Bac D, Oral
J'étais plutôt tremblant de trac à la porte de la salle de cours où avait lieu l'examen. On regardait par les carreaux sales ce qui se passait à l'intérieur. Nous, c'étaient les trois filles et les deux garçons qui attendions notre tour de passer l'oral.
La prof était assise à un bureau d'élève et le candidat ou la candidate était à sa droite, debout, crispé. On voyait cela par la porte vitrée.
La prof était jeune. C'était une belle femme. Moi je pensais, si j'avais eu un prof comme ça j'eusses bossé les maths à fond. Lieu qu'avec ce vieux chnoque qu'on a eu tout au long de l'année, on n'a rien branlé, ni Pytagorre ni Thales ni rien d'autre en géométrie. Et encore moins en algèbre.
Je pensais quand ce sera mon tour je materai ses beaux nibars avec pointus par devant. L'est belle, cette prof !
Je n'avais même pas de pensée pour la note... et je regardais l'étiquette collée au carreau avec son nom calligraphié : Mlle Mistriquette, tout un programme.
C'était juin et vu le réchauffement climatique on était, pour la plupart, en pantalon léger, chemisette. Petits jeunes gens de province encore puceaux et pas bien dégourdis.
Je ne faisais pas exception.
Mon short anglais à longues jambettes me faisait silhouette jeune. Je ne me doutais pas qu'il serait l'artisan principal de ma réussite à l'examen.
À longuement mater la prof par la porte vitrée j'avais chopé grosse bandaison. La chanson de Sylvie tournait dans ma tête. Tous mes copains... Et j'étais déterminé à macroner cette belle femme lieu de seulement passer examen.
Le short moulait mon paquet en indécence. Le bitos tendu présentait son gland décapuchoné en estafette. Et les deux couilles gonflaient le tissu par en dessous, comme socle de présentation.
Elle m'a dit, sache, gamin, que je vais te cougariser à fond. Sa main avait saisi ma tige et pompait. Le short s'en souvient ... raide lui aussi.
Son sourire m'a surpris, professeure de mathématiques en conquérence de gamin libidineux. Je découvrais un nouvel espace de Riemann, plein de promesses.
Elle m'a dit, c'est midi je sors pour aller croûter. Retrouve-moi au Café des Arts, on baisera en haut, dans la salle de ping-pong et t'auras un dix-huit pour ton oral... Enfin, si tu te montres à la hauteur.
***
Elle suçait comme une vraie pro. En plus elle parlait et faisait des commentaires. Bouche pleine. Vraie prouesse de femme ventriloque. Sûr qu'elle aimait la jeunesse, c'est pas pour rien qu'elle avait choisi ce métier.
Elle disait, moi j'aime le pigeonneau, tendre et malhabile. Bon, toi tu m'as l'air élève doué, tache donc de n'être pas amant trop précoce.
Pour éviter cet écueil elle m'a terminé dans sa bouche, aspirant tout le foutre qui giclait pour le recracher dans la sciure au sol. Crachât d'un seul jet comme John Wayne au saloon ; j'étais épaté par cette Demoiselle Mistriquette. Elle a dit, comme cela tu retiendras peut-être ta seconde fournée un peu plus longuement.
Je restais modeste garçon dominé soumis à son autorité. Yeux baissés.
Elle s'est relevée et a confirmé la raideur d'un aller-retour rapide sur ma hampe puis m'a tourné le dos, s'allongeant sur la table de ping-pong qui occupait toute la pièce. La robe de cotonnade fine imprimée moulait son postérieur que je trouvais impressionnant. En tous cas bien plus développé que les petites fesses dures des gamines de mon âge auxquelles j'étais rompu.
Ce que je n'aurais pas osé faire à une des oies blanches de ma classe, ici je l'ai fait à cette femelle qui m'offrait généreusement sa croupe. J'ai troussé d'un mouvement ample de bras droit la robe jusqu'à recouvrir sa tête, pour sans doute lui apporter un peu d'obscurité et respecter sa pudeur.
Les deux fesses blanches étaient habillées d'une immense culotte mais je voyais de part et d'autre du large gousset le velu qui redescendait sur les cuisses, me désignant clairement le lieu où je me devais d'enfiler mon dard.
Elle n'a pas aidé. Elle n'est pas venue d'un bras d'une main en arrière écarter l'étoffe pour faciliter. Non. J'étais en examen et elle tenait à juger de mes capacités. Cette épreuve n'était pas une démonstration au tableau noir et à la craie non plus qu'un exercice d'algèbre difficile à résoudre ou bien un grand oral. Non.
Elle voulait juger mes compétences en autre matière.
Moi, j'avais déchargé et donc avais l'esprit clair. J'ai dégagé du majeur de main gauche la partie doublée du fond de culotte. Le papillon sombre et luisant m'attendait et m'invitait et je n'ai eu aucune réticence à y présenter mon gland et à enfiler ma longue tige étroite dans les chairs roses.
Sûr que l'accueil fut différent de celui de ma copine qui craignait, à peine étais-je à l'orée d'elle, de se retrouver enceinte et donc se trémoussait comme cheval sauvage en rodéo pour m'échapper.
La prof de maths avait un vagin profond chaud trempé et préhensile qui s'agitait comme pour m'attirer encore plus loin en elle. Mon bitos en touchait le fond et palpait l'ouvert de son col dur tandis que mon pubis s'encastrait dans ses fesses molles.
La main de la prof est venue en arrière pour me serrer les couilles en marque de satisfaction, comme un encouragement.
Je me disais, elle me donne "un bon point".
Puis sa main s'est égarée dans sa propre toison et j'ai compris qu'elle combinait avec mon activité de limage des caresses personnelles sur le devant de son intimité.
L'affaire s'est conclue assez rapidement par une soudaine lordose de son bassin venant haut à ma rencontre, des contractions sur ma tige et le soupir des anges émanant de dessous la robe troussée.
Vu que j'étais en difficile retenue, j'ai aussitôt lâché ma seconde salve. J'ai ressenti pleinement que j'étais bienvenu tant la femme me trayait sur toute la longueur de ma tige pour extraire de mon gland la moindre goutte en sus.
Aprés quelques instants d'apaisement elle m'a éjecté d'elle comme on crache un noyau de pruneau.
Elle m'a dit, pour la note, tu attendras les résultats. Mais, jeune prodige, aprés cette performance côté cul, je t'exempte de l'oral de mathématiques, tu ne pourrais, en comparaison, que décevoir...
J'étais pas peu fier.
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