Un Cocu Heureux 12 - Vraiment Heureux Fin


- Ah ! Non, Gérard tu m’as promis, pas ça… Léo, c’était la punition promise à Léa. J’aurais voulu voir avant d’essayer. Mais où est-elle passée avec Bruno ? A quand la punition modèle promise ? Elle aura bien lieu, vous lui ferez passer l’envie de courir derrière mon Jean ?

Elle a l’étrange réflexe de jouer à l’épouse amoureuse et jalouse. Gérard doit être flatté de s’envoyer une femme si amoureuse de son mari. Dans sa situation le jeu de ma femme est ridicule. Plus elle se plie aux caprices sexuels de ces hommes, plus elle voudrait paraître épouse parfaite. Gérard prend garde de la contrarier. Léo se met en valeur pour flatter la tendance féminine à justifier le pire :

- D’accord, mais Léa a obéi et Bruno l’a conduite dans ton lit. Je l’ai bien dressée ma femme, moi. En ce moment elle se désintoxique, elle oublie de rêver de ton mari entre les bras de Bruno. Prends exemple sur elle, soumets toi. On ne peut pas punir Léapour sa bonne volonté tout de suite. Laissons-la s’attacher à ce jeune : c’est sans lendemain, au retour elle me reviendra. Jean me sert de modèle. Comme lui j’ai décidé d’accorder plus de liberté à ma femme. Elle peut aller se faire foutre par d’autres du moment que je t’ai. Tu vois comme je t’aime !

Gérard applaudit :

- Bravo, Léo. Ah ! Si tous les maris pensaient comme toi au bonheur de leur femme, la vie en société serait plus belle. « La désintoxiquer de Jean » : c’est une idée géniale. On peut faire confiance à Bruno pour y parvenir. C’est un bon baiseur, quelques filles du camping peuvent le confirmer. C’est aussi un grand sentimental. On lui laisse le temps d’embrouiller ta chaste épouse. Je reste donc avec vous pour prendre soin de Mylène. Elle a encore des choses à apprendre.

Léo une fois de plus tire la gueule. Sa femme s’amuse avec Bruno et Gérard colle à Mylène. Pour atténuer son chagrin trop visible Gérard s’engage :

- Demain nous trouverons un prétexte pour la dégourdir ta petite femme : tu assisteras à son initiation à la sodomie.

Tu avais si peur de voir Jean s’enticher de Léa. La chose est réglée pour aujourd’hui.

Ils n’ont rien vu ni entendu de la mésaventure de Bruno. Léa risque un baiser sur ma joue dans le noir. Celui-là n’est pas destiné à augmenter la jalousie de Léo. Ce Léo est un rustre, un homme vraiment amoureux dirait-il comme Léo :

- C’est toujours ça de gagné. Alors on change de cul ? On s’occupe de ma chérie.

Toutes les femmes lui appartiennent ! La mienne devient « sa chérie ». Léa a pris ma main. Elle est révoltée par cette conversation. Léo sera complice, admettra qu’on lui fasse subir les derniers outrages demain pour gagner ce soir le droit d’user et d’r de Mylène. Elle murmure pleine de rage :

-Les salauds

Mylène craint ce qui doit suivre. Ne l’a-t-elle pas cherché ? J’ai secouru Léa, je ne bougerai pas le petit doigt pour lui venir en aide.

- Et du coup, vous voulez vous amuser entre mes fesses. Moi aussi je vous obéis, est-ce une raison de me punir ?

Gérard reprend la parole :
- Mais tu te goures ma poule. Tu devrais essayer, regarde, il en a une petite, tu ne sentiras que du plaisir. Grimpe sur le canapé et tends ton cul. Ludovic va t’initier à la sodomie. Il préfère les hommes d’habitude, mais il est venu nous renforcer de son expertise, spécialement pour toi et pour Léa. Tu es disponible, Léa ne l’est pas, commençons par toi.

