Femme Sérieuse Devient Soumise... À Cause D'Une Envie Pressante (2)

Nue, à genou devant cet homme que je n'avais jamais vu, comment ai-je pu en arriver là ? Comment puis-je avoir pour la première fois, à 35 ans, un désir si fort que je ne puis me raisonner ? Pourquoi l'humiliation et la souffrance me font-ils cet effet ?
Je devrais avoir honte, si honte que toute excitation devrait retomber. Je devrais songer à mon mari, et l'idée de devoir le regarder dans les yeux devrait m'interdire toute pensée de me faire prendre par un autre.
Et pourtant, rien n'y fait. Rien ne peut contrecarrer ce besoin impétueux. Je ne sais si c'est mon corps qui commande ma tête ou ma tête qui autorise mon corps. La femme raisonnable que j'étais n'est plus. Je ne suis qu'une femelle obéissant à la loi de la nature, quelles qu'en soient les conséquences, une femelle attendant la saillie !
L'homme place un bandeau sur mes yeux. Je serre les cuisses tellement l'envie me vrille le bas ventre. Je sens ses doigts sur ma poitrine. Il joue avec mes tétons, éprouve ma sensibilité, teste ma résistance à la douleur. Mais cette douleur je la supporte silencieusement. En ai-je besoin pour me punir d'être ainsi ? Mon sexe est tellement excité qu'une perle de mouille glisse sur ma cuisse.
Je n'en peux plus. Je le supplie de me prendre. Je reçois une paire de gifles pour toute réponse. Puis sa main att ma tignasse, tandis que sa queue force ma bouche. Sa main me maintient fermement. Son sexe moins large que celui de Jean-Luc, me baise la bouche de toute sa longueur jusqu'à ma gorge. Son va et vient est ample, régulier, implacable.
Ce n'est pas ce dont j'ai envie. Ma chatte me démange comme jamais. J'ose y mettre la main. J'ose espérer qu'il ne me verra pas. Mais le contact de ma mains sur mon clitoris est comme une décharge électrique. Tout mon corps se contracte. Il s'aperçoit de mon geste, sort son sexe de ma bouche, me giffle de nouveau, m'abandonne quelques instants et revient me lier les mains dans le dos avec une paire de menottes.

