L'Éducation D'Une Bourgeoise Bcbg Suite 2
L'éducation d'une bourgeoise BCBG suite 2
Cela fait maintenant quelques minutes que nous avons quitté les sous-sols du parking.
S... semble figée au fond de son siège. Instinctivement elle observe autour d'elle les regards des personnes... des piétons que nous croisons, au détour d'une rue, à l'occasion d'un arrêt obligatoire à un feu rouge, le regard d'un automobiliste, lui aussi arrêté au feu rouge et qui, le temps de l'arrêt obligatoire, tourne sa tête vers elle... Elle éprouve cette troublante sensation de se sentir systématiquement observée. Elle se sent, à la fois tellement vulnérable, assise sur son siège avec ses poignets solidement attachés dans son dos, nue sous son imper juste fermé par deux boutons, avec son collier placé autour de son cou doù descend une laisse elle aussi assez visible, mais aussi, tellement fière de son comportement quoique pas totalement rassurée par la tournure des événements.
La sortie de la ville se fait sans encombre et l'ambiance, dans l'habitacle de la voiture se détend peu à peu. S... m'adresse la parole : « Monsieur, il faut que je vous fasse une confidence : Tout à l'heure, le vigile du parking, en parlant de moi, m'a traité de salope. Jamais personne ne m'a traité ainsi... mais je dois reconnaître que le fait de me traiter de la sorte à soudainement augmenté le picotement troublant que j'éprouve au fond de moi... je crois que je suis trempée... En plus, luf qui rempli toujours mon sexe augmente encore cette sensation et mon trouble... »
Cet aveu soudain, mais sincère, ne m'étonne pas et je me dis que nous sommes sur la bonne voix.
Pour récompenser S... de ces aveux je dépose un doux baiser sur sa joue. Puis discrètement, j'appuie sur le bouton « marche » de la télécommande de luf vibrant... télécommande qui est toujours à portée de main. S... sursaute sur le siège, autant par surprise que par plaisir. Immédiatement je remarque que S... fait bouger légèrement ses cuisses, que sa respiration augmente de rythme et, de fait, je sens son corps qui commence à onduler.
Alors que S... commence à avoir du mal à se contrôler j'appuie sur le bouton arrêt de la télécommande. S... pousse un énorme soupir de désapprobation... elle se sent terriblement frustrée et veut m'adresser la parole... d'un geste je lui place mon index sur sa bouche ce qui a pour effet de la calmer.
Par pour longtemps, car depuis un moment, alors que nous nous trouvons maintenant sur l'autoroute qui nous ramène à Mulhouse, je suis un bus de tourisme. Alors que je m'en rapproche... lentement, j'ouvre les deux boutons de l'imper qui couvre le corps dénudé de S...
J'écarte très nettement les pans de celui-ci, dégageant nettement ses épaules, et je les fais glisser dans son dos... S... est maintenant nue, offerte, mais aussi et surtout attachée, dans l'impossibilité de réagir.
Je lui demande de bien écarter ses cuisses... S... hésite et je dirais même qu'elle résiste. Je lui rappelle son engagement et son accord à obéir à « Monsieur ». S... ne réagit pas ce qui me déplaît.
Je décide de caresser, de ma main libre, un sein puis de pincer fermement son téton. Je fait de même avec l'autre sein... S... gémit, et ne résiste pas
lentement elle écarte ses cuisses...
Entre temps la voiture s'est très nettement rapprochée de l'arrière du bus... S... commence à se rendre compte de ce qui peut se passer. Ses yeux s'écarquillent et elle commence à me supplier de ne pas dépasser le bus... je lui demande de se taire et d'obéir... mais S... continue à me supplier, alors qu'en même temps, deux petites larmes perlent aux coins de ses yeux... Pour lui faire comprendre que je ne veux plus l'entendre je sors de ma poche le string que S.
