La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°962)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°961) -
Il me banda les yeux et me mit un bâillon équipé dun anneau large, qui me maintenait la bouche grande ouverte, offerte à qui le voudrait... Jentendis des bruits que je ne reconnaissais pas. Mais quand il me fit monter sur une table carrée, vu que je nen avais pas vu avant, je supposais que les bruits étaient la table quil avait dépliée. Elle nétait pas très grande, juste de quoi y reposer mon dos et le haut de mes fesses. Ma tête pendait donc dans le vide, en arrière, le sang ne tarderait pas à monter dans cette position. Il mattacha les chevilles et les poignets aux pieds du meuble. Jétais dans lincapacité totale de bouger, et je ne pouvais absolument rien voir avec le bandeau. Jessayais de ne pas trop minquiéter. La journée ne durerait pas indéfiniment. Et je retrouverai bientôt la Dominance saine du Maître Vénéré. En attendant, je ne pus empêcher une pensée dappréhension quand jentendis un grand nombre de voix entrée dans la petite arrière-boutique. Bientôt la pièce devint étouffante. Une petite pièce et un grand nombre de personne augmentaient la sensation de chaleur. Très vite, jentendis bon nombre de phrases du style : « Une belle pute à baiser », « Une bonne chienne à prendre », ou le vendeur qui invitait quiconque le voulait à prendre le trou quil voudrait.
- Je vous prierai de bien vouloir vous soulager de temps en temps dans sa bouche, urine ou sperme, pour ne pas que la petite salope à votre disposition ne puisse se déshydrater. Allez-y, tous les trous sont bons à être fourrés !
Alors ce fut une succession de bites dans ma chatte, dans mon cul et dans ma bouche. Parfois, cétait chacun son tour. Parfois, plusieurs queues me prenaient en même temps. Je reçus du sperme dans mes orifices du bas, sur ma peau, jamais dans la bouche. Ils préféraient me pisser directement dedans. Avec lanneau qui mécartait la bouche, souvent je métouffais avec lurine qui coulait directement dans ma gorge.
Mais la seconde chose que je serais incapable doublier, cest quand un troisième homme avait décidé denfoncer son vit dressé dans mon cul. Il eut vraiment du mal à rentrer, jétais déjà bien remplie. Mais cela ne le découragea pas et il appuya de plus en plus jusquà être parvenu à ses fins. Alors là, ce fut une explosion de sensations ! Jamais je ne métais sentie aussi pleine ! Javais limpression quabsolument toute la surface de mes parois internes était stimulée en même temps. Le temps quils shabituent eux même à la situation, ils restèrent immobiles, mais cela ne mempêcha pas de jouir bruyamment, comme une bonne chienne en chaleur beuglant son plaisir sans retenue tellement cétait bon de nêtre considérée que comme un ensemble de trous à bites, un vide-couilles, une bonne salope de chienne à baiser ! Quand tous se furent vidés, toujours sans savoir le nombre dhommes qui métaient passés dessus, quand tous eurent pissé dans ma bouche, se furent vider les burnes dans un orifice ou sur ma peau, ils partirent tous, ainsi que le vendeur, et ils me laissèrent seule, toujours attachée sur la table, épuisée, salie, souillée certes, mais quel pied jai pu vivre ! Je sentais ma peau qui sétirait sous leffet du sperme qui séchait.
Quand je me réveillais, jétais sur le sol, un drap me recouvrait. Mais jétais tout de même attachée, les poignets et les chevilles ensemble. Peu de temps après, je vis Maijia ouvrir la porte, un biberon à la main.
- Chut, on se tait et on boit !
