Quatuor 3- Après Midi Fille
3- Après midi fille
RESUME DES EPISODES PRECEDENTS
Dans les deux premiers volets de cette histoire, un couple de quadra, Fred et Caro, tombent par hasard sur leur baby-sitter Elodie (moi) qui leur présente Marion, sa petite copine. Cette étudiante asexuée sest soudain dévoilée en fille lesbienne, en couple avec une gourmande qui semblait navoir pas froid aux yeux.
Caro fantasmait régulièrement, depuis un certain temps, sur lenvie de voir son homme faire lamour à dautres femmes, précisément comme cette Marion.
Caro proposa à Elodie dinviter sa copine à la rejoindre chez eux pour une nuit de baby-sitting. Une fois Caro et Fred rentrés tard dans la nuit, ils font lamour en sachant que la petite cloison entre leur chambre et celle des deux filles leur permet de suivre leurs ébats.
Le lendemain Fred part jouer au foot avec les trois garçons et Caro fait croire aux filles quelle part acheter du pain. Depuis le salon Caro voit Elodie et Marion se masturber lune face à lautre dans la salle de bain au fond du couloir. Caro filme une partie de la scène et fait semblant de revenir à la maison. Faisant comme si de rien nétait, elle va se maquiller dans la salle de bain où les filles sont nues. Elles conviennent de se faire une après-midi entre filles le vendredi suivant. Le soir même Caro et Fred font lamour en regardant la vidéo prise par Caro des filles dénudées dans la salle de bain.
Nous poursuivons donc cette petite arnaque sensuelle par un troisième opus où le jeu à toute sa place, pour tout dévoiler aux voyeurs que vous êtes. Bonne lecture et faites-vous plaisir.
Nous vous invitons à lire les épisodes précédents de la série Quatuor : La révélation et Marion la maison.
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* *
Caro et Fred firent lamour presque tous les jours de la semaine. La tension sexuelle causée par larrivée de ces filles dans leur vie était un véritable alignement des planètes.
Vendredi, Fred devait rentrer vers 16h30, les filles devant arriver vers 14h00. Cela leur permettrait davoir le temps de faire leurs activités entre filles. Lépoux sétait organisé pour que les beaux-parents récupèrent les loulous aux sorties décole, quitte à ce quils dînent chez eux. Il avait prétexté un pot au boulot tandis que Caro bossait prétendument daprès-midi. Fred ne voulait pas devoir subir une contrainte horaire, s'imaginant que des choses pourraient se passer chez eux. Il échangea plein de texto tout au long de la journée avec sa louve damour, sachant que la suite lui faisait peur et quelle appréhendait de se retrouver seule avec les filles, sans Fred à la maison.
Quand la sonnette tinta, le cur de Caro bascula dans langoisse. Marion ouvrit la porte sans attendre, comme si elle était déjà chez elle. Elodie navait jamais osé faire cela de sa vie. Caro était surprise de ce sans gêne, caractéristique de la personnalité de Marion. Au fond, cétait bien que cette fille aille de lavant et prenne des initiatives. Cela pouvait favoriser les choses. Caro était fière quelle se sentent bien et à laise chez eux, comme si Marion était déjà de la famille.
Elodie, fidèle à elle-même, était en retrait, deux mètres derrière, joues roses démotion, visiblement troublée, remontant nerveusement une mèche de ses cheveux blonds sur son oreille. Caro vit immédiatement que les filles ne portaient pas de soutien-gorge.
Voyant que le regard de Caro sattarda un peu trop sur sa poitrine libre, Elodie fondit un peu plus, se sentant coupable davoir suivi, une fois de plus, les idées farfelues de Marion. Ses joues tournèrent au pourpre quand Caro lembrassa. Elodie ressentie aussi cette tension dans lair, la nervosité de Caro. Elle admirait cette femme, qui gérait son couple, ses trois petits mecs, son job, sa maison.
