La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°958)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°957) -
Ce qui était sûr, cest que cet échange de soumises, pendant ces presque vingt-quatre heures, avait été riche en émotions pour les deux femelles !... Après le repas, qui fut pris tôt, que les deux amis prirent en tête à tête, le Châtelain me fit amener devant la maison pour aller au marché BDSM. À deux heures du village de Jiaju, dans une grande vallée isolée du monde extérieur, des préfabriqués avaient été disposés, communiquant les uns avec les autres, chaque bâtiment correspondant à un thème. Il y en avait un pour lachat desclave-soumis, un pour léchange, un pour chaque petplay parmi les principaux : petdog, petcat, et ponyplay, où il y avait des démonstrations et tout le matériel pour se livrer à ces activités. Il y avait même des préfabriqués aménagés en donjon pour que les visiteurs puissent tester sur place divers installations. Et puis, il y avait un immense bâtiment où des particuliers ou des professionnels vendaient des accessoires, des machines, neuves, anciennes, des inventions
Un véritable Salon du BDSM !
Wangdak et Sangmo nous accompagnaient. Les Maîtres décidèrent que leurs femelles les suivraient en tant que chiennes-soumises, et non en tant que compagne pour lune et secrétaire pour lautre. Nous fîmes donc le voyage toutes les deux enchainées dans le coffre. Je fus impressionnée, en arrivant, de voir le monde quil pouvait y avoir ! Nous étions dans un coin de la Chine qui me semblait tellement reculé, que je ne mattendais pas à ce que cela attire autant de personnes. En même temps, nayant jamais entendu parlé auparavant dun marché BDSM, je ne pouvais imaginer lenvergure que cela pouvait avoir. Malgré la confiance absolue que javais envers le Maître, Monsieur le Marquis, je navais pu mempêcher davoir une appréhension à lidée de sortir en tant que chienne. Cela ne métait jamais arrivée dêtre réellement à ma place en public en dehors du Château, surtout que le marché nétait pas ouvert quaux Dominants et aux dominés.
Sur un sourire complice des deux Dominants, ils nous entraînèrent, à quatre pattes bien sûr, vers le préfabriqué des petdogs. Je nen revenais pas de tout ce quil y avait dans cet hangar. Dabord des accessoires basiques comme des colliers et des laisses, mais il y en avait des centaines, un cuir, en chaîne, avec des pierres précieuses, en différents métaux
Il y avait des plugs anneaux imitant des queues de chien, en latex ou en fourrure de toutes les couleurs, des combinaisons imitant le vrai pelage des chiens, quelques soient leurs races. Des médailles de toutes formes, tous métaux, toutes valeurs. Des masques de chiens plus ou moins réalistes. Il y avait les mêmes sortes de jouets que lon pouvait trouver en animalerie, et des friandises, types os à moelle mais adaptés à lêtre humain. Il y avait des soumis exposés portant différents accessoires, que tous pouvaient caresser, peloter. Il y avait des femelles et des mâles. Tous avaient leurs attributs sexuels à portée de main. Il y avait plusieurs mini concours canins, ainsi que des stands pour acheter tous les accessoires nécessaires, comme lagility, lobédience, le pistage, le traineau et le canicross, tout étant adapté à la taille et aux capacités humaines.
Nous visitâmes chaque hangar. Le Maître prenait parfois des notes, regardait attentivement. Quand on arriva dans la zone dachats de soumis, les Maîtres attachèrent nos laisses à des piquets à lentrée du hangar prévu à cet effet, et rentrèrent sans se soucier de nous. Sur le sol devant nos piquets, il y avait, taillées dans du bois, des moulures creuses imitant lemplacement des genoux, ce qui nous firent comprendre que nous devions restées à attendre agenouillées dans ces emplacements ainsi disposés. De nombreuses personnes sarrêtaient devant nous, nous palpaient, nous pelotaient, ou au passage nous pinçait les tétons mais sans jamais nous pénétrer, nétant pas des soumises à la vente, à léchange ou en démonstration. Plusieurs remarques fusèrent sur le fait, dailleurs que cétait bien dommage, car cela nous laissait inactifs alors que nous aurions pu être utiles
A lintérieur, les deux hommes étaient ravis par ce quils voyaient. Wangdak voulait un nouvel employé. Déjà parce que former de nouveaux chiens lui plaisaient, même sil prenait toujours autant de plaisirs avec ceux qui étaient à son service, et par ailleurs, il préférait avoir un jardinier à cent pour cent à son service, même si celui-ci était chocolat. Le fait davoir un jardinier du monde vanille lobligeait à confiner son petit cheptel à lintérieur quand il travaillait dans le jardin BDSM
Quant à Monsieur le Marquis, il était toujours prêt à prendre un nouveau soumis sous Son joug. Parmi les esclaves exposées, il y en avait pour tous les goûts, des grands, des petits, des minces, des gros, toutes les origines mélangées, mâles comme femelles. Le règlement du marché BDSM était très clair et strict : Interdiction formelle que chaque esclave soit présent au marché sans son véritable consentement.
Ils allèrent ensuite sur le marché dobjets et de machines. Là, nous suivîmes les Maîtres à lintérieur. Le Maître Vénéré semblait sintéresser plus particulièrement aux pièces antiques. Il sarrêta devant une machine visiblement ancienne mais parfaitement restaurée qui dun même bloc comprenait un pilori et une sorte de perceuse-visseuse, reposant sur un poteau réglable à la verticale et à lhorizontale, sauf quà la place de la mèche, il y avait un phallus de taille conséquente. Le tout était en bois magnifiquement ouvragé, avec des dorures, aux finitions parfaites. Cétait une pièce antique vieille de plusieurs siècles. La personne qui lexposait Lui proposa de tester une version reproduite beaucoup moins précieuse. Je fus donc placée sur une table avec lappareil. La possibilité de régler en hauteur le tout permis au Maître de me faire mettre à genoux, la tête et les mains emprisonnées, puis Il régla la perceuse. Dans ce mode, le phallus rentra à la vitesse quIl avait décidé dans mes entrailles. Dû à léducation quIl me donnait depuis longtemps, il neut pas trop de difficultés à rentrer malgré la taille. Quand le Maître activa le mode visseuse, le sexe en bois se mit à tourner doucement sur son axe. Cétait délicieux, mais habituée à rester stoïque, je ne bougeais ni ne semblait réagir, du moins extérieurement, car intérieurement, ma chatte shumidifiait largement.
On me posa plusieurs questions, dont celle de savoir qui jétais et à qui jappartenais. Mais je navais reçu aucune autorisation de parler donc je ne répondais pas. Ce fut Monsieur le Marquis qui répondit en revenant me chercher. En me libérant, Il me félicita à loreille de la parfaite obéissance que javais montré, et de lhonneur que javais apporté à Son éducation, ce qui me remplit de bonheur ! Nous ne tardâmes pas à rentrer chez Wangdak. Je navais pas vu grand-chose du marché dobjets et antiquité, et je nen sus pas davantage en rentrant, les Dominants ayant choisi de se faire livrer. Cependant, laprès-midi avait tout de même était longue, et les deux petites chiennes que nous étions, qui avions passé tout ce temps en quadrupédie, sendormirent le temps des deux heures de trajets qui nous fallut pour rentrer
(A suivre...)
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