Je Suis Devenu Le Mentor De La Voisine
A deux maisons de chez moi j'ai comme voisins un couple que je croise assez souvent, l'homme la trentaine plutôt bourru la tient par le bras, elle un peu plus jeune, bien faite, avenante quoique l'air résigné, elle baisse la tête en marchant et ne dit bonjour que sur le bout des lèvres
Pourtant lorsque nous retrouvons chez le boulanger, seule, elle est complément différente, j'ai droit à un large sourire et a un bonjour monsieur M., elle connaît mon nom alors que je ne sais rien d'elle pourtant cela allait changer un après-midi à la station-service de l'hyper marché où je faisais mon plein et elle venait visiblement échanger une bouteille de gaz, le coffre ouvert elle attend que le guichetier de la station veuille bien venir la servir ce qui fut fait alors que j'allais repartir , mais cet homme pressé et peu serviable a déposé la bouteille pleine a ses pieds alors qu'il aurait pu la déposer directement dans le coffre , quel goujat !
J'allais me précipiter quand je l'ai vue se pencher sur le coffre certainement pour y faire de la place, comme chez beaucoup de femmes le coffre est un vrai dépositoire ! là deux sublimes cuisses se sont découvertes lentement, jusqu'à seulement dix centimètres de la jointure fatale, zut, je ne saurais jamais de quelle couleur était le fond de culotte !
Puis elle a regardé et essayé vainement de soulever ce monstre d'acier, c'est là que je me suis précipité
- Attendez madame n'aller pas vous froisser les reins
- Aah ? monsieur M. quelle heureuse surprise ! ce stupide serveur m'a laissé me débrouiller seule
- Ce ne sont que des sot, je vais vous aider, voilà il n'y en avait que pour une seconde
- C'est très gentil de votre part, comment puis-je vous remercier ?
- Avec un beau sourire ce sera largement suffisant
La belle est montée dans sa voiture et avant de mettre le contact m'a appelé
- Réflexion faite J'aimerais vous parler si vous avez un moment
- J'arrive ?
Une agréable surprise m'attendais , le feu aux joues, le regard fixe devant elle, assez ouverte pour me laisser admirer son entrecuisse sans être vulgairement écartée, j'avais du côté face les deux cuisses vues précédemment du côté pile et quelles cuisses bien pleines, quel joli string bleu électrique taché en son centre
- Excusez-moi je n'ai pas l'habitude de montrer mes cuisses ainsi
- Ne vous excusez surtout pas je trouve cela sublime et audacieux de votre part
- Cela fait partie de mes fantasmes
- vos fantasmes ?
- Oui mais ce serait trop long à vous expliquer ici
- Je vous invite à prendre un verre à la cafétéria
- Je veux bien
- Attendez-moi je vais me garer
Assis devant un demi bien frais elle ne sait comment débuter son secret, elle se torts les doigts ,je décide de lancer la conversation
- Je m'appelle Lucien
- Je sais, moi c'est Claire, je suis mariée comme vous
- Je sais Claire
- Ce que vous ne savez pas c'est que mon mari est un rustre
- Ça j'avais cru le deviner en vous voyant dans la rue
- Avec lui impossible de porter certaines tenues.
- J'ai vu !
- C'est la première fois que j'ose aller aussi loin, mais je vous connais et vous fais confiance ça me libère
- Donc, si je comprends bien vous aimeriez faire un peu d'exhibe ?
- Tout-à-fait, mais faire ça seule j'ai peur de me faire agresser, voudriez-vous être mon protecteur, mon initiateur notez je ne vous demande pas d'être mon amant
- De toute façon je suis fidèle, même si j'ai des problèmes identiques aux vôtres mais à l'inverse, ma femme est trop prude à mon goût
- C'est vrai la vie est vraiment mal faite !
- Qu'aimeriez-vous faire dans un premier temps Claire ?
- Pour débuter seulement montrer mes cuisses en voiture, comme je viens de le faire
- Où ça Lucien ?
- Là où des hommes flânent, sur ce parking des gars essaient souvent de mater les femmes qui conduisent cuisses découvertes exagérément dans leurs véhicules
- Ah ?? maintenant c'est possible ?
- Déjà ?
- Notre conversation m'a émoustillée je suis prête ! ... ah zut !
- Que se passe-t-il ?
- j'ai un problème, ma culotte est trempée
- Au contraire c'est un atout, allons faire un tour de voiture dans ce parking
La queue en émoi je fais monter cette étrangère à mon côté, d'office elle relève sa robe au niveau du bas-ventre, bien plus ouverte qu'à notre rencontre, le string auréolé comme si elle avait fait pipi dedans, je vais chercher les grandes allées et m'engage dans l'une d'elles au ralenti maximum vitres baissées, par réflexes des mâles guette notre passage, a entendre les sifflets et les invitations graveleuses ils ne sont pas déçus
- Vous avez vu Lucien ils m'ont matée l'entrecuisse ! ils veulent même coucher avec moi !
