La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°960)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°959) -
Le donjon était pratiquement vide. Il y avait un petit coin salon. Monsieur le Marquis sassit dans un fauteuil et ordonna à la jeune soumise de se placer à genoux, reposant ses fesses sur ses talons, les mains, paumes vers le ciel, posées sur ses cuisses.
- Ne tinquiète pas ! Nous allons commencer par des choses simples. Mais dabord, il va falloir que tu répondes à mes questions. Tu es à la vente, je peux donc tacheter si je veux, quelque soit ton avis. Mais ce nest pas dans mes habitudes. Chez moi, personne ny est contre son gré, tous ceux qui sont sous Mon joug sont libres dy rester ou de partir. Mais sils partent, ils nont plus la possibilité de revenir ensuite. Si je tachète, je ne te demanderai que rarement ton avis, pour ne pas dire jamais. Et tu ne pourras pas parler à ta guise. Alors profites-en pour me dire réellement ce que tu penses, ce que tu ressens. Veux-tu que je teste aujourdhui ? Si je pense que tu en as le potentiel, veux-tu que je tachète, pour devenir Ma soumise ? Tu nauras jamais aucune crainte à avoir. Je prends soin de tous ceux qui mappartiennent, je ne les mets jamais en danger. Ils peuvent me faire une confiance aveugle. Je suis strict, je suis juste mais sévère quand on me désobéit. Et vu mes occupations et le nombre de soumis et desclaves que je possède, je nai que très peu de temps pour chacun deux. Et pourtant, tous sont heureux. Alors quen penses- tu ?
- Monsieur, puisque Vous mautorisez à parler librement, je vais Vous répondre franchement, dit-elle dans un accent chinois mais dans un parfait français. - Le peu de temps que jai passé à être soumise au vendeur, je me suis sentie vivante. Jaime men remettre à un homme, jen avais toujours rêvé. Jai apprécié de devoir obéir. Mais jai eu le sentiment de ne pas en avoir assez, que cétait trop simpliste. Le peu que jen ai vu ma donné envie de plus, mais soit il ne ma pas compris, soit il ne sait pas.
- Bien alors on va commencer par ce qui a le plus dévident. La soumission, ce nest pas seulement être prise sexuellement quand bon semble au Dominant. Ce nest pas seulement obéir à tous les ordres. Ce nest pas que physique. Cest surtout très mental. La soumise nest pas totalement décérébrée, ni privée de volonté. Il faut quelle veuille delle-même faire passer le bien-être du Dominant en priorité, il faut que sa satisfaction devienne sa priorité mais de sa propre volonté. Je ne pourrai pas forcer tes envies, ta volonté, ta confiance. Côté mental, aujourdhui, je ne peux pas te demander ta pleine confiance comme ça, ton abnégation, ta dévotion. Cela sacquiert au cours du temps ! Mais tu verras, si tout se passe bien, je deviendrais ta seule préoccupation, toutes tes pensées seront tournées vers moi. Et ce nest pas de la prétention, mais quand une soumise se sent bien sous le joug du Maître qui la soumet, cela se passe ainsi
. Dis-moi, autre chose, où as-tu appris le français ? Tu le parles bien correctement, je trouve !
- A lorphelinat, dès lâge de 10 ans jai pu suivre des cours de français par un prêtre français et bénévole qui visitait les orphelins. Jai étudié avec lui jusquà lâge de 18 ans, avant de quitter lorphelinat
Le Maître claqua des doigts, lindex dirigé vers le sol. Chùndù se souvint de ce que cela voulait dire. Elle se plaça prosternée, face à Lui. Il séloigna, faisant rapidement le tour de la pièce des yeux pour trouver ce quIl cherchait. Il séloigna et revint avec des pinces, un tube de lubrifiant et un plug anal assez court et mince, et une badine. Puis Il lattrapa par ses cheveux longs noirs tirant doucement mais fermement pour la faire mettre à genoux, mais cette fois-ci sans avoir lautorisation de reposer ses fesses sur ses talons.
- Ne regarde jamais le Maître qui soccupe de toi, que tu Lui appartiennes ou non dans les yeux.
Alors elle les baissa. Monsieur Le Marquis commença à caresser sa poitrine, à pincer légèrement les tétons, à les vriller. Il se pencha vers elle et lembrassa goulument tout en continuant à travailler ses seins. Et alors qui sentait que la petite chienne sexcitait, Il lui posa rapidement les deux pinces sur ses tétons qui sétaient érigés, ce qui lui aurait arraché un cri, plus de surprise que de douleur, si elle navait pas eu la bouche occupée. Il abandonna ses lèvres pour quelle se prosterne. Après avoir mis du lubrifiant sur un doigt, Il commença à appuyer un peu sur sa rondelle vierge, en même temps que de son autre main, Il jouait avec son clitoris. Lexcitation grandissante permis à la soumise de se détendre et très vite, Il put rentrer sans trop de soucis deux doigts dans son cul. Il les laissa immobiles afin quelle puisse shabi à cette présence, puis après quelques vas et viens, Il remplaça ses doigts par le plug.
