Julie - Une Nouvelle Vie: Retour Chez Marco (Partie 13)

Notre Julie a vraiment passé une étape dans sa recherche du plaisir. Elle vient de se farcir un petit groupe d'ouvriers, et d'encaisser sa première double pénétration anale/vaginale. Par contre, sa copine Aurélie a bien souffert en se faisant empaler sur un énorme gode en forme de bite de cheval. Après l'avoir raccompagnée chez elle, Aurélie reprend la route avec Karim et trouve le moyen de se taper un groupe de lycéens, puis une paire de peintres qui la prennent en double anale, avant de se vider les bourses sur une salade de sperme préparée par Karim.

D'une certaine manière, Julie est déçue de voir partir ses enculeurs. Elle n'a jamais encaissé un tel calibre dans le cul, et son petit trou la brûle terriblement tellement ils l'ont dilaté. Mais, une fois bien adaptée à leur taille, elle a adorée sentir leurs queues en elle. Et tout ce foutre, quel délice ça a été de l'ingurgiter avec tous ces aliments variés.

Nue et à genoux au sol, son corps magnifique luisant de sueur, les cuisses bien écartées sans aucune pudeur, elle les regarde se rhabiller leur faisant une petite moue déçue, un doigt sur la bouche et tortillant une mèche de cheveux. Elle ressemble à une petite fille déçue qu'on lui ait pris son jouet et qu'on ne veuille pas lui rendre.

L'un des peintres s'approche d'elle est l'att par le menton:

-Tu sais ma belle, on resterait bien l'après-midi à te défoncer, mais il faut qu'on retourne sur le chantier!

-Oui, mais t'inquiètes v'la not' 06, si jamais t'as encore la dalle on peut s'arranger.

Les deux ouvriers prennent congé en remerciant Karim pour l'opportunité et lui remettent leur numéro de portable. Le jeune homme les checks et sans même un regard pour la belle, fourre le bout de papier sur lequel il a pris leur numéro dans le sac de Julie. Puis il se cale dans son fauteuil et dévore son repas devant les images de la petite asiatique en train de se faire prendre par le turc.



Julie se retrouve bien seule, à poil au milieu de la salle de repos, le maquillage dégoulinant sur son joli minois. Elle ne sait trop que faire, et après quelques instants d'hésitation se relève difficilement. Perchée sur ses talons hauts, l'anus endolori, elle ramasse se micro-robe et l'ajuste de nouveau à ses formes généreuses, puis machinalement, récupère le rosebud qu'elle remet dans son sac.

Une fois le petit objet métallique rangé, elle sort son kit de maquillage de secours, et se refait une beauté. Elle nettoie les traces de coulures sur ses joues, et, se regardant dans son petit miroir de poche, opte pour quelque chose de discret. Elle se contente de souligner son regard à l'eye-liner et repasse une simple couche de gloss sur ses belles lèvres charnues. Elle s'admire une nouvelle fois, et malgré la fine touche de mise en beauté, elle se trouve bandante à souhait.

-Bon ben je vais y aller moi!

Karim se retourne vers la petite, comme surpris qu'elle soit encore là.

-Ouais OK! Mais avant que tu partes, jette un coup d'oeil à ça...

Alors qu'à l'écran elle peut voir les ouvriers du chantier la prendre en double dans le cagibi du glory hole, il lui montre l'écran de son smartphone. Le navigateur pointe sur le site web du sexshop et la jeune fille observe incrédule que le site publie déjà un teaser de la vidéo relatant ses exploits.

-Putin y perd pas de temps le vieux! Il a à peine fini le montage de ton film qu'il en fait déjà la promo sur son site.

Il retire le flash drive de sa télé, et le secouant sous le nez de la petite, et ajoute:

-On va se faire un paquet de tunes avec ça! Dommage qu'il ait pas encore eu le temps de monter le film de ta copine. Il doit pas avoir suffisamment de rush.

Julie fait un bilan rapide dans sa tête. Ça fait tout juste un jour et demi qu'elle expérimente sa nouvelle vie sexuelle, elle s'est déjà farcie des dizaines de bites, et maintenant, il y a même un film de ses exploits.
Elle ne sait pas si elle doit être flattée ou en rogne. Prenant son courage à deux mains, elle décide d'aller demander des explications au gros rital.

Abandonnant Karim, elle déboule dans le sexshop d'un pas décidé, les miches bringueballées dans tous les sens. Les clients du magasin se ravissent de voir une si belle paire de loches à peine soutenues traverser l'allée en direction du comptoir d'accueil. Le petite se plante d'un air renfrogné, les bras croisés sous sa belle poitrine, devant l'énorme patron. Le spectacle est presque caricatural, la petite midinette aux gros seins qui tient tête à un vieux bonhomme gras du bide.

-Comment avez-vous pu publier de telles vidéos? Sans mon consentement, en plus!

-Wow wow, du calme ma p'tite! On voudrait pas que ces gros roberts se fassent la malle.

