La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°961)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°960) -
où javais passé de mon côté une journée bien occupée
Oui bien occupée, car quand le vendeur prénommé Maijia, mavait emmené avec lui, il me fit visiter son box. Il y avait la partie « magasin » où les soumis et soumises étaient exposés. Il ny en avait pas énormément, peut-être une dizaine. Des toilettes, où il y avait juste la place de tenir assis sur la cuvette et douvrir et fermer la porte. Et une sorte darrière-boutique denviron 4mx4m, où il y avait juste un fauteuil et une commode.
- Bien, bien, bien
quest- ce que je vais bien pouvoir faire de toi
? Ce nest pas tous les jours quon a à sa disposition une soumise MDE marquée ! Cest même exceptionnel, comme pièce !
On va commencer par « thabiller » un peu.
Il se dirigea vers la commode et ouvrit le premier tiroir. Il en sortit des pinces à dents reliées par une chaîne, deux à deux. Il sapprocha de mon visage, je métais mise en position prosternée, cul nu bien relevé quand il avait lâché ma laisse, nayant pas reçu dordres. Il mattrapa par les cheveux et tira brusquement vers le haut, marrachant une grimace de douleur, pour me faire mettre à genoux. Immédiatement, jécartais au maximum les jambes. Il posa sans ménagement, sans préparation ses pinces, une à chaque téton, et une à chaque lèvre intime. Il retourna à nouveau vers la commode et revint avec des poids. Je ne savais pas de combien ils pesaient, mais quand il en accrocha de suite deux à la chaine reliant les seins et deux à celles reliant mes lèvres, des larmes silencieuses coulèrent. Cétait une expérience que je navais pas encore faite, et cétait vraiment douloureux, les dents des pinces senfonçant dautant plus dans les chaires tendres et les poids les étirant inexorablement vers le bas. Je restais immobile pour ne pas que le mouvement des poids najoute encore à mes tourments.
Mais le vendeur même sil nétait pas un Dominant à proprement parlé, avait un côté pervers quil ne cherchait aucunement à brider. Gardant la porte ouverte pour voir si de potentiels clients arrivaient et pour garder un il quand même sur sa marchandise, il samusa pendant quelques minutes à donner des coups de badine sur les seins, et sur lintérieur des cuisses, faisant exprès daccrocher les chaînes au passage, faisant ainsi balloter les poids. Mon éducation faisait que je ne laissais sortir aucun cri, pas le moindre gémissement. Mais je serrais fortement les dents, je contractais au maximum les muscles. Je ressentais des douleurs dans tous le corps sous la tension. Je fus heureuse quand au bout dun quart dheure un acheteur potentiel arriva et le héla. Je relâchais petit à petit mes muscles, en faisant attention à garder une parfaite immobilité, pour ressentir un peu moins la morsure des dents des pinces. Je navais pas vu depuis ma place sur la boutique. Je fus donc assez surprise de voir Maijia revenir avec deux hommes.
- Chienne, je peux tutiliser comme bon me semble. Et comme jai un léger souci avec les toilettes hommes. Ces messieurs ont besoin de les utiliser. Alors tu vas te placer à genoux devant les pissotières bouchées, ouvrir la bouche et tu serviras durinoir aussi souvent quil y en aura besoin toute la journée.
Maijia menleva les pinces sans ménagement, aussi vite quil me les avait posé. Puis me tirant par les cheveux, il memmena vers lesdites toilettes. Une forte odeur durine empestait le lieu à cause les deux pissotières bouchées et remplies durine. Le vendeur me fit installer à genoux devant ces urinoirs et mimposa douvrir grand la bouche. Le premier homme commença par me malaxer les seins, puis à les claquer du plat de sa main, avant de faire pareil sur mes joues. Il aimait la couleur rouge au moment de pisser, précisant que chez lui, les toilettes étaient peintes de cette couleur.
- Tu reçois, mais tu navales pas ! Et tu nen perds pas une goutte.
Il prit son temps. Il commença par viser ma bouche. Jobéissais donc calmement. Mais il finit par secouer sa queue vivement, arrosant mon corps, le sol et tout autour.