- Attention en voilà un autre, ouvrez-vous au maximum
- Je vais écarter ma culotte et lui montrer ma minette !
- Doucement Claire nous somme sur un site public !
- Quelle différence ça fait ?
- Hé bien nous pourrions être verbalisés pour outrages
- Y'a d'autres endroit plus cool ?
- Bien sûr mais .
- Je suis prête à tout
- Même vous laisser toucher ?
- Ça peut se faire en voiture ? allons-y !
- Ôte ta culotte... oh pardon je vous tutoie, je rêvais un instant que c'est ma femme qui était à côté de moi
- Y'a pas outrage, au contraire, tutoyons nous, mais si je te montre ma chatte en échange je veux voir ta queue
- Je bande Claire
- NOOOOONNN !!! ouvre ta braguette
- D'accord
- Mais tu es monté comme un taureau !
- C'n'est pas le cas de ton mari ?
- Il est tellement minus que je crois que ça le rend aigri coté sexe, de plus il est éjaculateur précoce
- Hé ben ma pauvre pas étonnant que tu cherches l'excitation ailleurs, nous arrivons sur le bord de Garonne, ne dit rien si une main s'aventure sur ta chatounette
- Et mes seins ?
- Défait ton décolleté, je vais me garer ici, une voiture arrêtée intrigue ces messieurs en général ils ne tardent pas a rappliquer
- En voilà déjà deux !
- IL est encore temps de tout stopper
- QUE NON ! je ferme les yeux, pour moi tu es mon mari c'est à toi de décider qui fera quoi
- Bonjour m'sieur-dame
- Salut
- C'est ta bourgeoise ?
- Ouais pourquoi ?
- Je peux toucher ses nichons ?
- Et sa chatte ?
- Montrez-moi vos mains ? ? ça va, caressez là mais avec douceur
- Elle est toujours aussi humide ? mes doigts entrent dans sa fente comme dans du beurre
- Elle est très réceptive
- Vous veniez la faire prendre par des mecs ?
- Éventuellement, je peux voir vos...matos?
- De vrais démonte pneus ! regarde
- Tu as vu chérie ? quel gourdin veux-tu le premier dans ta chatte ?
- Ils veulent vraiment me baiser ?
- Ils ne sont pas ici pour tricoter
- Ont fait ça où ça ?
- Sur le capot ?
- Vrai ? que du bonheur, je descends ! merci ...chéri , Houlàlà je vais enfin y passer !
- Évitez de décharger sur mon aile je ne veux pas payer un lavage
Inutile de prier Claire de descendre, elle a déjà les avant-bras appuyés sur le capot, jambes droites et écartées, les deux gars l'entoure, c'est auquel passera sa main entre les cuisses offertes le premier, la robe se relève et se coince sur ses reins, j'assiste, non sans excitation a la progression vers le bas du string bleu définitivement auréolé de mouille, la femme cambre ses fesses en arrière pour mieux se faire enfiler les doigts qui doivent se bousculer afin d'avoir la primeur des trous , elle râle de bonheur
N'y tenant plus l'un d'eux baisse pantalon et slip arborant fièrement une bite épaisse dressée vers le ciel , l'autre, vexé, est obligé de laisser le champ libre à l'accouplement , l'homme plie un peu les genoux cherchant à enfiler la vulve maintenue ouverte par ses doigts, Claire se raidie par réflexe lorsqu'il pénètre son ventre pour s'offrir aussitôt totalement aux assauts virils, surpris par la facilité avec laquelle la femme s'est donnée l'amant décharge en pestant contre lui-même pour sa rapidité, l'autre la bite a la main attend que la place se libère, la femme n'as pas le temps de refuser le coït et d'ailleurs est-ce qu'elle le voudrait ? à la voir se démener sur la queue j'en doute !
Pour une femme qui voulait simplement montrer ses cuisses, en quelques minutes elle a brulées les étapes en satisfaisant plusieurs de ses fantasmes et ce n'est sans doute pas terminé.
- Lucien ! Lucien !! approche je vais te sucer, tu mérites bien ça
- Ce n'est pas obligatoire, la vue que tu m'offre me suffit
- Et si nous la prenions ensembles ? elle est bonne la salope, je rebande comme un âne
- Dès que mon copain a jouit je m'allonge, elle vient s'empaler et vous offre son anus
- Et mon pote se fait sucer ! ainsi la boucle est bouclée !
En moins d'une heure ma timide voisine est passée d'une banale exhibe a la pénétration multiple et double évidement nous somment devenus amants et continuons nos aventures
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