Calmement le rital se penche derrière son bureau et en ressort deux documents que Julie reconnaît immédiatement. "Merde les contrats!" Il secoue avec un grand sourire les contrats de cession de droit à l'image que les deux gamines avaient signés dans la matinée.

-Eh oui ma p'tite, tu m'as donné l'autorisation de faire ce que je voulais des films te concernant en ma possession.

Une nouvelle fois, Julie se retrouve piégée pour avoir signé un document sans en mesurer toutes les conséquences. Et maintenant, le vieux pervers peut faire ce qu'il veut des vidéos qu'il possède des deux gamines. Prise de colère, plus contre elle-même que tout autre chose, la petite sort en trombe du magasin non sans saluer son tortionnaire d'un bon doigt d'honneur. Le patron la regarde s'éloigner, à moitié à poil dans la rue, un grand sourire éclairant son visage. "T'inquiètes petite on se retrouvera!"

La jeune fille se retrouve seule dans la rue qui la ramène chez elle. Elle réalise qu'elle va devoir se débrouiller pour rentrer chez elle, seule, dans son attirail dévoilant tous ses charmes et laissant peu de place à l'imagination.
Dix minutes qui pourraient être les plus honteuses de toute sa vie. Puis elle voit son reflet dans la vitrine et constate encore une fois à quel point elle est bandante dans ce petit ensemble.

"J'les emmerde tous! Pourquoi est-ce que je pourrais pas être fière de mes formes" Même si elle doit repasser devant les ouvriers du chantier et leurs potes, elle n'a pas à avoir honte de ce qu'elle est devenue. Elle va marcher la tête haute, fière d'être une magnifique jeune fille, même si dorénavant elle aime qu'on lui reluque le cul et qu'on lui enfourne de belles grosses bites pleines de foutre bien chaud.

Dandinant du cul, elle passe, non sans une certaine appréhension, devant le chantier où travaillent les frères Ivanov et leurs collègues. Comme elle s'y attendait, les commentaires ne tardent pas à pleuvoir: "Hey poulette, tu veux pas me vider moi aussi?", "Few, mais quel cul, viens voir papa!", "Aouuu, t'as l'cul en feu, viens ici que j't'arrose avec ma lance!" ... "Hey p'tite garce, regarde ma nouvelle écharpe!"

Cet accent, elle le reconnaît, c'est un des deux frères. Elle l'observe et constate qu'il porte la petite robe de sa mère en écharpe. C'en est presque mignon, elle lui lance un regard de défi et d'un petit clin d'oeil lui envoie un bisou. "Wow mec, j'crois qu'la p'tite est amoureuse!" L'ensemble des ouvriers est en transe, ils font une ovation à la belle asiatique qui les aguiche sans complexes.

Julie est contente, elle est finalement très fière de son nouveau statut. Les chantiers sont pleins de gros vicelards, elle pourrait bien s'intéresser à ce genre de lieu lorsqu'elle sera en manque. "Merde, si j'avais pas la cul en feu j'me s'rais bien taper quelques spécimens!" Déçue, la chatte en manque d'une bonne bite, elle continue son chemin en leur offrant un dernier spectacle de ses seins ballants, et tordant du cul, elle leur fait à tous un petit salut de la main.

La petite couvre les dix minutes qui la sépare de chez elle sans encombre.
Les quartiers pavillonnaires qu'elle traverse sont quasiment vides, et elle n'a aucune cité à traverser. Arrivée au coin de sa rue, un dernier point l'inquiète tout de même, va-t-elle pouvoir rentrer chez elle sans que sa mère ne la voit dans cet accoutrement?

En approchant de la maison, elle ne voit pas la voiture d'Hector, soit il est reparti, soit ils ne sont pas encore rentrés. Julie s'approche lentement de chez elle tentant de repérer le moindre signe lui indiquant la présence ou non de sa mère. La jeune fille entre doucement chez elle, visant les escaliers pour s'y précipiter au moindre signe de présence d'Annie.

Heureusement pour Julie, sa mère n'est pas là. Comme à son habitude, elle lui a laissé un message sur le frigo. Elle lui annonce qu'elle est repartie avec Hector et qu'ils ne seront pas rentrés avant tard dans la soirée. La petite est soulagée, elle peut se détendre et va enfin pouvoir retrouver sa Lilie.

Elle retire ses talons hauts qui la font énormément souffrir depuis cinq minutes. "Décidément pas le genre de shoes à mettre pour faire les magasins" Elle monte ensuite dans la salle de bain se libérer de sa micro-robe, et rejoint sa copine dans sa chambre entièrement nue. Elle se glisse sous la couette et se colle contre la peau satinée de la brunette, qui s'étire comme un félin et se réveille sous ses caresses.

-Ma Juju, t'es revenue, enfin!

-Oui ma chérie, je suis là! Bien dormi? Comment tu vas ma puce?

Aurélie se câle contre sa copine, lui att le bras pour qu'elle lui entoure le ventre. Ce contact la rassure et la soulage un peu.