Seule Marion ne semblait troublée de rien, en mode curieuse, avec son petit air fantasque. Cette bisexuelle en chasse renifla lair de la maison comme si elle recherchait le parfum de Fred, ce petit mari qui savait si bien démonter sa petite femme. Marion avait promis à Elodie, entre autres, de lui faire découvrir lamour à trois femmes, essayant de la convaincre que Caro était la personne idéale pour cela. Bien sûr, Elodie lui avait dit quelle ne voulait pas. Mais elle disait toujours non à tout, sans grande conviction, car elle se laissait toujours faire à la fin, pour ensuite apprécier la chose.
Par exemple, quand Marion avait imposé à Elodie daller chez Caro sans soutien-gorge, elle avait refusé avant de se laisser faire. Marion avait adoré regarder Elodie retirer son soutien-gorge devant elle, sentant bien son trouble et cette dualité en elle : sa peur de faire, sa fragilité, sa timidité, tout cela contrebalancé par ses envies intenses et ses désirs de grands frissons ancrés profondément en elle. Du coup Marion avait invité Elodie à porter le petit plug anal quelle lui avait offert. Elodie avait refusé tout net, mais Marion avait su, comme toujours, trouver les mots pour arriver à ses fins.
- Jadore la déco chez toi Caro, cest trop beau.
- Merci cest gentil
- Fred nest pas là ?
- Non, il va arriver vers 16h30.
- Mince on doit partir avant 17h00
- Ah oui mince alors, on ne savait pas
- Pas grave, tant pis. On a apporté des petits trucs, regarde.
Marion commenta en détail le déballage de son grand sac.
- Allez hop les Princesses cest la fête.
Marion dans un éclat de rire distribua trois serre têtes avec des oreilles de chat, un diadème et des étoiles roses montées sur ressort.
- Le ridicule ne tue pas les filles,
Caro et Elodie, côte à côte, regardaient Marion mener le bal, se laissant faire et porter par sa présence et sa volubilité. Sans demander daccord particulier Marion se connecta à lenceinte Bluetooth et mit une piste de lecture branchée sur les derniers tubes latinos. Elle ouvrit deux trois placards pour trouver les flûtes à champagne et remplit trois verres.
- Allez hop un selfie avant de trinquer
Les trois filles prirent la pose avec leur serre-tête et les coupes de champagne à la main, tout sourire. Caro se retrouva au centre, serrée entre les deux filles, corps contre corps. Cela lui fit tout bizarre comme sensation dêtre au milieu, comme au centre des attentions.
- File-moi le 06 de Fred que je lui fasse passer une photo.
Caro donna le numéro, sachant bien quelle établissait de son plein gré la connexion entre son mari et Marion. Cétait difficile à avouer, mais Caro adorait lidée que Marion puisse avoir le portable de son chéri. Au fond, elle ne demandait rien dautre quils ne se rapprochent. Elle avait déjà plein d'images dans sa tête de Marion en train de faire lamour avec son mec sous ses yeux. Fred lui avait déjà raconté comment il baiserai Marion devant elle.
Les filles trinquèrent et choisirent la photo à envoyer, effaçant celles que lune ou lautre n'aimait pas, comme si les trois filles voulaient être chacune trop belle pour Fred. Elodie, qui ne buvait jamais, fut la première à avoir son verre vide.
- Tu ne trouves pas quElodie est trop belle ? La question sadressait à Caro
Marion effleura les seins nus dElodie sous son chemisier et alla lui attr le menton pour lembrasser. Puis elle se plaça derrière Elodie et lui attacha les cheveux avec un chouchou, dévoilant son cou fin et blanc quelle cachait toujours. Elodie était fière de son port de tête quelle refusait cependant dexhiber au regard des autres. Cela était trop intime pour elle de partager cette partie de son corps. Petit détail, son cou était très érogène. Le fait que Marion le dévoile à Caro était une invitation au partage.
- As-tu déjà embrassé une fille Caro ?
La question gêna terriblement Caro. Elodie nen menait pas large de son côté, devinant ou Marion les amenait. Mais les mains de Marion dans ses cheveux l'apaisèrent.
- Non jamais. Je ne suis pas attiré par les filles.