- Quoi , un expert ? On peut être expert en sodomie ?

- Oui, tu as de la chance. C’est une question de pratique. Fais comme je dis, appuie ta tête sur le coussin, le cul en l’air, ouvre tes fesses au maximum, tire dessus. C‘est bien, l‘anus s‘ouvre.. Allez Ludo, elle est à toi.
- Vous pourriez attendre demain, si vous voulez que j’aille à la plage avec vous tout à l’heure. Si vous me défoncez le cul, je ne pourrai plus marcher.

Elle ne sait plus ou fait semblant d’avoir oublié. J’ai théoriquement inauguré le passage pour devancer Gérard.
Il avait annoncé son intention de lui faire connaître les délices de Sodome pendant que j’irais au ravitaillement. Je m’étais empressé de prendre sa rose et de voler à l’amant la gloire de l’initiation anale. Je dis théoriquement, avec Mylène je ne sais plus que penser. Allez savoir si elle n’est pas plus expérimentée que je ne le pensais. Elle avait également joué l’innocence avec moi, exactement comme elle le fait en ce moment.

Je l’avais possédée après Gérard. Elle avait réclamé une trêve pour son vagin. J’avais alors posé mon gland entre ses fesses et pénétré son anus par surprise. Elle avait demandé:

- Jean que fais-tu ?

J’avais tiré sur les fesses, craché sur sa rondelle et envahi la position. La citadelle m’appartenait et j’avais déclaré :

- J’ai pitié de ton vagin, je profite de l’inspiration du moment pour te préparer.

- Me préparer à quoi ?

- Admets qu’un jour tu veuilles coucher avec deux hommes, l’un par devant, l’autre par derrière : ton cul se dilatera s’il est entraîné. Au lieu de souffrir tu jouiras plus vite et plus fort.

La tricheuse avait eu l’audace d’un mensonge éhonté, juste après l’adultère commis :

- Mais tu divagues. . Je suis mariée avec toi seul. Tu as des idées bizarres. L’air marin ne te réussit pas. Elle avait pourtant senti passer mon pénis et gémi:

- Aïe ! Fais doucement, tu me déchires le cul avec ta grosse bite.

Façon de parler, je ne déchirais rien, elle n’avait pas saigné. Il est impossible d’oublier cela en quarante huit heures. Donc la porte arrière est ouverte. A-t-elle peur du nombre, craint-elle un ramonage prolongé par quatre gaillards excités par la nouveauté ou se souvient-elle de l’évocation d’une possible double pénétration redoutable après tout ce qu’elle a déjà subi depuis le début de la partouze ? De plus elle ne voudrait pas manquer la fête sur la plage. Elle avait oublié de me parler de l’événement.
J’apprends qu’aux festivités présentes doivent en venir d’autres à la plage. Elle y est conviée et veut garder des forces pour s’y amuser encore. Il s’agit probablement d’une orgie préparée par Gérard et ses amis en son honneur et pour fêter sa totale liberté sexuelle.

Ludo se poste derrière la croupe levée. Il suce son index, le couvre de salive et le dirige vers la raie du cul. Il touche la rose, Mylène sursaute :

- Gérard, jure-moi qu’il ne me fera pas mal. J’ai peur.

Elle fait l’âne pour avoir du foin. Quand j’ai pris de l’avance sur son séducteur, je ne lui ai ni fait mal, ni déchiré le trou du cul en la prenant par derrière. C’est tout récent. Elle veut imposer un temps de récupération et fait l’ignorante. Paraître vierge du cul rehausse son attrait : elle fait feu de tout bois pour se rendre intéressante.

Pour la galerie elle réclame plus d’égards, exige d’être enduite d’un corps gras. Faute de vaseline, Léo lui graisse le sphincter avec une noix de beurre. Il en a pris une grosse noix et pour se nettoyer l’index il enfonce le surplus avec le sentiment d’être le pionnier, le découvreur des profondeurs. Son sourire satisfait dit sa joie d’avoir précédé Gérard dans cet orifice.