-Ca va pas! J'ai mal au bide et la chatte en feu.

-Tu as mal? ca va passer c'est rien.

A ces mots, la brunette s'écarte vivement de Julie, s'assoit dans le lit et dévisage son amie.

-C'est rien? Ces porcs m'ont fait bouffer leurs bites et leur foutre infecte, ils m'ont e à faire des trucs de taré et m'ont explosée le vagin! et tu dis que c'est rien!

-Je croyais que tu étais d'accord.

-Mais t'es folle toi! Je t'ai suivie parce que t'es mon amie, je t'ai fait confiance, c'est tout! Déjà sucer les pauvres types de la mairie c'était limite craignos, mais laisser l'autre gros porc et ses potes me défoncer les trous, heureusement qu'aucun de ces vicelards ne m'a enculée!

Julie est interloquée, elle ne pensait pas que sa Lilie avait autant soufert. Elle ne sait pas trop quoi lui répondre.

-Mais tu avais l'air d'avoir kiffer la grosse bite de François, et j'te signale que c'est toi qui était en transe devant la fausse bite de ch'val!

La réponse de Julie désarçonne Aurélie, c'est vrai qu'elle en avait envie de ce gode, l'idée de s'amuser avec un sexe aussi énorme l'avait même fait mouiller, Mr. Louis ne s'était pas tromper, elle en avait envie. Mais non, c'est Julie qui l'a entrainée dans cette galère, elle ne va pas s'en tirer à si bon compte.

-Mais t'es malade ma pauv' fille, faut te faire soigner toi! Et c'est quoi cette odeur? Tu pues encore le foutre! T'étais où?

-J'étais avec Karim.

-Il t'a baisée?

-Oui.

-Et t'acceptes tout ça?

-Oui, je suis d'accord. Ils me violent pas tu sais. Je le fais parce que j'ai envie aussi. Y'a quelque chose qui a tilté en moi, j'aime bouffer leurs queues, j'aime me faire sauter par tous ces mecs. Je sais pas, c'est bestial, c'est ennivrant, c'est bon!

-Putin, mais Julie ! je croyais que t'étais une fille sage?

-Trop certainement.C'est vrai que j'étais sage, mais je viens de découvrir que j'adore le sexe et j'ai vraiment envie de continuer comme ça. Merde, je viens de bouffer une salade arrosée de sperme et j'ai complètement kiffé!

Aurélie saute du lit, surprise par ces derniers aveux. Dans un geste de dégoût elle observe sa copine nue sur son lit.

-Wouahou! Mais t'as un grain Juju! Tu te rends compte qu'on a été filmées en plus? Ca c'est pire que tout, ça va circuler, on est grillées. Nos parents nos amis, quelqu'un va ment tomber dessus. Faut les récupérer Julie!

-Et alors, c'est du sexe, y'a rien de mal. On a le droit d'avoir une sexualité non. Et puis tu crois que ton père est pas content de mater du porno? Y faut bien qu'il y ait des filles comme nous pour les tourner, non?

-Mais Julie?! Quand faudra trouver du boulot, ça peut ressortir. Ca peut flinguer une vie ce genre de conneries. Tu fais ce que tu veux mais moi, je ferai tout pour les récupérer.

-Ok, Lilie. Je t'ai foutue dans la merde, je suis désolée. Je suis désolée que ça ait été trop loin, je voulais pas te faire de mal. Fais moi confiance, je vais les récupérer rapidement.

-T'as intérêt Juju ! J'en ai assez entendu pour aujourd'hui, je vais rentrer. Appelle-moi quand t'as les vidéos ok?

-Ok Lilie. Excuse-moi.

-Je te pardonne ma Juju, mais tu m’inquiètes à faire la pute, tu prends trop de risques là.

Aurélie s'abandonne soudain, et se précipite en pleurs dans les bras de son amie. Julie lui caresse la joue, écarte ses jolies anglaises et fige son regard dans ces grands yeux couleur acier. Elle l'embrasse avec ardeur, leurs souffles se mélanges. Les deux gamines entortillent leurs langues, se fouillent la bouche, s'enlacent, et ondulent l'une contre l'autre.

La libido de Julie s'enflamme comme une trainée de poudre, mais Aurélie la stope nette. Le souvenir trop frais de ces énormes sexes artificiels, les odeurs de sperme sur son visage et dans sa bouche, l'idée que sa mère ou son beau-père puissent tomber sur une vidéo d'elle, tout ça la bloque. Même sa Juju n'arrive pas à lui faire oublier la vaginale subie le matin même sur son gode démesuré, elle s'écarte de sa copine.

-Désolée ma puce, je peux pas. Je ... ILS sont allés trop loin!

Aurélie se détourne de Julie, ramasse ses affaires, enfile vite fait un ensemble qu'elle sort de son sac, et part sans se retourner. Julie se retrouve seule, nue dans son lit, partagée entre le stress d'avoir mis sa copine dans la merde et l'envie de se carresser. "Merde, pourquoi est-ce que je mouille alors que ma Lilie vient de me planter? Qu'est-ce qui m'arrive?"