Et il me fourra la tétine dans la bouche. Ce que jingurgitai avait un goût franchement mauvais. Je ne savais ce que cétait, mais ça me donnait la nausée. Cependant cela eut le bénéfice de calmer ma faim. La journée se poursuivit relativement calmement. Je devais restée à genoux devant les toilettes, et dès que quelquun entrait je devais garder la bouche ouverte et recevoir urine et sperme, à la convenance de qui venait soit pisser, soit se branler. Jeus même la visite de quelques femmes qui avaient pris connaissance de ma présence et qui avaient osé entrer dans les toilettes hommes. Elles me pissaient dans la bouche, avant dexiger que je lèche leur chatte jusquà les faire jouir et je devais boire leur liqueur. Certaines me branlaient avec frénésie, me pinçaient les tétons
Je mouillais encore et encore dexcitation et eus encore plusieurs orgasmes malgré la fatigue
Quand jentendis, enfin, la voix de Monsieur le Marquis dEvans, je me sentis soulagée et dun coup très faible, et je lavoue, un peu honteuse de létat dans lequel je me trouvais.
- Jai essayé votre soumise toute la journée. Cest décidé, je vous lachète ! Entendis-je le Maître dire au vendeur
- Vous voulez lacheter ou léchanger ? Jai un monsieur qui est passé et sest servi de Votre chienne, et qui aurait voulu lacheter un très très bon prix !
- Non je suis désolé, mais je ne me sépare pas de Mes biens sans que ce ne soit leur volonté. A moins que Ma soumise MDE nait exprimé le souhait de me quitter.
- Non Monsieur le Marquis, elle a été parfaite et na pas parlé de la journée.
- Bien, alors allons lui poser la question. Après tout, je peux me tromper sur ses désirs.
Et après que le Maître eut un mouvement darrêt en me voyant ainsi souillée et puante, Il me demanda si je préférais partir avec le monsieur en question. Et sur ma réponse véhémente exprimant mon désir de ne jamais le quitter de toute ma vie, les deux hommes retournèrent dans la boutique me laissant à ma place, et retournant voir Chùndù, la soumise asiatique que le Maître allait acquérir. Elle allait rester avec le vendeur jusquau lendemain, jour où des personnes employées par le Maître viendraient récupérer tous les biens quIl avait acheté ces deux jours
Il revint me chercher dans larrière-boutique, après une discussion avec le vendeur sur mon comportement de la journée et tout ce que javais vécu. Quand Il ouvrit la porte, je me prosternais immédiatement, considérant que sIl était revenu, cest que je repassais, avec bonheur et reconnaissance, sous Ses ordres. Il saccroupit près de moi et claqua des doigts. Je me mis donc à quatre pattes, tête basse. Il posa un doigt sous mon menton, me releva la tête et exigea que je Le regarde dans les yeux.
- Je suis fier de toi, ma chienne. Je sais que tu as passé une journée intense et fatigante, et surtout dégradante, mais que tu as obéi à tout ce quon a exigé de toi, comme la bonne chienne obéissante et bien dressée MDE que tu es. Tu as fait honneur à léducation que tu as reçu, et à la réputation que jai à travers les continents. Maintenant nous allons rentrer, mais demain tu seras récompensée. Suis-moi, nous allons trouver un endroit où tu pourras te nettoyer, te laver ...
Nous trouvâmes un hangar-sanitaire où il y avait des douches, froides évidemment mais avec du savon liquide à disposition. Le Maître me laissa seule pour me nettoyer. Cela me fit énormément de bien de pouvoir me débarrasser de tout ce sperme, cette urine, cette odeur qui me collait à la peau, odeur remplacée par celle, salvatrice, du savon
Comme le jour précédent, je mendormis dans le coffre sur le trajet du retour.
- Jai décidé de commencer à te récompenser dès ce soir. Tu vas passer la nuit avec moi, dans Mon lit ! Demain, tu auras le droit à une douche chaude, et à rester avec Moi toute la journée.
Je me précipitais hors du lit, et me prosternais à Ses pieds laissant couler mes larmes. Cette position et mes larmes étaient pour moi le meilleur moyen de Le remercier le plus sincèrement quil métait possible. Cétait à mon sens plus expressif que des mots, et Sa caresse tendre sur ma tête, ma joue et mon épaule me confirmèrent que mon message de reconnaissance et de dévotion était bien passé
(A suivre
)
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