faire lécher son minou qui dégouline mexcite à mort et que ça me remotive immanquablement pour un second tour.
- En même temps, tu avais lair bien excité et tu ne tes pas fait prié, ajoute Ari.
- OK, cest vrai que je me suis souvent demandé ce que ça faisait davaler un autre mec. Mais cétait très théorique jusque-là.
Et là, peut-être sous leffet de lalcool, je perds toute inhibition et je mentends dire :
- En fait pour être parfaitement honnête, tu as probablement raison car vu le nombre de pédés quil y a, je me dis que ça ne doit pas être si mal que ça. Mais jusquà présent je navais jamais cherché plus que ça à avoir une réponse
On va se baigne à nouveau, et Alexandre et Ari organisent un dîner improvisé. Nous sommes toujours nus tous les trois, mais il faut dire que la fraîcheur ne semble pas vouloir tomber. Le repas se passe et on en profite pour faire encore un peu plus connaissance, mais sans aborder ce qui sest passé ou des histoires de sexe en général. On reboit encore pas mal de vin, et arrivé déjà tard dans la soirée, on en vient à mon retour chez moi. Alexandre est formel :
- Franchement, avec tout ce que lon a bu, cela ne serait pas raisonnable de prendre la route. Le mieux est que tu restes ici, on te prépare un lit dans la chambre damis, et tu toccuperas de ta voiture demain à la première heure, quen penses-tu ?
- Je dois dire que tu as raison sur lalcool, il vaut donc mieux faire comme tu proposes. Ce qui membête cest que je nai aucune affaire de nuit et de rechange pour demain.
- Pour demain, on te prêtera une chemise et un boxer, et pour la nuit, vu que tu es à poil depuis plusieurs heures, je suis certain que ça ne te gêneras pas plus que ça de le rester dans ton lit ! Nous, on te trouve très sympathique et ça nous enchante plutôt que tu restes ici cette nuit, nest-ce pas Ari?
- Ouais, ça me va même très bien, je sens que lon va bien samuser !
Après avoir pris chacun une douche, et en fait Alex et Ari la prenne ensemble, on rejoint le couloir qui mène à nos chambres. La chambre damis est juste en face de la leur. Ils me laissent minstaller et me Alexandre me dit :
- Tu sais, ce que lon a fait tout à lheure, cétait vraiment très excitant, mais ce nest pas parce que lon est gay avec Ari que lon va te sauter dessus, cest à toi de te décider et dassumer tes envies. Je laisse notre porte ouverte.
Il quitte ma chambre. Je mallonge sur le lit, perdu dans mes pensées et mes contradictions. Je narrête pas de penser à ce que lon a déjà fait ensemble, à leurs corps, à leurs bites dans ma bouche, et au goût de leur sperme. Je me remets à bander. Je me demande si je suis prêt à aller plus loin et à faire ce qui me tente depuis finalement si longtemps
Au bout dune demi-heure, jentends des gémissements qui proviennent de la chambre en face, et cela devient vite intenable. Je me lève, et le sexe déjà dressé, je traverse tout doucement le couloir pour jeter un il chez mes hôtes.
Ari est à quatre pattes sur le lit, en train de se faire lécher le cul par Alexandre ! Ils ont lair de prendre un sacré pied. Ari maperçois et me dit :
- On avait parié que tu ne tiendrais pas 5 minutes, allez viens donc devant moi mon joli.
Je me retrouve en train de me faire sucer par Ari, tandis que ce dernier continue à se faire lubrifier par Alexandre. Ce dernier sapplique à la tâche, lui écarte les fesses pour mieux faire pénétrer sa langue dans son anus, et parfois même un doigt ou deux. Je sens Ari au comble de lexcitation, et la vue de ce spectacle est pour moi une découverte. Encore heureux que jai déjà joui il y a quelques heures, car je naurais pas tenu bien longtemps sinon. Au bout dun moment Alexandre nous dit :
- Aller, on permute ! Marc, tu viens au milieu me sucer, et cest Ari qui va soccuper de ton cul !