Il faut absolument qu'elle se calme. Ca fait déjà un jour et demi qu'elle se perd dans sa nouvelle vie sexuelle, elle se rend compte maintenant qu'elle a fait et subi des choses très extrèmes. Les pipes en public, tout ce sperme, et le plaisir qu'elle a resentie à se laisser envahir par autant de mâles. Il faut qu'elle se change les idées. Elle se lève et fouille dans ses placards, en quête d'une nouvelle tenue. Julie se rend bien compte que sa garde robe n'ira pas avec son nouveau statut et son nouveau job. En plus, dans deux jours elle doit déménager et dans quatre jours elle commence à travailler pour Marco, il ne lui reste donc plus beaucoup de temps pour finir tous ses préparatifs.

La petite se décide pour une tenue confortable, un t-shirt assez lâche et un bas de jogging taille basse serré aux mollets par un petit élastique qu'elle porte à même la peau. Elle a pas mal de choses à faire avant le retour de sa mère, il faut qu'elle fasse ses cartons, et qu'elle trouve un moyen pour les transporter dans son nouvel appartement. Enfin, elle doit refaire sa garde-robe, elle espère se faire un maximum de pourboirs chez Marco, et quoi de mieux pour séduire tous ces mâles que de belles tenues sexy à souhait.

Tout d'abord elle s'attaque à son plus gros problème, trouver quelqu'un pour l'aider à transporter ses cartons. Elle essaye de joindre Tarik et Moussa, mais sans succès. Puis elle tente d'amadouer Karim pour lui filer un coup de main, mais le jeune caïd refuse de "niquer sa caisse avec ses cartons de poufiasse". Elle ne sait plus trop vers qui se tourner, quand tout à coup, elle repense au turc. "Pourquoi pas, après tout ce gros vicelard peut bien me rendre un petit service, après la cartouche qu'il m'a mise!"

Elle se connecte au site de la compagnie de transport où travaille le turc et trouve le numéro de l'entrepôt où elle a subi les délires sadiques de ce mâle sauvage. Elle compose le numéro de l'accueil et demande directement à parler au turc. "Tout le monde doit le connaître!" En effet après quelques secondes d'attentes, elle reconnaît le "tact" et la grosse voix de son amant.

-Ouais, c'est pourquoi?

-Bonjour, c'est Julie, la jeune fille que Tarik et Moussa ont racompagnée hier dans votre berlingo.

-Ah ouais, la p'tite asiat' aux grosses mamelles? Qu'est-ce que tu m'veux p'tit cul?

-Ben, voilà, j'emménage au-dessus du bar de Marco dans deux jours, mais je n'ai pas les moyens de m'offrir un service de déménageurs. Je me demandais, si Tarik, Moussa (une petite pause) ou vous même pouvez me filer un coup de main?

-Ha ha ha ha elle est pas mal celle-là! Tu du culot ma p'tite. T'as p'tet pas les moyens pour un déménageur, mais tu crois quand même pas que j'vais m'casser l'cul gratos non plus?

-Non bien sûr, (Julie toute tremblante d'anticipation à ce qu'elle est sur le point de proposer) mais je suis sûre qu'on peut trouver un (une autre pause) arrangement ?

-Ah ben voilà, maintenant on parle le même langage. Bon, voilà c'que j'peux te proposer: une semaine!

-Une semaine?

-Oui, pendant une semaine, je dispose de ton p'ti cul, quand j'veux, où j'veux et comme je veux! Deal?

-Toute une semaine? Mais je commence à bosser chez Marco dès Lundi! (...) Qu'est-ce que vous pensez de 4 jours sur une période de 7 jours?

-Hum (il pause à son tour comme si il devait réfléchir) Bon allez! OK, va pour 4 jours sur une semaine mais on fête ta crémaillère ensemble samedi soir. C'est à prendre ou à laisser!

N'ayant pas d'autre alternative, et dans un délai aussi court, la petite asiatique accepte les termes de cette proposition. Elle lui transmet son adresse et lui donne rendez-vous le samedi matin, à une heure où elle sait que ses parents ne seront pas à la maison pour récupérer ses cartons.

"Bon c'est pas l'idéal, mais v'là une bonne chose de faite! Bon allez maintenant il faut que j'moccupe de mes fringues." Julie s'installe à son portable pour faire des recherches sur ce qu'elle pourrait bien porter pour satisfaire sa "clientèle". Elle se connecte à un moteur de recherche et visualise un certain nombre de tenues sexy, quelques tenues fétiches. Elle continue quelques minutes puis dérive sur les accessoires types chaussures, escarpins, sandales, boucles d'oreilles, etc...

