Des Amis De Longue Date

Ils se connaissaient depuis plus de 15 ans. Collègues de travail à l’export. De nombreux voyages ensemble un peu partout sur la planète, quelques nuits passés dans le même lit par la force des choses, mais jamais, au grand jamais, la moindre ambigüité.
Tous deux approchent de la cinquantaine, mariés, rangés. Olivier est grand, assez mince et bien bâti, des cheveux poivre et sel qu’il porte mi-longs.
Olivier est plus petit, assez large, roux si l’on en croit sa barbe puisqu’il n’a plus un cheveu sur le crane.
Ils venaient de passer une soirée arrosée chez des amis qui leur avaient proposé de partager un lit plutôt de reprendre la route. Plutôt éméchés, ils étaient monté à l’étage pour se coucher, et pour affronter la chaleur de la nuit estivale, il était évident qu’ils ne pouvaient pas de coucher habillés. Olivier fut le premier en slip, allant se brasser les dents dans petite salle de bain adjacente sans trop y réfléchir.
Il ne sait pas à quel moment il a senti son regard sur lui. Mais il l’a senti, fortement, presque l’impression qu’il glissait sur ses épaules, son dos, jusqu’à son cul enfermé dans un boxer rouge. Il a levé les yeux vers le miroir, discrètement, et il a vu en effet que Laurent l’observait, en douce le regard légèrement troublé, assis en slip sur le lit, et il a assez facilement remarqué la bosse qui se formait entre ses jambes et que Laurent ne pensais pas à dissimuler.
Et là quelque chose a basculait, il aurait du l’ignorer, voire en rire, peut être s’offenser, mais il ne fit rien de tout cela, bien au contraire. Soudainement il s’est senti « sexy », littéralement, objet d’un désir comme il ne l’avait jamais été. Et alors qu’il avait presque fini, il a continué à se brosser les dents lentement, se cambrant légèrement au dessus du lavabo, et s’il ne voyait plus le reflet de Laurent, il sentait encore son regard et l’excitation montait en lui, sa bite gonflait dans son slip et il en était sidéré.

En crachant une dernière fois dans le lavabo, il se pencha de manière si exagérée, offrant ses fesses au regard, qu’il se dit que Laurent allait remarquer quelque chose, peut être l’espérait-il même. Mais l’autre ne réagit pas. Quand il sortit de la salle de bains son érection était évidente, mais il choisit d’à peine la dissimuler, évitant cependant de regarder son ami. Il se dirigea droit vers le lit et se glissa sous les draps, dos tourné. A peine à l’abri, il se caressa doucement la bosse, comme pour s’assurer que cette érection était réelle. Son cœur battait la chamade, l’excitation qui le portait n’avait rien à voir avec ce qu’il avait connu jusque là.
Il ne put s’empêcher de jeter un œil quand il sentit son ami se lever du lit pour aller à son tour dans la salle de bains. L’instant fut fugace mais il put voir a quel point le slip de son ami était gonflé par un engin de belle taille.
Cela l’excita encore plus et il dut se faire violence pour ne pas commencer à se masturber. Il se raidit de tout son corps quand il sentit Laurent se glisser dans le lit. Ils se tournaient le dos, à bonne distance dans le King size. Olivier mourrait d’envie de se masturber mais il n’arrivait à trouver le courage, la peur du ridicule si son ami le surprenant la main dans le « sac ».
Il finit par sentir le sommeil le gagnait, même si son érection durait. Et quand il senti du mouvement de l’autre côté du lit, il pensa presque que c’était un rêve, et inconsciemment il se cambra, ramenant ses fesses vers l’arrière. Mais quand les dites fesses heurtèrent quelques chose de dur, il se réveilla aussitôt, restant cependant sans mouvement. Laurent c’était rapproché, pensant surement qu’il dormait déjà, et les mouvements discrets qu’il ressentait ne laissait place à aucun doute, il se masturbait doucement, sa queue au plus près de ses fesses. Son cœur se remit à battre fortement. Il ne bougeait pas, mais de sentir la que de son ami si près, de sentir son désir évident, tout cela l’excitait au plus haut point et sa propre queue était secouée de petits soubresauts dans son slip.