- Tu as tors cest si doux,
- Je nen doute pas mais ce nest vraiment pas mon truc,
- Jamais eu dexpérience lesbienne donc ? Caro se sentit déglutir face à cette question si directe,
- Non jamais,
- Même ado ?
- Oui même ado
- Embrasser une fille ne fait pas de toi une lesbienne tu sais !
- Oui cest sûr,
- Elodie a le chic pour trop bien se faire embrasser...
Un ange passa. Caro sentait que le piège délicieux de Marion se refermait sur elle
- Tu devrais essayer, approche.
Linvitation venait de tomber, si simple, si naturelle, comme si de rien nétait. Elodie avait les yeux baissés. Caro ne voyait que sa petite bouche, ses lèvre fines, ressentant son trouble, sa fragilité, sa gêne touchante et sa respiration accélérée.
- Allez, allez approche, elle ne mord pas. Embrasse-la tendrement, tu verras cest si doux....
Caro était prête à offrir son mari à Marion et voilà que Marion lui offrait sa chérie. Caro, sous ce regard incitateur à faire des bêtises marrantes, fit ce pas de trop. Elle était emportée par lexcitation de leur après-midi entre fille, du champagne et de la musique latino. Ne voulant pas se faire moquer par Marion, elle ne prit pas conscience de limportance de son acte. Marion était suffisamment proche delle pour laccompagner lentement vers ce baiser, posant sa main sur sa nuque, la poussant délicatement à sapprocher des lèvres dElodie. Les deux filles avaient les yeux fermés et la distance entre elles se réduisait irrémédiablement.
Le cur de Caro battait la chamade. Elle se savait proche, ressentant le souffle tendu dElodie, qui devait être aussi nerveuse quelle. Caro effleura les lèvres de la petite Elodie, rentrant en contact avec sa fine bouche. Elle posa un petit baiser et recula son visage immédiatement retenue par la main de Marion.
- Ce nest pas un bisou ça. Non je veux un vrai petit bisou quand même !
La main de Marion ne donnait aucune chance à Caro qui repartit accomplir cet acte dangereux. Ce baiser innocent risquait de sceller à tout jamais plein de choses. Leurs lèvres seffleurèrent à nouveau, Elodie immobile et offerte, tremblante, en attente de Caro. Cette fois ci le contact se fit plus long, léger, tendre. Les neurones de Caro senflammèrent et de belles émotions inconnues jusque-là se firent sentir. Le temps sétait suspendu.
- Tu vois que cest doux dembrasser une femme.
La voix de Marion ne cacha pas le clic de la photo prise par son portable. Caro se recula dun pas. Elle avait le parfum dElodie et de Marion dans ses narines, sa tête lui tournait. Marion tapa de ses deux pouces sur son portable avec la vitesse de léclair et le son dun message qui partait se fit entendre
- Je pense que Fred va adorer !!
Caro savait à quel point cela allait le surprendre. Il en fallait peu pour Fred pour lexciter mais cette photo allait ment créer chez lui le plein de questions.
- Tu vois tu nes pas morte davoir embrassé une fille.
- Non
Je
non
.
- Cela ne fait pas de toi une lesbienne non plus !
- Non
bien sûr
- Et comme je te disais cest doux non ?
- Euh
oui
Marion monta le son, une super chanson venait de commencer et elle dansa sur place, laissant ses seins libres bouger avec elle sous son débardeur très moulant !
- Allez les filles, cest la fête !
Marion resservit des coupes de champagne et invita les filles à bouger avec elle sur la chanson. Caro et Elodie se sentaient toutes les deux coupables de quelque chose, mais lénergie de Marion les mit à laise et elles se mirent à danser toutes les trois au milieu du salon. Elles avaient lair débiles avec ces serres têtes rigolos sur leur tête. Après ce baiser, elles avaient besoin de changer de sujet et de passer à autre chose.
- Allez ma chérie bouge plus ton bassin, tu es trop raide là !
Marion se moquait dElodie, sachant à quel point le plug faisait son petit effet. Marion avait le chic pour la bousculer.