"Merde, v'la le budget! Comment j'vais faire pour financer tout ça?" Il est vrai que la jeune fille n'avait pas envisagé de budget spécifique pour le renouvellement de sa garde robe. Elle ne peut décemment pas demander d'argent à sa mère pour s'acheter de nouvelles fringues, surtout le type de tenues sexy sur lesquelles elle a jeté son dévolu. En désespoir de cause, elle se connecte à sa banque en ligne, et reste désesperée devant le mauvais état de santé de son compte courant. Sur la page d'acceuil d'où elle voit tous ses comptes, elle réalise qu'elle n'a jamais touché à son épargne. "Putin! mais c'est vrai, j'peux taper dans mon livret" Après un rapide calcul elle décide de transférer une somme de son livret sur son compte courant. "Après tout je vais commencer à bosser, je remettrai tout sur mon livret au fur et à mesure"

Elle a à peine terminé sa transaction que son phone vibre. "Tiens, un message de Marco":

<Salut ma belle, petit pépin, je ne serai pas au bar samedi pour ton eménagement. Si tu peux passer ce soir ou demain on peut signer les derniers papiers et je te donne direct les clés :)>

<Pas de problèmes, aujourd'hui c'est un peu court, mais demain c'est possible. vous voulez qu'on se voit au bar?>

<Non, passe chez moi vers 18h00. Voilà mon adresse ...>

Julie est toute émoustillée à l'idée de se rendre chez son patron, il faut absolument qu'elle se fasse belle pour lui. Pour une raison qu'elle ignore, elle a envie de plaire au géant d'ébène. Est-ce le côté rassurant de cet homme à la force herculéenne, ou bien la manière dont il l'a déjà faite hurler de plaisir sous la douche, mais c'est sûr, Julie ne pas lésiner sur les moyens pour le séduire. Dans la foulée, elle prend rendez-vous chez la manucure pour le lendemain matin.

Ensuite, elle fait la liste des magasins où elle se rendra demain en priorité pour ses amplettes les plus pressées, à savoir une tenue pour aller chez son patron, une petite tenue confortable et sexy pour se détendre et enfin une deuxième tenue sexy pour fêter la pendaison de crémaillère. Quant à ses tenues de travail, elle commande quelques panoplies en ligne qu'elle se fait livrer directement à sa nouvelle adresse, et qu'elle compte bien se faire rembourser par Marco. Elle sait qu'elle risque de passer à la casserole pour ça aussi mais elle fera tout pour renflouer son épargne au plus vite.

Elle passe le reste de l'après-midi à mettre en carton les affaires dont elle aura besoin dans sa piaule et en profite pour cacher les sacs de "cadeaux" offerts par Mr. Louis dans son carton de sous vêtements et autres effets "très" personnels. Elle espère de cette manière que personne n'osera l'ouvrir et y découvrir ses nouveaux trésors. Elle y met son propre sac, le sac que Lilie a laissé, les gadgets que ce vieux vicieux a caché dans son sac à main et son gode à manche.

Il lui faut encore trouver un moyen de récupérer les vidéos dans sa copine chez le rital. Le problème auquel elle est confrontée est que même avec ses économies elle n'aura jamais les moyens de racheter les droits à l'image au rital. Une idée en menant à une autre, elle connait une personne qui aurait aisément ce genre de moyens. Le beau-père d'Aurélie est très bon pote avec Alex, un cadre supérieur quadragénaire et célibataire, apparemment plein aux as, qui en plus avait flasher sur Lilie à une époque où tous deux jouaient à se séduire mutuellement via SMS. Julie tente le coup et lui envoie un texto.

<Bonjour Alex, je suis Julie, la meilleure amie de Lilie. Nous nous étions vus il y quelques temps lorsque vous la promeniez derrière vous en moto. J'ai besoin de votre aide, est-ce que vous pouvez me contacter lorsque vous aurez un peu de temps?>

Voilà, c'est fait, vu ses goûts pour les jeunes midinettes, il devrait la recontacter sous peu. En attendant, la journée touche à sa fin et la jeune fille est bien fatiguée. Affamée, elle se prépare un bon repas, c'est pas avec la salade qu'elle a avalée qu'elle va pouvoir passer la nuit. Et le sperme c'est peut-être plein de protéines mais ce n'est pas très nourissant. Seule, elle se fait un plateau repas, et ne tarde pas à somnoler devant la télé. N'attendant plus le retour de sa mère, elle décide alors d'aller se coucher et tombe très vite de sommeil.

Elle se réveille le lendemain matin, il est déjà passé neuf heures, un peu paniquée, elle vérifie l'heure sur son phone et constate qu'Alex lui a répondu dans la nuit.