Laurent ne semblait pas pressé, il se branlait doucement, et Olivier espérait sans y croire qu’il allait enfin le touché, baisser son slip et prendre ses fesses à pleine main. Il n’en revenait pas d’avoir de telles pensées. Mais il n’y tenait plus, il avait lui aussi envie de se masturber mais il savait que s’il le faisait Laurent sen rendrait compte.
Il ne sait pas à quel moment ça a basculé, mais soudain son bras droit s’est mis doucement en mouvement sous le drap, et il a glissé vers l’arrière. Laurent s’est arrêté aussitôt et il a craint, vraiment, qu’il allait disparaitre, tout honteux, mais il n’a pas bougé, et la main d’Olivier a continué de glisser vers l’arrière jusqu'à ce qu’elle rencontre un gland puis un bite e effet de belle taille et dure au possible. Olivier la prit doucement en main et il sentit son ami grognait de plaisir et de surprise, mais ne rien faire pour le repousser. Bien au contraire, il se rapprocha doucement, tandis qu’Olivier commençait à la branler, excité de sentir cette bite si dure dans sa main, si dure pour lui et son cul, une sensation intense. Il le branlait doucement sans savoir où il allait avec ça, aucun mot fut prononcer dans le noir de la chambre silencieuse.
Laurent bougea à nouveau et senti que sa main droite s’approchait de lui, passant devant et caressant délicatement son ventre le faisant frissonner. Tout au plaisir il tenait simplement la bite de Laurent dans sa main sans bouger, semblant attendre.. La main de Laurent glissa aussitôt dans son slip at attrapa gentiment sa propre bite et Olivier grogna de plaisir à son tour et recommença à masturber son ami tandis que celui-ci lui rendait la politesse. Les mains s’activèrent ainsi quelque temps puis Laurent lâcha sa queue et commença à tirer sur le slip d’Olivier. Olivier laissa la bite de son mai pour lui permettre de mener à bien son plan. Il se cambra inconsciemment, tout au plaisir de se sentir déshabillé par un homme.
Il se retrouvait nu et ne pu s’empêcher de prendre sa bite à pleine main quand il sentit les mains de Laurent caressaient doucement ses fesses, les malaxant de plus en plus vite.
Son excitation décupla quand il sentit qu’il frottait son gland contre ses fesses, puis il le sentit se coller à lui, sa verge loger entre ses fesses, tout au long de la raie tandis qu’il se penchait et lui touchait la poitrine, embrassant l’arrière de son cou. La sensation était si inédite qu’Olivier respirait à peine quand Laurent lui pinça les tétons avant de glisser sa main à nouveau sur son ventre et de prendre sa queue ; tandis qu’il entamait de doux mouvements pour frotter sa bite à la raie d’Olivier. L’excitation d ‘Olivier était au paroxysme quand il décida de bouger à nouveau presque sans réfléchir, guidé par l’instinct. Il se redressa et se retourna et Laurent eut un mouvement de recul, surement effrayé, qu’il ait changé d’avis mais Olivier, dans le noir, le poussa doucement sur le dos et repoussa les draps. L’air soudain plus frais leur fit ressentir la réalité de leur nudité. Olivier distinguait à peine le corps de son ami, sur le dos, la bite dressée. Il se pencha près de lui et caressa son torse doucement, puis son ventre, enfin il prit à nouveau sa queue entre ses doigts, puis se pencha à nouveau et lui embrassa le torse. Il sentit son ami pencher la tête en arrière avec un soupir. Il lui lécha doucement le téton droit tandis que sa main branlait doucement la bite, puis ses lèvres glissèrent doucement vers le ventre où sa langue s’égara. Enfin il glissa plus bas et se retrouva tout près de l’objet de sa quête. Il n’avait jamais envisagé de sucé une bite encore moins celle de son ami, et pourtant, la tout de suite il en crevait d’envie. Un peu maladroitement, il se positionna au dessus de la queue toujours fièrement dressée qu’il tenait fermement de la main. Il glissa la langue le long de la hampe et autour du gland, la léchant doucement, hésitant encore mais prenant plaisir aux soupirs de son ami et à ses légers coups de reins involontaires. Ses quand il sentit la main droite de Laurent glissait sur son dos qu’il se décida à emboucher l’engin.
La sensation était unique de sentir cette queue entre ses lèvres, réagissant à ses coups de langue, et Laurent sous son contrôle et dont tout le corps se raidit quand il commença à le sucer vraiment, doucement, de haut en bas.

Il sentit la main de son agripper fermement ses fesses et il accéléra le mouvement tandis que les doigts de Laurent lui malaxaient le cul. Un doigt plus inquisiteur se glissa dans sa raie et lui titilla l’anus. Il suça Laurent plus rapidement en lui caressant les couilles tandis que l’index de son ami se glissait en lui. Il s’arrêta quelques instants pour ressentir les sensations qu’être doigté lui apportaient. Dans le noir, la bite de son mai était luisante de salive.
D’instinct à nouveau il se dégagea à nouveau et finit par s’assoir à califourchon sur Laurent qui ne bronchait pas. Il glissa la queue humide de son ami entre les deux lobes de ses fesses et commença à la laisser glisser le long de sa raie. Laurent râla de plaisir tout en se redressant suffisamment pour le branler. Le mouvement, la sensation de cette queue qui glissait entre ses fesses, cette main d’hommes qui le branlait énergiquement, Olivier était au bord de l’extase, et quand il entendit Laurent grogner plus fort encore et sentit le sperme chaud gicler puissamment sur ses reins, ses fesses, sa raie, il n’y tint plus et éjacula à son tour, de puissant jets maculant le ventre de son ami. Il ‘effondra ensuite sur le quai. Il émergea quand il entendit son ami se lavait dans le lavabo sans un mot, dans le noir. Et sans un mort retourner au lit. Il se glissa à son tour dans la salle de bain, surpris de la quantité de sperme qui lui couvrait les fesses. Il se lava rapidement et se coucha à son tour. Laurent dormait déjà et il lui faut peu de temps pour le rejoindre, non sans penser que le réveil au matin risquait d’être étrange…

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