Une fois la chanson dansée toutes les trois, comme sur un moment de folie, les filles enchainèrent sur un atelier masque pour visage. Caro présenta sa petite collection, ceux à largile ou au charbon, enrichie en huile essentielle, en eau florale,
Porter un masque nest pas la chose la plus sexy à faire car tout le monde ressemble un peu à un monstre, ambiance halloween. Les filles papotèrent, parlant de tout et de rien, Fred recevant des photos, les unes plus folles que les autres.
Après le rinçage dans la salle de bains de leurs visages détendus et lisse comme une peau de bébé, Marion se débrouilla pour orienter la discussion comme si de rien nétait, vers ce qui l'intéressait le plus :
- Vous vous êtes rencontrés comment avec Fred ?
Caro poussée par Marion et le champagne lâcha des confidence de plus en plus croustillantes, émoustillée par ces magnifiques anecdotes de ses souvenirs passés et par la complicité avec ses nouvelles amies. Marion ouvrit la bouteille de champagne que Fred avait mis au frigo et sortit un pot de crème fraîche sans rien demander à personne, faisant encore comme si elle était déjà chez elle.
- Elodie adore manger des fraises.
Caro allait sortir assiettes et couverts mais Marion ne lentendait pas de cette oreille. Elle trempa directement une fraise dans le pot de crème
Les trois filles étaient installées face à face autour de l'îlot de cuisine. Marion approcha de la bouche dElodie une fraise de façon suggestive.
- Grignote-moi cela ma douce...
Elodie, habituée aux frasques de Marion, lécha la fraise de façon sensuelle, nhésitant pas à provoquer Marion à l'extrême. Caro avait déjà vu le regard de tentatrice dElodie, découvrant une face cachée quelle ne lui connaissait pas. Puis elle croqua ce fruit défendu comme Ève laurait fait avec la pomme. Caro fut surprise et n'en revenait pas de voir la timide Elodie se comporter ainsi. La sensualité des deux amies se traduisit immédiatement dans leur corps. Pendant quElodie gobait la fraise, Caro avait remarqué que sa petite poitrine avait réagi sous son maillot. Cétait quasi imperceptible mais Caro avait perçu les tétons dElodie poindre comme deux framboises. Ce constat était accentué par labsence de soutien-gorge. Caro passa son regard discrètement sur la poitrine de la coquine Marion et constata avec beaucoup de plaisir que ces tétons étaient turgescents, à vouloir en déchirer létoffe de son haut pour apparaître aux yeux de toutes ! Caro pensa immédiatement à la langue de Fred qui les suçoterait tôt ou tard...
Marion offrit la fraise suivante à Caro qui ouvrit ses lèvres de façon anodine pour recueillir le fruit enduit. Cette fille délurée, avec un sourire assez coquin fit lentement glisser cette fraise sur les lèvres de leur hôte. Caro ne put s'empêcher de rire un peu nerveusement, ressentant de la gêne. Elle sétait mise de la crème sur le bord de la bouche, quelle ramassa dun coup de langue de façon naturelle mais ô combien sensuelle pour ses deux invitées qui n'avaient rien perdu de ce court spectacle.
Voulant diriger tous les regards sur Marion, Caro saisit à son tour une fraise, assez grosse, quelle chargea bien en crème. Pour Caro, cétait le gland de Fred et elle le tendait à Marion comme une offrande, lui faisant don de son mari. En lui mettant de la crème sur le bout du nez, Caro visualisait les mots torrides que Fred lui avait suggérés dans loreille au cours dun de leur câlin : il lui avait promis de ne pas éjaculer en Marion mais de le faire sur son visage dange.
A ce rythme et en variant les sourires, les allusions et les postures équivoques, les filles picorèrent les deux barquettes de fraises. Elodie la timide jouant systématiquement à faire glisser les fraises dans sa bouche avec toujours plus ou moins de provocation dans les regards ou dans ses gestes. Fred avait reçu quelques photos. Tout cela avait terriblement excité les trois copines, chacune se gardant de lavouer aux autres. Caro nen revenait pas de ressentir de tels papillons dans son ventre. Elle ne saurait dire si cela était dû à la douceur dElodie, au baiser léger quelles avaient échangé, ou aux manières de faire totalement décomplexées de Marion. Mais en tout cas, elle savait au fond delle quil lui faudrait éteindre ce feu, dès le retour de Fred, avec ou sans la présence de ces deux complices
Peu lui importait, elle basculerait dans le plaisir très rapidement.