- Espèce de chienne désobéissante ! Soulage mon ami, je moccupe de toi après !
Le deuxième homme ne chercha même pas à pisser dans ma bouche, il maspergea volontairement des pieds à la tête, sans un mot. Quand il eut fini, il se rhabilla, et repartit avec juste un signe de tête au vendeur. Le premier mattrapa les cheveux également sans ménagement et promena ma tête au sol et sur les murs, mimprégnant des odeurs et des liquides mélangés des deux hommes. Jétais utilisée comme une serpillère. On me prenait pour une souillonne, une sale et vulgaire souillonne de serpillère
Et le paradoxe inavouable mais bien réel est que le fait dêtre utilisée ainsi comme une sale traînée, mexcitait grandement, je mouillais abondamment, ma cyprine coulait le long de mes cuisses
tant je sentis en moi une fulgurante jouissance menvahir toute léchine par des petites décharges électriques alors quon ne me pénétrait même pas un de mes orifices ! Mais cette extrême humiliation ressentie me provoqua cet état mental et orgasmique
- Maintenant, tu sors ta langue, et à plat ventre, en rampant tu nettoieras le sol et puis au fur et à mesure tu te relèveras pour nettoyer également les murs.
La tâche fut longue et loin dêtre agréable. Les urines étaient concentrées, comme si les deux hommes navaient pas bu depuis un bon moment avant de se vider. Et le visiteur avait attrapé la badine du vendeur, et les coups pleuvaient. Mais je mexécutais avec minutie, et je ne marrêtais que lorsquil ny eut plus aucune goutte de liquide autre que ma bave. Jétais percluse de douleurs et maintenant puante et souillée, mais aussi encore très excitée par la situation. Avant de quitter larrière-boutique, le visiteur exigea une fellation, et quand il voulut décharger après mavoir abondamment baisé ma bouche jusquau fond de ma gorge par des vas et viens cadencés, il sortit sa verge de ma bouche et vida son sperme en de jets épais sur mon visage, puis il rejoignit Maijia, et voulut macheter.
- Ah je suis désolé ! Cette chienne exceptionnelle nest pas à vendre, cest une caution pour une soumise qui est partie pour la journée avec un éventuel acheteur.
- Ah cest bien dommage ! Vous êtes sûr ? Je peux Vous la payer le double du prix de la soumise qui est partie, vous ny perdrez pas au change ! Si je pouvais avoir une chienne MDE chez moi, ma notoriété augmenterait sans conteste.
- Mais cest justement Monsieur le Marquis dEvans qui la déposée ici ce matin. Revenez ce soir, Il acceptera peut- être de vous la vendre.
- Hum, Monsieur le Marquis ?
Lui-même, en personne ? Le fameux Noble ! Ah ? Alors, je verrai
Je repasserai peut- être
Et il partit. Javais entendu toute la discussion. Je ne minquiétais pas, le Maître mavait précisé quil navait aucunement lintention de me vendre, il y avait peu de temps quand Wangdak en avait parlée, et cétait son ami. Alors je ne craignais pas que dun coup Il décide de me vendre à un inconnu, imbu de lui-même. Si jamais Il changeait davis, jétais sûre quIl veillerait à mon bien-être en me laissant à un Dominant qui saurait prendre soin de moi. Maijia revint me voir. Jétais prosternée, souillé et sale.
- Eh bien, heureusement que le sol est recouvert dune seule pièce de linoléum ! Au moins cela se nettoie facilement, et tu vas pouvoir rester ainsi. Je nai pas le temps de temmener te laver
Jusque-là, je navais pas vu les anneaux scellés dans différents endroits du mur et du plafond. Il exigea que je me plaque au mur, dos à la porte. Il attacha des menottes à mes poignets, fit passer une corde fine mais solide dans des crochets qui y étaient fixés. Puis après avoir passé la cordelette dans des anneaux du plafond, il tira jusquà ce que je me retrouve sur la pointe des pieds, les bras étirés en V au-dessus de ma tête. Il fixa également mes chevilles au mur. Je ne reposais au sol que sur le bout de mes orteils. La position était inconfortable, voire carrément douloureuse.
(A suivre
)
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