L'Étudiante Nouvelle Vie (2/3)
Létudiante, nouvelle vie (2/3).
Elle revint en effet quelques jours plus tard, un dossier sous le bras, tandis que jétais encore au bureau à travailler sur un article. Elle frappa de très légers coups à la porte et entra. Tout comme la fois précédente au moment de me quitter, elle me fit la bise, effleurant mes lèvres des siennes dans un élan qui la déstabilisa très légèrement. Spontanément, je tendis un bras pour la retenir, ce qui lui arracha un rire saccadé et me fit sourire intérieurement.
Nous discutâmes de nouveau de son projet avant de lui prendre des mains le dossier quelle me tendait ; et parlâmes de tout et de rien pendant plusieurs minutes. Je finis par linviter à prendre un café à lextérieur et nous sortîmes. Compte tenu de lheure (près de midi), ce fut à un déjeuner que je la conviais finalement dans un restaurant attenant au café. Nous poursuivîmes notre discussion en cours de route et au restaurant puis, de but en blanc, je lui dis dans une apostrophe on ne peut plus ambiguë : comment ça se passe avec ton mari ?
Elle se rembrunit de nouveau, comme la première fois où je fis allusion à son mariage. Mais très vite elle chassa lombre de son front et me répondit, comme si elle avait deviné mes pensées : je ne suis plus vierge tu sais ! Allusion à ce que javais invoqué jadis pour ne pas la dépuceler ou promesse de ce quelle allait moffrir si je décidais de renouer avec notre passé ? Les deux probablement. Jen restai tout de même quelque peu interloqué et orientai la discussion sur de nombreux autres sujets.
Nous revînmes au bureau tout en discutant et, la porte à peine refermée sur nous, elle se jeta sur moi pour un baiser passionné que je lui rendis avec la même passion, sans réfléchir ni hésiter. Cette fois, cest moi qui suit allé fermer la porte à clé et, revenu vers elle, je lui pris la tête entre mes mains pour un nouveau baiser profond, nos bouches sétant ouvertes simultanément lune à lautre et nos langues senroulant lune sur lautre.
Elle se releva dune main quelle porta sur ma tête pour lenfoncer davantage dans son entrecuisse. Jappuyai à mon tour sur sa chatte que jexplorai de ma langue aussi loin que me le permettait notre position puis je me relevai, le visage barbouillé de sa mouille, pour venir lembrasser de nouveau. Elle moffrit sa bouche puis, dans un sourire ravageur, elle me repoussa de sa main libre. Pensant quelle voulait que je retourne à son entrecuisse, je descendis lentement en la regardant dans les yeux mais elle me mit la main au menton tout en me repoussant. Je me laissai faire tandis quelle relevait la tête et quelle décollait son arrière-train du bureau. Sa main descendait sur ma poitrine au fur et à mesure quelle se redressait et vint au final effleurer ma virilité qui formait une bosse monstrueuse dans mon pantalon.
Sans prendre la peine de défaire tous les boutons de la braguette, elle fit descendre mon pantalon à mi-cuisses. Dans le slip maintenant entièrement découvert, mon pénis formait une protubérance en diagonale du vêtement : elle y porta une main et le redressa en sorte que le gland lui apparut à demi sous lélastique. Posant sa joue sur mon bas-ventre, elle y porta les lèvres et lembrassa dun baiser furtif. Puis, prenant le slip des deux mains par lélastique, elle labaissa brusquement, faisant bondir mon sexe comme sil était mû par un ressort. Dune main, elle lempoigna et se lenfonça dans la bouche en faisant des va-et-vient lents jusquà mi-longueur de la hampe. Sa tête qui ne métait plus visible que du dessus, montait et descendait et tant par son mouvement régulier que par les sensations que me procurait sa bouche, mon excitation alla crescendo. Je ne tardai pas à sentir venir ma sève et me retirai prestement de cette bouche accueillante. Quoique quelque peu contrariée ma jeune partenaire me regarda droit dans les yeux et me dit : prends-moi maintenant, jattendais ce moment depuis si longtemps !!
Je pris son menton dans ma main pour la relever, mon pénis, resté à lair, tendu comme un morceau de bois sec et lui dis : ici, comme ça, maintenant ? Voyons H, tu ny penses pas. On risque de nous
Pour toute réponse, elle alla caler ses fesses contre la table-bureau, écarta les cuisses et attendit. Je la rejoignis sans plus de question et, relevant sa jupe de nouveau, je la fis monter un peu plus sur la table de façon à avoir juste son entrejambes hors du bord. Je pris mon sexe dans la main droite et le portai à la périphérie du sien en le frottant à ses grandes lèvres. Avec dinfinies précautions, je la pénétrai tout en portant ma main à sa bouche de crainte quelle crie ou quelle gémisse. Ma verge, entièrement en elle à présent, coulissait comme dans un pot de confiture tant sa chatte était lubrifiée par le désir.
Nous nous séparâmes enfin puis, chacun remettant ou rajustant ses vêtements. Nous allâmes nous asseoir lun en face de lautre, du même côté de la table-bureau. Je la remerciai pour cette offrande tandis quelle me disait pour la première fois quelle maimait. Tout en me levant, je lui demandai pour combien de temps elle serait encore là, une idée saugrenue me traversant la tête soudainement. Elle me dit quelle resterait encore quelques jours et ajouta, comme si elle lisait dans mes pensées : si tu veux on peut se revoir avant que je reparte. Je fis oui de la tête, et tout en griffonnant mon numéro de téléphone sur un bout de papier que je lui remis, je lui dis que jallais faire le maximum pour terminer de lire et de corriger son projet de thèse dici là. Je me dirigeai vers la porte ; elle me suivit et, sans un mot, louvrit elle-même et sortit. Je refermai la porte derrière elle, tout à mes pensées et à mes fantasmes dont déjà certains sétaient réalisés.
 
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