Après ce goûter torride, plus ou moins improvisé, latelier manucure débuta. Caro frissonna quand la petite main dElodie attrapa la sienne tout en douceur pour soccuper de ses ongles. Elle ne put s'empêcher de repenser à leur baiser et à son regard de braise pendant leur goûter. Elodie était sublime, face à elle, joues roses, yeux baissés, aux tétons dressés sous son petit débardeur.
Fred débarqua presque à la fin de la séance manucure, captant le fil des émotions qui traversaient Elodie et Caro sous le sourire rayonnant de Marion, visiblement trop contente de le voir enfin arriver. Cétait un peu comme si Elodie et Caro était en couple et que Marion accueillait son mari.
- Ça va les filles, on samuse bien je vois ?
- Quand on parle du loup
Marion tendit une coupe à Fred ; on en a appris plein sur toi, tes exploits, votre romance avec Caro, tout plein de détails
Marion se faisait vague, laissant deviner le niveau des confessions intimes. Fred refusa la coupe.
- Je file à la douche, je reviens.
- Tu nes pas à laise avec toutes ces filles à la maison. Fred était surtout un peu tendu ... de partout.
- Cest sûr que cela me change des trois garçons, je ne suis pas habitué à toutes ces strogènes face à moi.
Fred navait pas tort. Compte tenu de la tension sensuelle, six yeux de femmes sur lui était assez troublant. Il séclipsa dans la salle de bain avec pudeur et une relative timidité. Au fond de lui, il désirait passer une étape dans sa vie sexuelle et cette Marion lui donnerait sûrement loccasion de se dévergonder avec sa douce femme. Il savait sa chérie très fière de lui, assez possessive mais voulant à cette étape de sa vie samuser et profiter de la vie. Le tout dans la franchise et le respect.
Marion avait un peu trop bu et elle nhésita pas à poser, encore, des questions plus intimes à Caro qui se laissait faire, trop fière de son homme et se sentant très écoutée.
Marion se leva à moment donné.
- Jai trop envie de faire pipi les filles.
- Mais il ny a quun WC et il est dans la salle de bain lui répondit Caro,
- Mince comment faire ?
Fred naura quà fermer les yeux
. Tant pis
Était-ce encore Marion qui se lançait dans une autre de ses initiatives coquines ? Ni une ni deux Marion frappa à la porte de la salle de bain
- Ferme les yeux Fred jai trop envie daller aux toilettes !
Fred était nu sous la douche, la paroi transparente ne cachant pas grand-chose de son corps. La porte souvrit comme léclair et Marion fonça vers le trône
- Garde les yeux fermés Fred !
Cette incursion de Marion dans son intimité eut le mérite de le faire bander un peu plus, il était encore au garde à vous. Il se retourna pour être de dos. Marion filma la scène du début à la fin et repartit aussi vite quelle était entrée, sempressant de montrer la vidéo aux filles qui ne purent que rire de la gêne de Fred :
- Il est trop mignon ton mari, regarde comme il est respectueux, même timide je dirais. Et il a de bien jolies fesses, toutes enduites de gel douche...
Caro était fière de son homme et lire dans les yeux de Marion son excitation lui donnait un sentiment de puissance incroyable. Cest un peu comme si la folie, la jeunesse et la beauté de Marion lhabitait.
*
* *
Vingt minutes plus tard Fred arriva dans la cuisine tout beau et bien habillé, rasé de près. Les filles venaient de partir. Il était bien sûr très déçu mais sincèrement le regard de Caro sur lui combla toutes ses attentes. Un SMS de Marion lattendait, lui souhaitant une bonne fin d'après-midi, avec une photo delle tout sourire. Elle ne doutait pas de ce qui allait se passer après leur départ ...