Ludo entre facilement, s’accroche aux hanches et s’installe pour de longues minutes. Il jubile:

- Hum, son cul est serré comme celui d’un éphèbe. C’est de l’authentique, parole d’expert.

Tout le monde peut se tromper, même cet expert, il en donne la preuve. Cette entrée n’est pas protégée par un hymen. Je me pince pour ne pas rire, surtout quand Léa plaint Mylène :

-La pauvre, se faire voler son pucelage arrière par un gay. Mon mari s’est fait rouler. S’il m’att, il voudra se venger. Je vais y passer, c’est affreux.

Serge se porte au secours de Ludo. Ses doigts activent la vulve, titillent le clitoris, se lubrifient dans le vagin. Il y a un avant-goût de double pénétration. Mylène est-elle clitoridienne, vaginale ou anale ? Comme on la travaille de toute part, il est difficile de connaître l’origine exacte des tremblements qui la secouent soudain et font chevroter sa voix.
Elle délire, elle supplie, elle s’étale sur les coussins.

Ludovic est heureux, fier de s’illustrer en la faisant jouir du cul et s’exclame :

- Mais attends, ça vient. Prends ça aussi.

Il est debout et envoie ses giclées sur le visage et sur les cheveux de ma femme. Léo se dresse à son tour, se termine à la main et projette sa purée sur la tête adorée : Gérard fait aussi bien. Peu après Serge complète l’arrosage. Une pause est nécessaire. Léo verse à boire. Mylène n’a pas le courage de retourner à la douche : elle en aurait besoin pourtant.

Gérard va s’allonger et appelle. Les positions changent. Mylène rampe jusqu’à son amant préféré, l’enjambe, fait le pont au-dessus de sa hampe, la guide, grimace au premier contact, secoue la tringle dans le vestibule de son sexe, glisse vers le bas et se met à chevaucher le corps du bienheureux. Elle a retrouvé la position du premier soir. Léo cette fois regarde, laisse faire, se redresse et offre à la bouche de cette cavalière sa bite. Le bassin de ma femme monte et descend, sa tête est tournée vers Léo. Le troisième larron passe à sa droite et réclame son dû. Le quatrième reprend des forces sur le canapé. Serge quitte la bouche, se tient la queue, passe derrière Mylène, s’avance entre les jambes de Gérard, vise l’anus et d’un seul élan s’enfonce jusqu’à la garde. Heureusement Léo étouffe avec sa verge le cri de détresse de ma malheureuse femme.

-Va l’aider, délivre-la de ces salopards, me souffle Léa.
- Pourquoi, tu veux prendre sa place ? Elle a fait des choix. J’ai autorisé, je n’ai ni ordonné ni . Tu as entendu notre conversation. Elle s’est mise seule dans cette position. Elle gémit ? Mais ça lui plaît. Regarde elle se cambre pour faciliter la pénétration anale.

Serge se vide dans l’intestin, fait signe à Léo. Ils échangent les orifices. Léo emploie ses pouces pour ouvrir le rond entre les fesses et Serge se fait nettoyer la verge dans la bouche, c’est écœurant, mais Mylène a sucé trop de queues ce soir, elle est frappée d’agueusie et accepte sans distinction tout ce qui se présente. Pour terminer Gérard lui fait accomplir un cent quatre-vingts degrés, soulève la croupe, laisse descendre, ouvre les fesses, pointe sur le petit trou: Mylène s’empale sur la trique verticale. Après quelques va-et-vient, Gérard attire à lui les cuisses, la renverse sur lui :

- A qui le tour ?

Serge s’y colle. Il s’introduit dans le vagin. Plantée sur le pieu de son amant, Mylène est pliée en deux, genoux sur les seins et sert d’enclume à Serge étonnamment vigoureux après autant de rapports. Enfin Léo lui succède.