<Bonjour Julie, oui je me souviens de toi. Tu es difficile à oublier :D Je suis en déplacement mais je rentre demain soir (samedi), si tu veux on peut se voir! ;)>

<Si vous voulez, vous pouvez passer me voir dans mon nouvel appart' (adresse du bar de Marco) dimanche après-midi. Il faut que je vous parle de Lilie!>

"Avec ça il va surement passer, il tient trop à Aurélie!" Julie enfile sa nuisette et déscend prendre son petit déjeuner. Sa mère est rentrée tard la veille, elle lui a préparé un bon café chaud et quelques viennoiseries, et lui a même laissé un petit mot pour s'excuser d'avoir passer autant de temps avec Hector ces derniers jours. La jeune fille se restaure, prend une douche rapide et s'habille décontractée pour aller faire ses petites amplettes de la journée, il lui tarde de rejoindre son Marco.

"Merde, déjà dix heures et demi, faut que j'me bouge les fesses!" Elle fonce au centre ville dans une tenue légère afin de ne pas trop transpirer, mais pas trop découverte pour éviter toute tentation. Il faut qu'elle se préserve pour ce soir. Elle arrive sans encombres à son rendez-vous et une heure et demi plus tard en ressort satisfaite de sa séance. Elle file se restaurer à son fast-food "préféré", y commande sa salade césar habituelle. "Hum, dommage pour l'assaisonnement, finalement je m'y fais au goût de sperme! Ca me manquerait presque."

Elle ne perd pas trop de temps à bouffer, il faut qu'elle trouve ses trois tenues, au moins deux paires de shoes, les accessoires qui vont bien. Trois heures plus tard, et son compte de nouveau presque à sec, elle sort du dernier magasin et reprend le chemin de la maison. Il faut qu'elle se magne si elle veut se préparer et partir afin que sa mère ne la surprenne pas dans cette nouvelle tenue qui devrait plaisir à son patron.

Julie rentre chez elle, les bras chargés et dégoulinante de sueur, mais toute excitée à l'idée de retrouver son Marco dans quelques heures. Sans compté que demain soir elle sera chez elle prête à voler de ses propres ailes. Sa liberté toute nouvelle a un prix, elle reste dépendante de Marco qui est son bailleur et aussi son employeur et le turc avec qui elle a dû négocier ses faveurs pour qu'il l'aide à déménager. Même si elle est dépendante de leur bienveillance, elle arrive pour l'instant à obtenir ce dont elle a besoin. Avec son cul certes, mais le résultat est là. Sa mise en beauté lui a coûté un bras, mais la jeune fille est convaincue d'avoir fait un bon investissement dans le but assumé de plaire à tous ces hommes.

Bon, maintenant il ne faut pas qu'elle traîne, sa mère rentre d'ici moins d'une heure, il faut absolument qu'elle ait quitté la maison d'ici là. Annie ne supporterait pas de la voir fringuée comme elle l'a prévu, et elle espère bien que Marco tombera sous son charme. Elle se précipite dans sa chambre encore en plein bazar et cache ses nouvelles fringues dans un des cartons éparpillés sur le sol.

Elle fonce ensuite sous la douche, se frictionne les seins, nettoie bien sa petite vulve alors que son esprit divague déjà vers de pensées lubriques. Marco ne résistera pas, il va bander comme un cheval en la voyant, il va vouloir la baiser. La gamine se laisse aller à quelques instants de bonheur, exposant son clitoris, elle se masse avec le jet tiède de la douche. "HUN, vivement que je sente cette belle queue en moi!"

La jeune fille se fait du bien mais elle n'a pas le temps de se faire jouir. Elle doit encore faire une petite intervention de nettoyage "en profondeur" Elle dévisse la pomme de douche et s'enfile le tuyau dans les fesses voulant être nickel de partout au cas où. Elle commence à connaître les hommes, et sait très bien qu'ils adorent son petit trou.

Doucement elle sent son colomb se remplir, la sensation est douce et agréable. Julie, une fois pleine, retire doucement le tuyau de son rectum. Contractant ses sphincters, Julie sort de la douche ruisselante et mouillant abondement le sol de la salle de bains. Avec décontraction, elle s'assoit sur la cuvette, Le lavement fait son oeuvre et demande à sortir. Sans résistance Julie l'expulse. Elle remonte dans la douche et termine de se laver, ne pensant qu'à une chose: être parfaite pour Marco.

Elle sort de la cabine de douche, et se sèche soigneusement, puis elle se passe un lait coporel parfumé sur tout le corps. Ses caresses sont voluptueuses et agréable. Enfin, mouillant légèrement ses longs cheveux noirs, elle les lisse parfaitement au fer. De cette manière, il tombent de toute leur longueur jusqu'à la naissance de ses fesses.

Arrive le maquillage, une simple touche de fond de teint suffit à éclairer son teint naturel de porcelaine. Sur la pointe des pieds, elle se farde abondamment les paupières de tons allant du violet au blanc en passant par le rose. "Un vrai maquillage de cagol!" se dit-elle avec satisfaction. Elle accentue ce maquillage excessif d'eyeliner, dessinant le contour de ses yeux en amande. Elle termine par une tonne de masquara pour allonger ses cils au maximum. Elle se recule d'un pas et se contemple. Une couche de gloss rose acidulée pour la touche finale et elle se dirige vers sa chambre pour s'habiller.