Le baiser quéchangèrent les amoureux en dit long sur leurs envies respectives. Dans les bras lun de lautre ils sembrassèrent longuement. Caro défit la ceinture de son mari, dégrafa les boutons de ses jeans et fut surprise de ce quelle trouva.
- Tu es nu sous tes jeans ? Tallais nous rejoindre comme cela ?
Fred aimait effectivement se trouver nu sous ses vêtements à la sortie dune douche, désirant chaque fois ou presque en faire profiter sa femme.
Mais là, il était un peu comme un gamin qui venait de se faire prendre les doigts plein de confiture.
- Avoue quelle texcite cette Marion ?
- Javoue, oui,
- Et à mon avis cest réciproque !
- Ton petit mari est irrésistible tu sais, un vrai tombeur de ces dames...
- Pervers va !
- A propos de perversion, ce bisou avec Elodie tu peux mexpliquer ?
- Ben, une idée de Marion bien sûr
- Et comment cétait ?
- Doux
très doux
très très doux
émouvant comme tu ne peux pas savoir
- Ah ouai, carrément ? Et moi jembrasse comment ?
- Comme mon amoureux
comme mon mari, mon amant
comme un mâââle !
Ces dernières paroles avaient encore ren lérection que Caro constatait. Elle masturba la belle queue dressée de son Fred. Le mari agrippa sa femme par les fesses et la fît sasseoir sur lîlot de la cuisine. Il avait les jeans en bas des jambes, Caro lui arracha presque littéralement sa chemise et la serra très fort dans leurs étreintes.
Fred sattaquait déjà à la petite robe fleurie de sa douce et la remontait sur sa taille tout en même temps que Caro en baissa les bretelles fines pour découvrir sa poitrine gonflée par le désir et retenue par un petit soutien-gorge rose.
Fred ne fut pas déçu de ce quil trouva dans lintimité de sa louve. Elle était trempée et il neut aucun mal à se frayer un chemin avec sa langue pour flatter les lèvres chargées de désir, en écartant sur le côté le tissu du tanga sexy. Caroline fît valser la moitié des affaires qui était sur le plan de travail et sallongea pour mieux soffrir aux caresses buccales de son homme !
Fred faillit presque la faire jouir avec ce cunnilingus torride mais sa femme le pria de la prendre sans attendre. Il avança sa petite chérie au bord du plan de travail, et ajusta son sexe contre son abricot juteux. Il réussit sur la pointe des pieds à entamer le coït conjugal. Mais cela pouvait être inconfortable pour sa femme. Alors il se cala sur une chaise de cuisine et Caro descendit pour sempaler sur lui. Elle avait trop envie de ça. Elle avait humidifié sa petite culotte toute l'après-midi. Elle nen pouvait plus. Elle ferma les yeux, repensant à la fraise bien rouge, et crémeuse qui sintroduit dans la bouche de Marion une heure plus tôt. Elle voyait Fred fendant la bouche de cette coquine avec son gland turgescent, cétait très clair dans sa tête, comme si elle voyait, ou avait déjà vu cette scène, tellement elle lui paraissait réelle.
Fred néconomisa pas ses coups de reins, et gourmand de la belle poitrine de son épouse, il la pelotait partout, léchouillait les tétons pointus et agrippait bien la taille de sa belle pour bien lui faire ressentir son état.
Dans un souffle et au bout dune belle chevauchée, Fred et Caro comme souvent, eurent un orgasme en même temps, toujours aussi fusionnels. Après quelques secondes Caro rouvrit les yeux et agrippa son mari entre ses bras et lui embrassa le front, ses joues, ses lèvres avec une fièvre amoureuse indéniable. Elle aimait son mec. Elle en était dingue de lui et cela la renforçait de jour en jour.
Au loin dans son esprit, elle envisageait une suite à leur quatuor, mais navait aucune certitude. Elle souhaitait juste se laisser porter par ses émotions et son ressentie de femme. En encourageant le partage démotions et de sensations. Elle avait 40 ans et avait passé plus de la moitié de sa vie à privilégier les autres, avant elle. Il était peut-être temps dinverser un peu la tendance et de se permettre de vivre de belles choses dans le respect et lamour, avec son tendre et beau mari !
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