Panique Dans Le Bu Partie 2/2

Cela faisait maintenant une semaine que je n’avais plus porté de caleçon ni de ceinture et je me sentais totalement libéré. Mon copain aussi semblait fortement apprécier ces changements, surtout lorsque je lui sautais dessus pour le sucer en plein milieu de la journée. J’avançais vers mon arrêt de bus en repensant à ma petite visite de ce matin. J’avais débarqué dans son appartement pour le surprendre en peignoir et l’avais embrassé fougueusement avent de chevaucher son pénis. Je ressentais encore son corps contre moi et son engin pilonnant mon intérieur. Je souris doucement et m’adossais contre un mur pour patienter.

Je pu grimper dans le bus quelques instants plus tard, comme chaque jour à cette heure, il était entièrement plein et je me faufilai avec difficulté à l’intérieur. Je retrouvais ma place préférée, proche de la porte, accroché à une barre verticale et, bien entouré. Dès que le véhicule se mit à rouler, je sentis des corps d’hommes se presser contre moi, je me mordis la lèvre en rougissant. Depuis ma dernière mésaventure, je devais résister de toutes mes forces pour ne pas dér lors de mes trajets quotidiens. Je me déplaçais un peu sur la gauche pour ne plus être en contact avec l’entrejambe de mon voisin de derrière, de cette façon, la tentation allait être moins forte.
Le premier virage me donna tort, je me retrouvais pressé de plus belle contre lui et mes fesses nues sous mon jean ressentirent sa chaleur. J’allais de nouveau me déplacer lorsque je remarquais une légère bosse au niveau de ma raie. Curieux, je la pressais légèrement contre mon postérieur et compris immédiatement de quoi il s’agissait. Mon bas ventre prit feu et je me mis à remuer doucement les hanches. J’avais peur d’être pris pour un fou, d’être repoussé et humilié devant tous ces gens, mais rien n’aurait pu me faire arrêter. Mes efforts furent bientôt récompensés et je sentis la bosse grandir contre moi. Je mis plus de vigueur dans mes mouvements ce qui un effet inattendu.

L’homme me plaqua contre la barre et inséra son pénis dans ma raie. Mon visage se retrouva collé contre un énorme phallus métallique tandis qu’un inconnu utilisait mes fesses pour se branler.

Je n’y croyais pas, mon fantasme se réalisait enfin ! Je remuais sensuellement contre cet homme, gémissant presque de plaisir. J’avais envie d’aller plus loin, je voulais le sentir en moi, coller mon corps nu au sien. Je ne savais rien de son apparence ni de son âge mais cela n’importait plus, seul le sexe comptait pour moi. Je fermai les yeux et inspira profondément, puis, je me retournai légèrement et mis ma main sur son entrejambe. Ce pénis avait l’air tellement gros que je m’imaginais déjà le sentir me ramoner l’intérieur. Je le gardai en main quelques minutes, n’osant pas aller plus loin. Mon partenaire s’excitait rapidement et se faisait de plus en plus pressant. N’écoutant que mon désir, je plongeais finalement les doigts dans son pantalon et me faufila jusqu’à atteindre le sexe tant convoité. Son gland tout chaud perlait déjà de plaisir et trembla à mon contact. Je n’avais pas encore commencé à explorer cette poutre qu’elle me semblait déjà énorme. Je fis courir mes doigts le long de son manche, me délectant de cette sensation. En échange, ses mains couraient sur mon corps, profitant comme si je lui appartenais.

Le bus se gara devant la fac, le trajet était passé à une vitesse folle mais je me retrouvais avec plein d’envies et d’idées à mettre en pratique la prochaine fois. Je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin. Je sortis et me dirigea vers le portail lorsque je sentis une main m’agripper le poignet et m’attirer vers une ruelle. Je ne reconnaissais pas cette personne mais je savais qu’il s’agissait de mon inconnu. Il était plutôt beau, grand, musclé les cheveux bruns coupé court. Son visage fin contrastait avec la lueur carnassière de ses yeux. Il me plaqua avec force contre le mur et mon regard se tourna désespérément vers la sortie. Il suffisait qu’un passant tourne la tête pour nous voir.
Je voulu appeler à l’aide mais une main me fit taire.
« _ Tu m’as chauffé pendant une demi-heure, maintenant tu vas prendre tes responsabilités ! »
Il défit sa ceinture et sorti son sexe, il était encore plus gros que je l’avais imaginé. Son gland humide de plaisir était dressé et son sexe parfaitement rasé me faisait maintenant extrêmement envie. Avant que ne puisse esquisser le moindre geste, il arracha furieusement mon jean et me souleva légèrement. Je poussai un cri au moment où son pénis s’enfonçait en moi, non pas de douleur, mais de pur plaisir. Je passai mes bras autour de son cou et me serrai contre lui, sa langue fouilla mon cou et ses lèvres m’embrassèrent. Son membre vigoureux pilonnait mon anus et mon sexe remuait à chaque coup de hanches.

« _ Va y…plus profond… Murmurais-je. »

Pour toute réponse, il attaqua énergiquement mon trou et me fit un gros suçon dans le cou.

« _ Non, pas ça… mon mec va le voir, haletais-je
_ On s’en fout t’es à moi maintenant ! T’as voulu jouer alors tu assume. »

Ma réponse s’étouffa dans un gémissement, je n’avais jamais rien ressenti d’aussi fort, jamais une bite ne m’avait fait autant de bien. Une petite part de moi se sentait coupable mais la chaleur qui montait en moi l’effaçait peu à peu. L’orgasme montait en moi et ma vision se troubla lentement. L’image de mon copain s’effaça totalement de mon esprit et je posai mes lèvres sur celles de l’homme. Ma langue rencontra la sienne et nous nous embrassâmes fougueusement. Un jet brûlant rempli mes fesses, le sentir jouir en moi m’acheva et mon sperme éclaboussa le sol. Nos jambes faiblir et nous nous laissâmes tomber à terre.

Je fermais les yeux et tenta de reprendre mon souffle pendant de longues minutes, mon pantalon toujours baissé et le sexe dressé. Lorsque je rouvris les yeux, j’étais seul, je me relevai avec peine, me rhabillai et sortis. Ce qui venait de m’arriver était incroyable, je savais maintenant que je ne serais plus jamais le même, je ne pourrais plus me passer de sexe et tromper mon mec allait maintenant être une habitude.
Je souris à cette pensée en franchissant les grilles de la Fac.
J’avais hâte de découvrir de nouvelles choses.

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