Je me retrouve à quatre pattes à mon tour, en train de sucer Alexandre et sa belle bite. Jy mets tout mon cur, histoire de ne pas le décevoir. Quand Ari commence à me tripoter les fesses et à passer ses doigts sur mon trou, je suis surpris de constater que mon excitation monte dun cran, et encore dun cran encore quand cest sa langue qui est arrivée. Il me lèche avec application, avec pour objectif de me détendre et de laisser mes dernières réticences tomber. Tout en douceur, il peut très vite faire aller un venir un doigt, qui commence à mélargir progressivement. Cest divin. Il alterne sa langue, ses doigts, mais aussi le contact de son gland impressionnant. Il faut dire quAri possède un engin vraiment long et large, tandis que celui dAlexandre, comme moi, est dans la moyenne supérieure côté longueur et circonférence. Ari sabsente une minute, pour revenir avec un plug anal. Une fois mon anus bien lubrifié, il me lenfonce progressivement :
- Cela va taider à te dilater sur la durée, et ce sera plus facile pour ta première fois, fais-moi confiance.
On continue encore comme ça quelques temps, et on permute à nouveau. Cest donc à Alexandre de sucer Ari, et de se faire prendre soin de son trou du cul. Je reproduis ce quAlexandre vient de me prodiguer, plug en moins pour lui, car je le sens toujours bien présent au plus profond de moi, et je dois dire que je continue à bander comme cela mest rarement arrivé. Cela me plaît bien aussi de lécher lanus dAlex, surtout quand je sens ses fesses qui se tortillent et ses gémissements de plaisir. Je me sens comme dans un monde parallèle, et pourtant si réel quand je nous vois dans les portes miroirs de larmoire de leur chambre
Cest Ari qui interrompt ce dernier tableau au bout dun bon quart dheure :
- Marc, viens te mettre sur le dos, cest Alex qui va tenculer, et tu vas continuer à me sucer, tu te débrouilles vraiment très bien !
Je mexécute sans réfléchir. Alexandre me fait soulever les jambes et replier les genoux, tandis quAri présente déjà à ma langue sa bite turgescente. Alex me met des coussins sous les fesses, et menlève le plug. Il lubrifie à nouveau mon anus avec de la salive, et commence à présenter son gland. Il pousse tout doucement, tandis que je continue à me concentrer pour être le plus détendu possible. Le plug a bien fait son travail, et il peut senfoncer sans trop de problème. Au bout de quelques mouvements de va et vient, cela devient même agréable, et je sens sa bite qui me fouille les entrailles et qui tape sur ma prostate : je comprends vite le plaisir de la sodomie ! Alexandre continue à me pilonner pendant au moins dix minutes, et sans me prévenir, il se lâche dans mes intestins. Cest extraordinaire de sabandonner comme ça à un autre ! Alexandre se retire, je crois que lon va à nouveau procéder par permutation, mais cest Ari qui vient le remplacer, tandis quAlex vient soccuper de ma bite. Ari peut profiter du travail dAlexandre qui ma bien élargi et lubrifié, et il vaut mieux pour moi vu la taille de son engin. Il y va de bon cur le salaud. Au bout de quelques minutes, je sens que sen est trop pour moi, et ma bite est à nouveau dure comme du bois. Jéjacule avec une force et un plaisir que je navais connu jusque-là. Tandis quAlex lèche ma semence sur mon ventre et mon torse, Ari continue à menculer avec toujours autant de force, et il jouit à son tour au bout de quelques minutes.
Après une bonne douche, tout le monde repart dans sa chambre. Je mendors très vite, épuisé par cette séance de jambes en lair entre hommes, mais je me réveille tôt le lendemain matin, car je suis perturbé par tout ce qui mest arrivé la veille. Il faut également avouer que je sens quand même mon cul un peu meurtri, mais rien de bien méchant. Vers 7h00 du matin, jentends Ari et Alexandre qui se réveillent, ils font du bruit et parlent à voix basse, et puis des petits cris commencent à se faire entendre. Malgré mon excitation qui remonte, je décide de ne pas les rejoindre, nayant pas envie de les déranger dans leur intimité. Au bout dune demi-heure, les gémissements de plaisir cessent. Jentends le bruit dune douche et Ari apparaît sur le seuil de ma porte :
- Je dois aller travailler, je suis déjà un peu en retard. Jai été très content de faire ta connaissance Marc, à très bientôt jespère !