Puis sa bite force encore ma bouche, en un va et vient rapide, profond. Il incline ma tête vers le haut. J'ai du mal à respirer. il enlève le bandeau et me dit :
- Regarde moi bien dans les yeux, petite chienne ! Regarde moi bien. Je vais décharger dans ta gorge, et tu vas tout avaler en me regardant.
Je suis toujours à genoux les mains attachées dans le dos. Il est toujours debout devant moi, le pantalon sur les chevilles. J'ai sa queue dans la bouche. Je n'ai toujours qu'une seule attente : me faire défoncer la chatte. Alors quand sa semence se répand dans ma bouche, j'enrage intérieurement de ne pas être prise, mais j'avale, je déglutie en silence, j'obéis sans réfléchir.
Ma collègue de bureau est là, assise dans le canapé à ma gauche, à 2 mètres de moi, entièrement nue. Je ne l'ai pas entendu revenir. elle me sourit avec un air victorieux.
Mon geôlier me guide jusqu'à elle. Son regard est brillant. Elle semble excitée. Elle me parle lentement :
- Et bien, si j'avais imaginée que la sainte ni-touche allait me bouffer la chatte un jour...
Je fais non de la tête.
- Allez petite salope, si tu veux sa queue dans ta chatte, bouffe-moi d'abord bien le sexe !
L'homme a toujours son pantalon aux chevilles, sa bite devenue chétive pendouille entre ses cuisses. L'image ne m'attire plus. Il ne comblera pas ma soif de bite.
- ... d'accord, mais je veux juste qu'on me détache les mains...
- ... OK salope.
L'homme me libère les mains puis fini par s'asseoir à coté de ma collègue pour profiter du spectacle. Elle enlève ses chaussures et ouvre son manteau en écartant les cuisses. J'ai repéré discrètement mes affaires. Le manteau à ma droite sur une chaise, mon sac à main posé à coté. Heureusement j'ai gardé mes chaussures. D'un bond je m'empare de mon manteau, l'enfile à moitié pour prendre mon sac et franchis la porte d'entrée.
- Reviens salope !
Je suis déjà dehors, en train d'enfiler la seconde manche du manteau.
Je cours pour mettre le plus de distance entre cette maison et moi, même si je sais que le temps qu'ils remettent leurs chaussures j'aurais déjà tourné dans une autre rue pour être hors de leur vue.
J'arrête de courir, m'assure que je ne suis pas suivie, et continue en marchant à grand pas. Je sais où je vais. Je sais que c'est de la folie. Mais l'image est sans cesse devant mes yeux. La bite de Jean-Luc, comme un aimant, m'empêche de penser à autre chose, me galvanise au point que l'excitation ne me quitte pas, malgré l'air plus frais de cette fin de journée.
Sans hésitation je frappe à la porte. C'est lui qui m'ouvre, incrédule et souriant.
- Baise moi !
J'enlève mon manteau, je défais la ceinture de son jean, ôte le bouton et ouvre le zip. Je glisse ma main dans son caleçon. Son engin gonfle entre mes doigts. Je ne veux pas lui laisser le temps de réfléchir. Je me courbe sur le dossier du fauteuil et lui présente mon cul.
- Défonce moi !
Ses mains me prennent violemment par les hanches. Sa queue bute une première fois puis rentre d'un coup au fond de ma matrice. Enfin.
Il me pilonne longuement, sauvagement. Je crie, je rue, je suis enfin remplie. La grosse nous a rejoint. Elle me traite de tous les noms, et je crois que ça m'excite encore plus. Je me laisse envahir par un nouvel orgasme dévastateur, sans fin. Le deuxième de ma vie.
Après, je suis une loque, mais je sais que je dois partir vite, avant qu'ils deviennent entreprenants. Mon excitation est retombée. La honte me submerge et les larmes coulent sur mes joues. Mon manteau, mon sac. Je pars sans dire un mot, comme une voleuse de plaisir enfin rassasiée.
- Reviens quand tu veux. Ma bite t'attend.
Je marche sans savoir où je vais. Je tente de joindre mon amie. Elle décroche cette fois-ci. Je lui demande si elle peut m'héberger pour la nuit. Elle vient me récupérer 20 mn plus tard avec sa voiture. Je lui raconte mon aventure, enfin en partie seulement quand je vois sa réaction.
Elle me pose un milliard de questions, ne comprend pas pourquoi je n'ai pas pu me refuser à Jean-Luc, me parle de mon mari. Je suis morte de honte et d'épuisement.
J'appelle mon mari en prétextant que mon amie Sabine ne va pas bien pour justifier le fait que je vais dormir chez elle. Je ne dois pas être très convaincante. Il rappelle chez mon amie 20 mn plus tard pour s'assurer que j'y suis bien. Sabine est tellement abasourdie par mon histoire qu'elle n'a pas besoin de simuler son mal être vis à vis de mon mari.
Je vais me coucher presque sans rien manger. Je m'endors rapidement mais me réveille en sursaut 3 heures plus tard. Je viens de faire un rêve... avec Jean-Luc ! Ma chatte est trempée. Je n'arrive pas à me rendormir ensuite. Je repense à tout cela. Les sentiments se mélangent : humiliation, douleur, excitation, plaisir intense, honte... qui suis-je vraiment ? Que vais-je devenir ?
Je tourne cela dans ma tête une bonne partie de la nuit et me rendors sur le matin sans être rassurer après m'être caressée le clitoris. Mon amie vient me réveiller. Il est 8h. Je vais être en retard au boulot. Je me lave, mange en vitesse et enfile les habits qu'elle m'a prêtée. Mon mari vient me chercher pour me conduire au bureau. J'arrive pas à le regarder dans les yeux. Je dois lui mentir, lui dire que si j'ai mal dormi c'est à cause de Sabine qui est restée à me parler tout le temps. Je me sens si mal.
J'arrive au travail avec une bonne heure de retard. J'évite la machine à café et me réfugie dans mon bureau. Je commence à traiter les mails reçus. Un mail attire immédiatement mon attention. Il a été envoyé par ma collègue de bureau d'hier. Il y a une photo, de moi, nue, en train de sucer un mec. J'ai le bandeau sur les yeux mais mon tatouage sur l'avant-bras me rend aisément identifiable.
Sous la photo, une seule phrase : Si tu ne veux pas que cette photo fasse le tour du bureau, rejoint moi dans les toilettes des femmes à 10h30 pour te faire pardonner d'hier.

Je suis folle. Je tourne en rond dans mon bureau. Il est 10h15, je suis remontée comme une pendule. Je décide d'aller la voir immédiatement dans son bureau. J'entre sans frapper et claque la porte derrière moi, en m'apprêtant à la traiter de tous les noms, juste avant de me rendre compte qu'elle n'est pas seule. Notre directrice adjointe se retourne vers moi, et j'essaie de reprendre contenance. Je bégaie en les priant de bien vouloir m'excuser et sors du bureau la tête dans les épaules. Je ne sais plus où j'en suis, me trouve soudain ridicule. Je me traîne jusqu'aux toilettes et je m'y enferme pour pleurer.
Je n'ai pas fait vraiment attention à l'heure. Il est 10h35 quand j'en ressort. Ma collègue est là. Elle me repousse dans les toilettes sans ménagement, entre à son tour et verrouille le loquet. Elle trousse sa jupe sous laquelle elle ne porte rien et me dit tout bas :
- Suce moi !
- Non, Véro, il faut en rester là. Je ne suis pas comme ça. Je ne suis pas une gouine. Oublie hier, je n'étais pas dans mon état normal. Détruit les photos, s'il te plait.
- Oui, excuse moi...
Je ne pensais pas qu'elle me répondrait cela, qu'elle abdiquerait aussi facilement.
- ... excuse moi, j'avais oublié comment il fallait te traiter !
Elle m'a giflée, puis sans me laisser le temps de réagir, ses deux mains ont saisi mes pointes de seins à travers mes habits. Elle les a pincé à plusieurs reprises, puis m'a giflé à nouveau. Elle a remonté ma jupe, baissé mon string et glissé 2 doigts dans ma chatte. Elle n'a fait que quelques va et vient. J'étais trempée, j'étais excitée. Elle m'a fait sucer ses doigts qui m'avaient pénétrés.
- A genou maintenant, petite salope ! Et suce moi bien si tu veux que je te fasse jouir après...
Je me suis agenouillée, j'ai posée ma langue sur sa chatte odorante. j'étais vaincue...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!