J'observe S... décontenancée, son superbe corps offert... obéissante, vaincue... C'est le moment que je choisis, pour appuyer, à nouveau, sur le bouton de la télécommande. Immédiatement le corps de S... reprends ses ondulations, je sens l'excitation envahir le corps et les sens de S... qui se trémousse tout en gardant ses cuisses largement ouvertes... je remarque maintenant, entre ses cuisses plus qu'une simple moiteur, visiblement son sexe est trempé. Je sens que S... s'approche tout doucement de la jouissance... c'est le moment que je choisis pour dépasser le bus. J'ai pris soins, auparavant, de regarder dans le rétroviseur afin qu'il n'y ai pas de voiture derrière la nôtre à moins de cinq cent mètres ce qui me permet de doubler à vitesse réduite.
S... bien évidemment s'en rend compte. Instinctivement elle cherche à se cacher, mais en même temps, elle sait qu'elle ne peut rien faire... et en plus, elle se trouve au bord de l'extase, de la jouissance. J'appuie à nouveau sur le bouton et les vibrations augmentent maintenant au maximum.
S... ne remarque même plus que le dépassement se fait très lentement offrant ainsi, aux passagers du bus, un spectacle aussi étonnant que surprenant... S... regarde ces visages qui l'observent, elle ne sais plus, elle ne peut plus, elle ne résiste plus... c'est en arrivant à la hauteur du chauffeur du bus que S... jouit de tout son corps... de longs râles et gémissement s'échappent de sa bouche alors qu'entre ses cuisses coule le jus de sa jouissance. Sans attendre j'appuie sur le bouton arrêt de la télécommande.
Au moment de me rabattre sur la voie de droite, le chauffeur du bus me fait des appels de phares. Je lui réponds en maintenant les feux de détresse allumés pendant cinq secondes puis j'accélère nettement.
A mes côtés, S... est complètement avachi, sa respiration est encore très saccadée alors qu'elle reprend doucement ses esprits. Je lui ôte le string de sa bouche et je replace les pans de son imper sur ses épaules... Nous ne sommes plus loin de Mulhouse. Je quitte l'autoroute et m'écarte un peu de celle-ci. Je rejoint une petite route communale que j'ai repéré et je me gare dans un endroit discret.
Je sors de la voiture, aide S... à sortir de la voiture. S... est encore tremblante alors que lentement je lui détache ses poignets. Puis je me place devant elle, j'écarte les pans de son imper je sers le corps quasiment nu de S... contre moi. Je l'embrasse très tendrement et très longuement. S... quant à elle, me sert également très fort et me glisse dans mes oreilles un : « merci Monsieur ».
C'est en fermant un à un les boutons de son imper que je lui dis que je suis très fier de ma « Bourgeoise BCBG » S..., tout en me remerciant me demande si elle peut récupérer ses sous-vêtements et en même tant ôter son collier avec la laisse.
Je ne dis rien, j'invite S... à reprendre sa place dans la voiture. En la ramenant devant la gare de Mulhouse je précise à S... que je garde ses sous-vêtements, je l'autorise à enlever la laisse qui est accrochée au collier mais que celui-ci doit rester placé à son cou le plus longtemps possible.
Nous voilà arrivés. J'invite S... à descendre de la voiture. J'indique à S... qu'elle aura prochainement un courrier de ma part... si elle le souhaite.
Pour cela , S... devra me laisser un sms sur mon portable dans un délai de 48 heures...
Je dépose sur les lèvres de S... un tendre baiser, elle ouvre la porte de la voiture et sans un mot, sort de celle-ci, et commence à marcher... J'observe encore quelques secondes la superbe silhouette de cette femme et je me dis que je suis heureux et fier d'avoir pu partager cette matinée avec elle.
La voilà qui disparaît au coin de la rue.
Quant au SMS, je n'attends pas bien longtemps, car cinq minutes plus tard, la sonnerie de mon portable sonne et je découvre le message suivant : merci beaucoup Monsieur. Je suis à vous.
J'attends votre courrier... Votre dévouée S...
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