C’en est assez, je ne supporte plus de les voir s’acharner sur un pantin sans réaction.

- Viens Léa, entrons. Moi présent ils n’oseront pas t’humilier.

J’ouvre, j’entre. Mylène vient de s’envoyer la flèche du moustachu au fond de la gorge, toujours prise par les deux autres. Je m’avance de trois quarts. Le flash de mon appareil fixe pour l’éternité la composition des trois hommes et de ma femme besognée ou besognant. Je change d’angle, je double la photo, je m’applique à n’oublier ni les visages, ni les sexes, je mitraille. Ils sont surpris. Le retrait de l’un met en exergue toute la longueur d’un sexe, les cernes ou les poches sous les yeux

-Jean, mon chéri, te voilà enfin. Nous t’attendions. Mais que fais-tu ? Pas de photo. Ah ! Non ! Je suis dépeignée.

Je ris . Gérard gronde, Léo fuit dans la chambre. Le fatigué att son maillot et un tee shirt avant de se sauver. Les deux plus courageux me font face. Léa leur envoie une gifle.

Je la croyais à l’agonie. Mylène est consciente :

- Mon chéri, arrête. Léa, ils ne t’ont rien fait. Vous savez nous allons sur la plage, il y aura un feu de bois, des guitares, du vin chaud, des garçons et des filles, on chantera dans la nuit. Venez jouer avec nous.

-Mais oui, ma femme chérie, nous allons chercher des vêtements chauds et nous vous suivons.

Mon air pacifique les rassure. Mais mes paroles les confortent dans la certitude que je suis un mari complaisant. Mylène a dû les persuader dans la journée : je ne suis qu’un vicieux voyeur. Elle a eu le temps de les détromper, ne l’a-t-elle pas fait ?

- Ne vous inquiétez pas pour les photos. Je constitue un album de souvenirs de vacances pour ma chère femme.

Couverte de sperme, puant la transpiration et le mélange des sueurs, elle m’enlace et me remercie d’un baiser aux relents d’urine et de foutre et de merde. J’écourte l’effusion… Ils sont rhabillés et partent vers la plage.

- Chéri, ne tarde pas, Gérard promet un spectacle magnifique, des jeux très érotiques aussi. Ça t’enchantera.

- Avancez, je vous rattrai avec la voiture. Si tu es trop fatiguée je pourrai te ramener.

-Tu es le plus adorable des maris.

Ils sont partis. Nous libérons Bruno. Il marche difficilement. Aura-t-il le courage d’aller à la plage. J’en doute, mais c’est sans importance puisque Léa et moi démarrons. En route Je me trompe de chemin. Nous passons la nuit dans l’habitacle de la voiture, au bord d’une plage, loin de celle de Gérard et compagnie. Le lendemain matin nous trouvons un mobil-home dans un camping à proximité de Montpellier. Il nous reste des jours de vacances pour faire mieux connaissance.

A la question de Léa :

- Toi aussi tu voudras m’enculer ?

Je réponds :

- Non, je ne t’enculerai pas. Tu n’as pas besoin de savoir ce que cela fait. Si tu y tiens tu demanderas à ton mari de faire sauter ta pastille.

- Celui-là je ne veux plus le voir. Bon, si tu me gardes, je me contenterai de faire l’amour de façon classique. J’aime mieux. M’aimes-tu ?

- Sinon, je serais au camping. Et toi, m’aimes-tu ?

Léo a téléphoné sur mon mobile pour savoir ce qu’il devait faire de Mylène.
- Garde-la ou refile-la à Gérard.

- Gérard ? Il l’a remplacée sur la plage. Elle n’arrête pas de pleurer. Qu’est-ce que je fais ?

- Console-la. je te la laisse .

- Sais-tu où est Léa ?

- Nous sommes au lit.

-Où? dis lui de revenir!

J’éteins mon téléphone. J’ai mieux à faire. Nous sommes en vacances.







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