- Si le plug tombe tu es punie. Une qualité de la soumise est la patience et limmobilité. Si tu bouges, tu es également punie. Le confort est un luxe pour la soumise, donc ne tattends pas à y avoir droit ! Suis- moi à quatre pattes.
Dans une partie du donjon, il y avait une planche en bois posée au sol et à quelques centimètres delle, des anneaux plantés dans le sol. Il la fit mettre à genoux sur la planche, les chevilles encerclées dans les anneaux, les mains sur la tête. Puis Il quitta intentionnellement son champ de vision. Chùndù ne vit pas en quoi cette épreuve pouvait être difficile au début. Mais nayant pas lhabitude de ce genre dexercice, très vite, elle ressentit des douleurs dans les genoux, dans les cuisses et dans les bras. Elle pensait se concentrer pour essayer de penser à autre chose et ne pas bouger.
- Comme je te lavais annoncé, tu vas être sanctionnée.
Sa voix nétait plus douce ni avenante, mais glaciale et sèche. Lhomme rassurant de ce début de journée avait laissé la place au Dominant dans toute sa splendeur. Il semblait plus grand, une sorte daura rayonnait autour de Lui, impressionnant la jeune soumise, lui faisant presque peur, et paradoxalement, Il lui inspirait plus de respect. Il lemmena vers une croix de St André, et ly attacha. Il invita tous ceux présents à se mettre en demi-cercle face à la croix pour que tous puissent la voir et inversement, quelle puisse tous les voir.
- Je vais te donner vingt coups de badine. Je veux que tu les comptes à voix haute. Si une des personnes présentes ne tentend pas, elle lèvera la main, et je te rajouterais dix coups à chaque fois.
Il commença doucement pour ne pas lui faire trop peur. Puis il intensifia la force des coups, marquant légèrement la peau légèrement colorée de la jeune asiatique. Quand les coups furent plus forts, elle laissa ses larmes coulées et sans sen apercevoir baissa la voix, et sattira ainsi vingt coups supplémentaires. Quand la punition sarrêta, elle pleurait franchement. Des rayures décoraient ses seins et son ventre. Et paradoxalement, elle se surprit à être trempée.
- Lèche, chienne ! Et ensuite tu me remercieras.
La soumise sexécuta, mais elle se sentait humiliée davoir dû subir tout cela en public. Le donjon se vida sensiblement. Il était lheure de déjeuner. Le Maître détacha Chùndù de la croix, lemmena contre un mur et fixa la laisse à un anneau fixé dans le mur. Il plaça une pancarte devant la chienne quIl fit mettre en position prosternée où il était inscrit « Interdiction de pénétrer, autorisation de caresser » et il partit sans un mot. Elle eut peur de cette autorisation, surtout quelle avait vu le Noble quitter le hangar et quIl navait pas précisé quand est-ce quIl revenait. Mais en fait personne ne vint, tous étant en train de soccuper deux même ou alors ils étaient partis manger. Et le Maître revint rapidement avec une gamelle quIl vida au sol avant de la laisser manger, en lui précisant quelle ne devait se servir que de sa langue et ne devait pas en laisser une miette. Laprès-midi se passa ensuite à apprendre des positions dans le donjon, toujours. Et dès quun visiteur en faisait la demande, elle devait arrêter ce quelle était en train de faire et ouvrir la bouche, et se la laisser baiser comme il le voulait et se soulageait dans un de ses orifices.
- Bien maintenant que la journée est passée, quen dis- tu ? Sache que jy suis allé doucement car tu es novice, donc attends-toi à ce que cela soit plus dur si je tachète. Souhaites-tu que je tachète et que je te ramène en France pour mappartenir ? Je te lai dit tout à lheure, la parole nest pas un droit ! Je ne te donne pas lautorisation de parler. Si cest ce que tu désires, att dans ta gueule ta laisse, viens jusquà moi à quatre pattes, dépose-la moi à Mes pieds et prosterne toi. Si je la ramasse, cest que jaccepte. Je te laisse une minute de réflexion.
Chùndù baissa la tête et réfléchit. Elle était épuisée, et pourtant Monsieur le Marquis avait précisé quIl y avait été doucement
Allait-elle supporter que ce soit plus intense, plus dur ? Et en même temps, elle ne sétait jamais sentie aussi libre, aussi heureuse de sa vie. Alors elle se décida et fit ce que le Châtelain avait exigé pour exprimer sa demande. Au bout de quelques minutes où Il ne dit rien, ne fit rien, Il saisit la laisse et Il lentraîna à nouveau vers le hangar de vente, où javais passé de mon côté une journée bien occupée
(A suivre
)
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