Arrivée dans sa chambre, entièrement nue, Julie sort sa nouvelle tenue avec excitation. Elle enfile le tout petit string en dentelle noire puis pour habiller ses jolies jambes parfaitement galbées, mais un peu blanche à son goût, elle passe une paire de bas nylons couleur chaire. Elle prend toutes les précautions du monde pour ne pas les filer avec sa tout nouvelle manucure.

La veille d'un déménagement, ce n'est pas ment malin, mais elle s'est laissée tenter imaginant déjà ses jolis doigts manucurés branlant une belle queue bien dure. Au salon de manucure, elle expliqué exactement ce qu'elle voulait, des faux ongles assez longs aux bouts carrés arrondis. Pour la couleur, elle a opté pour une décoration rose et argent à la fois sobre et super girly.

Une fois les bas bien en place, Julie enfile sa robe et l'ajuste devant son miroir. Son mètre soixante et ses hanches fines lui imposent des petites tailles, pas vraiment adaptées à sa poitrine généreuse. Ce sujet de complexe est au final un atout indéniable. La petite robe en vinyle la moule parfaitement, Julie est satisfaite, les manches longues arrivent jusqu'aux poignets, un laçage decouvre ses épaules et tout l'extérieur des bras d'une touche très sexy, bien que ce ne soit pas l'atout premier de la tenue.

En effet, cette nouvelle robe est très courte, elle descend quelques centimètres sous le plis fessier juste assez pour cacher la jarretiere de ses bas. Un profond decolletée découvre à l'avant la moitié intérieure de ses seins pour s'arrêter au dessus du nombril. Le décolleté et le dos nu très profonds sont tous deux tenus par un laçage un peu fétichiste, donnant l'illusion de cacher un peu plus le corps de Julie pour un peu plus de décence.

Julie enfile ensuite ses nouveaux escarpins à bouts ronds, magnifiques de simplicité, il sont noirs vernis avec un talon d'une finesse à faire croire qu'ils vont se briser. Elle a demandé les plus hauts possibles à la vendeuse, 14 centimètres avec une petite plateforme de 3 centimètres, il offrent une jolie cambrure qui fait ressortir encore un peu plus le jolil petit cul et la poitrine généreuse de la jeune salope.

Enfin, Julie accroche les boucles d'oreilles créole et les bracelets fantaisies qu'elle a choisi dans la boutique d'accessoires.

"Parfait, je suis sûre que Marco va adorer!" Il ne faut pas trainer, sa mère va bientôt rentrer. Elle att son sac et y jette le maquillage nécessaire a une retouche avant de sortir.

La jeune fille commence à bien s'habi à sa nouvelle posture, perchée sur ses talons, tortillant élégamment du cul, elle arrive à marcher à une bonne cadence, alors qu'elle se dirige vers son arrêt de bus. Contrairement aux jours précédents, sa nouvelle tenue offre un bon maintien à ses gros seins. Par contre elle n'a toujours pas réglé le fait que le bas de la robe remonte toujours un peu plus à chacun de ses pas. En choisissant ces bas, elle éspérait que les jarretelles offreraient une certaine résistance au vinyle, mais c'est peine perdue, on commence déjà à deviner la forme de la fine dentelle.

Elle arrive enfin à l'arrêt du bus qui a vu éclore la nouvelle sexualité de notre héroïne. Instinctivement, elle s'attend à voir s'ouvrir la porte du bus sur le grand Moussa et son beau spécimen. Quelle déception lorsqu'en fait c'est une sorte de grosse vache revèche qui l'accueil d'un "HUMPH" qui en dit long sur l'opinion qu'elle a sur la belle asiatique qui présente son pass' devant la badgeuse.

Et Julie n'est pas au bout de ses surprises, le bus est presque vide, mis à part un couple de vieux tout ridés, une mère à la culotte de cheval, et les bourelets débordant de son taille basse mal ajusté, accompagnée de deux moufflets. Un groupe de vielles filles mal fagottées qui vont surement essayer de draguer une bande de buveurs de bière dans un bar miteux, à la recherche d'un trou pour dégorger leur poireau. Au milieu du bus, la petite observe un vieux qui la regarde en dessous de sa casquette, son regard ne monte jamais plus haut que la poitrine généreuse de la belle. Julie décide d'aller s'installer à l'arrière aux côtés de ce qui ressemble à un comptable vétu d'un costume bon marché, un peu passé par les années.

Alors qu'elle remonte l'allée centrale du bus, elle entend les remarques déplacées à son encontre. Rien à voir avec les sifflements et les quolibets pervers mais flatteurs des gars du chantier, "Comment peut-on sortir dans cette tenue?", "De mon temps les jeunes filles savaient se tenir", "Les s, regarder le gros camion!", "PFFF r'garder moi ça c'te trainée, elle doit vite écarter les jambes!", "HAHAHAHAHAHA", "HUMPH!"