- Moi aussi jai été ravi de ma soirée, jai découvert un plaisir que je ne suis pas près doublier.
A ma grande surprise, Alexandre arrive alors devant ma chambre. Il embrasse Ari, qui quitte la maison quelques instants plus tard. Alex sallonge sur mon lit, face à moi. Il vient coller son sexe encore bien ferme contre le mien et me dit :
- Ari ma demandé de prendre soin de toi, et de te montrer notre hospitalité. Il laurait bien fait lui-même, mais il était vraiment très pressé ce matin. On ta bien baisé hier, mais cétait pour voir jusquoù tu pouvais aller et si tu étais sincère. On peut aussi être plus tendres, et on aime bien aussi échanger les rôles tu sais.
On passe ainsi quelques minutes à se caresser, et puis Alex se retourne. Nous nous retrouvons enlacés en chien de fusil, il ne peut pas ne pas sentir ma bite dure collée entre ses fesses. On continue à se caresser, puis il me demande de me mettre sur le dos, et vient alors me chevaucher. Il empoigne mon sexe en érection pour le placer contre son anus, et il sempale progressivement, tout en me regardant bien droit dans les yeux. Je nai pas de mal à menfoncer, son cul est encore plein du sperme dAri : je sais maintenant qui a fait quoi quand ils étaient tous les deux ! On alterne les moments pendant lesquels cest moi qui fait des va et viens, et ceux pendant lesquels cest lui qui monte et qui descend le long de mon manche. Je peux admirer et caresser son corps musclé et sa bite en érection qui bouge en rythme avec mes coups de boutoir. Cest aussi une première pour moi, car je navais jamais sodomisé quelquun auparavant, et je dois dire quentre ce que je vois et ce que je ressens, jai limpression de vivre un rêve éveillé
Au bout dun long moment, Alexandre me demande :
-Tu as lair daimer ça ?
- Cest vrai que déjà, jaime être en dessous, je trouve que lon profite mieux du corps de lautre, mais là cest encore un niveau de plus.
- Jaime bien te sentir en moi, mais je crois que jai encore plus envie de profiter encore de ton cul.
Alexandre se défait alors de ma prise, et me fait mettre sur le ventre. Il écarte mes fesses avec ses mains, et vient me lubrifier lanus avec la langue. Jaime décidément trop ça, je gémis de contentement, et le laisse alterner sa langue et un doigt, puis bientôt deux. Enfin il mencule. Je suis toujours sur le ventre, une jambe un peu repliée pour le laisser passer, et je ressens chaque coup de rein quil me donne avec de plus en plus de force. A sa demande encore, je me mets finalement à quatre pattes pour quil me prenne en levrette. Il me dit :
- Allez, branle-toi pendant que je tencule !
Je mexécute, et il me sodomise sans ménagement. Quand je sens quil jouit en moi, jéjacule enfin à mon tour.
- Je navais pas ment lidée de tenculer ce matin quand je suis venu dans ton lit, mais jaime bien ton petit cul, et je vois bien que tu aimes ça, pas vrai Marc ?
-Oui, je savais déjà que jaimais bien être un peu dominé, mais me faire enculer ça va encore plus loin et ça me plait beaucoup. Même si je dois aussi te dire que ma bite a adoré ton trou du cul !
Après un passage à la salle de bain pour se raser et se doucher, on prend le petit-déjeuner comme si de rien nétait. On téléphone au garagiste qui promet de passer tout de suite. Deux heures après, la vie a repris son cours normal.
Jai recroisé Alexandre plusieurs fois au bureau, et on sest juste échangé quelques clins dil et des sourires en coin. Hier pourtant, jai revu Alexandre à une nouvelle réunion. En sortant, il me demande discrètement :
- Comment vas-tu Marc ? Tu ne serais pas à nouveau seul quelques jours pour ces congés de Toussaint ? Quand jai dit à Ari que je te reverrai aujourdhui, il ma demandé de tinviter car il a plein didée pour te faire découvrir des nouvelles sensations, il aimerait bien rattr lavance que lon pris tous les deux après son départ
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!