Julie ne se sent pas bien, jusqu'à présent, au mieux on l'ignorait lorsqu'elle cachait ses formes dans ses jogging, au pire on la sifflait pour la complimenter de ressembler à une allumeuse. Mais là, le niveau de dédain touche profondément la petite asiatique. Elle s'approche du "comptable" qui est le seul à la regarder avec envie. A peine assise à ses côtés, elle constate que le freluquet en costard à une gaule d'enfer. "OUF enfin un qui aime ce qu'il voit!" Et pour cause, en s'asseyant, sa petite robe est remontée sur ses cuisses pour faire apparaître ses jarretelles. Julie essaye de tirer sur le vinyle, mais c'est peine perdue, elle ne pourra pas cacher la jolie dentelle.

Tout géné, le "comptable" cache sa virilité avec sa sacoche. Julie l'observe du coin de l'oeil, et lorsque leur regard se croise, elle lui fait un joli sourire, espérant qu'il se détende un peu. Son visage tourne au rouge écarlate. Aucune jeune fille aussi mignone n'a jamais dû lui prêter la moindre attention. La gamine au regard fardé, et à la bouche pulpeuse brillante de gloss, est touchée par la vulnérabilité de cet homme.

Au bout de quelques minutes l'ambiance lumineuse change et s'assombrie. Le bus s'engage déjà sur l'autoroute. "Tiens, l'autre conne ne s'est pas arrêtée à la cité." Julie constate que plus personne ne lui prête aucune attention, comme pour tout événement les gens se désintéressent vite de ce qui ne les touche pas directement.

Sans mot dire, Julie profite de l'intimité du fond du bus pour glisser sa main sous la serviette de son voisin. De son plus beau sourire, la tête un peu inclinée sur le côté, la petite joue un jeu de séduction avec cet homme qui n'a ni charme, ni carisme, ni même de carrière apparemment. Sa fine main fraichement manucurée commence à carresser le sexe bien dur au travers du tissu du pantalon. Le "comptable" crispe ses doigts noueux sur le cuir de sa sacoche, alors que la belle descend doucement sa braguette. Jouant avec les élastiques de son slip, elle arrive à extraire le bout de chaire blanches bien dur et commence à le carresser de haut en bas.

"Le pauvre, on dirait qu'il est en transe!" Julie joue avec le gland, le carresse, le titille, la sueur commence à perler sur le front de l'homme. La jeune fille att alors le petit sexe tout dur à pleine main et se met à le branler énergiquement. L'homme ne tarde pas à montrer des signes de panique, il ne sait pas où il va gicler son sperme. Julie de sa main libre lui appuie gentiment sur la cuisse, puis remonte le long du pantalon et la passe elle aussi dessous la sacoche. Elle en recroqueville la paume qu'elle présente en dessous du gland. Soulagé, le "comptable" se relâche un peu et Julie sent dans sa main active les premières contraction annonçant l'éjaculation imminente.

Malgré la dextérité de la jeune fille, seules quelques giclées de sperme bien gluant explosent dans la paume de sa main, le reste part un peu dans tous les sens s'écrasant soit sur l'arrière de sa serviette en cuir, soit à même le sol. Elle continue pourtant de branler tendrement le sexe molissant et luisant de sperme, et dans un bruit visqueux de masturbation et en extrait les dernières gouttes. La jeune fille embrasse tendrement la joue de son "comptable" et retire minutieusement sa main dégoulinante de sperme blanc en veillant à ne pas se tâcher. Elle vérifie que personne ne les observe et d'un regard coquin vers l'homme, elle la porte à sa bouche et la nettoie. Elle demande tout de même un mouchoir à l'homme afin de bien lui nettoyer le sexe maintenant tout mou et tout luisant.

Fière de sa bonne action, la petite asiatique se sent beaucoup mieux, elle finit tout de même de se nettoyer les doigts avec le kleenex que lui a tendu son "comptable" puis se refait une beauté d'une touche de gloss. Oubliés les quolibets, les remarques douteuses du début de voyage, elle sait qu'elle peut faire du bien autour d'elle. Elle se sent belle, elle est fière d'avoir avaler le sperme rance de ce parfait inconnu. Maintenant, il pourra se branler en pensant à la belle brune aux énormes seins qui l'a tendrement branlé, puis a avalée son foutre au fond d'un bus.

Après ça, le trajet jusque chez Marco n'est plus qu'une formalité. La petite a du bol, il habite sur la même ligne qui mène à son bar, tout juste deux arrêts plus tôt. Le bus sort de l'autoroute, et la belle asiatique appuie sur le bouton notifiant la chauffeur qu'elle désccend à l'arrêt suivant. Lorsque le bus s'arrête, la petite ne perd pas de temps et sort pour se diriger vers l'adresse de Marco. Ce dernier habite un quartier pavillonnaire plutôt récent. Sa gande maison est à l'image de son propriétaire, très imposante mais pas tape à l'oeil. Julie replace ses cheveux longs et sa petite robe, et sonne.

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